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Cadeau de mes frere – Chapitre 2

Cadeau de mes frere - Chapitre 2



Après une semaine de repos suite à notre nuit spéciale, je téléphonais à Théo et appelais Jérémy juste après en leur offrant une invitation sans rediscuter de notre petite partie.

« Coucou, cest moi la frangine, je vous invite tous les deux au lac pour pique niquer ! »

Leurs réponses étaient positives et accompagnés de larges sourires que je pouvais deviner derrière le combiné téléphonique. Jallais les chercher tour à tour dans le cabriolet décapoté, jétais dans une jupe flottante blanche qui ne manquait pas de remonter jusquà mi cuisses par leffet du vent. Je conduisais pieds nus, totalement décontractée, mes cheveux qui étaient dans une superbe queue de cheval, javais un tee-shirt Van duscht rouge et ample, qui ne cachaient pas mes deux tétons qui pointaient le tissu à cause de la ceinture de sécurité qui était sur mes seins. Mes frangins étaient aussi cool que moi, en short et tee-shirt, accoudés aux portières. Personne navait osé reparler de notre perverse aventure, les regards et les sourires suffisaient amplement comme discussion.

« Voilà, cest ici les garçons, ce nest pas magnifique ? »

« Whaou, cest super beau ! » disait Théo

« Whaou, je ne connaissais pas, cest génial ! » enchaînait Jérémy

Je garais la caisse en mordant ma lèvre inférieure. Nous avons marché quelques centaines de mètres avant dapercevoir un endroit reculé et totalement vide, cela faisait comme une petite plage privée entourée de roseaux, le lac était plat comme une piscine, leau paraissait très froide mais nous étions venus simplement pique niquer. Il était pas loin de midi.

« On mange avant ou on bronze les garçons ? »

« Et si on mangeait en bronzant plutôt » répondait heureusement Jérémy qui décoinçait un silence imprévu.

Alors je déballais les aliments que javais préparés tout en apercevant leur tee-shirt chuter près de moi, jétalais les sandwichs, salades, fruits, boissons (non alcoolisées) et je me relevais en ôtant mon tee-shirt devant leurs yeux coquins et leurs bouches silencieuses.

Suite à mon mouvement, ma poitrine saffalait en rebondissant légèrement, jétais seins nus, entourée dune chaînette de ventre en plaqué or, devant leurs regards que je ne voulais pas croiser.

« Ah pratique !vous les garçons, vous êtes déjà en maillot avec vos shorts ? » disais-je en pliant mon polo dans le sac et en réfléchissant si jôtais ma jupe blanche.

« Tu peux garder ta jupe si tu veux » répondait Théo.

Puis dos à eux, juste quand mes doigts étaient dans les côtés de ma jupe qui nétait pas transparente

« Ouais, vous avez raison, je vais rester comme ça »

Et en me retournant, je percevais, vite fait, un mouvement du coude que Jérémy donnait à son frère, du genre, « espèce dimbécile taurais du la fermer ».

On allait manger quand Théo sortit de sa poche un minuscule appareil de musique mp3 qui allait nous détendre. Nous mangions assis en tailleur, je nessayais pas de voir sils avaient une érection. Jétais seins nus devant leurs appétits qui sentendaient clairement.

« Cest délicieux huum » bafouillait Jérémy

« Huum, ouais, cest vraiment bon » rétorquait la bouche pleine Théo.

Puis ils explosaient de rire en me voyant ouvrir la bouche au maximum afin de gober un sandwich copieux. Cela avait failli me faire tout recracher mais je marchais en leurs faisant les gros yeux suivis dun clin dil.

Une fois tout avalé, nous buvions un café qui était dans le thermos, et je basculais en arrière sur mes coudes, toujours en tailleur, la jupe recouvrait toujours le haut de mes cuisses en tombant au milieu. Je voyais leurs regards rapides sur mon entre cuisse.

« Alors les garçons, vous avez bien mangé ? »

« Hum, tu es une véritable maman » lançait Jérémy en ricanant avec Théo.

« Mais je suis votre grande sur, ne loubliez pas !! » formulais-je en me relevant.

