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Comment, à 18 ans, j'ai été perverti – Chapitre 2

Comment, à 18 ans, j'ai été perverti - Chapitre 2



Rappel : Je m’étais rendu chez le vendeur audio/photo, à son domicile, suite à une séance spéciale d’écoute en aveugle dans l’auditorium de son magasin.

Durant cette séance il m’avait touché dans le noir.

Il m’avait ensuite invité chez lui pour me montrer du "matos ésotérique" impossible à vendre dans sa boutique tant le prix était élevé.

Chez lui, je m’étais retrouvé nu dans sa piscine et j’avais fini mon récit alors qu’il était face à moi, me tenant par la queue…

Roger prenait l’ascendant sur moi…

J’étais dans un état second, Roger venait de me demander de le suivre dans sa maison…

Il me lâcha la queue, se retourna, sorti de la piscine en me tournant le dos, traversa sa terrasse, sans se retourner, et disparu derrière la baie vitrée de ce que j’imaginais être son salon.

Que faire ? Le suivre ? M’enfuir ?

La curiosité de mon innocence en train de disparaître prit la décision à ma place.

Je sortis de l’eau. À ma grande surprise, ma queue était encore raide. Je ne pris pas la peine de prendre mes vêtements et me dirigeai vers la baie vitrée, dans un état second.

Roger, assis dans un canapé blanc en cuir, me regarda entrer dans son salon. Il avait les yeux de quelqu’un de satisfait et impatient de dévorer sa proie. Sa main droite allait et venait lentement sur sa queue dressée.

C’était la première fois que je la voyais, tout comme c’était la toute première fois que je découvrais le sexe bandé d’un homme.

Elle me semblait énorme, à peine cachée par la main qui s’en occupait.

La mienne était dressée, au garde à vous.

Je ne pouvais plus reculer, hypnotisé par le mouvement lent de cette main d’homme mur sur sa grosse tige turgescente.

Roger était très sérieux, concentré, me toisant, semblant particulièrement satisfait de me voir la queue raide.

Voyant mon hésitation, il me dit : "Viens t’assoir à côté de moi, n’aie pas peur"

Silencieux, je m’approchai, ne pouvant quitter des yeux sa grosse queue.

Lui : "Elle te plait ?"

Moi : "…."

Lui : "C’est la première fois que tu en vois une autre que la tienne ?"

Moi (à peine audible) : "Oui" "Elle est grosse !"

Lui : "Bah, pas tant que ça ! J’en ai vu des bien plus grosses déjà… !"

"Viens à côté de moi, assieds-toi" "Tu verras bien mieux de plus près"

Je m’exécutai, fasciné par les grosses veines gonflées de ce membre turgescent.

Lui, lâchant sa queue : "Tiens, prends-la en main"

Silencieux, j’avançais ma main gauche, étant placé à sa droite, et attrapai ce morceau de chair gonflé. C’était doux mais imposant.

Lui, tout en passant son bras droit par-dessus mes épaules : "Vas-y, branles-moi"

Je regardai son gland gonflé et mis mon poignet en action, restant silencieux, appliqué. Sans vraiment m’en rendre compte, je me mis à me branler de la main droite, au même rythme.

Lui : "Hummmmmm, c’est bon…" "On dirait que tu as fait ça toute ta vie"

Pourtant, c’était bien la première fois que je tenais une autre queue que la mienne en main. Et contrairement à la mienne, mes doigts n’en faisaient pas le tour !

J’accélérai un peu le rythme et je sentis soudain une pression sur l’arrière de ma tête. Roger me poussait en direction de sa queue. Peut-être voulait-il que je regarde de plus près…

Je me penchai jusqu’à reposer ma tête sur son ventre, voyant mon acte en gros plan. Mais Roger avait une autre idée en tête…

Il appuya plus fort sur ma nuque dans un geste lent mais puissant : "Ouvre la bouche et prends-y ma grosse queue ! Tu verras, c’est délicieux"

L’ordre était donné d’un ton ferme et déterminé, ne laissant pas la place à un quelconque refus.

Je me retrouvai le temps de le dire avec son gland en bouche. Quelle sensation extraordinaire !

Sa queue avait un peu le goût javellisé de la piscine, mais c’est surtout la douceur et la grosseur de sa queue qui retint le plus mon attention.

Roger me tenait maintenant la tête, il l’immobilisa et utilisa ma bouche comme un trou, imposant son rythme avec les allers et venues de son bassin. Il m’étouffait avec sa grosse queue, allait de plus en plus profondément.

Étrangement, je ne trouvais rien à redire à ce qui était en train de se passer. Cet homme me labourait la bouche et j’avais envie qu’il me la remplisse de son jus.

Je n’avais jamais eu d’attirance pour les hommes, me branlant toujours en imaginant des femmes, mais Roger était en train de changer mon orientation, de vriller tous mes désirs.

Soudain pris d’une frénésie, il se mit à franchement baiser ma bouche à grands coups de queue en me disant : "Oui, ta bouche est trop bonne, tu la prends bien profond, tu vas me faire juter, petite salope, tu es venu, tu vas prendre ce que tu mérites, petite pute !"

Et il déchargea de longs jets de foutre gluant qui m’inondèrent la bouche à en déborder et m’en étouffer.

Presqu’en synchro, je déchargeai moi aussi une sacrée quantité de foutre, en en mettant partout jusque sur le visage et dans les cheveux de Roger.

Quelle révélation ! Roger m’avait traité comme une pute, m’avait utilisé pour son propre plaisir, sans s’occuper du mien, dans un acte que je croyais réservé aux rapports entre hommes et femmes, et j’avais joui comme jamais ça ne m’était arrivé !

J’étais anéanti, la bouche pleine, en état d’extase, et lui, ne bougeait plus non plus…

.

Long silence.

Tout doucement, nous revînmes à la réalité.

J’avais la bouche remplie de son jus et les épaules couvertes du mien.

Il me caressa les cheveux en me disant d’un ton doux mais ferme : "Avale"

Je m’exécutai, même si c’était la première fois que j’avais ce goût âcre et salé en bouche.

C’est qu’il m’en avait mis une dose énorme !

À peine avais-je avalé sa semence, il se releva d’un bond.

Lui : "Tu viens, on retourne se baigner ?"

Bientôt la suite…

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