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Cerise – Chapitre 2

Cerise - Chapitre 2



George et marie, ont fait lamour toute la nuit, ils sont épuisés, la jeune femme a joui, comme personne encore ne lavait fait jouir, son ventre a encore des contractions, tellement cétait bon.

Georges se lève, va prendre une douche, shabille sans un mot et descend déjeuner.

Il est rare quil se lève si tard mais une fois nest pas coutume.

— Bonjour monsieur, mal dormi? Vous avez une tête à faire peur!

Il ne répond pas, Marie arrive quelques minutes plus tard, le regarde, baisse les yeux et prend un bol de café.

— Je viendrais taider à la cave si tu veux!

— Merci, cest gentil, on va embouteiller ce matin, tu seras bien utile ma chérie!

Elle regarde son père, il a un sourire épanoui et na pas lair fâché.

— Ça ne te dérange pas si je reste ici papa, je veux dire pour toujours!

George la regarde longuement avant de parler.

— Tu es ici chez toi ma chérie, jespère pouvoir te montrer longtemps combien je taime!

— Jespère aussi, que tu me le prouveras longtemps!

George et Marie vivent ensemble comme un couple, elle dort avec lui, enfin ce quil leur reste de nuit pour dormir après avoir fait lamour, cerise vient les fins de semaines et aide dans le domaine comme elle peut.

Un grave accident va rapprocher ses deux autres filles de George, son ex femme vient davoir un grave accident et est à lhôpital, on craint le pire, malgré qil en veuille à cette femme qui la abandonné, il va lui rendre visite, cest quand même la mère de ses filles.

Elle est entre la vie et la mort et décède dans la soirée. Il faut parler héritage, il se rend chez le notaire et convoque ses filles chez lui, Il y a déjà Marie et Cerise, se sont elles qui se chargent de faire venir les deux autres.

Elles arrivent le jeudi après midi, il est 15h, il y a là le notaire, et bien sur George.

Le notaire explique que la propriété étant à George bien avant son mariage, elle ne fait pas partie de lhéritage, mais il y a des biens achetés en communauté et largent de leur mère.

Le partage est fini, le notaire parti.

Ils sont dans le salon, George sadresse à ses filles et petites filles.

— Mes enfants, je comprends que vous ayez toutes de la peine, vous êtes ici chez vous, vous pouvez y venir quand vous voulez.

Cest Colette qui répond en premier.

— Je ne comprends pas Marie, pourquoi vit elle ici, pourquoi être revenue?

— Jai compris beaucoup de choses et cest Cerise qui ma ouvert les yeux, papa contrairement à ce que disait maman comme excuse, ne la pas mise à la porte mais cest elle qui est partie avec un ouvrier de papa, elle nous a menti depuis le début et nous, comme trois courges on la cru!

— Et tu y crois toi à ça?

— Bien sur, jen ai la preuve, des lettres et largent que maman a soutiré à papa, toutes ces années!

La plus jeune dit à son père.

— Si cest ça alors, je te demande pardon papa, tu sais, je ne me suis jamais mariée car je pensais que tous les hommes sont des salops!

— Votre mère avait le goût de lintrigue, elle pensait quen vous éloignant de moi, je vendrais la propriété et quelle profiterait de largent mais on ne va pas revenir là dessus, laissons la en paix!

Ses trois filles et les deux petites filles restèrent à dîner, il leur proposa de rester quelques jours et tout le monde accepta, Colette était mère célibataire et était en vacances, Magali aussi, les femmes préparaient les chambres, Cerise et Sylvie dormiront dans la même chambre les autres filles retrouvent leurs chambres de jeunes filles.

Marie quant à elle sait quelle ira rejoindre George, une fois tout le monde couché, il faut quelle soit prudente, il nest pas question que ses surs et sa fille, sachent quelle est lamante de son père et vit ici comme sa femme quand ils sont seuls.

Les deux premiers jours se passent à merveille, les filles de George sont heureuses de retrouver leur père et la propriété de leur enfance.

Il est 22 h tout le monde est couché, Colette veut parler à son père, se faire pardonner et longe le grand couloir, monte lescalier et va à la porte de la chambre paternelle.

