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Belle fille(s) – Chapitre 16

Belle fille(s) - Chapitre 16



Belle fille 16

Avertissement : Cet épisode contient des passages susceptibles de heurter la sensibilité du lecteur.

Aurélie me propose de commencer par le début de la liste des messages que j’ai reçus ce soir. Il y a des SMS, MMS et même des mèls.

Un à un, nous ouvrons leurs contenus qui se passent de commentaires. Dans l’ordre chronologique, en voici la teneur :

Sur cette première photo, elle est totalement nue, ou presque ! Ses bas sont aux chevilles juste retenus pas ses bottes. Brigitte est appuyée sur les coudes, la croupe à l’air. Elle est chevauchée par un jeune boutonneux. Je remarque que sa coupe à sperme’ qui est à proximité, s’est remplie davantage de semence, depuis le cliché précédent.

Je ne peux que m’inquiéter des risques qu’elle prend dans ces rapports non protégés.

Sur une vidéo qui suit, elle suce un mec à fond et recrache le sperme dans sa coupe. La séquence est courte, mais explicite.

Un message d’un numéro inconnu :

« Ta femme est une sacrée salope ! Elle fait tout ce qu’il lui demande ! t’as de la chance !  »

J’y vois mon épouse en soixante-neuf sur sa sur Françoise. Toutes deux semblent se régaler à se manger mutuellement. J’entends que c’est son neveu qui lui demande toutes ces choses.

Une autre vidéo d’un inconnu avec pour commentaire: « Falé pas kel aval, elle é puni »

Je ne relève pas les fautes

Brigitte a les bras écartés, maintenus aux poignets, d’un coté par sa sur et de l’autre par un garçon qui bande comme un âne. Dans le champ, outre un tas de gars qui les entoure en braillant, apparaît la jeune fille à jupe courte. Elle a des cheveux noirs de jais avec une coiffure au carré. Un débardeur très échancré dévoile une partie de son sein. Ce qui me frappe ce sont les tatouages sur son corps. Par exemple, sur sa jambe musclée, un serpent est enroulé de sa cheville à la cuisse. Ses bras nus montrent d’autres arabesques colorées que je ne distingue pas précisément.

En main, elle tient un martinet, elle s’approche de mon épouse et sans prévenir, lui cingle violemment les fesses. Brigitte se tord de douleur, mais reprend sa posture pour le coup suivant en regardant fièrement son amant pour lui affirmer sa totale soumission. L’attroupement autour du spectacle égrène le nombre des coups. Vingt au total !

De longues marques rouges lardent le fessier de la victime.

Maxime flatte la joue trempée de larmes de la suppliciée, avant d’enlacer la brune, puis annonce fièrement que le tirage du gros lot va commencer.

Si cette séquence de violence me trouble au début, j’éprouve une forme de satisfaction de voir que Brigitte soit punie. Je m’imaginais tenir le martinet à la place de cette « bourrelle » et d’asséner moi-même des coups vengeurs.

Ce qui me trouble davantage c’est que ça puisse m’exciter autant. Est-ce du candaulisme ? En tout cas, je bande fort, dans la main de ma chérie qui m’emprisonne la hampe.

Aurélie me propose une petite pause avant de passer à l’étape suivante des aventures de sa mère. Elle se glisse sous le drap et me suce un peu pour me donner plus de vigueur.

Elle revient près de moi après quelques minutes de succion puis nous passons au chapitre suivant

Une nouvelle vidéo :

La « main innocente » est celle de la brunette, qui pioche dans une panière un bout de papier avant d’annoncer le chiffre qui y est inscrit : dix-huit ! Ça signifie qu’ils sont au moins ce nombre de participants dans cette orgie.

Un gars sort du groupe, brandissant son papier et hurlant qu’il a gagné le gros lot, à savoir être le à enculer ma femme !

Il s’agit de celui qui, précédemment, la doigtait quand elle était sur ses genoux.

Le gars veut la prendre debout, mais y renonce rapidement. Il fait mettre ma femme à quatre pattes et la force à plusieurs reprises sans pouvoir entrer. Maxime fait un signe à sa mère qui, obéissante et soumise, se précipite auprès de sa sur. Elle enduit ses doigts avec de la semence prélevée dans le « calice à jus » de ma femme et lui en oint soigneusement l’anus.

Quand le gars essaie à nouveau, il rentre très facilement. Le jeunot se met alors à la pilonner sous les vivas de la foule qui les encercle.

Il est relativement rapide à éjaculer et alors que Brigitte se redresse pour recueillir le sperme qui lui coule du derrière, la brunette procède au tirage du mec suivant qui va enculer ma femme.

C’est le numéro vingt-quatre ! Ce n’est pas possible ! Il a dû inviter toute la ville à saillir sa chienne de tante !

L’heureux deuxième enculeur préfère la basculer sur la table, lui tenir les jambes en l’air pour la labourer à grands coups. Mon épouse cherche et trouve une queue à sucer. Ce qu’elle fait frénétiquement, puis se sens obligée d’interrompre sa succion afin de jouir bruyamment.

