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Christine III : Les brûlures de l'aube – Chapitre 2

Christine III : Les brûlures de l'aube - Chapitre 2



Quand je reviens de la salle de bains, Christine n’a pas bougé. Je m’allonge à côté d’elle et l’embrasse. Longuement, profondément. Christine dit :

— Après la soirée chez moi à la fin de l’année scolaire, celle du premier porte-jarretelles, j’avais pris une décision. J’étais vierge, j’avais été à deux doigts d’être sodomisée et franchement, j’ai longtemps regretté de ne pas l’avoir fait. Je ne savais pas si je te reverrai mais j’avais décidé que tu serais le premier et pour cela, j’avais décidé d’attendre dix ans.

— Quoi ?!

— Je voulais que tu sois le premier à me sodomiser et j’avais décidé de le refuser aux autres durant dix ans. En réalité, je n’ai attendu que cinq ans et je n’ai refusé que Laurent.

Nous nous embrassons à nouveau et je dégrafe sa guêpière. Christine retire ses bas. Nous sommes nus, enlacés, c’est sublime.

Il est près de 21h, nous n’avons pas mangé et nous n’avons pas vraiment envie de sortir. Nous décidons de commander une pizza. En attendant, à la cuisine, pari avec Christine : elle lance le dé; si le chiffre est pair, elle devra aller ouvrir en soutien-gorge et string; s’il est impair, elle choisira sa tenue. Quatre. Christine rougit, rit, dit qu’elle ne pourra pas. Je l’embrasse, lui dis qu’elle est belle. Elle :

— Je vais devoir me tourner pour poser les pizzas, prendre le porte-monnaie.

— Tu as des fesses magnifiques.

— Non, j’ai un gros cul.

— Arrête. Il est musclé, rond et ferme. Tu as un très beau cul.

Sonnerie. Le livreur. Christine retire son peignoir, mets ses talons, souffle pour se donner du courage et va ouvrir. Le livreur est une livreuse. Grand sourire quand elle aperçoit Christine. Échange pizzas-argent. Elle encaisse et va s’en aller quand j’entends :

— Vous êtes très belle, je suis jalouse.

Christine referme la porte et se tourne, rouge comme une pivoine. J’éclate de rire. Je dis à Christine que je n’ai pas envie qu’elle remette son peignoir et j’enlève le mien. Nous mangeons en papotant.

Nous rangeons rapidement et poursuivons la soirée dans le canapé, entre échanges, câlins, baisers et rires. Plus tard, Christine me suce, longuement. Puis nous allons dans la chambre et faisons l’amour tendrement. La nuit est calme, douce et agréable. Christine ne quitte pas mes bras.

Samedi matin, je suis réveillé par une sensation de succion sur mon sexe : la fellation de Christine est le plus doux des réveils. Remarquant mon éveil, elle vient à califourchon sur moi et s’empale sur ma verge. Tandis qu’elle va-et-vient sur mon chibre, elle dit :

— Le réveil de Monsieur est-il agréable ?

— Il est parfait, ma chère.

— Cette petite gâterie matinale vous a-t-elle plu ?

— Votre bouche est divinement douce et habile.

— Y a-t-il quelques chose qui vous ferait plaisir ce matin ?

Je réfléchis, j’ai envie de la surprendre.

— J’ai envie de jouir, là, sur ce charmant petit nez et ces joues constellés de tâches de rousseurs, sur ce doux visage.

Christine sourit.

— Monsieur est coquin ce matin.

Accentuant ses mouvements de rein, Christine jouit avant de se retirer. Elle m’attire hors du lit et s’agenouille devant moi. Elle me masturbe quelques instants puis je prends le relai. J’explose et gicle au dessus de son il gauche jusqu’à sa bouche puis sur son nez et à nouveau sur sa bouche. Les dernières gouttes tombent sur sa poitrine. Christine prend mon sexe dans sa bouche quelques secondes avant de se redresser et d’aller se doucher.

