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Coline – Chapitre 4

Coline - Chapitre 4



Bonjour Coline, me dit-il puis il m’embrasse fougueusement sur la bouche.

Je n’ai pas eu le temps de répliquer sur mon nom féminisé et j’ai du mal à me laisser embrasser en public.

La voiture se met en route et nous prenons le chemin de sa maison.

Je ne suis pas particulièrement à l’aise, mais petit à petit, l’excitation monte et remplace l’angoisse.

Il pose sa main sur ma cuisse et je me laisse faire, après tout, c’est bon et excitant.

La route m’est de moins en moins inconnue, et le temps semble passer plus vite.

Nous franchissons le portail, qui se referme derrière nous.

ta semaine s’est bien passée Coline ?

Oui Monsieur Max.

je ne m’étends pas sur ce qui s’est passé avec ma sur.

Bon, va te préparer, je t’ai mis un tee shirt et un tablier de soubrette qui devrait t’aller, et tu vas venir que je regarde un peu à quoi tu ressembles, gardes ta petite culotte.

Je me prépare en mettant le tee shirt blanc et le tablier bordé d’une dentelle par dessus ma culotte, et je retourne pour aller m’asseoir à côté de Monsieur Max.

Très bien me dit-il, je vois que tu as compris ce que je veux de toi. Donne moi ton sac avec tes affaires. Je lui tends timidement mon sac, il l’ouvre, et en retire tous mes slips.

tu n’as plus besoin de ça maintenant, tu va porter de la lingerie comme toutes les filles de ton age.

Mais comment je vais faire dans la semaine ?

Tu vas aller en acheter d’autres, tu ne vas pas passer la semaine avec une seule petite culotte quand même.

Je veux bien jouer le jeu quand je suis avec lui, mais en dehors, j’avais envie de mener ma vie à mon goût. Je suis vexé.

allez, va me préparer un thé

je n’ai pas l’habitude de ce préparer le thé, aussi, je fais comme je peux et le lui apporte.

bon, si je comprends bien, il va falloir que je te fasse donner des leçons, si tu ne sais déjà pas préparer un thé correcte.

Il prend son téléphone et passe un appel , s’en suit une conversation dans une langue que je ne comprends pas.

tu vas rester un peu plus tard cet après midi, on va commencer les cours dès aujourd’hui.

En attendant, vient t’occuper de moi.

Je m’assieds à côté de lui, et commence à caresser ses cuisses.

non, mets toi à genoux face à moi.

Je mexécute. Je caresse ses cuisses bronzées, et remonte petit à petit. Je suis encore troublé tant ça me paraît bizarre comme situation.

Il m’attrape par les cheveux, et m’embrasse. Je sens toute sa puissance dans son baiser.

Nos langues jouent à découvrir le moindre espace de nos bouches. Je me sens vaciller et me laisser aller, je ne pensais pas que je pourrais m’abandonner ainsi. Il peut faire ce qu’il veut de moi dans ces instants, je suis bien.

Il m’arrache brusquement à cette étreinte, et plonge ma tête vers son sexe tendu.

Ma bouche, le gobe, ma langue joue avec son gland, il est dur et chaud. Il dirige ma tête au gré de ses vas et viens. J’aspire son sexe et quand il bute au fond de ma gorge, je m’efforce de maîtriser mes hauts le cur.

Il m’attire contre lui, me fait mettre à califourchon sur lui.

Il me lubrifie mon anus, et je redoute l’instant ou il va me pénétrer. La dernière fois, il avait été violent.

Mais là, il me laisse diriger l’opération. Je présente mon trou à son sexe, et me laisse empaler doucement sur son membre dur. Je commence un long mouvement d’aller retours lents afin de bien sentir son sexe dans mon arrière train.

Il se laisse faire, puis quand il trouve que ça a assez duré, il reprend le contrôle de la situation.

Me cramponne à la taille, m’installe sur le canapé fesses en l’air, et il reprend son travaille d’étalon en train de saillir sa femelle. Les coups se font plus violents et je sens buter son sexe au fond de moi.

Je me décontracte de plus en plus, au point que des halètements de plaisir sortent de ma bouche.

Puis de quelques coups de reins bien donnés, je le sens jouir en moi. Il reste un instant en position le temps de reprendre son souffle. Il se dégage en me donnant une bonne claque sur les fesses.

tu es une bonne femelle, je vois que tu aimes ça.