Les bruits quelle entant, la font hésiter à frapper à la porte, des soupirs, des bruits de lit, aucun doute nest possible, son père fait lamour avec quelquun. Qui cela peut il être? La bonne? Non, elle est mariée et loge avec son mari dans la maison de gardien, il ny a pas dautre femme dans la maison, que ses deux surs et les deux jeunes filles, laquelle, ce nest pas sa fille, elle na que 15 ans et dort dans la chambre de Cerise, ce ne peut être Cerise, cette adorable gamine de 18 ans. Magali? Possible mais non pas elle, elle nest pas assez proche de son père.

Lévidence est là, Marie est la maîtresse de son père, elle a toujours été la plus proche de lui, Colette sent la colère monter en elle, elle venait pour discuter bien sur mais avec le secret espoir de finir la nuit dans le lit de son père et de rester au manoir avec lui, alors son sang ne fait quun tour, elle ne frappe même pas et entre, la lumière est allumée.

— Espèce de salop, tu baises ta propre fille, tu nas pas honte?

Marie se cache sous le drap et George la regarde éberlué, ne sachant que faire, la tête encore entre les jambes de Marie.

— Que viens tu faire ici?

— Je venais te parler, mexcuser du mal que je tai fait et je te trouve entre les cuisses de ma sur! Salope pourquoi toi?

— Comment pourquoi moi? Pourquoi pas, jai 36 ans et je fais ce que je veux mais tu es jalouse dis donc?

— Mais non, je ne suis pas jalouse mais tu es sa fille!

— Et toi? Tu nes pas la voisine, tu venais voir quoi, en pleine nuit et en nuisette, si papa dormait?

— Allons les filles pas de dispute, oui je suis lamant de Marie et cest ma fille, vient là on va discuter, il ne faut pas que tu sois fâchée!

— Elle nest pas fâchée, elle est jalouse!

— Marie calme toi, tu voulais parler Colette, parlons.

Marie est nue sous les draps et George a entouré la couverture autour de lui, pour cacher son sexe, Colette est juste vêtue dune nuisette presque transparente, qui laisse deviner ses seins magnifiques on voit au travers ses poils pubiens et ses longues jambes au galbe parfait.

Marie la regarde dans les yeux, tend la main.

— Viens avec moi si tu veux, il y a la place pour deux tu sais, quand on était gamine, tu aimais bien venir dans mon lit et faire minette, alors viens, je sais que tu es là pour ça on sera trois voilà tout!

Colette regarde sa sur, comme si elle réfléchissait, regarde George qui lui sourit, passe sa nuisette par dessus la tête et se glisse sous le drap avec Marie.

Il reste un instant interloqué quand les deux filles se prennent la bouche, à un sourire, un soupir et écarte les jambes de Colette, il caresse les cuisses et plonge délicatement la tête, la bouche à la rencontre de la vulve, la langue ouvre le fruit et caresse lintérieur, les doigts plonge dans lintimité, arrachent des soupirs, il remonte jusquau seins quil tète délicatement, remplace la bouche de Marie sur celle de Colette et senfonce en elle, les jambes sécartent encore plus, elles laissent le passage à lénorme vit, qui senfonce lentement dans son intimité, elle jouit déjà, il y a si longtemps quelle na pas eu dhomme et si longtemps, depuis ses 16 ans elle rêvait de cela, Faire lamour avec George.

Elle jouit de plus en plus fort, il fait des ravages dans sa vulve et dans son ventre, elle vient de se souvenir quelle ne prend plus la pilule mais nen a cure, quand elle sent le vit gonfler encore et les jets percuter sa matrice, elle jouit encore plus, elle est si heureuse, sa jouissance si complète, quelle souhaite même, quil lui fasse un enfant.

Marie est entre les jambes de sa sur, la langue lèche le jus qui sort de sa vulve, la cyprine et le mélange de sperme ont pour elle un goût divin, encore plus quand George vient la prendre en levrette, pistonne son con un moment et appuie le gland sur sa rondelle, force le passage et senfonce dans son ventre, déclenche des ondes de plaisir le long de son dos, chaque coup de pieu est un bonheur, Colette jouit et Marie explose, la langue encore dans la vulve offerte.

Les trois amants sendorment, lun contre lautre, George reprendra Colette deux fois dans la nuit, Marie ne sest pas réveillée de la nuit.

Elle sempale au réveil, sur le pieu que suçait Colette, la jeune femme la bouche sur celle de sa sur, les mains malaxent les seins et caressent les bouts, branlent les clitoris ou caressent les bourses.

Il faut se lever, ils auraient bien continué tous les trois mais il est temps, il ne faut pas que les autres se doutent de quoi que ce soit.

