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Clarisse et moi – Chapitre 1

Clarisse et moi - Chapitre 1



Tout a commencé, lors d’un merveilleux jour ensoleillé d’été. C’était alors les grandes vacances, ma sur ainsi que moi-même étions chez notre mère. Nous vivions dans une belle et grande maison non loin de la ville, dans un cadre chaleureux et verdoyant. Au fait, je ne vous est toujours pas présenté ma sur, Clarisse de son prénom. C’est une jeune fille à peine âgée de 18 ans, pas plus haute que trois pommes (c’est ce que j’aime lui dire pour la taquiner, même si à vrai dire, c’est plutôt moi qui suis grand). Aussi ravissante qu’intelligente, Clarisse a vraiment tout pour plaire : une beauté quasi inégalable ( à mes yeux), ainsi qu’un physique de rêve. Ma sur et moi sommes très proches, et ça depuis notre plus tendre enfance. Voilà, maintenant que les présentations sont faites, je peux continuer mon récit.

Ce jour-là, Clarisse et moi étions seuls à la maison car notre mère, Manon de son prénom, était partie au travail dans la matinée peu après notre réveil. Ma sur était toujours tranquillement dans son lit, attendant qu’elle soit bien réveillée pour se lever et me rejoindre. En parlant du loup, quant à moi, j’étais dans la cuisine, profitant du doux réveil de ma sur pour nous préparer un petit déjeuner digne de ce nom. Ce ne fut qu’après quelques minutes, que j’entrevis dans les escaliers, une silhouette descendant ceux-ci calmement :

— Bonjour Julien, me dit une douce voix dans mon dos.

— Qui est-ce ? Lui dis-je pour la taquiner.

— Ah lala, tu ne changeras donc jamais, me répondit-elle avec un grand sourire, un grand sourire que je pouvais facilement distinguer malgré le fait que je sois dos tourné à elle.

Je me retournai donc et embrassai gentiment sa douce joue de bébé, tout en lui faisant un câlin.

— Dis-moi ? Tu es ravissante aujourd’hui ! Lui dis-je en lui tenant les bras tendus

— Parce-ce que d’habitude je suis moche ? Me répondit-elle en rigolant.

— Non, c’est pas ça, mais je ne sais pas pourquoi, j’ai l’impression que je t’ai jamais vu avec ces vêtements.

— C’est normal, me répondit-elle avec un grand sourire : toute contente, ce sont de nouveaux vêtements.

— Wow ! Ça te va super bien ! Lui dis-je en contemplant de haut en bas sont si joli corps.

En effet, elle portait fièrement un très joli débardeur blanc assez moulant, qui la mettait vraiment bien en valeur, accompagné d’une ravissante mini-jupe rose à plis plats.

— Dis-moi ? Me demanda-t-elle en reprenant l’intonation que j’avais pris il y a de ça quelques minutes, tu n’auras pas préparé le petit déjeuné ?

— Si justement, j’étais actuellement en train de terminer de le préparer.

— Merci ! Je t’aime tellement ! T’es le meilleur de tous les grands frères que j’aurais pu avoir de toute ma vie !

Suite à ce second câlin tout aussi attendrissant que le premier, je terminai donc de préparer cedit déjeuner.

— Tu n’as qu’à aller m’attendre dans le salon si tu veux, je ne devrais pas tarder à finir de préparer le petit déjeuner.

— D’accord, me répondit-elle le sourire aux lèvres.

Clarisse s’assit donc calmement dans le canapé, attendant devant la télé que je vienne apporter le petit déjeuner. Une fois celui-ci terminé, je m’empressai de l’emporter à l’aide d’un plateau sur la table basse devant laquelle était assise ma chère et tendre sur.

— Wow ! Ça a l’air super bon ! Tout ce que j’aime !

— Mais de rien, ça me fait plaisir ! Lui répondis-je en m’asseyant à ses côtés.

Puis nous commençâmes à manger dans la joie et la bonne humeur de cette si belle matinée ensoleillée.

— Au fait ? Tu n’aurais pas vu mon maillot de bain par hasard ?

— Non pourquoi ?

— Parce quhier je l’ai cherché mais jamais je n’ai réussi à remettre la main dessus, me répondit-elle d’un air déçu.

— Ah bon ?

— Oui, en plus c’était mon préféré, tu sais le maillot noir là, celui que j’avais porté le mois dernier ?

— Ah, Oui ! Celui-là ! C’était aussi mon préféré ! Lui répondis-je franchement, euh… non ! Oublie ce que je viens de te dire ! répliquai-je essayant de me rattraper.

— Tu as le droit tu sais ? Pas besoin d’avoir honte, c’est normal, me répondit-elle avec un joli sourire.