Nous décidons d’aller prendre une café en ville et de nous y balader. Christine sort deux sextoys de sa valise et les pose sur le lit en riant. Elle me demande d’agrafer la guêpière rouge qu’elle passe avec des bas résilles noirs. Par dessus, une élégante robe-chemisier bleue marine aux manches trois-quarts. Je lui dis qu’elle est sublime, elle rougit et dit qu’elle a acheté la robe pour l’occasion. Elle ne pouvait pas mieux tomber. Elle se maquille et met des talons pendant que je m’habille aussi. Elle me complimente à son tour. Derrière la porte d’entrée, elle s’agenouille et me suce. Je jouis dans sa bouche.

Je lui roule un patin immense et lui fais remarquer que ça doit être seulement la seconde fois qu’elle me le fait. Elle rit :

— Sur le rocher, tu n’as rien remarqué mais c’était la première fois que je le faisais.

— Mais non ?!?

— C’est la stricte vérité.

— Jamais fait avant ?

— Non. Après oui. J’aime bien donner du plaisir ainsi. Hector aimait beaucoup.

— Et ce David ?

— David ? Il aime bien aussi, oui !

Elle rit et parle de lui :

— Il est une sorte de bouée de sauvetage. C’est un homme doux, généreux, attentif. Je l’appelle quand je ne vais pas bien, on passe du temps ensemble, on couche ensemble, c’est un amant très agréable et aussi bien monté que toi !

Elle rit et poursuit :

— Mais nous sommes trop différents pour engager une relation. C’est assez fou, mais nous n’avons pratiquement aucune passion ou aucun goût en commun. Cependant, nos caractères sont complémentaires et en cela, nous passons de bons moments ensemble.

— Il est célibataire ?

— Oui. Il a des copines mais il est souvent déçu. Je crois qu’il attend le grand amour et il ne vient pas.

Je la taquine :

— Comme toi ?

— Non, pas comme moi. Moi, j’ai trouvé le grand amour, mais il me fuit.

Nous quittons l’appartement, prenons la voiture et nous garons dans un parking du centre-ville avant de nous engouffrer dans le premier café venu. Christine me dit qu’elle aimerait bien se trouver une nouvelle tenue pour sa soirée.

Dans un grand magasin, elle en essaye plusieurs : robes, jupes, short Mais elle ne flashe sur rien. Je lui apporte une robe tube blanche stretch et je rentre dans la cabine.

— Je veux que tu essayes cette robe.

Elle la prend, la regarde et fait "non" de la tête en souriant.

— Tu es fou

Elle la passe. Pas top avec la guêpière, mais incroyablement sexy. Elle se tourne. Quel cul fabuleux. Je lui dis qu’elle m’excite prodigieusement. Je l’embrasse passionnément. Je retire la robe et commence à la doigter. Elle murmure :

— Pas là

Je ne l’écoute pas et m’agenouille devant elle pour lécher son petit bouton. Petit à petit, Christine ouvre la jambe et pose le pied sur la chaise. Sa petite chatte pue la mouille et ça me surexcite. Je lui bouffe littéralement le minou et elle jouit en étouffant un cri. Il lui faut quelques secondes pour revenir à elle. Je me redresse, elle m’attire à elle, s’assied sur la chaise, ouvre mon pantalon et sort mon sexe pour le sucer. C’est intense et rapide, elle me suce tout en me branlant vivement et avale mon sperme une nouvelle fois. Elle me glisse :

— J’ai faim, on va manger ?

Nous éclatons de rire. Elle se rhabille sans rien avoir acheté et nous allons manger dans un petit restaurant. Nous prenons notre temps, nous sommes agréablement bien. Un peu après 14h, nous sortons de l’établissement. Je lui demande ce qu’elle a envie de faire. Son regard vaut toutes les réponses. Nous allons prendre la voiture et partons.

Sur le chemin, Christine déboutonne sa robe et commence à se caresser doucement.

— J’ai très envie de faire l’amour

Elle se penche sur moi, ouvre mon pantalon et me suce lentement jusqu’à notre entrée dans le village. Elle se redresse alors et se reboutonne.

Dans la chambre, l’ébat est d’une intensité extraordinaire. Nous nous abandonnons l’un à l’autre. Christine use sa bouche puis m’invite dans son vagin avant de me proposer son petit trou. Une sodomie en levrette, folle et féérique, bouquet final magistral.

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