Dans la journée, Colette dit à son père son désir de rester ici, dêtre son amante et de laider au domaine, il accepte bien volontiers, il y a si longtemps quil vit seul, avoir ses deux filles avec lui est un bonheur et les retrouver dans son lit la nuit encore plus, il y avait souvent rêvé quand elles étaient jeunes filles, cest devenu une réalité.

Marie et Colette se partage le travail au domaine, elles aident George et partage son lit, que ce soit seule ou à deux, George a toujours une femme dans son lit, les nuits sont longue mais il a de la réserve.

Magali est repartit en ville, Cerise à la fac et Sylvie au lycée, elle loge maintenant avec Cerise dans le même appartement en ville, Magali est venue aussi habiter avec elles, léconomie de loyer et la proximité de son travail son un bonheur.

George est en ville et passe à lappartement, il est midi, il trouve Magali seule, les deux jeunes filles mangent en ville.

Magali invite son père à déjeuner, ils parlent de la propriété.

— Tu dois être heureux davoir tes deux grandes filles avec toi?

— Du pur bonheur, cest une aide inespérée!

— Papa! Je viens de perdre mon travail, économie de poste, on est trois caissières licenciées, tu naurais pas une place pour moi?

George réfléchit un moment, au domaine la journée quand il est avec Marie et Colette, ils vivent comme ils veulent, cest souvent quil sembrasse ou même font lamour dans la journée, laprès midi il va faire la sieste avec lune ou lautre, et le soir ils dorment souvent dans le même lit.

La bonne ne vient plus, depuis que les filles font le ménage et la cuisine, ils sont libres, cest souvent quune ou lautre des filles déambule nue dans la maison, pour le plaisir de George.

Si Magali vient au domaine, fini la liberté et va savoir même, si elle comprend leurs rapports si elle ne fera pas dennuis, Il ne sait que répondre.

— Oublis ça, je vois bien que cela tennui, je suis idiote, je ne te parle plus des années et dun coup je voudrais que tu maccueille chez toi, déjà tu as été exemplaire avec mes surs, je pense que trois ce sera beaucoup!

— Ce nest pas ça ma chérie, jaccepte volontiers ton offre et je suis heureux si tu viens habiter avec nous mais je dois te dire quelques chose, un secret que je te demande de garder, si malgré cela tu accepte de venir, jen suis heureux, je dois te le dire car de toutes façons tu ten rendras vite compte.

Voilà, je ne sais trop comment te le dire, vois tu cest délicat mais il faut que tu sache, quand Colette est arrivée, jétais déjà lamant de Marie, depuis elle est aussi ma maîtresse et nous vivons tous les trois ensembles, comme mari et femmes!

Magali regarde son père un long moment, va se servir une tasse de café, revient à la table.

— Je suis célibataire, tu penses quune célibataire parmi vous est acceptable?

— Je nai obligé tes surs en rien, comme tu sembles le penser, cest elles qui se sont offertes, jai accepté mais nai rien provoqué ni exigé!

— Tu fais comment? A tour de rôle! Elles ont chacune un jour?

— Je naurais jamais du te dire cela mais si tu étais venue sans savoir, tu aurais pu mal réagir, comme tu réagis mal en ce moment!

— Je ne réagis pas mal, je suis surprise voilà tout, tu as 56 ans et couche avec des femmes de 36 et 34 ans, une de 30 en plus ce serait un peu trop non?

— Je ne te demande rien, si tu veux venir vivre avec nous, tu es libre de venir ou pas, tu sais que je couche avec tes surs voilà, fais comme bon te semble.

— Il me semblait bon de venir, quand je ne savais pas ça, javais des projets qui se sont évaporés, excuse moi mais cest dur à avaler!

— Tu veux dire quoi en fait?

— Que je pensais être la seule à vouloir dormir dans ton lit papa et pas que je devrais te partager, jétais heureuse aujourdhui quand je tai vu, je voulais moffrir, mes surs sont plus rapides que moi, je suis célibataire moi, je nai pas denfant, elles ont tout et moi rien!

Magali pleure, George ne sait pas quoi faire, doit il la prendre dans ses bras et la consoler. Lembrasser, lemmener dans la chambre et lui faire lamour, il ne sait plus, quarrive-t-il à ses trois filles, elles le laissent sans nouvelles, pendant plus de dix ans et quand elles le retrouvent se jettent dans son lit.

La suite bientôt

Barbebleue.

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