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Choc culturel…et gynécologique ! – Chapitre 2

Choc culturel...et gynécologique ! - Chapitre 2



— Alors Thomas, quoi de nouveau depuis la semaine dernière ? Quels sont tes rapports avec ta mère ?

— Je peux tout vous dire ?

— Mais oui, je suis là pour ça… rien de ce que tu pourras me dire ne pourra m’horrifier… j’ai l’habitude.

— Eh bien ma mère est allée voir un gynéco, et comme j’avais envie qu’on s’amuse un peu, je lui ai dit d’en choisir un nouveau. Ma mère avait parié qu’elle le ferait tourner en bourrique, qu’elle "l’obligerait" à la baiser, et que ce serait très hard !

Françoise Durand crispa ses mains sur son bureau. Françoise, thérapeute sexologue de son état, recevait l’un de ses patients le plus… comment dire… incongru ? Bizarre, hors limite ? Il s’agissait de Thomas, jeune homme de 19 ans qu’elle suivait, en parallèle avec sa mère, femme riche et très bourgeoise, depuis deux mois.

Sur ce coup-là, Françoise commençait vivement à regretter d’avoir pris la clientèle de ces deux-là… elle sentait que son calme allait lui échapper et pourquoi pas… même sa santé mentale !

La dépravation de ce jeune homme et de sa mère était totale. Se servir d’un pauvre gynécologue pour "jouer " un jeu pervers avec lui ! Mon Dieu ! Et dire que c’était elle-même qui avait incité sa patiente et son fils à aller au bout de leurs désirs. Elle avait l’impression d’avoir créé un "Léviathan" !

— Et pourrais-tu m’expliquer ce qui sest passé alors ? (Françoise gardait son calme)

— Eh bien ma mère a fait carrément un strip devant moi et le médecin, putain la tête du mec ! Il en bavait le pauvre ! Et moi je bandais comme un taureau… voir ma mère se foutre à poil, en porte-jarretelles, la chatte à l’air devant ce type… trop excitant.

— Bon et ensuite ?

— Alors elle a fait l’examen, à moitié à poil, en gardant ses bottines, ses bas… et moi je suis venu lui porter son portable. Je l’ai vu sur les étriers, les cuisses bien écartées, en bas, sa chatte était déjà brillante de mouille et sa fente entrouverte… elle était déjà super excitée la cochonne.

— Et le gynéco ne t’a pas foutu dehors ? (Françoise commençait visiblement à s’énerver du comportement monstrueux du jeune homme.)

— Ben non, il était comme tétanisé. Alors moi je suis reparti et ma mère lui a passé un court extrait d’une vidéo où je l’avais placée empalée sur un gode monstrueux, les bras attachés au plafond. Elle m’a raconté que le type était complètement désorienté… il agissait comme un robot ! Mais le meilleur c’était hier matin… oh putain, oh putain ! (Le jeune homme avait les yeux brillants, en proie à une excitation malsaine).

— Thomas, s’il te plaît, pas de grossièretés, c’est déjà assez dur pour moi !

— Heu, excusez-moi Madame ! Alors ma mère avait demandé à revenir, prétextant un problème d’allergie avec la crème qu’il lui avait donnée. Et moi je l’accompagnais toujours. Le type avait une mine sombre, déterminée. Il avait aussi des cernes sous les yeux… à mon avis il a dû passer une très mauvaise nuit. Il a pas dû baiser sa gonzesse ce soir-là !

— Thomas ! Comment peux-tu parler de cette façon… c’est ignoble !

— Pardon Madame. Bon alors ce coup-ci ma mère est allée se déshabiller dans le local prévu à cet effet, à l’arrière du bureau. Le mec était presque déçu ! Je suis sûr qu’il devait bander à l’idée que ma mère se refoute à poil devant nous deux ! Ah ah ! Pas de chance ! Moi je me marrais en douce. Je me disais: "T’inquiète mec, tu vas la tringler ma maman !"

— Bon ! Et alors tu es resté sur ton siège, cette fois-ci ?

— Ben non. J’ai attendu un peu que ça devienne "chaud" là-dedans, et je me suis pointé cinq minutes après pour mater et filmer !

— Filmer ? Mais… mais c’est… monstrueux ! Comment peux-tu faire de telles horreurs ?

— Ben Madame, je comprends pas, vous aviez dit d’aller au bout de nos fantasmes, que du moment qu’on faisait de mal à personne… (Le jeune homme était d’une candeur désarmante, Françoise commençait à se demander s’il n’avait pas un problème neurologique qu’elle n’avait pas détecté… ou bien s’il se foutait carrément de sa gueule ?)

— Oui, mais tu te rends compte, tu n’as pas le droit de filmer un gynéco exerçant son métier ! Avec ta mère, les jambes grandes ouvertes… et sans son accord en plus ! Tu es révoltant d’iniquité !

— Ah ben, je crois pas qu’il le faisait dans les règles de l’art… enfin si vous voulez donner votre avis, je l’ai sur mon smartphone !

