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La bourgeoise et le marabout – Chapitre 2

La bourgeoise et le marabout - Chapitre 2



Cela fait maintenant une bonne semaine que je prends chaque soir le médicament prescrit par mon marabout. A chaque fois, je ressens le même plaisir à boire cette substance blanchâtre et crémeuse qui me réchauffe les entrailles. Deux ou trois soirs, une fois au lit bien excitée par mon élixir, je me suis collée à mon mari et ma main a caressé sa verge qui a rapidement grossi. J’ai même entrepris de le sucer et il m’a dit dans l’obscurité de la chambre conjugale « Chérie, tu sembles retrouver de l’appétit, j’adore. En as-tu parlé à ta gynéco ? ». Je lui ai répondu « Chut, c’est une affaire de femmes, je garde cela pour moi. L’essentiel est que tu apprécies mes progrès ». Il est vite venu sur moi et sa queue s’est glissée en moi. La saillie a été rapide, je n’ai pas joui mais lui s’est longuement répandu en moi et cest ensuite endormi. J’étais plutôt frustrée et, avant de m’endormir à mon tour, je me suis longuement caressée et cest en m’imaginant allongée nue chez mon marabout que la jouissance s’est emparée de moi.

Le mercredi qui suit, je suis à la maison en train de déjeuner seule lorsque je me rends compte que j’ai mon second rendez-vous chez monsieur Coulibadou en début d’après-midi. Une fois mon repas pris, je vais dans ma chambre pour me préparer. J’hésite sur la tenue que je dois mettre, il ne faudrait pas que je sois trop sexy et provocante. Comme il fait encore beau en ce début septembre, je choisis donc un petit string noir et un bustier assorti. J’enfile par-dessus une robe de mi-saison classique et après m’être rapidement maquillée, je me mets en route. Je descends au métro Pigalle et remonte le boulevard de Clichy avant de prendre à droite la petite rue qui mène au cabinet de mon marabout. Sur le chemin, devant les sex-shops et autres magasins de lingerie, j’ai tout le temps de regarder les tenues particulièrement osées qui sont en vitrine. Je pense que c’est le genre de tenues qui plairaient et exciteraient mon mari mais je ne me vois pas entrer dans un tel magasin. C’est sans doute mon éducation stricte qui agit sur mon subconscient et m’interdit certaines choses.

Me voilà dans le cabinet de monsieur Coulibadou et je m’installe dans la salle d’attente. Je suis la seule et le silence règne dans les lieux ; je prends un magazine et commence à le feuilleter. Soudain, la porte qui donne sur la salle de consultation s’ouvre et le marabout apparaît suivi d’une vieille femme africaine. Il lui dit « Nous nous revoyons dans deux semaines. Gardez courage, vous verrez que vos soucis de couple s’arrangeront et que votre mari reviendra à vous ». Une fois la femme partie, il me fait entrer dans son cabinet et me demande de m’asseoir après avoir retiré ma robe. Tandis que je m’exécute, il me dit en parlant de la dame que j’avais vue « Son mari l’a quittée il y a déjà deux mois et elle pense qu’il a été envoûté par une autre femme. Je sais aussi conjurer le mauvais sort. » Puis il ajoute « Avez-vous bien pris régulièrement votre médicament et avez-vous noté un regain de désir sexuel ? ». Assise en lingerie devant lui, les jambes croisées pour cacher mon intimité et les bras croisés sur ma poitrine, je lui réponds que j’ai noté quelques améliorations mais que j’ai encore des difficultés à prendre du plaisir avec mon mari. « Cela va progressivement s’arranger, le traitement va peut-être prendre du temps mais je suis certain que vous allez retrouver une vie sexuelle épanouie ». « Peut-être serez-vous surprise par les résultats » ajoute-t-il en me regardant droit dans les yeux et en se levant. Il se rapproche de moi en tenant un bandeau à la main puis me déclare « Pour dépasser les limites que vous imposent votre éducation de bourgeoise et vos principaux judéo-chrétiens, je vais vous bander les yeux. Ainsi, tous vos sens seront en éveil et cela devrait vous aider à libérer votre esprit ». Ne sachant quoi lui répondre, je me laisse aller et bien vite me voilà plongée dans le noir absolu. Il ajoute de sa voix si intense et envoûtante « N’ayez pas peur, à tout instant vous pouvez retirer votre bandeau et quitter cette pièce ». Je lui réponds que je lui fais confiance même si mon cur bat la chamade dans ma poitrine. Est-ce de la peur ou de l’excitation ? Ou bien un mélange des deux ? Je ne le sais nullement.

