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Claude, cette femme en moi. – Chapitre 6

Claude, cette femme en moi. - Chapitre 6



Le lundi matin, elle me réveilla en douceur, un petit déjeuner au lit, avec sur le plateau une petite rose rouge… et un petit mot sur lequel était noté " je t’aime Ma Beauté ! ".

Aude m’embrassa longuement, elle était d’humeur câline, attentionnée et douce, si tendre avec moi.

Pendant que je déjeunais, elle se coucha contre moi et souleva mon bustier de soie, elle commença à me lécher la poitrine, puis prit un de mes mamelons à pleine bouche et le téta longuement.

Aude avait une véritable passion pour mes seins. Elle les flattait sans relâche, et du coup, j’avais les pointes dressées en permanence. Sollicitées à tout moment elles avaient doublées de volume.

Lorsque j’enfilais mes petits hauts, je me regardais dans la glace, me mettais de profil. Je les voyais pointer sous mes bustiers, et cela m’excitait au plus haut point. Cela me donnait des airs de poitrine d’adolescente, et ému, je repensais souvent à la réflexion de Madame Mercier et aux envies mammaires de mon amour.

Aude, au jeux de l’amour savérait être une femme pleine d’imagination, elle m’avait acheté par correspondance, un chapelet de boule anales.

Une petite cordelette fixait librement des boules de plastique. Elles étaient d’un diamètre variable mais cependant important. Les dix billes d’amour variaient de quatre à huit centimètres de diamètre.

Chaque matin, Aude m’enfonçait ce rosaire aux tréfonds de mon rectum.

Je ressentais le délice dès la pénétration dans mon colon, les sphères qui roulaient dans les replis de mon cul.

Elle maintenait le tout en place à l’aide d’un long plug de six centimètres de circonférence et de vingt de long. Le toy poussait les balles dans les abîmes de ma croupe. Elles tournoyaient sans pudeur dès que je bougeais un peu, ou contractais mes abdominaux.

La sensation était vigoureuse, et submergé par ce bonheur, je tordais et malaxais mes seins.

Puis lorsque la délivrance arrivais, j’éculais dans ma main serrée, et je portais à ma langue se foutre généreux, en me délectait de mon précieux nectar, suçant ma paume entière et chacun de mes doigts.

A peine repu, je reprenais mon travail et le jeux des contractions pour continuer à jouir encore et encore.

Aude s’en amusait, et passait régulièrement m’encourager.

Face à moi elle mexcitait par de longues caresses sur sa vulve, debout, impudique, et finissant par remplacer le bouchon anal qui fermait mon cul, par un godemiché plus long et plus gros encore.

Trois semaines se passèrent, plus chaude chaque fois.

Devant mon écran, je cherchais en secret sur internet, des informations sur les poitrines.

Sur un site d’aide aux transsexuels, je trouvais beaucoup d’informations.

Mes désirs de nichons devenaient de plus en plus fort, et j’avais tellement envie de combler Aude par ce cadeaux.

Il fallait que je me décide à franchir ce cap, cela n’était pas une décision à prendre à la légère, tout retour en arrière devenant impossible.

On parlait dstradiol naturel sous forme de gel transdermique, et de progestérone naturelle sous forme orale.

On pouvait mettre en plus éventuellement, en adjuvant local, de la progestérone naturelle sous forme de gel, en application sur les seins et les hanches, qui suffisaient amplement d’après les commentaires.

Le déclic se fit un jour, ou un nouveau client m’appela, il me trouvait une voix douce, et m’appelait Mademoiselle, je ne le contredit pas, m’amusant de cette bien charmante méprise.

Il finit par me proposer une téléconférence, j’acceptais immédiatement.

Je venais d’en finir avec ma peur, et étais désireux de me confronter au regard des autres.

L’entretien se passa sans ombrage, je parlais plus lentement, jadoucissais mon timbre, je jouais de mon regard, de mes cheveux pendant la discussion. Mon interlocuteur finissant par me draguer un peu, je calmais ses ardeurs en évoquant "mon amie".

Maintenant j’étais sûre de moi, Aude aurait ses nouveaux joujoux.

Je deviendrais cette créature mi-homme mi- femme, tant attendue par mon Aimée.

Aude descendit me rejoindre, je lui fis part de ma décision, elle seffondra en larmes, submergée par cette merveilleuse nouvelle.

J’appris à ce moment, qu’elle avait fait, dans le plus grand secret la même démarche, et avait même contacté un ami médecin chirurgien esthétique, spécialisé dans les traitements pour transsexuels.

Elle avait tenue à être prête, si un jour je lui annonçais la concrétisation de ses vux.

Nous montâmes à l’étage, pour nous unir sur le grand lit.

A quatre pattes, cul contre cul, nous poussions nos chapelets de geishas tout au fond de nos derrières (Aude ayant acheté le même que le mien pour ses ablutions personnelles).

L’effort se faisait grâce à un énorme double-dong cannelé.

Il défonçait nos fondements avec force et vigueur.

Nous étions comme chien et chienne à laccouplement, fesses contre fesses, haletantes, transpirant de mille eaux, collés.

Le jouet intime écartait nos sphincters, et faisait reculer toujours plus profondément les rosaires d’amour enfouis dans nos grottes anales.

Aude en jouisseuse aguerri, se frottait le minou avec mes bourses et ma verge, qu’elle avaient attrapées en glissant une main entre ses cuisses.

Moi, bien ancrer sur mes quatre appuis, je profitais des délices montants.

Je jouis amplement sur son vagin dans un infernal coït rectal, Aude partageait de son côté, la même volupté.

Nous finîmes couchés, et ayant sorti le long godemiché, puis nous le nettoyâmes de nos langues mêlées.

Il fallut ensuite contracter nos rectums pour sortir les chapelets de boules de nos culs respectifs, nous finîmes par entrer nos doigts chacune dans le trou de l’autre, les billes roulaient sous nos phalanges, mais après de longs efforts, nous les extirpâmes enfin.

Les précieux chapelets connurent alors le même traitement que le gode… la gourmandise de nos lèvres.

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