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Surprise par mon oncle – Chapitre 2

Surprise par mon oncle - Chapitre 2



Fin du récit chapitre 1, début de chantage.

Mon oncle me fait la bise, je sens une de ses mains sur une hanche, il me regarde dans les yeux avec un petit sourire. Il se dirige vers la porte, je vais aussitôt à la fenêtre sans qu’il puisse me voir. Je le regarde monter sur son vélo, et s’éloigner.

La seule phrase que j’ai dans la tête est : Salop !

Je me retrouve seule dans la maison, il est pratiquement 16H30, ma mère arrive du travail en général aux alentours de 17H00. Je vais dans ma chambre pour réfléchir à cette conversation que j’ai eue avec mon oncle. Je me demande si c’est un rêve, ou peut-être une blague de sa part. Mais non, je suis bien consciente que ce n’est pas une blague. Je suis perdue dans mes idées. Je ne sais pas quoi penser, je ne sais pas quoi faire. Dois-je le dire à ma mère quand elle va arriver ? Non ! Je ne peux pas faire ça ! Je prends la décision de ne rien dire à personne, et je verrai bien ce qui se passera avec mon oncle la prochaine fois que je le verrai.

La soirée se passe normalement, je prépare mes affaires pour mes cours demain. Chouette, je n’ai pas beaucoup d’heures de cours, je vais en profiter pour aller voir mon petit chéri. En effet, quand j’ai des heures d’études consécutives, le plus souvent que je le peux, je vais voir mon chéri.

Nous sommes jeudi, la matinée se passe bien, je vais chez mon copain vers 14H00. Je dois être rentrée chez moi au plus tard à 17H15, ce qui me laisse pratiquement trois heures avec lui. Il est content de me voir. Il n’y a pas longtemps que nous sommes ensemble, mais chaque fois que je le vois, je suis heureuse et je suis bien avec lui. Nous parlons beaucoup tous les deux. A un moment donné, j’hésite à lui parler du chantage que m’a fait mon oncle, mais j’ai peur de sa réaction et de la perdre, je préfère me taire. D’autant plus que je ne sais pas précisément ce que mon oncle attend de moi.

Je ne sais pas s’ils se sont donné le mot entre Éric (mon petit ami) et mon oncle, mais cet après-midi, je le trouve assez chaud ! Il a son appartement depuis peu, il fait un apprentissage dans la restauration. Par rapport à sa situation, il a des aides pour son loyer, et un petit revenu grâce à son statut d’apprenti. Il est en train de passer son permis de conduire, mais pour le moment, il a un style de moto en cinquante centimètres cubes.

Au bout d’un moment, il vient vers moi, me prend par les hanches, et m’embrasse à en perdre haleine. J’aime sa façon de m’embrasser ! Tout en m’embrassant, il m’attire subtilement vers sa chambre, puis sur son lit. Je me laisse faire, je me sens bien.

Une de ses mains s’aventure sur ma poitrine, me malaxe un sein. Il tente de déboutonner ma chemise, mais je pose ma main sur la tienne comme pour lui dire que je ne le veux pas.

— J’ai envie de toi (en me fixant dans les yeux).

— Je sais ! C’est un peu trop rapide. Je te demande d’attendre encore un peu.

— Combien de temps vas-tu me faire attendre ?

— Je ne sais pas, mais pas tout de suite. Tu m’en veux ?

— Non, je ne t’en veux pas. Mais laisse-moi découvrir ta poitrine et la caresser. Tu veux bien ça au moins ?

Je commence à comprendre qu’un homme a toujours une idée sexuelle dans sa tête, et qu’il ne lâche jamais tant qu’il n’a pas ce qu’il veut. Alors je décide d’accepter, et de lui faire découvrir ma poitrine. Je le laisse déboutonner ma chemise, bouton par bouton en commençant par celui du haut. Il m’embrasse en même temps dans le cou, sur les lèvres. Je suis allongée sur son lit.

Ma chemise est complètement déboutonnée, il me demande de me redresser afin de pouvoir la retirer. Je lui jette un regard sombre, mais me redresse pour lui faciliter la tâche malgré tout. Naïvement, je pensais que je pouvais me rallonger sur le lit pour qu’il continue à me caresser, mais ce que je n’avais pas prévu, c’est qu’il veut aussi retirer mon soutien-gorge !

— Ce n’est pas assez de retirer ma chemise ?