Je venais de dévoiler en partie par erreur une arrière pensée qui me trottait dans la tête depuis maintenant plusieurs années. En effet, depuis maintenant deux trois ans, je ne perçois plus Clarisse uniquement comme ma charmante sur, mais également comme une jeune femme, une jeune femme ravissante, toujours à mes côtés, toujours à m’écouter parlé même si le sujet n’est pas sa tasse de thé. J’ai l’impression que je deviens comme attiré par elle, par ce corps de jeune femme si ravissant et si bien gaulé, par cette personnalité si rayonnante de vitalité, qu’il en deviendrait presque difficile de la faire pleurer. Pour résumer, je crois que j’ai envie d’elle, pourquoi « je crois » ? Simplement car je n’ose pas admettre le fait que je sois intimement attiré par cette jeune femme, qui n’est autre que ma sur.

Une demi-heure plus tard, c’est le ventre plein que nous décidâmes de débarrasser le petit déjeuner.

— Je viens d’y pensé mais si tu veux tout à l’heure on pourrait peu être allé t’acheter un nouveau maillot de bain, ça te dirait ? Lui proposai-je gentiment.

— C’est vrai ? Merci beaucoup Julien ! T’es le meilleur ! Me répondit-elle après m’avoir vu acquiescer de la tête par rapport à ça question.

— Si ça peut te faire plaisir c’est le principal, lui répondis-je en lui souriant.

* Je fais volontairement un grand saut de quelques heures dans l’histoire pour ne pas que celle-ci soit trop ennuyante à lire : je préfère donc laisser « uniquement » les passages intéressants.

*

Plus tard, lors de l’après-midi, nous décidâmes donc de nous rendre au centre commercial le plus proche. Une fois arrivé à l’intérieur de celui-ci, je demandai à Clarisse :

— Tu souhaites aller dans quel magasin ?

— Je sais pas trop, « SheIn » par exemple ? Me demanda-t-elle toute excitée.

— Oui, si tu veux ! Lui répondis-je en lui souriant.

Aussitôt dit, aussitôt fait, Clarisse et moi marchions main dans la main en direction de cedit magasin. Par ailleurs, c’est l’un des magasins préférés de ma sur, ce qui avait pour effet de la rendre tout heureuse avant même que nous soyons rentrés à l’intérieur de celui-ci. Une fois arrivé devant le rayon en question, Clarisse se mit à scruter le moindre maillot en espérant trouver chaussure à son pied. Ce fut chose faite, lorsqu’elle remarqua un très joli modèle qui se démarquait des nombreux autres.

— Il est super beau ! S’exclama Clarisse toute souriante.

— Tu voudrais l’essayer ?

— Et comment ! Me répondit-elle tout en m’attrapant la main comme pour m’inviter à la suivre.

Elle m’amena donc jusqu’aux cabines d’essayage puis entra seule dans l’une d’elles. À peine était-elle rentrée que Clarisse me demanda un service :

— Excuse-moi de devoir te demander ça mais, est-ce tu pourrais m’aider à retirer ma mini jupe ? Car la fermeture éclair et coincée, me demanda-t-elle gênée.

— Oui, pas de problème, lui répondis-je en rouvrant le rideau de la cabine.

En effet, Clarisse essayait en vain de dézipper sa jolie minijupe rose mais rien n’y faisait. J’attrapai donc gentiment de part et d’autre de celle-ci, puis la descendis par petits à-coups. Une fois retirée, cette ravissante minijupe rose laissa place à un très joli string blanc en dentelles.

— Dis donc ! Madame s’habille sexy, lui dis-je pour la taquiner.

— Oui j’apprécie porter de la belle lingerie, je trouve que ça me va plutôt bien, me répondit-elle en commençant à doucement retirer son débardeur. Tu ne trouves pas ? Me demanda-t-elle après s’être retournée une fois qu’elle eut retiré celui-ci.

— Si, bien sûr ! Même si ça ne m’est pas forcément destiné.

Ma dernière phrase laissa un blanc silencieux dans la cabine. Clarisse rougit aussitôt, puis se remit dos à moi comme légèrement vexée par ma réaction.

— Est-ce que tu pourrais refermer le rideau s’il te plaît ? Me demanda-t-elle tout en dégrafant son joli soutien-gorge en dentelle blanc.

— D’accord, tu me préviens quand t’es prête.

Quelques instants plus tard, la voilà qui m’appelle.

— Julien, tu pourrais me donner ton avis ? Me demanda-t-elle une fois prête.

— Wow ! Il te va à merveille !

— Oui, je suis d’accord avec toi ! Me répondit-elle avec un grand sourire. En plus la matière est super agréable, tu veux toucher ?

— Oui, si tu veux, lui répondis-je avant de caresser l’un des deux bonnets de son haut. Ah ouais, il est super doux !

