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Chromosome Z – Chapitre 1

Chromosome Z - Chapitre 1



Ceci est la toute première histoire que j’écris, j’espère qu’elle vous plaira et je vous demande d’être indulgent concernant mon style d’écriture et les fautes que je risque de faire.

Cette histoire n’est que pure fantaisie, toute ressemblance avec une personne ou un lieu n’est que pure coïncidence.

Aucun homme ne connaît son destin à l’avance, il en est parfois qui prennent, pourtant, un tournant que seuls nos rêves ont prévu.

Je m’appelle Jérôme, j’ai aujourd’hui 42 ans mais ce qui est important dans cette histoire ne s’est pas passé à cette époque. Nous devons remonter de quelques années dans le temps, plus précisément, lors de ma 21ème année. Je mesurais 1m74 et pesait 64kg. Je suis châtain avec des yeux bleus. Et concernant mes parties génitales j’étais dans la moyenne. Oui, « j’étais » et pas « je suis » et c’est là que commence mon histoire.

21 mai 2018

Alors que je dors, la chaleur dans ma chambre ne cesse d’augmenter. J’ai pourtant ouvert la fenêtre en grand, mis le ventilateur, mais rien ny fait, je crève de chaud. Je descends jusqu’à la cuisine afin de me désaltérer et de prendre un sachet de glaçons et oh !… Ma mère a eu la même idée. Ma mère, Émilie, 51 ans, est une femme plutôt ronde d’1m58 qui n’a plus aucun sex appeal (célibataire depuis la mort de mon père), elle a des fesses énormes et ses seins sont tombants. Elle me regarde bizarrement, puis se dirige vers moi, pose sa main sur mon front et me dit d’une voix inquiète que je suis bouillant, que je devrais aller me rallonger et qu’elle va m’apporter quelque chose pour me rafraîchir. Je lui réponds que je suis capable de me débrouiller, que je ne suis plus un enfant (oui, elle est plus que mère poule et c’est chiant). Elle me demande comment je vais réussir à me désaltérer avec un paquet de jambon et là je réalise que j’avais confondu de l’eau avec du jambon. Elle avait raison, aucun doute possible, je suis malade.

22 mai 2018

Elle s’est occupée de moi durant le reste de la nuit, appliquant des gants toilettes avec des glaçons dedans, elle m’a fait boire au moins 2 litres d’eau fraîche. Cependant, ma température corporelle ne baissait pas. Elle utilisa un thermomètre, 40.8 degrés. À la première heure, elle appelle le médecin en urgence en lui expliquant la situation. Après 30 minutes, le médecin arrive et m’ausculte. Il donna des anti-inflammatoires et des antiviraux et conseilla à ma mère de continuer à refroidir mon corps. Il fit une prise de sang et la déposa au labo pour analyse urgente. En attendant les résultats, ma mère continua son travail acharné pour me refroidir mais, au bout d’un moment, une vive douleur au niveau du sexe se fit ressentir. Ma mère regarda et fut surprise, j’avais une érection comme jamais j’en avais eu, elle rappela le docteur pour lui expliquer ce qui se passait et il lui indiqua que la pression devait retomber en attendant que le résultat des analyses arrive car c’était peut-être un symptôme de ma maladie.

En raccrochant, ma mère comprit qu’elle allait devoir me masturber. Elle prit ma hampe dans ses mains et commença un va-et-vient très agréable. Elle fit cela pendant un quart d’heure mais aucun soulagement, juste une envie qu’elle continue. Et elle continua sans s’arrêter en oubliant de renouveler les glaçons pour baisser ma température. Petit à petit, quelque chose changea chez ma mère, elle était haletante et se mordait les lèvres inférieures. En voyant ça, j’ai été très excité et je lui ai dit, de manière sensuelle, de continuer, que c’était très bon ce qu’elle faisait. Elle se recula brusquement tout en regardant mon pénis et j’avais l’impression que ses yeux allaient sortir de leurs orbites. J’ai vérifié s’il y avait un problème et ma mâchoire se décrocha, ma bite avait littéralement doublé de volume. Je demandai à ma mère de faire quelque chose, elle descendit et revint avec un mètre de couture et mesura. Puis, elle reprit sa masturbation, sans rien dire. Toutefois, quelque chose avait changé, elle avait une étincelle dans le regard.