— C’est quand même mieux de retirer aussi le soutien-gorge, tu ne crois pas ?

— Non, je ne le crois pas.

— Allez, laisse-moi le retirer s’il te plaît.

— D’accord, mais pas le reste hein ?

— Non, c’est promis.

Je me retrouve les seins nus, cette fois-ci allongée une nouvelle fois sur son lit. Je sens ses deux mains parcourir mes seins dans tous les sens, il fait rouler mes tétons doucement entre ses doigts. Je dois avouer que je commence à aimer, j’ai des frissons, mais ce n’est pas des frissons comme quand j’ai froid. Je crois que ce sont des frissons de plaisir, comme j’avais ressenti quand j’ai eu me première expérience entre filles avec mon ami Séverine.

— Continus s’il te plaît ?

— Pour une fille qui ne voulait pas que je lui caresse les seins, je m’aperçois que tu aimes bien.

— Oui, j’aime bien. Ca me donne du plaisir.

— Et moi j’aime te donner ce plaisir. Puis ça m’excite en même temps. Tu veux sentir mon excitation ?

— Sentir comment ?

Il prend une de mes mains, la dirige vers son entrejambe, et la pose franchement sur la bosse que forme son sexe en érection. Je suis d’abord surprise, mais je ne retire pas ma main, je le laisse faire. J’ai besoin de savoir comment se présente cette bosse. Bien sûr que je sais que c’est son sexe, mais je veux sentir la sensation de toucher au travers son pantalon.

— Alors ? Tu sens mon excitation ?

— Oui.

Cette réponse a dû lui plaire, toujours en tenant ma main, il lui fait faire des cercles sur la bosse.

— Tu veux en voir plus de mon excitation ?

— Heu… C’est-à-dire ?

— Laisse-moi faire et tu verras.

Il lâche ma main, m’embrasse. Tout en restant à côté de moi, il bouge son corps. Je ne vois pas ce qu’il fait, mais je devine. J’ai bien deviné ! Il ne reprend pas main, et la dirige une nouvelle fois vers son bas-ventre. Cette fois-ci, je suis en contact direct avec sa verge ! Je ne fais rien, le laisse faire.

— Tu sens mieux que je suis excité là ?

— Oui, je le sens

Puisqu’il voit que je ne fais rien pour retirer ma main, il déplace son corps d’un quart de tour, et ouvre ma main pour la refermer sur son sexe raide.

— Garde ta main serrer dessus, tu veux ?

— Oui, d’accord.

Il saisit mon poignet et lui inflige un mouvement de va-et-vient. Je ne suis pas complètement innocente, et je comprends bien ce qu’il est en train de faire. Il se masturbe avec ma main en lui imposant un rythme. Mais je le laisse faire, ce n’est pas désagréable.

Il m’embrasse tendrement. Le rythme qu’il impose par l’intermédiaire de mon poignet s’accélère. Son souffle devient plus fort, j’entends un léger râle sortir de sa bouche et la pression de ses lèvres sur les miennes plus forte. Quelques secondes après ce râle, ma main est envahie d’un liquide chaud. Je comprends que c’est sa semence, c’est la première fois pour moi que je reçois la jouissance d’un homme. Il redresse sa tête, me regarde dans les yeux.

— Excuse-moi. (Tout penaud)

— Pourquoi tu t’excuses ?

— Ben… Je m’excuse parce que je ne me suis pas maîtrisé, c’est arrivé malgré moi.

— Tu veux dire que tu as joui trop vite ?

— Oui. Enfin je veux dire que je ne voulais pas jouir comme ça dans ta main. Mais l’excitation était tellement forte que je nai pas réussi à me retenir. Désolé.

— Non, ne t’excuse pas. C’était bien et toi tu as pris du plaisir aussi ?

— Ah oui, j’en ai pris. Merci ma chérie.

— Par contre, je veux bien m’essuyer la main. (En lui souriant)

— Oui, attends, je vais te chercher ce qu’il faut

Il se lève, et, à ma grande surprise, se rhabille avec pudeur, en me tournant le dos et en marchant vers sa cuisine. Je profite du temps qu’il est parti chercher le nécessaire pour m’essuyer pour regarder ma main. Je confirme, c’est bien la première fois pour moi que j’ai du sperme dans ma main.

Il revient en me souriant et me tend un essuie-tout. Je m’essuie, me lève et vais directement au lavabo de sa cuisine pour me laver les mains correctement avec de l’eau et du savon.

