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Ce coquin de propriétaire ! – Chapitre 13

Ce coquin de propriétaire ! - Chapitre 13



Je me dirigeais vers la chambre pour y rejoindre mon époux et mon amant.   

En fait, je ne savais trop si Loic serait toujours au lit ni si Marc l’avait rejoint ou si, habillés, ils seraient maintenant, l’un et l’autre dans le salon à m’attendre.

Paradoxale émotion ; j’étais aux prise à d’étranges sensations, la fierté d’avoir deux hommes si attentionnés, un mari si compréhensif et un amant si imaginatif. Balzac disait qu’un amant est celui qui apprend à une femme mariée ce que son époux lui cache, mais Marc dévoilait autant à Loïc qu’à moi. Je ne savais toujours pas pourquoi j’avais, finalement, cédé aussi facilement à Marc, mais je pouvais m’apercevoir que son pouvoir d’attraction avait le même pouvoir d’attraction envers mon époux ; lui aussi avait obéi sans résistance aux désidératas de mon amant.

J’aime mon mari, je le trouvais viril, enfin je veux dire que je ne l’imaginais nullement dans les bras d’un autre homme et voilà que je le vois maintenant  s’offrir à un autre homme sans broncher.

J’étais déjà surprise de la voir si indulgent devant mes écarts adultérins, certes, il ignorait que cela avait débuté bien avant son accord implicite, que je m’étais déjà donnée  à Marc alors qu’il était au travail. Il pensait certainement que ce ne fut qu’un concours de circonstance, une opportunité libertine qui avait conduit Marc à jouer avec nous deux, il ignorait qu’avant d’être ce libertin adepte du trio, il fut illégitime séducteur d’une femme mariée : moi !

Qu’il me partage avec Marc était donc une première surprise, mais que lui-même accepte de sucer mon amant fut une réelle stupéfaction.

Et j’ignorais encore que ce n’était que le début.

En entrant dans la chambre, je me suis arrêtée net. Mes yeux ne pouvaient admettre ce qu’ils voyaient : Loïc, à quatre pattes sur le lit, la tête donnant l’impression d’être enfouie dans l’oreiller, Marc derrière lui tenant ses hanches… L’image était claire, mais mon cerveau mis quelques instants avant de comprendre la situation : Marc prenait en levrette Loïc.

Je ne sais pas pourquoi, mais en voyant cela, je me suis enfuie vers les toilettes et j’ai commencé à vomir. Loïc ne m’avait pas vu, Marc, je ne saurais l’affirmer, mais je pense qu’il a dû se rendre compte de ma présence ; cela ne le fit pour autant ralentir son rythme. Un bruit sortait de sa bouche à chaque coup de butoir et j’avais l’impression d’entendre aussi un son d’approbation provenant de mon mari.

 Tripes et boyaux rendus, je me suis dirigée comme un zombie vers le salon et me suis affaler dans le canapé. Je n’arrivais plus à réfléchir, je ne savais, de toute façon ce que je devais penser de tout cela. Ma relation adultère avec Marc m’avait perturbée, même si je n’avais nullement envie de la stopper, qu’elle se transforme en relation libertine, m’avait un peu soulagée, Loïc devenait complice et acceptait la situation. Certes, j’avais encore quelques appréhensions vis-à-vis de ce style de relation, mais je devais aussi m’avouer que cela était loin d’être désagréable. Voir Loïc participer au jeu, était étrange, le voir s’amuser aussi avec mon amant, en ma présence, me donnait bien entendu une sensation un peu biscornue

Mais le voir avec un autre homme se faire prendre par mon amant, alors que je ne suis pas présente et surtout donner l’impression qu’il aime cela aussi étrange que cela peut paraître, j’avais du mal à encaisser.

Je ne sais pas depuis combien de temps j’étais assise dans ce canapé, la tête entre les mains à essayer de réorganiser mes pensées quand Marc apparut.

–    Qu’as-tu ma petite Chloé ?

Il s’approcha de moi et me prit dans ses bras. A peine ma tête posée sur son épaule que j’ai commencé à pleurer à chaude larme. Il embrassa mes yeux, baisa mes larmes en me disant des mots doux. Je n’arrivais pas à arrêter mes larmes, même si ses mots me réconfortaient. Sa main, pour accompagner ses petits baisers, caressait mes cheveux, puis descendit sur ma joue pour enfin bichonner mes seins. Ses baisers se dirigèrent alors sur mes lèvres que j’entrouvris machinalement. Sa langue s’invita dans ma bouche et sa main abandonna ma poitrine pour s’attarder entre mes cuisses.

Je m’abandonnais à sa caresse quand Loïc est apparu. Je ne pouvais pas le voir, mais j’avais entendu ses pas et je savais qu’il était là à proximité de nous. J’imaginais qu’il nous regardait.

Etait-il jaloux et si oui, de qui ?

Je n’osais ouvrir les yeux que j’avais fermés quand mes lèvres s’étaient jointes à celles de Marc, j’avais peur de voir sa désapprobation, je ne voulais voir son visage, mais je ne pouvais m’empêcher de penser à ce qu’il ressentait. Ou plutôt de deviner ce qu’il devait ressentir en me demandant s’il était jaloux de moi ou de Marc voire des deux en même temps.

Marc ne semblait nullement troublé par la présence de Loïc, il l’ignorait simplement en continuant sa besogne avec la même assiduité. Ses caresses étaient merveilleuses et ses baisers magiques. Bien que perturbée par cette nouvelle situation, je ne pouvais empêcher le plaisir monter graduellement dans le bas de mon ventre.

 Loïc s’installa à son tour dans le canapé, mais il ne vint pas s’asseoir à côté de moi, il se mit proche de Marc. Celui-ci abandonna mes lèvres se s’appropria avec gourmandise la bouche de mon époux. Je me suis décidée à ouvrir les yeux et j’ai vu qu’ils se roulaient une pelle avec frénésie. La main de Marc était toujours entre mes cuisses et quand la galoche fut terminée, il lui parla à l’oreille.

Après avoir écouté Marc, Loïc prit cette fois l’initiative du baiser appuyé entre ces deux mâles, mais il vint aussi déposer sa main à côté de celle de Marc, les doigts de l’un et de l’autre s’unir ensuite dans leur prospection. J’avais au moins quatre phalanges qui m’exploraient et sans pouvoir l’affirmer, j’avais l’intuition qu’elles n’avaient pas toutes le même propriétaire.

Loïc semblait apprécier embrasser Marc, j’avais décidé  pour ma part, de fermer à nouveau les yeux pour mieux m’imprégner de cette nouvelle situation mes fesses glissèrent imperceptiblement sur l’assise pour mieux recevoir leurs caresses  et rapidement, dans un laisser-aller complet, mon corps fut submergé par un extraordinaire orgasme.

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