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CHARLINE (ou comment je suis devenue la chienne de mon beau-père) – Chapitre 7

La face cachée du lycée - Chapitre 3



Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination FANTASMATIQUE. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 8 : Où je reçois une visite inattendue.

Comme la fois précédente, mes fesses ont repris leur couleur normale au bout de 2 heures, mais la douleur de mon anus a mis moins de temps pour disparaître. Cela ne m’a posé un réel problème que pour faire la grosse commission et Julien ne s’intéressait pas à trou là, donc ça n’allait pas trop mal. Bien que je ne sois plus obligée de porter ma tenue de soumise en permanence, j’ai quand même pris l’habitude de porter les mules quand je restais cul-nu à la maison. Le surlendemain du marché que j’avais passé avec Monsieur, j’ai reçu un SMS de lui disant : « Prépare-toi, j’arrive ! ». Bien que je sache que je disposais d’une demi-heure pour le faire, je suis quand même allée rapidement m’habiller et me coiffer, car j’étais impatiente de le revoir, à la fois inquiète et curieuse de savoir comment il allait me tourmenter. Je l’ai attendu en écoutant un CD de Michel Sardou, quand j’ai entendu le bruit de la serrure j’étais au salon et je me suis mise immédiatement en position d’attente. Quand il est entré dans la pièce il portait un sac à la main, il m’a regardée et il m’a dit : « J’ai apporté des accessoires pour compléter te tenue de soumise, j’espère qu’ils te plairont ! ».

J’ai rougi, mais je suis restée silencieuse. Il a sorti de son sac un collier pour chien en cuir rouge, de 3 centimètres de largeur, avec une petite plaque ovale en métal poli sur laquelle était gravé « Charline » et 4 bracelets assortis, 2 pour mes poignets et 2 pour mes chevilles. Il me les a attachés et il m’a dit : « Voilà, comme ça tu ressembles un peu plus à ce que tu es réellement ! ». J’ai rougi de plus belle, mais je me suis bien gardée de lui répondre. Il m’a ensuite demandé d’aller lui chercher une bière et il a mis un CD de ZZ Top avant de s’installer dans son fauteuil habituel, pour la première fois habillé. J’ai trouvé cela étrange, car il semblait attendre quelque chose, mais je ne savais pas quoi. Je me suis remise en position d’attente pendant qu’il sirotait sa boisson, et la réponse à mes interrogations ne s’est pas faite attendre très longtemps, puisqu’il n’avait bu que la moitié de son verre quand la sonnette de la porte d’entrée a retenti. J’ai sursauté. Il a soulevé son sourcil droit et il m’a dit d’une manière ironique : « Tu ne vas pas voir qui c’est ? ».

Là j’étais coincée, car je ne pouvais pas aller ouvrir la porte dans ma tenue de soumise.

Je me suis quand même décidée à aller voir qui sonnait à cette heure improbable, car bien que je ne reçoive jamais de visite c’était peut-être important. Je me suis dirigée sans faire de bruit vers l’entrée, et Monsieur a posé sa bière et m’a suivie. Quand j’ai regardé dans l’illeton du judas je suis devenue livide : cétait Sainte Virginie ! Je me suis figée, car elle n’était jamais venue à l’appartement. Un deuxième coup de sonnette m’a fait sortir de mon hébétement, je me suis retournée vers Monsieur et j’ai chuchoté : « C’est la mère de Julien ». Il a eu un sourire ironique et il a répondu aussi doucement : « Quelle que soit la tenue dans laquelle tu ouvres, tu ne peux pas la laisser sur le palier ». Il y a eu un déclic dans ma tête : elle était sa complice ! Le fait que Julien ait été invité chez elle juste le jour où je devais me rendre chez l’esthéticienne, et le fait qu’elle débarque pour la première fois à l’appartement alors que Monsieur était là et que j’étais en tenue de soumise, ce n’était pas un hasard.

J’ai pris mon courage à 2 mains, j’ai défié Monsieur du regard et j’ai ouvert la porte. Je l’ai tenue pour que Sainte Virginie puisse entrer, et j’ai baissé les yeux pour avoir ce que je pensais être une attitude de bonne soumise. Elle est passée devant moi sans me regarder, et quand je l’ai observée du coin de l’il j’ai remarqué 3 choses. La première était qu’elle portait un imperméable alors qu’il faisait beau dehors. La deuxième était que ses cheveux, habituellement noués en chignon étaient attachés avec un catogan et lui arrivaient presque à la taille. La troisième était qu’au lieu d’être chaussée de ses habituelles chaussures à talons larges elle portait des escarpins à talons aiguilles au moins aussi hauts que les miens. J’ai ensuite fermé la porte, de peur qu’un voisin ne me voie dans une tenue très inappropriée pour recevoir mes beaux-parents, et je me suis remise en position d’attente face à eux.