Nous passons le reste de l’après-midi ensemble et je rentre chez moi. Le soir, je repense à ce que j’ai fait avec Éric. Enfin, à ce qu’il a fait, puisque je n’ai rien fait en fin de compte. Je me dis que j’ai bien aimé, et que je vais lui refaire. Grâce à ça, j’ai trouvé une bonne alternative pour le calmer de ses ardeurs et le faire attendre de notre première fois.

Je suis actuellement dans un état divisé par l’excitation de ce que j’ai vécu avec mon copain, et crainte de ce qu’il va se passer avec mon oncle.

Dans la soirée de vendredi de la même semaine, vers 18H00, je suis dans ma chambre, en train de lire un livre. Je passe beaucoup de temps à lire, la lecture me permet de m’évader de ce qui m’entoure. Je suis un peu solitaire.

J’entends un moteur de voiture se garer devant notre maison. Curieuse comme je le suis, je me lève et vais vite voir à ma fenêtre qui vient à la maison. Surprise ! Oh non ! C’est mon oncle ! Mais pourquoi vient-il ? Il va me moucharder ? Mais pour quelle raison le ferait-il, puisque je lui ai dit que je suis d’accord pour être gentille avec lui ? ! Je reste dans ma chambre. J’ai peur qu’il raconte.

J’entends mes parents discuter avec lui, je ne comprends pas bien ce qu’ils se disent, mais tout semble normal. Je reviens sur mon lit, reprend ma lecture, mais je n’arrive pas à me concentrer. J’entends la voix de ma mère soudainement.

— Nathalie ? Tu peux venir s’il te plaît ?

Mon cur se met à battre la chamade. J’ai compris ! Il l’a dit, et maintenant il va avoir explication ! En plus, il a une photo pour preuve ! Pourquoi a-t-il fait ça ? !

— Oui, j’arrive tout de suite.

Je sors de ma chambre, empreinte l’escalier d’un pas lent, et me dirige vers la salle à manger où sont mes parents et mon oncle. Je pense qu’à ce moment bien précis, je dois être rouge pivoine.

— Ah Nathalie ! Tu ne viens pas dire bonjour à ton oncle ?

— Je n’ai pas entendu. J’étais dans ma lecture.

Je m’approche de lui et lui fais la bise.

— Comment vas-tu Nathalie ?

— Bien et toi ?

— Bien aussi. Tu es en train de faire tes devoirs ?

— Non, je lis un livre passionnant. Je suis à jour au niveau de mes devoirs.

Je suis impressionnée par le naturel que peut avoir mon oncle. Jessaie dêtre aussi naturel que lui. Je reste avec eux par politesse, mais je n’ai qu’une envie, c’est de retourner dans ma chambre.

Nos regards se croisent de temps à autre, furtivement. Contrairement à lui, je baisse mon regard dès que le sien se plonge dans le mien. Je parle peu. Le fait que je parle peu n’a rien de surprenant, je ne suis pas une grande bavarde.

Au bout d’une heure environ, mon oncle se lève pour partir. Ouf ! Il n’en parle pas. Me voilà soulagée. Tout le monde se lève, nous nous dirigeons vers la porte. Nous sortons tous dehors. Ma mère lui fait la bise, et aussitôt retourne dans la maison, et mon père lui serre la main, échange quelques mots de plus avec lui. A mon tour de lui faire la bise. Je m’approche, lui fais deux bises comme nous le faisons dans notre région de Normandie. Mon père à quelques mètres de nous, il trouve le culot de me glisser dans l’oreille.

— Mercredi après-midi chez moi.

Sans lui répondre, je le regarde dans les yeux une fraction de seconde et retourne dans ma chambre. Mon cur se serre. Une peur envahit mon ventre. Dans quoi je suis partie ? Dois-je vraiment aller chez lui mercredi prochain ? Ce qui me fait le plus peur est que je sais que ma tante travaille le mercredi, et donc il sera seul. Puis, encore une question me vient à l’esprit. Que vais-je dire à mon chéri ? On doit se voir mercredi.

Je passe une nuit mouvementée. Je me réveille souvent. Samedi matin, je suis réveillée de bonne heure, je ne peux pas me rendormir alors je me lève et vais prendre mon petit-déjeuner. Il est 8H30, mes parents dorment encore. Je traîne dans la cuisine, et pour ne pas faire de bruit, je retourne dans ma chambre.

