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Confession d'un fétichiste – Chapitre 1

Confession d'un fétichiste - Chapitre 1



Cette histoire a été écrite par STORMX en collaboration avec moi-même pour les personnages

Bonjour à vous, cher lecteur, chère lectrice de mon histoire. Je me nomme Gilles, j’ai trente et un ans et suis fétichiste des pieds et des seins depuis quatorze ans. Durant toutes ces années, j’ai eu de nombreuses expériences fétichistes avec différentes femmes à différents moments de ma vie mais, tout d’abord, je dois vous présenter la femme qui a orienté ma sexualité vers le fétichisme.

Elle s’appelle Sonia et est âgée actuellement de cinquante-quatre ans. À l’époque de mon orientation sexuelle, elle avait quarante ans et possédait une silhouette plutôt fine sans être trop mince ainsi qu’une poitrine généreuse. Sonia était aussi la mère de mon amie Marina.

Tout a commencé un après-midi de juillet, lorsque j’avais dix-sept ans et que ma sexualité en était encore à ses balbutiements. Sonia m’avait invité à prendre le café chez elle avec sa fille. Bien entendu, n’ayant rien de mieux à faire, j’ai tout de suite accepté la proposition de Sonia, toujours content de passer du temps avec Marina et elle.

Ce jour-là, Sonia m’avait donné rendez-vous vers quinze heures chez elle. Habitant à quelques maisons de la sienne, je partis cinq minutes avant l’heure convenue afin d’arriver à l’heure chez Sonia. Arrivé devant sa porte, je sonnai et elle m’ouvrit en tablier de cuisine. Elle me fit entrer et m’invita à m’asseoir à la table de la cuisine pendant qu’elle préparait un gâteau pour le goûter. Marina, quant à elle, avait dû se rendre au magasin d’informatique rendre un câble qui ne lui servait pas et devait être retenue durant une heure hors de chez elle.

Assis sur une chaise de la cuisine, je la regardais faire. Elle était tout simplement fascinante à voir. Ses chaussons claquaient sur le carrelage à chacun de ses pas et sa poitrine était ballotée de gauche à droite au rythme de ses pas. Je demeurai ainsi de longs instants silencieux, à regarder Sonia.

Soudain, sa voix me tira de ma rêverie.

« Voilà, il ne reste plus qu’à faire cuire le gâteau. Ma fille devrait arriver bientôt. Alors? As-tu quelque chose à me raconter?

– Non, Madame.

– Tu peux m’appeler Sonia.

– D’accord, Sonia.

– Et sinon, l’école, ça va?»

Sur le moment, je fus heureux de l’entendre me poser cette question car, s’étant assise en face de moi, Sonia m’offrait un angle de vue inespéré sur sa généreuse poitrine.

« Oui, oui, ça va.» lui répondis-je

Sonia poursuivit ensuite la discussion sur son travail et ma relation avec sa fille. Au fur et à mesure qu’elle parlait, j’avais de plus en plus de peine à l’écouter car mon regard était irrémédiablement attiré par la poitrine de mon interlocutrice, plongeant mon esprit dans un état de rêve.

— Gilles… Gilles.

Tout à coup, je revins à la réalité. Sonia me regardait avec des yeux curieux.

— Ça va, tu m’écoutes?

— Oui, Sonia…

— À quoi pensais-tu pour être aussi loin?

— …

— Je vois. Tu étais sûrement en train de regarder ces deux-là, petit vicieux.»

Sur ces mots, elle me montra son opulente poitrine.

« Tu as une copine?»

« Non, Sonia.» lui répondis-je d’une voix faible.

« Très bien. Dans ce cas, veux-tu les essayer?» me demanda-t-elle en me montrant ses seins.

Pris au dépourvu par cette question, je ne bougeai pas, incapable de détacher mon regard de cette magnifique poitrine.

« Allez, ne sois pas timide. Approche.»

Je m’approchai de Sonia, comme ensorcelé par les mots qu’elle venait de prononcer. Je tendis la main pour caresser ses seins à travers le tissu du T-shirt. Le contact de ma main sur sa poitrine me procura une puissante érection. Comme si elle avait ressenti mon érection, Sonia approcha sa main de mes cuisses et tâta mon entrejambe.

« Allez, ne sois pas timide. Montre-moi l’effet que je te fais.»

Je déboutonnai mon pantalon et abaissai la fermeture Éclair. Je fis ensuite glisser mon pantalon au sol et retirai mon boxer.

Mon sexe pointait en direction de Sonia qui passa sa langue sur ses lèvres.

«Hum. Joli…»

Sonia retira son T-shirt, me dévoilant sa sublime poitrine. J’avançai ma main vers les seins de Sonia tandis que celle-ci remontait lentement le long de mes jambes vers mes testicules.

« On va y aller doucement, mon Gillou. Mais si tu veux, tu peux sucer mes seins.»

Je saisis l’un des seins de Sonia dans ma main et le portai à ma bouche. Ce fut encore plus agréable que je ne me l’étais imaginé. La fermeté et la grosseur du sein me plurent de suite tellement que je ne pouvais en détacher ma bouche.

Pendant que je suçais son sein, Sonia me caressait lentement les testicules et le sexe de son pied. Cet agréable petit jeu ne dura que dix courtes petites minutes: je sentis une vague de plaisir déferler dans mon sexe et quatre giclées de sperme jaillirent de mon gland et recouvrirent le pied de Sonia.

Apaisé, j’abandonnai son sein et la regardai sans rien dire, partagé entre la honte et le plaisir.

« Alors, tu as aimé?

– Euh… Oui. J’ai adoré.

– J’ai vu que tu semblais apprécier mes seins.

– Oui, beaucoup. Et tes pieds aussi. Plus que tout le reste. Est-ce… Normal?

— Oui, ne t’en fais pas. C’est ce qu’on appelle le fétichisme. Puisque tu aimes les pieds et les seins, tu es fétichiste des pieds et des seins.»

Sonia porta ensuite son pied à sa bouche et le lécha.

« Hum. Il est délicieux ton sperme. J’espère que tu en auras encore pour après car on va le refaire avec ma fille. Elle aussi apprécie beaucoup les fétichistes comme toi. Elle devrait revenir dans quelques minutes.»

Lorsque nous fûmes rhabillés, Sonia continua ensuite de me raconter sa vie comme si de rien n’était puis Marina arriva…

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