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Christine VI : Midlife Crisis – Chapitre 16

Christine VI : Midlife Crisis - Chapitre 16



Le lendemain de mon anniversaire, en rentrant à la maison, je constate qu’il y a eu du passage dans la chambre durant la pause de midi. Ma femme est a nouveau venue avec l’assistant financier. Heureusement que j’ai une forte capacité d’enregistrement, car ils en se sont pas contentés de la pause : ils ont passé tout l’après-midi au lit. Je pense tout d’abord le jeune homme vraiment infatigable puis qu’il honore mon épouse à cinq reprises. Or, je le surprends à prendre un cachet à trois reprises durant l’après-midi. Mais tout de même. Ma femme, elle, est aux anges et se fait prendre dans toutes les positions. Entre deux ébats, certaines conversations titillent mon excitation.

— C’est dommage que tu n’aies pas voulu d’Yvan.

— Je ne voulais pas le faire avec deux hommes, je te l’ai dit.

— Yvan aurait bien voulu et moi aussi.

— Je sais. J’ai pris beaucoup de plaisir avec lui aussi. Mais pas vous deux ensemble.

 Entre deux autres rapports :

— On est venu combien de fois ici ?

— Quatre fois.

Encore :

— Est-ce que Siegfried t’a appelée ? Je lui ai donné ton numéro la semaine dernière.

— Oui, mais je n’ai pas pu répondre. Dis-lui de me rappeler pendant les heures de travail.

Enfin :

— Tu sais si ton mari a des aventures ?

— Vu ses horaires depuis notre séparation, j’en suis persuadée, oui. Après, y a-t-il une femme, deux ou plus, je n’en sais rien.

Je me sens bien. Voir mon épouse prendre du plaisir me fait un bien fou. Il me semble la redécouvrir sous un jour nouveau, différent. Je me tiens de l’autre côté du miroir, j’observe ses réactions, je mémorise son plaisir, je scrute ses désirs. J’ai l’impression de voir une femme qui n’est pas la mienne et que je convoiterais.

La semaine suivante, je constate une nouveau passage par la chambre et je découvre le fameux Siegfried, dont le prénom allemand a tout pour induire en erreur. Car Siegfried est une armoire à glace à la peau d’ébène, mesurant certainement plus de 2m, à la musculature impressionnante. Tout aussi impressionnant est la taille de son engin. Quand ma femme le prend en main, j’ai l’impression d’avoir un tout petit kiki pour la première fois de ma vie. La main de Christine fait minuscule le long de cette énorme verge dont elle parvient à prendre à peine plus que le gland dans la bouche pour le sucer. Siegfried enfile ensuite ma femme tout en douceur, mais elle lui demande de ne pas aller au-delà de la moitié de sa queue. Il la pénètre un moment et Christine jouit deux fois.

Ensuite, il semble qu’ils aient passés un accord. Le son est mauvais et je ne comprends pas ce qu’ils se disent, mais Christine se prépare pour une sodomie. Je n’en reviens pas. En levrette, Siegfried glisse dans l’anus de mon épouse dont le visage est un panaché de douleur et de plaisir. Petit à petit, elle emmène Siegfried un peu plus loin, plus loin que dans son vagin. Les va-et-vients doux de Siegfried lui permettent de gagner encore quelques centimètres et Christine prend les trois-quarts de sa queue dans le cul. Monstrueux. Siegfried fait attention de ne pas aller plus loin mais il encule ma femme sans ménagement. Il jouit. Quand il se retire, Christine tient ses fesses écartées, proposant à Siegfried une vue obscène au fond de son anus complètement dilaté. J’adore quand elle fait ça avec moi. Et je me félicite de la position des caméras.

Siegfried se rhabille et je retrouve du son. Son t-shirt était sur le micro. Il est aux anges. Il explique à Christine que de nombreuses femmes refusent de coucher avec lui lorsqu’elles découvrent la taille de son sexe. D’autres ont tellement peur au moment de la pénétration qu’elles se contractent et empêchent celle-ci. Il lui raconte aussi qu’il a été voir "des tas de prostituées" et qu’aucune n’a jamais accepté la sodomie. Christine est la première, Siegfried vient de réaliser un fantasme.