Et je ne me trompais pas, après 5 minutes de branlette, elle fit quelque chose d’inattendu, elle prit le monstre dans sa bouche et initia une fellation paradisiaque. Je n’en revenais pas, ma mère me suçait et ça m’excitait comme jamais. Et plus ça m’excitait, plus elle semblait vouloir avoir plus. Elle devenait de plus en plus bestiale dans sa fellation jusqu’au moment où je la vis glisser la main dans son pantalon et commençait à bouger les doigts. En voyant ça, j’éjaculai instantanément et violemment dans sa bouche. Elle me surprit en essayant d’en avaler le maximum mais il y en avait trop et je me retrouvai avec un énorme paquet de sperme sur l’entrejambe et une sensation de fraîcheur dans tout le corps. Cependant, ma mère continua à me lécher le sexe pour récupérer ce qu’elle avait manqué et après 10 minutes de léchouilles, ma hampe était nickel mais toujours droite comme un i et énorme.

Profitant de ce petit moment de flottement qui suivi mon éjaculation, je dis à ma mère que j’avais moins chaud et elle vérifia, 39.7 degrés, ma température baissait. Je lui demandé également le résultat des mesures qu’elle avait faites. Elle me répondit en rougissant qu’elle avait mesuré 32cm de long et 10cm de large. Étonné, je regardais fixement mon pénis toujours en érection et ma mère en fit autant. Nous fûmes tirés de nos pensées par la sonnerie du téléphone. C’était le médecin qui nous appelait concernant les analyses de sang. Il nous expliqua que les analyses préliminaires avaient indiqué un taux de globules rouges deux fois supérieur à la normale et qu’en poussant les analyses plus loin ils avaient décelé une anomalie au niveau chromosomique et que celle-ci semblait agir sur les chromosomes X et Y. Toutefois, il faudrait plus de temps et d’analyses pour connaître tous les détails et qu’il faudrait également un échantillon de mon sperme pour analyse. Il indiqua ensuite à ma mère qu’il faudrait me faire prendre des bains tièdes pour baisser ma température et des masturbations pour éviter toute complication en attendant les résultats complets des analyses.

Après avoir raccroché, elle m’expliqua tout ce que le médecin lui avait dit, tout en se léchant les lèvres en regardant mon pénis. Elle me dit qu’elle allait me faire couler un bain que je prendrai pendant qu’elle irait chercher l’ordonnance et le flacon pour les analyses de sperme. Je voulus me relever en position assise et elle m’aida. C’est à ce moment que je remarquai une énorme tâche au niveau de son entrejambe. Je fus instantanément excité de voir ça et dans la folie du moment, j’ai baissait son pantalon, l’ai prise par les hanches et la bascula sur moi jusqu’à ce qu’on se retrouve, elle avec mon braquemart sous les yeux et moi, faisant face à sa culotte en dentelle bleue. Je me mis à lui titiller le vagin, à travers son sous-vêtement, avec le bout de ma langue. Elle se tourna vers moi et me dit que je suis fou, que ça n’a rien à voir avec mon traitement. Je me stoppai, momentanément, pour lui dire que c’était pour la remercier de ce qu’elle a fait avant et je repoussai son visage pour l’obligé à faire face à mon gland qui pointé dans sa direction.

J’écartai sa culotte et j’enfonçai ma langue dans sa chatte touffue. Sa réaction fut impressionnante, elle se mit à hurler, à trembler et son vagin ruissela de mouille, elle avait joui. Cependant, je n’attendis pas la fin de son orgasme sans rien faire, je continuai à la lécher, à savourer le goût de sa mouille qui coulé dans ma bouche telle un fleuve et pendant ce temps, ma mère se remit à me sucer. Le plaisir était tel que nos cris raisonnaient dans la chambre, ma mère avait orgasme sur orgasme et plus elle jouissait, plus j’étais excité. Jusqu’à l’instant où l’excitation était trop forte, je la poussai en avant, me releva précipitamment, pointa mon gland vers son antre et la pénétra jusqu’au fond d’un coup sec, ce qui me valut d’être accueilli par un grand « OH OUI !!! ». Le plaisir qu’elle ressentit l’amena à serrer furieusement les parois de son vagin autour de ma bite et à m’arroser l’entrejambe de sa mouille comme un geyser, ce qui provoqua mon éjaculation, profondément ancré en elle, une éjaculation aussi copieuse que lorsqu’elle m’avait sucé.