Sa main prend mon bras et il m’invite à me mettre debout puis à le suivre. Je reconnais la table d’auscultation en m’allongeant sur le dos. Il soulève délicatement ma nuque et glisse un coussin dessous. Puis, le voilà qui me pose les mains sur les chevilles et m’oblige doucement à écarter les jambes. Le fin tissu de mon string m’écarte presque l’intimité et je m’imagine le spectacle impudique que je dois offrir. Mais le bandeau m’évite de trop y penser et je me laisse aller. Soudain, d’une main il écarte mon string et sa bouche se colle sur mon sexe. Tandis que ses deux mains me caressent le ventre et remontent jusqu’à mes seins, sa langue se faufile dans ma chatte et commence un doux mouvement de va-et-vient. Maintenant il joue avec mes tétons et sa langue se fait plus pénétrante dans mon intimité. Mon bas-ventre se tend vers cette bouche gourmande et mes seins durcissent sous le jeu de ses doigts. Je ne pense à rien, je m’abandonne et me laisse aller. Puis la langue se retire et, sans que ses mains quittent mes seins, un objet chaud et dur vient buter contre ma chatte. Lentement, ce glaive énorme pénètre en moi en m’écartant de partout. Bientôt, c’est le bas-ventre du marabout qui vient cogner contre mon pubis et ses mains vigoureuses me saisissent les hanches. Il me demande « Dois-je poursuivre mon examen ou bien en restons-nous là pour cette deuxième séance ? ». Comme dans un rêve, je m’entends lui répondre « Poursuivez monsieur Coulibadou, c’est vous le docteur et je me fie à votre sagesse ».

Il me pilonne encore une bonne quinzaine de minutes ; je suis bien ouverte et son énorme sexe peut coulisser librement en moi. Ma chatte est bien humide, mes tétons plus que tendus et tout mon ventre suit le rythme des coups de boutoir du marabout. Je me laisse aller, je ne pense à rien et je profite de chaque seconde de cette saillie que je voudrais ne jamais voir finir. Soudain, monsieur Coulibadou se retire et j’ai l’impression que ma chatte reste béante une fois qu’il s’est retiré. Je l’entends me dire « Ouvrez bien la bouche Hélène, vous allez maintenant prendre votre médicament ». C’est la première fois qu’il m’appelle par mon prénom mais cela ne me choque pas. Sans vraiment le vouloir, je lui réponds « Oui maître, donnez-moi votre doux élixir de jouvence ». J’ouvre grand la bouche et il y glisse son gland. J’aspire et je tète ce sexe que je n’ai jamais vu mais dont j’imagine la taille impressionnante. Il pousse un peu plus et son gland vient buter au fond de ma gorge. Je suis obligée de respirer par le nez et il m’est maintenant impossible d’ouvrir plus grand la bouche tellement il me remplit. Soudain, de puissants jets de semence jaillissent de sa queue et tombent directement au fond de ma gorge. A peine ai-je tout avalé que sa bouche se plaque sur la mienne et sa langue joue avec la mienne. D’une main, il me pince doucement les tétons et de l’autre il joue avec mon clitoris qui est encore tout tendu suite à sa longue saillie. Je jouis ainsi sous sa langue et sous ses doigts. Après mes derniers gémissements, il arrête ses jeux et me demande de rester encore allongée quelques minutes le temps qu’il rédige une ordonnance.

Une petite dizaine de minutes plus tard, il revient près de moi, me retire le bandeau et m’invite à remettre ma robe. Puis, comme si cela avait été une consultation normale, il me refait asseoir face à lui et me dit « Cette seconde consultation est riche d’enseignements. Vous semblez vous libérer progressivement de vos entraves morales, il faut poursuivre dans cette voie. Pour notre prochaine consultation, je souhaite qu’avant de venir me voir ici, vous passiez chez un ami qui tient une boutique de vêtements sur le boulevard de Clichy. J’ai préparé un mot à son attention. Remettez-le-lui, sans le lire, lorsque vous irez le voir. Je le préviendrai de votre visite. Soyez confiante, je fais parfois appel à ses services depuis de longues années ». Je prends la lettre ainsi que le nouveau flacon de médicament qu’il me tend et les range dans mon sac. Je le quitte après qu’il m’a adressé un long et profond regard accompagné d’un large sourire.

Le soir, une fois au lit avec mon mari, je me suis collé à lui une fois la lumière éteinte. Je me suis glissée sous la couette et j’ai pris son sexe en bouche. Tout en se laissant faire, mon mari dit « Tu es un peu bizarre ces derniers temps ma chérie. Mais ce n’est pas pour me déplaire ». Je m’applique sur ce sexe bien moins impressionnant que celui de mon marabout et, lorsqu’il éjacule dans ma bouche, c’est au précieux médicament de monsieur Coulibadou que je pense. Comme les semaines précédentes, une fois mon mari apaisé et endormi, je me suis caressée en pensant au vieux marabout que je dois revoir à la fin du mois. J’ai hâte. ! M’aurait-il envoûtée ???

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