Je le regarde avec plaisir, oui j’aime ça et je ne m’y attendais pas, c’est ce qui est aussi troublant.

Je dois reconnaître que ce double sentiment, de honte et de plaisir me ravissent.

Si mon père savait, je pense qu’il me collerait une raclée.

Le seul truc qui me gêne vraiment, c’est d’avoir à porter en permanence des dessous féminins. Il y a bien un moment où ça ne va pas le faire, mais bon, on verra ça un peu plus tard.

La culotte toujours à hauteur de mes cuisses, je reprends mes esprits quand la sonnerie de la porte teinte.

Je le regarde épouvanté, ne sachant pas quelle attitude prendre.

remets ta culotte, et va ouvrir, c’est ton cours qui arrive.

Je reste perplexe, aller ouvrir dans cette tenue me paraît incongru.

allez va, elle en a vu d’autres.

La personne entre sans trop me regarder, c’est une femme d’un certain âge, elle parle avec un fort accent et me dit de la suivre dans la cuisine.

Une fois dans la cuisine, elle me fait le tour du propriétaire puis, elle m’explique comment préparer un vrai thé à la menthe et comment le servir.

Je suis un peu gauche, mais, j’essaye de m’appliquer. Une fois préparé, je prépare le plateau et m’apprête à aller le servir.

La scène est surréaliste, je suis à moitié à poil dans une tenue improbable devant une vielle dame qui m’explique comment faire et servir du thé et qui trouve ça normal.

Je la vois se préparer à partir, et arrivée à la porte lancer à la cantonade :

j’espère que vous allez garder votre femme plus longtemps que les autres.

Et là, j’hallucine par ce que je viens d’entendre et ça me perturbe.

Du coup, je prends le plateau pour me donner une contenance, et je me prépare pour faire le service.

Monsieur Max me regarde, visiblement amusé par la situation. Je sers le thé et ne m’en sort pas si mal. Je présente le verre qu’il me prend avec un large sourire.

je sens qu’on va aller loin avec toi, chérie.

Je pique un fard, la remarque me flatte et me touche. Je retourne ranger à la cuisine et en profites pour calmer mes émotions.

Quand je reviens, il est installé dans le grand canapé, sa robe de chambre ouverte et m’invite à le rejoindre.

Nous faisons à nouveau l’amour sur ce canapé. Je le suce du mieux que je peux, j’ai envie de lui donner du plaisir. Il m’interrompt pour m’allonger à plat ventre, puis commence une séance dans laquelle il met de plus en plus de doigts dans mon anus. Progressivement, il va et vient, et va de plus en plus profondément. C’est douloureux et je le manifeste, mais il continue de plus belles.

Quand il fait une pause, je sens la chaleur de mon arrière train qui en redemande encore ce qui me fait onduler du cul.

La séance dure un long moment, puis il s’allonge sur moi pour me pénétrer à nouveau et me limer de plus belles.

Il est d’une endurance incroyable et quand nous repartons je suis vidé.

Avant de partir, il se tourne vers moi :

c’est bien, tu es décidément une bonne petite obéissante, mais il va falloir que tu te trouves des vêtements un peu plus féminins que ça., compris ?

Je bégaille un oui, tout en m’empourprant.

Pendant le voyage, mon cul se rappelle à moi, et ça m’excite. Je vais penser à lui pendant un bon nombre d’heures.

Une fois arrivé à destination, je m’installe sur un banc et en profite pour envoyer un sms à Abi :

il m’a piké mes slips, je fé koi ?

La réponse tarde un peu :

prends culottes ou tangas, pas string tu seras belle.

arrête de me conjuguer au féminin

ok ma chérie !

Grrrrr

Abi me fait râler mais au fond, je retrouve notre complicité qui s’était un peu émoussée sans jamais disparaître .

je reste perplexe, aller acheter n’est le problème, même si ce n’est pas évident pour moi, c’est après, avec les colloc comment je vais m’organiser ???

Je trouve sur mon chemin, un magasin qui propose des vêtements et sous-vêtements à prix raisonnable. Je prends de quoi tenir la semaine, et je verrai bien comment je m’arrangerai pour ne pas laisser traîner d’indice.

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