Virginie a fait la bise à Monsieur, et elle lui a dit en faisant comme si je n’étais pas là, alors que bien que l’appartement ne m’appartienne pas j’étais quand même chez moi : « Donc c’était vrai ! Tu as fait de la gamine dont ton fils s’est entiché ta nouvelle femelle ! ». Il a répondu : « Dès que je l’ai vue je l’ai voulue. Elle est parfaite pour devenir une bonne soumise » « Cela m’arrange en ce qui concerne mes projets au sujet de Julien, mais tu sembles oublier que tu es encore marié à ta pute américaine ». Cela m’agaçait qu’ils parlent de moi comme si je n’étais pas là, mais j’avais envie d’entendre la suite, aussi je n’ai rien dit. Monsieur a continué : « Elle restera avec Julien jusqu’à ce que cette histoire soit réglée, et ensuite elle viendra vivre avec moi ». Là j’étais scotchée, car de toute évidence Monsieur avait déjà fait des projets me concernant, et ce sans me consulter. Mais comme j’avais pris de l’assurance depuis que notre relation avait commencé je me sentais à présent assez forte pour refuser tout ce qui ne me conviendrait pas.

Je suis donc restée muette en attendant la suite de cette conversation. La mère de mon Petit Mari a continué : « Il faudra que nous en discutions, mais cela pourrait être un bon arrangement. Comment est-ce que je dois l’appeler ? » « Je lui donne des noms d’oiseaux selon l’humeur du moment.

Sainte Virginie s’est ensuite tournée vers moi comme si elle venait de s’apercevoir de ma présence, et elle m’a dit : « Enlève-moi mon imperméable, salope ! ». J’ai obéi et j’ai compris pourquoi elle portait un tel vêtement. Dessous elle avait juste un soutien-gorge ¼ en dentelle rouge qui mettait sa poitrine en valeur, des bas probablement en soie, et un porte-jarretelles assorti à son haut. Ses tétons étaient percés de 2 anneaux en or, avec au milieu des pierres assorties à ses yeux, sa chatte était entièrement épilée et je voyais en haut de sa vulve un autre piercing. Elle avait un papillon tatoué sur l’épaule droite, un magnifique « craqueur » les ailes déployées, de couleur grise avec de superbes dégradés. On voyait nettement écrit « ollo » sur son thorax, ce qui voulait sans aucun doute signifier : Lolo. Sainte Virginie avait un bronzage intégral, et j’ai pensé qu’elle devait prendre des bains de soleil nue au bord de sa belle piscine. Elle n’était pas maquillée, et malgré de légères rides faisait dix ans de moins que dans sa tenue stricte de bourgeoise qu’elle portait habituellement.

Devant mon air étonné, elle a souri, et elle m’a dit : « Tu ne t’attendais pas à ça petite pute ? Tu n’es pas au bout de tes surprises ! ». Je suis restée muette et j’ai accroché son imperméable au portemanteau de l’entrée, avant de reprendre ma position d’attente. Ensuite elle a ajouté : « Elle a l’air docile. Elle a déjà bouffé de la chatte ? » « Juste une fois, celle de Louise » « L’offrir à cette lesbienne de Louise, c’est du gâchis ! (Là ma belle-mère est remontée d’un cran dans mon estime). Allons au salon pour voir si elle est douée ! ».

Elle est partie sans me regarder et Monsieur m’a lancé un regard interrogateur, mais malgré ma rougeur provoquée par mes émotions j’ai réussi à garder un visage impassible, j’ai suivi la mère de Julien et son père nous a emboîté le pas. Une fois sur place elle m’a regardé et elle m’a dit : « Bien entendu tu continueras à m’appeler Madame ! Est-ce clair ?! » « Oui Madame ». Elle s’est ensuite assise dans le deuxième fauteuil et a posé ses cuisses sur les accoudoirs, de manière à bien présenter sa chatte sans poils et son anus. Après avoir monté le volume de la musique, Monsieur m’a dit : « Déshabille-moi petite chienne ! ». J’ai obéi, et il s’est assis sur son siège habituel pour finir sa bière. Avant que j’aie pu reprendre ma position de soumise, Madame m’a ordonné : « Viens me lécher petite conne ! ». Je me suis mise accroupie devant elle, et j’ai remarqué que son piercing était un anneau ovale en or, traversant directement son clitoris. J’ai donné un coup de langue sur sa moule, son goût était différent de celui de Louise, moins acide et ressemblait un peu au saumon fumé.

J’ai ensuite léché ses grandes lèvres en alternant la gauche et la droite. Elle m’a dit : « Regarde-moi salope ! Je veux voir tes yeux de chatte en chaleurs ! ». J’ai obéi et constaté que Madame me fixait d’un air hautain. Je me suis dit qu’il fallait que je lui fasse perdre son air supérieur, et que le meilleur moyen pour y arriver était de la faire jouir.