Je m’appuyai délicatement sur son dos pendant que je me vidais les bourses. Puis, je me relevai, soulevait son haut, découvrant avec surprise qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, j’attrapai ses seins et la relevait en lui malaxant sa poitrine. Je pris du recul et je balançai mes hanches violemment en avant, ce qui valut un nouveau cri de sa part et je recommençai pour initier un va-et-vient bestial.

Au bout de 2 ou 3 va-et-vient, ma mère envoya ses fesses à la rencontre de mon pubis, ce qui augmenta la force de nos ébats. Le résultat ne se fit pas attendre, je remplis copieusement son utérus une nouvelle fois, provoquant, par la même occasion, à ma mère, un énième orgasme. Mais, cette fois, nous n’avons pas fait de pause, nous nous déhanchions encore durant notre jouissance. Nous ne retenions plus nos cris et nos soupirs de plaisir, on n’y pensait plus, on baisait comme des bêtes. Je lui ai tapissais l’utérus de deux autres décharges de sperme avant de changer de position. Je me mis sur le dos et elle s’empala d’elle-même sur ma hampe, bondissant comme un lapin. De temps en temps, elle bougeait les hanches d’avant en arrière alors que ma bite était au plus profond d’elle, ce qui m’amena à jouir en elle à trois reprises.

On changea à nouveau de position, pour un missionnaire, tout ce qu’il y a de plus classique. Grâce à cette position, je me rendis compte que, non seulement, les voisins pouvaient entendre nos cris de plaisir, mais, ils pouvaient aussi entendre le lit claquer contre le mur et je dois avouer que l’idée qu’ils puissent nous entendre et qu’ils puissent imaginer que je baisais ma propre mère, que je lui remplissais l’utérus de mon sperme fertile, m’excitait comme jamais et une nouvelle fois, je propulsai mon sperme au fond de la matrice de ma génitrice. Le visage qu’elle fit en sentant mon sperme chaud en elle me rendit fou et je fis quelque chose que je navais pas encore fait, je l’embrassais, comme un homme embrasse sa femme et non comme un fils embrasse sa mère. Elle me rendit mon baisé de façon fougueuse, un baiser plein d’amour. Nos langues tournoyer amoureusement tandis que nos pubis claquaient fiévreusement. Puis, vint un énième orgasme de ma mère qui serra étroitement ma bite en criant des mots qui resteront gravés dans ma mémoire « Je t’aime ! Engrosse-moi !! ».

Il n’en fallu pas plus, telle une réponse favorable à sa demande, j’inondai son utérus. Cet orgasme fut le dernier, ma bite commença à ramollir et ma mère s’était évanouie. Je m’allongeai délicatement à ses côtés et pris dans mes bras cette femme qui m’avait mis au monde, cette femme que j’admirai, cette femme qui venait de faire de moi un homme, cette femme que j’aimais et qui était devenue « ma » femme.

Nous nous sommes réveillés en milieu d’après-midi, nous nous sommes regardés sans rien dire, nous nous sommes embrassés langoureusement et elle mit fin au baiser, se leva, s’habilla, fit couler un bain et partit chercher le nécessaire pour les analyses. Je me glissai dans le bain, repensant à nos ébats et à ce qu’elle m’a demandé à la fin, ma bite se remit à gonfler, toujours aussi imposante, et je me posais des questions. Ma mère avait, depuis peu, ses règles de façon irrégulière, le médecin avait dit que c’était le début de la ménopause. Avec la quantité de sperme que j’avais fourni, était-il possible qu’elle tombe enceinte de moi avant d’être totalement ménopausée ? Je ne savais pas la réponse à une telle question mais je m’en fichais, j’avais envie d’elle et je savais que lorsqu’elle reviendrait, nous recommencerions, je jouirais en elle et peut-être qu’elle tomberait enceinte. On verra…

A suivre…

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