Le temps était splendide, jaccrochais mes doigts dans la couture de ma jupe et sans regarder mes petits frères, toujours face à eux, je descendais mes mains et ma jupe tomba au sol comme un petit parachute.

Ils sirotaient encore leur café quils renversaient en toussant faiblement détonnement

« Hoooolalaaa » souffla Jérémy

« Whaaaoooooo, non de dieu » suivait Théo

« Jai bronzé les trois derniers jours dans un salon UV avec seulement un string brésilien que je voulais mettre aujourdhui, mais je ne lai pas trouvé » disais je timidement en détachant ma queue de cheval.

La marque du bronzage était impeccable, javais échancré attentivement et fortement le string avant de minstaller sous les lumières.

Ils ne sortaient pas un mot en se regardant mutuellement puis revenaient sur ma chatte blonde, épilée pour loccasion en petite lettre V, du fait que je nétais pas trop poilue dorigine.

« Je voulais faire un I comme inceste, mais je trouvais ce modèle plus joli » disais-je naturellement, en offrant la vue de mon fessier et jallais toucher leau afin de voir si elle était bonne.

Ils étaient toujours assis en tailleur, totalement étonnés et ravis. Je voyais leurs tentes, évidentes, dans leurs shorts car jétais accroupie au bord de leau avec ma tête tournée vers eux.

« Vous êtes toujours habillés ? » lançais-je simplement.

« Si vous nêtes pas à poil dans trois secondes, je me rhabille comme vous!!! » les narguais-je.

Javais à peine tourné mon regard autour de nous pour vérifier si personne narrivait quils étaient tout comme moi, carrément tout nus, avec leurs gros bambous tendus vers le ciel.

« Brrhh leau nest pas très bonne » disais-je en revenant vers le pique nique tout en me déhanchant langoureusement.

«Cest toi qui est bonne plutôt » formulait Jérémy.

« Booooonnnnnnnne, ouais, cest toi la booonne » complétait Théo.

Et en désignant leurs gros sexes des doigts,

« Non les garçons, cest elles qui sont bonnes » rétorquais-je très sérieusement.

« Vous avez pu remarquer que je nai pas pris de dessert les garçons car je comptais sur vous » formulais-je en magenouillant devant eux.

« Tu veux des bananes ? » proposait Jérémy en sempoignant le bambou.

« Ouais tu veux des oranges » proposait aussi Théo en soupesant ses grosses couilles.

Alors je croisais les mains derrière mon dos en ouvrant fortement la bouche et en tirant la langue aussi loin que possible vers le sol :

« Faites couler vos jus dorange et de banane dans ma bouche ! »

Ils avançaient jusquà mon visage en se masturbant furieusement tout en gémissant au-dessus de mon regard perverti qui allait tour à tour sur leurs énormes bambous et fuyant de pré sperme.

Ils se branlaient si vite que la peau qui recouvrait leurs glands ne se voyait plus et leurs mains devenaient quasiment floues. Au bout de quelques minutes délicieuses à mes yeux et oreilles,

« Visez bien ma bouche, dans ma bouche les gars » priais-je presque car jentendais leurs gémissements changer de tournure.Jattrapais mes cheveux en les tenant en chignon pour éviter de possibles dégâts et je fermais les yeux en distendant ma bouche jusquà men faire mal à la mâchoire.

« Hum ohhh, tu vas être servie » dit Théo qui gémissant.

« Ouais et bien servie » dit aussi Jérémy qui pleurait de plaisir.

Sur ma langue sortie loin vers le sol, je sentais leurs bouts de gland se poser dessus et toucher les coins de mes lèvres ; il comptait apparemment ne men faire perdre aucune goutte. Alors je rouvrais mes yeux en constatant leurs grimaces de plaisir, telle une douleur à faire disparaître, puis mes joues se faisaient, tour à tour, fouetter de fortes giclées de foutre épais qui éclaboussaient ma bouche et coulaient directement dans ma gorge car javais légèrement haussé mon menton. Javalais comme je pouvais les premières giclées qui avaient déjà rempli ma bouche et javalais le reste durant une bonne minute, limite écoeurant, tant ils vidaient leurs grosses couilles. Ils me regardaient avec leurs visages souriants et ils me soulevaient délicatement du sol par les épaules.