— Du coup on prend celui-ci ? Me demanda-t-elle comme pour savoir si j’étais d’accord de le lui acheter.

— Sil te plaît, oui.

— Bien-sûr qu’il me plaît ! Toi aussi d’ailleurs, il a l’air de te plaire ! Me dit-elle d’un air malicieux.

— Oui, c’est vrai, mais, qu’est-ce qui te fait dire ça ?

— Regarde par toi-même, me répondit-elle en pointant du doigt le début d’érection qui c’était malencontreusement formée dans mon pantalon.

— *rire nerveux*, c’est normal, tu es une jeune fille ravissante, voilà pourquoi, lui répondis-je en lui souriant.

— Oh… t’es mignon, merci beaucoup ! Me dit-elle avant de me faire un baiser savoureux sur la joue gauche.

Après lui avoir acheté ce très joli maillot deux pièces noir qui a su faire l’unanimité entre nous deux, Clarisse ainsi que moi-même sommes tranquillement rentrés à la maison dans la joie et la bonne humeur d’être entre frère et sur. Une fois rentrés, nous nous reposâmes un petit peu dans le canapé, devant la télé. J’étais assis, Clarisse quant à elle, était confortablement allongée sur celui-ci, avec comme oreiller : ma cuisse droite, sur laquelle sa tête reposait. Rapidement, nous sombrâmes aux côtés du sommeil, celui-ci ne resta qu’une courte durée, pas plus d’une demi-heure à nos côtés, puis partit nous attendre à l’étage, jusqu’à l’heure de notre couché. À mon réveil, je vis en premier lieu : Clarisse, qui elle dormait toujours. « Qu’est-ce qu’elle est belle », me dis-je tout en caressant tendrement sa douce chevelure de soie. Pour tout vous dire, dans la position à laquelle j’étais, j’avais une vue imprenable sur son si joli décolleté. Celui-ci m’attirait, m’envoûtait, me subjuguait, mes yeux en étaient prisonniers.

Je savais très bien que c’était immoral de pouvoir penser une telle chose envers sa sur, mais sachez que je la désirais désormais plus que jamais. Quelques minutes plus tard, le sommeil la quitta, et me réveilla de mon « état second » par la même occasion.

— J’ai dormi longtemps ? Me demanda-t-elle en tournant la tête vers moi.

— Assez longtemps pour que je m’endorme également, lui répondis-je en lui souriant.

— T’es réveillé depuis quand ?

— Cinq, dix minutes à peu près et toi : à l’instant.

— Merci en tout cas de bien veiller sur moi, me dit-elle munie d’un sourire rayonnant.

Clarisse se redressa calmement, l’esprit encore un peu somnolant. Je me levai du canapé, non plus sans complexité, me fis un thé puis demanda à Clarisse si sa personne en voulait un également.

— Oui, volontiers ! Me répondit-elle après s’être levée.

Une fois prêt, je lui servis donc celui-ci puis finis de préparer le mien le temps que le sien refroidisse légèrement. Puis nous discutâmes gentiment de tout et de rien, rafraîchis agréablement par la douce brise du vent. À un moment, Clarisse se rapprocha petit à petit de moi, posa sa douce main sur la mienne, puis m’a dit ceci :

— Je sais que je me répète mais je ne te le dirais jamais assez, Merci. Jamais je n’aurais pu ne serait-ce qu’imaginer la chance que ce serait d’avoir un grand frère comme toi à mes côtés. Sache que, si tu as besoin de quoi que ce soit je suis toute à toi, n’hésite surtout pas.

Ses mots me firent réfléchir et frémirent à la fois, j’y réfléchis donc à deux fois, puis sauta sur l’occasion et l’embrassa avec passion. Au début, elle fut lentement étonnée, mais sembla très rapidement appréciée. Je savourais chaque moment de cet agréable baiser telle une belle et délicieuse glace en été. C’était si doux et si sensuel à la fois, que ni elle ni moi ne pensions à quoi que ce soit. Nous nous embrassions à pleine bouche avec passion, les minutes que nous passions nous paraissions des heures. Puis vint un calme désert, où nous nous regardions droit dans les yeux, et nous savions tous les deux, sans même nous parler, que ce merveilleux baiser ne serait certainement pas le dernier.

— C’était merveilleux ! Lui dis-je à peine remis de mes émotions.

— Tu sais, je ne faisais pas spécialement mention d’un baiser. Mais, je dois bien avouer qu’au plus profond de moi, j’en rêvais ! Me répondit-elle des étoiles plein les yeux.

C’est sur cette dernière note poétique que s’achève ce premier chapitre d’éthique. Sachez que l’histoire ne fait que commencer et qu’elle n’est pas près d’être terminée. Donc n’hésitez surtout pas à « liker », si ça vous intéresse de connaître ne serait-ce que la suite de la soirée…

David.

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