Je passe rapidement les vidéos suivantes où ne changent que les partenaires et les positions.

J’arrête de compter le nombre de ceux qui la couvrent !

Aurélie retourne me sucer quelques secondes entre chaque épisode.

Sur la dernière vidéo, je vois Brigitte complètement ébouriffée, trempée de sueur. Elle tient dans une main sa coupe bien remplie et de l’autre utilise une petite cuillère pour déguster ce yaourt particulier.

Elle s’adresse à moi, tout en étant assise entre les jambes écartées de son neveu.

«Regarde ce que j’ai dans le cul en ce moment ! Regarde bien espèce de salaud, si tu savais comme c’est bon de se faire enculer !

Elle se relève un peu pour que je voie bien le gros chibre qui l’empale. Elle reprend une bonne cuillerée de semence, m’expose sa langue chargée et déglutit le tout avec la satisfaction de m’humilier par sa perversité.

Si Maxime la tient par les hanches, il n’en est pas moins penché pour embrasser sa voisine, à savoir la brunette tatouée, laquelle s’applique à tordre entre le pouce et l’index, un téton de mon épouse. De l’autre coté de Maxime, sa mère Françoise se fait peloter par un gars.

Elle aussi a les traits tirés, mais semble ravie. Je crois que, désormais, je connais chaque détail de l’anatomie de ma belle-sur. Sa poitrine est vraiment impressionnante !

Brigitte semble s’accommoder de la présence de la fille tatouée. Elle monte et descend sur la colonne de chair. Change périodiquement de trou, reprend un peu de liqueur et recommence ses pénétrations.

Elle me dit :

« Comme c’est génial une bonne grosse bite ! Et tout ce bon jus ! »

Elle délaisse la cuillère et boit directement au verre, déglutit chaque gorgée avec ravissement en ponctuant par des « ah ! Comme c’est bon ce jus de couilles ! » Et autres expressions du même genre.

Elle pose sa coupe vide par terre et appuie ses mains sur les cuisses de son amant pour accélérer le rythme de son pistonnage. Elle tourne sa tête vers Françoise et lui demande quelque chose.

Ma belle-sur s’applique alors à lui pincer l’autre sein, tout en mélangeant sa langue avec celle de son fils.

La brunette change de main pour maltraiter le téton de Brigitte. Elle s’accroupit et enfonce plusieurs doigts dans le vagin de mon épouse.

L’image se met à trembler dans tous les sens, il est probable que celui qui filme soit en train de se branler. On peut même entendre son souffle rauque en fond sonore.

L’image oscille dans tous les sens, avant de s’interrompre sur le début d’un cri de jouissance.

Je n’en reviens pas que mon épouse soit tombée aussi bas. Que cette femme sensée, équilibrée, cultivée et j’en passe, puisse se complaire dans cette débauche, allant jusqu’au masochisme.

Un peu écoeuré j’éteins mon téléphone et me réfugie dans les bras de ma bien aimée. Aurélie ne m’a pas lâché le membre et continue à me caresser lentement, suffisamment pour me faire bander comme un taureau.

Alors que je m’allonge entre ses jambes écartées pour lu faire l’amour, nos entendons des bruits bizarres. Des gargouillis, des sons gutturaux, des plaintes.

Aurélie me dit :

— Viens, on va aller voir ce qu’il se passe !

— Non, laisse-les ! Je n’ai pas envie de jouer les voyeurs

— Aller ! Si ! Viens, on va juste regarder.

Son fort désir à vite raison de moi et je la suis, à poil, ma queue raide dans sa main.

Elle jette un il et m’invite à regarder à mon tour. Alors que je me penche, elle me glisse subitement un doigt dans l’anus. Elle me cramponne le bassin et s’enfonce en moi sans ménagement.

Je suis si surpris que j’émets un petit cri.

J’entends Laetitia dire :

— Aller, venez ! Entrez !

Aurélie pousse la porte et m’appuie dans le fondement pour me faire avancer dans la chambre.

Je suis totalement confus de forcer leur intimité et surtout par la scène que j’ai sous les yeux.

Laetitia est nue, debout devant le lit, harnachée du gode ceinture. Florian, nu également est assis au bord du lit et s’applique à sucer la fausse bite que lui offre sa compagne. En réalité, Laetitia lui bloque la tête et lui force la bouche.

Aurélie continue à me pousser vers le couple et quand je suis proche d’eux, Laetitia m’embrasse à pleine bouche avant de s’agenouiller pour me sucer devant son copain, qui reste bouche bée de surprise. Il ne peut plus ignorer que j’ai des relations sexuelles avec sa copine.

Quand elle lui tend mon sexe, il m’interroge brièvement du regard avant de le saisir fermement et le gober avec avidité.

Je me fais sucer par ce garçon. Il se délecte à me pomper et j’avoue que j’apprécie ce qu’il me fait. Aurélie me caresse la nuque alors que sa sur s’est placée derrière elle et mime un accouplement. Je l’entends murmurer à ma chérie :

« Viens par là, petite salope, je vais t’enculer ! »

Les deux filles s’écartent et j’ai beau protester mollement, elles disparaissent vers ma chambre.