Dans l’après-midi de ce samedi, je décide d’aller voir mon chéri à vélo. Il n’habite pas bien loin de chez moi. Il pourrait venir à la maison, mais mes parents ne sont pas encore au courant de ma relation avec lui.

Je frappe à sa porte. Il m’ouvre. J’entre. Nous nous embrassons.

— Je ne reste pas longtemps. J’avais juste envie de te voir avant que tu partes dans le restaurant et passer un peu de temps avec toi.

— Tu as bien fait. J’ai un peu de temps, je prends à 18H00.

Nous passons au moins deux heures à discuter, à nous embrasser, à nous toucher. Nous sommes bien tous les deux sur son petit canapé, avec un petit fond de musique. Ses mains sur mes seins au travers le tissu de mon polo me font du bien. Je n’ose pas prendre l’initiative mais s’il savait que j’ai très envie qu’il libère mes seins et qu’il me les caresse comme il l’a fait la dernière fois. Il passe ses mains sous mon polo, continu ses caresses sur mon soutien-gorge.

Ma main droite se promène sur son corps, sur ses cuisses, et, sans le faire exprès, mon pouce heurte cette fameuse bosse. Surtout que son pantalon est un jogging !

— Tu as vu, j’ai la même excitation que jeudi.

— Oui, je vois ça. (En lui souriant).

— J’aimerais que tu touches ma bosse. Tu veux ?

Sans lui répondre, sans hésitation non plus, je pose ma main sur sa bosse. Je ne peux pas l’expliquer, mais j’aime toucher cette bosse. Sans cette timidité que je peux avoir avec lui, je passerai ma main sous le pantalon jogging et son boxer pour entrer directement en contact avec son sexe. J’ai envie de le faire mais je n’ose pas.

— J’aime sentir ta main me caresser.

— C’est vrai ?

— Oui, c’est vrai. Tu en doutes ?

— Non, je te crois.

Prise par une certaine excitation dans mon corps, sans trop réfléchir à ce que je fais ou ce que je dis.

— Tu veux qu’on aille sur ton lit ? Je vais m’occuper de cette bosse.

— C’est vrai ? Tu veux ?

— Oui, te faire comme jeudi.

Nous allons dans sa chambre, il s’assoit au bord, je m’installe à sa gauche. Nous nous embrassons une fois de plus, je pose une main sur son torse, pousse pour lui faire comprendre de s’allonger.

Ma main droite glisse entre ses cuisses, passe sous l’élastique et son boxer. Enfin de touche son sexe sans tissu en lui et ma main. Il lève légèrement ses fesses pour baisser son pantalon et son boxer. Je découvre un sexe raide, droit. Maladroitement, je saisis cette hampe veineuse, et me remémore la façon dont il a fait la dernière fois. Son sexe en pleine main, je fais des va-et-vient. Au bout d’un moment, il pose sa tête sur le dessus-de-lit, ferme les yeux.

— Accélère, c’est bon ce que tu me fais.

— Comme ça ? (En accélérant le mouvement)

— Oui.

— Je ne vais pas trop vite ? (Inquiète de faire mal)

— Non, continus comme ça. Humm, je viens. Ne change rien…

Je dirige mon regard sur ce que je suis en train de faire. J’entends un soupir, puis vois plusieurs giclées sortir de ce gland gonflé. Les premières s’écrasent sur son haut de jogging, les dernières sur ma main. Je suis fière et ravie d’avoir réussi à la faire jouir sans aide de sa part, contrairement à la dernière fois.

Avant de partir de chez lui, je lui dis que je ne pourrai pas venir le voir mercredi, des voisins m’ont demandé de garder leur petite fille tout l’après-midi. C’est bien passé.

Le week-end se passe, lundi, mardi, mercredi matin arrive. Le stress, la peur, une tension sont en moi. Je me réveille de bonne heure, pas du tout sereine. La matinée se passe, je suis toute seule. L’heure tourne, je vais prendre ma douche, me coiffe comme il le faut, m’habille avec un pantalon jeans, un haut tee-shirt, mais je ne me maquille pas pour ne pas trop provoquer les choses.

Je prends mon vélo, et prends la direction de la maison de mon oncle qui est à une vingtaine de minutes de mon domicile. Quand j’arrive devant son portail, mon cur bat rapidement, je manque de salive, une grosse peur est en moi.

