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Copines de ma copine – Chapitre 3

Copines de ma copine - Chapitre 3



Les jours qui suivent, les filles se font très légèrement allumeuses dès quAnne-So a le dos tourné mais aucun dérapage réel ni surpris : une petite exhib de décolleté plongeant ou de sous la jupe sans culotte en écartant légèrement les jambes, des jeux de mots ou allusions parfois légères. Le truc qui a généré le plus de stress a été une simulation moyennement discrète dorgasme de la part de Caro à table dehors pendant que ma miss est partie en cuisine un midi.

Les jours se suivent ainsi avec de chaque jour quelques attouchements de la part des demoiselles. Tantôt des caresses appuyées au travers de mon pantalon, tantôt un baiser ou une léchouille bien placée. Jeu même droit à une masturbation délicieusement impromptue de la part de Caro pendant quAnne-So faisait un tour rapide dans le jardin.

Caro se montre la moins farouche et de loin. Lucie fait preuve dune timidité ou dun manque daudace que je ne lui prêtais pas au premier abord. Comme quoi !

Et dès que je voulais prendre une petite initiative vis-à-vis delles, les voilà galopant pour séchapper ou appelant ma chérie pour me faire arrêter de fait. Les petites garces.

Mais javais un plan en tête

Un soir, après avoir bien mangé et bu, un peu comme tous nos soirées dailleurs. Je décide de monter plus tôt avec Anne-So qui est un peu pompette avec lidée de la baiser sauvagement pour exciter et frustrer un peu nos copines coquines.

Anne-Sophie se montre très docile et, après quelques caresses, je lai déshabillée entièrement, puis, assise sur le bord du lit, je me présente devant elle en baissant lentement mon boxer, le sexe bien en érection.

Javoue être très excité par la situation et mon idée, et le bout de mon gland se pose instantanément sur les lèvres de ma belle qui nen fait cas et lengloutit immédiatement sans protester Je ne sais pas si cétait leffet de lalcool mais elle fait des allers retours en gorge profonde. Chose quelle ne ma jamais faite.

Mon sexe est luisant de salive, puis elle me branle doucement, en me regardant avec un regard assez excitant. Je la pousse sur le lit pour la faire tomber puis la retourne en lui susurrant à loreille que je veux la prendre en levrette, la faire hurler de plaisir, la prendre comme jamais.

Lalcool lui fait oublier sa réserve et sa pudeur habituelles car jamais elle naurait accepté ce langage, de plus en présence de ses copines, et là voici, à quatre pattes sur le lit, la tête sur ses bras croisés, offerte.

Javais volontairement laissé la porte de la chambre grande ouverte, et voilà que je croise les regards brillants dexcitation de Caro et Lucie à cet instant. Je prends mon sexe qui me fait mal tellement il est dur et raide pour poser mon gland juste à lentrée de la chatte trempée dAnne-So, puis la pénètre tout en les fixant.

Cest délicieux. Le temps semble se figer alors. Mon sexe enfoncé dans la minette chaude et humide dAnne-So, Lucie qui ouvre grand la bouche sans un son, les yeux grands ouverts, Caro les yeux pétillants denvie avec un grand sourire aux lèvres.

Jamais elles ne men auraient cru capable. Je pose une main sur les fesses de ma belle et je commence à la pilonner sauvagement. Une fessée, deux volent durant cette chevauchée. Anne-Sophie ne peut se contenir et crie, puis hurle.

Les deux coquines ne nous quittent pas des yeux et je me demande ½ seconde si elles ne se caressent pas, mais peu importe, jai une autre chatte à fouetter, celle dAnne-So en loccurrence, qui est brulante et humide. La pièce est envahie de cris et de bruits délicieux et excitants, ainsi que de nos respirations haletantes.

Cela fait quelques minutes que ce petit manège dure. Anne-So jouit en continue sous mon rythme de pilonnage assez intense et je décide de redoubler deffort pour jouir moi aussi. Je me penche pour lui prendre les bras, les relever et lui mettre dans le dos, tandis que jaccélère encore. La scène doit être bestiale du point de vue des spectatrices mais certainement très excitante car voir se faire ainsi baiser leur meilleur amie. Je sens mon plaisir arriver très vite dans ces conditions et je me retire de son chatte pour jouir sur ses belles fesses bien cambrées. Plusieurs jets sy écrasent et je vois alors ma miss sécrouler littéralement sur le lit. Elle rampe difficilement en marmonnant. Je comprends que maintenant cest bon et quelle va dormir.

Je me retourne vers les filles et jai juste le temps de les voir partir, avec un petit clin dil de Caro. La partie nest peut-être pas alors finie

Ann-Sophie est toute allongée sur les draps, inerte Je pense quelle va dormir un bon moment suite à cette partie de jambe en lair.

Dun naturel assez curieux, je sors furtivement de notre chambre pour aller jeter un il sur les coquines car je suis intéressé par ce quelles peuvent avoir envie de faire suite à cette petite séance de voyeurisme.

Je passe le pas de la porte et mavance doucement sur le palier de létage vers la porte de leur chambre.

Jentends de légers rires, à peine audibles et perceptibles, me laissant présager de quelques coquineries de leur part bien agréables. Javance le plus discrètement possible. Je suis maintenant sur le pas de leur porte, légèrement ouverte mais ne laissant rien voir dintéressant à lintérieur de la chambre. Une lumière faible diffuse une ambiance assez onirique.

Des petit rires et gloussements se font encore entendre dans la chambre puis des mouvements sur le lit qui grince un peu. Deux, trois secondes passent encore. Plus un bruit. Jhésite bêtement puis me dis que cette mise en scène mest clairement destinée et que je dois en profiter au maximum car les filles ont lair dêtre très coquines ce soir, prises au jeu que jai moi-même initié. Je pose la main sur la poignée et pousse la porte délicatement pour admirer un des plus beaux spectacles quil mait été donné de voir

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