— NON ! Heu, je veux dire… non cela ne m’intéresse pas ! C’est ta vie intime avec ta mère ! Je n’ai rien à en dire ! Mais explique-moi ce que tu as vu, ce sera bien suffisant ! (Françoise ne savait plus comment réagir. Engueuler ce petit malotru, le remettre à sa place, lui expliquer que tout ce qu’il faisait avec sa mère était très moche… ou rester neutre et continuer à écouter ces horreurs ? )

— Bon alors, on a lui a pas fait de mal au bonhomme… mais putain… heu pardon, qu’est-ce qu’il lui a mis à ma mère ! Vicieux le bonhomme ! Quand je suis arrivé, il avait une cravache à la main et il caressait les seins de ma mère avec ; et il lui passait la cravache entre les cuisses ! Purée, vous auriez vu comme il la limait avec ! Ma mère commençait à perdre le nord ; elle gémissait comme jamais, cette salope. Et pourtant je lui en ai déjà fait des trucs hard !

Ah, et tout ce qu’il lui disait !

— Quoi ? (Françoise était de plus en plus horrifiée par le récit du jeune homme, mais elle voulait tout savoir. Bien malgré elle, elle sentait son ventre s’animer, son sexe" chauffer" et une humidité s’immiscer dans sa culotte)

— Salope ! Sale pute ! Tu aimes que je la passe dans ta chatte la cravache, hein "sharmuta" ? Je vais te corriger moi ! Tu m’as provoqué, tu voulais que je te domine et que je te baise ! Tu vas pas être déçue ! Et lui mettait des coups de cravache sur le pubis et les seins.

— Et ta mère se laissait faire ? (Françoise, bien malgré elle fascinée par le récit incongru du jeune homme, en oubliait la grossièreté employée par celui-ci !)

— Oh elle est habituée, elle adore ça !

Mon Dieu ! Pensait tout bas la thérapeute ! Mais c’est quoi cette mère et son fils ? Heureusement que mon mari n’a pas de tels monstres comme patients. Pour une fois, je le remercie d’avoir installé son cabinet dans les quartiers populaires, loin des zones urbaines riches et dépravées !

— Bon et alors il l’a bais… heu je veux dire, il lui a imposé un rapport sexuel ?

— Ho, pas imposé !

Ma mère le supplia de la prendre par tous les trous. Ah un moment elle s’est relevée, et elle a toisé le mec, nez contre nez, yeux dans les yeux. D’un ton doucereux elle lui a dit:

— Alors petit docteur, tu as pas l’audace de prendre une belle femme comme moi ? Serais-tu impuissant pour te servir de ta cravache comme d’un pénis ?

Et elle lui posa la main sur la braguette. Le type a semblé recevoir une décharge électrique et il a sauté en arrière ! Alors il lui a dit : " mais tu es le diable !" En minaudant, ma mère lui a soufflé " si tu le dis !" Alors il a éclaté de rage, il a giflé ma mère, celle-ci le défiait toujours du regard et il l’a prise par la nuque, et l’a obligé à se mettre à genoux. Ma mère, sans qu’il ait le temps de lui dire quoi que ce soit, avait déjà déboutonné sa braguette, et sortit sa bite. Elle lui a fait une fellation du tonnerre ; le type a giclé en moins d’une minute il était vidé et vaincu ! Je le voyais à son air.

Alors il s’est repris, et a ordonné à ma mère de se placer dans le coin de la salle, accroupie, les cuisses bien écartées, le sexe grand ouvert et les mains sur la tête ; ma mère a obéi et elle le regardait d’un air narquois.

Alors il a cravaché ma mère sur son sexe, sa fente, son clito. Ma mère criait et gémissait à la fois. Quand il s’arrêtait pour se reposer le poignet… pas un grand sportif à mon avis, ma mère lui en réclamait encore ! Le type restait les bras ballants, il savait plus quoi faire !

Alors ma mère s’est posée au bord de la table d’examen. Elle a relevé les jambes à l’équerre, exposant son abricot tout juteux, et elle a appelé le type. Il s’est jeté sur elle et l’a baisé… très mal… il a explosé au bout de deux minutes !

Alors ma mère a relevé le buste et s’est penchée à son oreille, et lui a dit :

— Je sais ce que tu veux… tu voudrais me voir baiser avec mon fils et nous rejoindre ensuite ? Et ce serait encore mieux avec ta femme Françoise…

Alors le type s’est crispé et il a une expression d’épouvante. Il s’est retiré de ma mère, a traversé la salle d’examen en courant, la main sur la bouche, est passé près de moi sans me voir, pour aller dans les toilettes. Je l’ai suivi et là, j’ai entendu qu’il rendait "tripes et boyaux". Je navais jamais entendu un mec gerber comme ça !

Groggy par le récit hallucinant de son jeune patient, Françoise rentrait chez elle, heureuse de retrouver le petit cocon de normalité de son foyer, avec son amour de mari… au moins chez eux, tout était normal !

Pourtant ce soir-là, après que son mari lui ait une fois de plus refusé de lui faire l’amour, deux soirs consécutifs, cela ne lui ressemblait pas… elle avait comme une sensation de malaise. Quelque chose d’indéfinissable la titillait ; comme si elle avait raté un moment clé dans le récit du jeune homme dévoyé.

Un petit quelque chose de subliminal, qui fit qu’elle mit très longtemps à s’endormir. D’un sommeil peuplé de cauchemars pornos.

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