Je sonne à la porte. Il m’ouvre en me souriant.

— Bonjour Nathalie. Je suis content que tu sois venue.

— Bonjour, c’est toi qui m’as demandé de venir.

— Oui, je sais, mais je ne savais pas si tu allais oser venir.

— Je n’ai pas trop le choix il me semble

— En effet, pas trop le choix si tu veux que je ne parle pas. Viens, entre, on sera mieux à l’intérieur.

J’entre, il ferme la porte derrière moi et me devance pour que je le suive et que nous allions dans la salle à manger. Il m’invite à m’assoir et me propose quelque chose à boire. Comme j’ai la bouche sèche, je lui demande un grand verre d’eau.

— Tu as très soif ? Tu es stressée ?

— Je suis assez stressée. Je ne sais pas ce que tu attends de moi.

— Je vais tout t’expliquer, et nous allons commencer dès aujourd’hui.

Il revient avec un verre et une bouteille d’eau fraîchement sortie du frigo. Il se place devant moi. Je bois, je ne dis rien, j’attends qu’il engage la conversation.

— Alors tu es toujours décidée à être gentille avec moi ?

— Dis mi ce que tu veux de moi ?

— C’est simple, je vais t’apprendre à donner du plaisir à un homme, et en même temps tu vas me donner du plaisir. Mais ne t’inquiète pas, tu vas en prendre autant que moi. Tu verras.

— Qu’est-ce que tu n’entends pas te donner et prendre du plaisir ?

— J’entends que tu vas me faire de bonnes choses sous mes explications, et que je vais aussi te faire de bonnes choses qui te donneront du plaisir. Toujours d’accord ?

— Tu parles sexe là ?

— Oui, on peut dire comme ça. Mais je t’ai promis que je ne toucherai pas à ta virginité.

— Et si je refuse ?

— Comme tu le veux. Tu as la possibilité de refuser. Mais je serai obligé de tout raconter et noublie pas que j’ai une photo de toi en train de fumer.

— Je peux la voir cette photo ?

— Non, je ne te la montrerai pas. Tu en auras la surprise si je dois la montrer à tes parents. Alors ?

— D’accord, on commence par quoi ? !

— Ne sois pas agressive. Ça ne sert à rien. Détends-toi. Tu peux fumer une cigarette. Et tu n’as pas besoin de sortir. Tu es libre de fumer ici. Ah ! Au fait ! A ce propos, je t’ai acheté un paquet. Tiens, il est pour toi.

— Pourquoi tu m’as payé un paquet ?

— Parce que ça me fait plaisir, et je t’en rachèterai d’autres.

— Merci !

Je prends une cigarette, et la fume devant lui, sans aucune gêne. Il me regarde en me souriant. Je ne peux pas dire que de mon côté, je suis très souriante.

— Tu aurais pu t’habiller un peu plus sexy.

— Pourquoi, je suis mal habillée ?

— Non, pas du tout. Mais tu aurais pu mettre par exemple une jupe ou une robe et un décolleté.

— Ben… Non, je ne me suis pas habillée comme ça.

— Dommage.

Il se lève, fait le tour de la table, vient vers moi, et me caresse les cheveux.

— Tu es belle tu sais ?

Je ne réponds pas

— Tu vas te lever s’il te plaît.

Je me lève et me place en face de lui. Ses mains caressent mes joues et mes cheveux. Son visage s’approche du mien, il dépose un baiser sur une de mes joues. Je ne dis rien, je ne bouge pas, mon cur bat très fort. Je suis prise au piège !

Son visage se rapproche une fois de plus vers le mien, il tente un baiser sur mes lèvres. Je tourne la tête pour éviter ce baiser.

— Être gentille avec moi veut dire que tu te laisses faire. Je ne vais pas te faire de mal.

Je ne réponds pas. Il fait une deuxième tentative à embrasser mes lèvres, je ne bouge pas. Ses lèvres sur les miennes, il dépose doucement plusieurs baisers sur celles-ci.

— J’aime la douceur de tes lèvres. En plus d’avoir de jolies lèvres, j’en étais sûr qu’elles étaient douces. Cette bouche, je vais lui apprendre comment donner du plaisir à un homme. (En passant son index dessus). Tu veux ?

— Qu’est-ce que tu veux dire par leur apprendre à donner du plaisir à un homme ?