J’ai donc continué à donner des coups de langue, et j’ai enfoncé un doigt dans son anus. Elle n’a pas eu de réaction alors j’ai commencé à faire des va-et-viens. Quand j’ai senti ses grandes lèvres commencer à mouiller et s’ouvrir, je me suis intéressée à leurs petites surs. Virginie a commencé à soupirer. Ses nymphes se sont ouvertes à leur tour, et elle s’est mis à mouiller plus abondamment. Quand j’ai posé ma langue sur son clitoris percé elle a poussé un petit gémissement. Son bouton rose était aussi long que le mien, j’ai pris le risque de tirer sur son anneau avec mes dents, et elle a poussé un petit cri de douleur, mais n’a émis aucune protestation. En comprenant qu’elle avait certainement été la soumise de Monsieur quand ils étaient mariés, j’ai décidé de profiter de la situation et je me suis occupée de son clitoris, en le cajolant avec ma langue et en tirant sur l’anneau pour lui faire mal, tout en continuant de lui branler l’anus. Ce traitement a semblé lui convenir, car si ses petits cris étaient constants ses gémissements étaient de plus en plus aigus.

Elle a fini par jouir en disant « Oh Ouiii », j’ai léché sa mouille pour nettoyer sa moule et je me suis redressée. Elle était alanguie et avait les yeux fermés, quand elle les a rouverts elle n’avait plus son air supérieur, mais elle m’a regardée avec tendresse. J’avais atteint mon but. Monsieur était toujours assis dans son fauteuil et se masturbait lentement. Ne sachant pas trop quelle attitude adopter j’ai repris ma position de soumise. Il m’a alors dit : « Tu viens de lécher une femme sans me demander la permission. Tu mérites d’être punie ! ». J’ai répondu en rougissant : « Oui Monsieur ». Et j’ai commencé à débarrasser la table basse en me disant qu’il serait plus pratique de ne rien mettre dessus à l’avenir.

Je me suis mise en position et il s’est levé lentement. J’avais un peu honte de devoir être punie devant Sainte Virginie, mais comme je venais de lui lécher la moule nous n’étions plus des étrangères. Il a commencé à me mettre des claques et j’ai compté bravement jusqu’à 20. Quand il a commencé à me caresser la chatte en me branlant l’anus j’ai eu peur, car ce dernier était encore légèrement sensible de ma sodomie 2 jours plus tôt, mais ses 2 doigts sont entrés plus facilement que les fois précédentes et je mouillais déjà, car j’étais excitée. Du coin de l’il j’ai regardé Sainte Virginie, elle était toujours dans la même position et se caressait la moule. Quand Monsieur a repris la fessée je me suis mise à sangloter, et j’ai compté jusqu’à 40. Il m’a caressée à nouveau, sans oublier de me doigter le trou du cul. Les claques ont repris, cette fois dans un ordre et un rythme aléatoires, et j’ai compté jusqu’à 60 en pleurant doucement. Quand il a arrêté et posé une main sur ma hanche gauche, avant de poser son gland contre mon anus, j’ai fermé les yeux et j’ai attendu avec appréhension la sensation de déchirement que j’avais ressentie les fois précédentes, voir même pire vu que mon anus ne s’en était pas encore remis.

Contre toute attente j’ai eu mal, mais moins que je m’y attendais. Ma rondelle se souvenait de la douleur, mais aussi du plaisir, et elle s’était dilatée pour accueillir la bite de Monsieur. Quand sa queue a été enfoncée dans mon cul jusqu’à la garde, et que j’ai senti ses couilles contre ma chatte, j’ai voulu commencer à bouger de moi-même, mais il me tenait fermement, et sentant que mon anus était ouvert il s’est mis à faire de rapides vas et-viens en me sodomisant sans ménagement. Pour ne pas être en reste je me suis mise à l’encourager : « Plus fort Monsieur ! » « Défoncez votre petite salope » « Enculez votre petite chienne qui adore ça ! ». Cela a eu pour effet de l’exciter d’avantage, car il s’est mis à me pilonner l’anus tandis qu’on entendait Rough Boy sortir des enceintes de la chaîne. Moi j’étais prise entre douleur et plaisir, et j’ai senti monter un orgasme encore plus violent que ceux que j’avais ressentis les fois d’avant. Quand j’ai joui il n’a pas éjaculé dans mon cul, mais est venu présenter sa queue devant mon visage, j’ai ouvert la bouche et il a enfoncé son pieu directement dans ma gorge.

Il a baisé ma bouche en faisant de rapides allés-et-retours, me laissant respirer de temps en temps, pour finir par gicler sa semence directement dans mon gosier. Je suis restée quelques instants immobile, avec sa queue plongée en moi et ses poils me chatouillant le nez, et quand il l’a retirée je me suis mise à la lécher pour la nettoyer.

À suivre

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