Je me masturbe plus fréquemment et toujours en pensant à mon épouse. Je vois son visage souriant, ses éclats de rire, sa douceur. Je la revois aussi en train de s’habiller devant moi le matin de mon anniversaire. Quand je la vois se faire prendre par un autre, j’imagine surtout faire l’amour avec elle. Pourtant, s’il semble que je suis en train de reprendre le chemin dans sa direction, je ne ressens pas encore l’envie de lui en faire part.

Par ailleurs, le mercredi 5 juin à midi, je rentre à la maison avec Fabienne. Elle est la première que je baise à la maison, dans notre lit. Je sais surtout que tout est enregistré. Excitée de baiser chez moi, Fabienne est parfaite pour les caméras : une vraie pro. Je la sodomise avant de passer directement de son cul à sa bouche pour y jouir. Alors que nous grignotons ensuite à la cuisine, je lui avoue que Mélissa est au courant de notre relation. Elle sourit :

— Mais tu la sautes aussi, non ?

— Depuis un petit moment, oui.

— Vous êtes super discrets et je n’ai rien entendu au sein de la boite. Je me suis douté de quelque chose car Mélissa a changé d’attitude avec moi. Je comprends qu’elle me voyait peut-être comme une rivale !

Elle rit. Curieuse coïncidence, nous entrons dans le parking souterrain juste derrière Mélissa. Dans l’ascenseur, cette dernière remarque :

— Fabienne, un bouton de votre chemisier est ouvert.

Fabienne sourit, rougit. L’ascenseur s’arrête à notre étage. Mélissa et moi sortons. Elle est morte de rire. Je lui dis :

— Tu aurais pu lui faire remarquer plus discrètement.

— Vous avez été baiser où ?

— Chez moi.

— Salaud. Tu l’emmènes elle alors que tu ne m’y as jamais emmené moi.

Ce sera chose faite le lendemain à midi.

En rentrant du travail le vendredi, je trouve Christine au salon avec un dépliant touristique du Vaucluse.

— On ne travaille pas lundi. On part ?

Elle a dit cela d’un air très détaché, très naturel. Il me faut quelques secondes.

— Ben oui !

Vingt minutes plus tard, Christine a réservé une maison avec piscine. Tandis que je vais contrôler la voiture, elle prépare les bagages. Les enfants sont ravis. Nous partons à 6h du matin. A 10h, nous sommes à Visan.

Nous ne parlerons pas de notre situation durant le week-end. Organisé spontanément, sur un coup de tête, le séjour est une réussite totale. Aucun ombre au tableau, aucune dispute. Le temps est magnifique et nous profitons au maximum de la piscine. Pour la première fois depuis plusieurs mois, Christine vient poser sa tête sur mon épaule alors que nous sommes au lit. Je ne dis rien. Elle non plus. Le dimanche matin, réveillés vers 8h, nous partons nous promener tous les deux dans les vignes. Les enfants dorment, nous laissons un mot sur la table. En marchant, je lui prends la main qu’elle me serre fortement. Vers 10h, nous revenons à la maison avec du pain et des croissants. Les enfants ont mis la table sur la terrasse. Parfait

Durant la semaine suivante, j’évoque les vacances d’été pour lesquelles nous n’avons fait aucun projet. Christine est hésitante. J’ai l’impression qu’elle a envie de proposer quelque chose, mais elle me répète plusieurs fois que c’est peut-être trop tôt. Nous devons tout de même nous organiser pour les enfants. Toby souhaite partir avec un copain dont nous connaissons les parents.  Nous les invitons durant le week-end et ils nous proposent spontanément d’emmener Toby avec eux en Espagne. Ils y resteront quatre semaines en août. A la fin du repas, nous acceptons, pour la plus grande joie de notre fils. Concernant Flora, nous envisageons de partir chacun à notre tour avec elle sans que cette idée nous satisfasse.

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