Mon gendre me tient par les fesses et me suce merveilleusement bien. Il me fait m’allonger sur le lit et reprend momentanément sa succion.

Il continue à me malaxer le sexe et entreprends de me biser et lécher le corps. Le pubis tout d’abord, puis le ventre, le nombril, les tétons sur lesquels il s’attarde pour les mordiller, puis le cou, les joues, les lèvres.

Il cherche à m’embrasser mais je m’y refuse ! Pas question d’embrasser un mec.

Il est comme fou en m’embrassant dans le cou, il réussit progressivement à me communiquer sa passion. J’enlace son corps et il se retrouve vite sur moi. Ma main cherche son sexe et j’éprouve un grand plaisir à le sentir dans ma main.

Je cherche à le sucer à mon tour, mais il préfère s’allonger sur le ventre, près de moi. J’admire son corps juvénile et le caresse avec lenteur. Il garde les yeux fermés et me dit :

« Fais ce que tu veux de moi mon chéri ! »

Oublié le vouvoiement, je suis son amant désormais !

Je glisse une main entre ses jambes pour malaxer son sexe et plonge sans vergogne pour lui lécher le petit trou. C’est curieux, je n’éprouve aucune gêne à le laper avec application malgré le fumet et le goût épicé de son sillon.

Ni même à darder ma langue dans son anus. Plus il se tortille plus ça m’excite de lui prodiguer cette feuille de rose.

J’ai compris depuis longtemps que les deux filles avaient manigancé ce plan, probablement quand elles discutaient dans la cuisine. De plus, ce n’est pas si innocemment que ma chérie entretenait ma bandaison depuis tout ce temps.

Florian me quémande un doigt et je m’applique à le satisfaire. Je le doigte de mon majeur et j’aime le voir se tortiller quand je m’enfonce profondément.

Il me souffle :

— Baise-moi chéri !

— Attend je vais chercher ce qu’il faut 

Je pense à du lubrifiant et un préservatif

— Non ! Viens ! Fais le comme ça !

Sous-entendu sans lubrification et pour une sodomie totale.

J’applique toutefois un peu de salive sur son anus, pointe mon bout et force.

Mon gland franchit le passage et je reste un moment à faire de brefs allers retours juste au bord de son petit trou. Je lui demande :

— Ça va ?

— Oh oui ! Comme c’est bon ! Ne t’arrête pas

— Tu en veux plus ?

— Ouiiii !

J’éprouve un soudain besoin sadique de le faire patienter en m’enfonçant extrêmement lentement, tout en lui immobilisant le bassin pour l’empêcher de s’empaler de lui-même. Il émet des petits cris à chaque centimètre. À mi-course, je ressort et entre tout aussi lentement.

Comme il se tient sage, j’en profite pour lui caresser le dos. Sa peau est douce comme celle d’une femme. Il me supplie tout à coup :

— Défonce moi chéri ! Encule-moi fort !

D’un coup sec je le perfore totalement et il se met à râler des « oh oui, c’est bon, vas-y ! »

Et j’y vais !

Je m’assure tout d’abord qu’il bande bien avant de m’allonger sur lui. Je lui tiens les poignets et déchaîne ma sauvagerie. Je m’imagine par instant que c’est Brigitte que j’encule avec violence. Mais les râles de mon partenaire me ramènent sur terre ou plutôt dans son cul.

Je le retourne sur le dos et le prends par devant. Après m’être allongé sur son torse, je lui donne de très violents coups de reins qu’il apprécie beaucoup.

Cette frénésie finit par avoir raison de ma retenue et je lui propulse une grosse quantité de semence dans son conduit. Sans sortir de lui, je me redresse et entreprends de le masturber tout en donnant de temps à autres de petits coups de bite qui le font râler de plaisir.

Il apprécie beaucoup ma masturbation et se raidit pour expulser ses jets bien loin, jusqu’à son visage.

Il me regarde avec un sourire épanoui qui s’évapore par la surprise de me voir lui lécher le jus qui le macule. Il reste encore abasourdi quand je lèche ce qui sort de son derrière.

Décidément, cette journée est vraiment curieuse. Si je me suis fait draguer plus ou moins directement par des inconnues, que ma femme ait voulu m’humilier en m’envoyant plein de messages pornographique, j’en suis à faire l’amour à mon futur gendre !

J’entends Laetitia dire derrière moi :

« À mon tour maintenant ! »

Sans attendre que je quitte la chambre elle enfonce déjà son gode ceinture dans l’anus de Florian.

Après un brin de toilette, je rejoins Aurélie dans le lit. Elle me dit :

— Alors ? Tu as aimé son petit cul ?

— Oui, je te le concède! Je m’interroge quand même sur le caractère orgiaque que prend notre famille ! Je t’avoue que je n’aimerais pas trop que ça aille plus loin !

— Si tu penses que je vais coucher avec Florian, détrompe-toi.. Lui sera peut-être mon beau-frère, ça ne se fait pas !

Nous rions tous les deux ! J’oublie dans ses bras les vicissitudes de la journée.

Qu’elle est belle ! Comme je l’aime !

A suivre .

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