« Alors ce dessert ? » questionnait Jérémy.

« Très copieux les garçons hummm » répondis-je en léchant mes babines

Ils sagenouillaient à leurs tours, Théo devant et Jérémy derrière moi qui écartait déjà mes fesses en regardant sûrement ma rosasse

« On voudrait bien un autre dessert » disait Théo en plongeant sa langue sur ma chatte

Et je gémissais de toutes mes forces en ouvrant ma bouche vers le ciel.

« Ouais on adore les desserts » répliquait Jérémy en essayant de rentrer sa langue dans mon trou du cul.

Ils avaient passé leurs langues sur mes fentes en les pénétrant simultanément, javais joui en tremblant sur mes jambes mais ils me tenaient fermement par les hanches et quand ils avaient commencé à pomper leurs doigts en moi, je meffondrais sur le sol. Posée sur le côté, ils pistonnaient mon être sans retenue jusquà faire presque rentrer leurs mains entières dans mes orifices dilatés.

« Baisez-moi maintenant, baisez moi nom de dieu » pleurais-je de plaisir.

Je vis Jérémy passer au-dessus de ma tête puis il saisis mes chevilles en les écartant au ciel, javais son sexe qui planait au-dessus de mes yeux.

« Baise-la Théo, défonce-là » ordonnait Jérémy à son frère qui prenait place devant moi tenant son sexe à sa base, pour me perforer dun seul trait jusquà aplatir ses couilles dans mes fesses.

« Whhhaaaooooouuurrrffffffhhhuuuummm » arrivais-je à gémir.

Jérémy écartelait mes jambes en faisant soulever mes reins du sol, Théo se ruait sur moi comme un fou furieux, je pleurais presque de jouissance, ses couilles battaient ma peau de plus en plus vite et fort sous les ordres de Jérémy qui contemplait mes nichons remuer sous la cadence.

« Baise-moi cette salope, baise-la à fooonnnd »

Javais joui sous les assauts en me tenant fermement aux chevilles de Jérémy puis Théo sortait son bambou de mon ventre pour masperger de longues giclées bouillantes.

« Ouf, quel pied, à toi Jérémy, baise-la » souffla-t-il à Théo.

Et avant quils ne permutent, je basculais en levrette tout en agitant mon derrière vers le ciel.

« Prends-moi comme ça, sil te plait Jérémy » dis-je en empoignant les chevilles de Théo, en passant ma tête entre ses jambes et en posant mes épaules sur ses pieds.

Théo devait admirer mon fessier tendu vers son frère qui était entrain de me perforer à son tour, quand je sentis claquer une paire de mains sur mes fesses qui les écartaient fortement.

« Je la tiens cette chienne, vas-y Jérémy, mets le paquet » ordonna Jérémy à Théo qui me pistonnait le plus dur quil pouvait durant cinq minutes inoubliables car je ne voyais rien du tout du spectacle. Je ne sentais que ses couilles gifler ma chatte, javais encore joui en mordant le drap du pique nique, puis je ressentis une pluie de jets qui sétalaient sur mon dos car Théo éjaculait en ayant placé son bambou sur la raie de mes fesses quil pompait avidement.

Nous étions crevés, on restait un petit moment sans bouger puis je décidais de me relever sur mes jambes tremblantes. Je sentais le sperme couler à mes pieds et sur le drap.

« Elle est complètement tartinée » disait Théo en ricanant.

« Comme une tartine, ouais » répliqua Jérémy en riant aussi.

« Arrêtez de rire les garçons, donnez-moi des serviettes plutôt » dis-je en attrapant moi-même le paquet de serviettes qui était prévu pour le repas.

Et nous ricanions tous ensembles pendant quils maidaient à essuyer les dégâts causés par leurs bambous ballants entre leurs jambes.

Avant de quitter les lieux, je signalais que bientôt cétait lanniversaire de Théo

à suivre

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