— Tu verras. Je suis pratiquement sûr et certain que tu vas aimer ce que je vais leur apprendre. Ta bouche est dessinée pour faire plaisir aux hommes.

Ses mains ont pris possession de mes seins au travers le tissu de mon tee-shirt. Je suis debout, devant lui, comme un statut. Il embrasse délicatement mes lèvres, mes seins sont malaxés délicatement.

— Suce mon doigt (En présentant son index devant ma bouche)

L’extrémité de son doigt sappuie sur mes lèvres fermées.

— Suce mon doigt. Mets-le dans ta bouche.

Je m’exécute. J’ouvre la bouche, il introduit doucement son index entre mes lèvres. Il le fait aller et venir lentement.

— C’est bien. Tu as une bouche très prometteuse. J’ai l’impression qu’elle va vite apprendre. Tu sais que ça fait pas mal de temps que ta bouche ne me laisse pas indifférent ?

— Ah bon. Et pourquoi ?

— Parce que tu as une superbe bouche, et qu’elle est faite pour le plaisir. Juste à la forme qu’elle prend contre mon doigt, elle est juste magnifique. Tu vas apprendre à t’en servir.

Tout en me caressant les seins, il m’embrasse une autre fois, mais cette fois-ci, je sens sa langue se promener sur mes lèvres. Je n’ouvre pas la bouche.

— Tu n’embrasses pas ton copain avec la langue ?

— Si, mais c’est mon copain.

— Fais comme tu fais avec lui. Laisse-moi mettre ma langue dans ta bouche. Je veux voir si tu sais bien embrasser avec la langue.

Sa langue force l’ouverture de mes lèvres. J’entrouvre ma bouche, sa langue chercher la mienne. Comme je suis prise au piège, je tourne ma langue autour de la sienne.

— Tu embrasses très bien. (En se serrant plus fort contre mon corps). Tu vas maintenant retirer ton tee-shirt et ton soutien-gorge que je puisse admirer ta jolie poitrine.

J’hésite, et je fais ce qu’il me demande. Il me regarde. Je me retrouve toujours debout, devant lui, les seins à l’air.

— Tu as une de ces paires de seins ! J’avais remarqué que tu avais une bonne paire, mais je ne la pensais pas aussi grosse !

Il prend mes seins dans ses mains, les caresse, les malaxe, les comprime l’un contre l’autre, pour en arriver à faire rouler mes tétons entre ses doigts. Ils durcissent, ils deviennent sensibles. Sa bouche s’approche, sa bouche prend un téton, le lèche lentement, puis l’aspire sans aller trop fort pendant que mon autre sein est toujours malaxé.

Mon petit chéri, Éric, a fait la même chose la semaine dernière. J’avais apprécié. Mais j’ai presque honte de dire que mon oncle s’y prend tout à fait différemment, et que je ne peux pas rester insensible à ses caresses.

— Mais dis donc petite coquine. Il semblerait que tu aimes ce que je te fais. Non ?

— Ça me donne des frissons.

— Des frissons de plaisir ? Ton copain ne te fait pas la même chose.

— Non. (Ce n’est pas vrai, mais je ne veux pas qu’il sache ce qu’il a fait une fois avec ma poitrine).

— J’ai du mal à te croire. Allez, viens, on va aller dans le canapé, je vais m’occuper de tes seins. Tu vas aimer c que je vais te faire. Tu as de la chance, j’aime les grosses poitrines.

Nous nous dirigeons vers le canapé, il me fait asseoir, il s’installe à côté de moi. Mes bras le long de mon buste, mon oncle me mange les seins. Mais toujours dans la douceur. Jamais brusquement. Je sens qu’il s’excite sur mes seins, il met sa tête entre les deux, les pétris, les embrasse. Il grogne.

Au bout d’un moment, je ferme les yeux. Je prends du plaisir. C’est avec honte que j’avoue que j’aime sa façon de faire. Mais je ne lui montre pas. Mon petit ami, Éric, ne s’y prend pas du tout pareil, mais je pense qu’il est moins expérimenté que mon oncle.

— Alors coquine, je crois bien que tu aimes qu’on s’occupe de tes gros seins. Dis-le !

— Oui

— Dis-le mieux que ça

— Oui, j’aime

— Maintenant que je t’ai donné du plaisir, c’est à toi de m’en donner. D’accord ?

— Comment je dois te donner du plaisir ?

— Je vais t’expliquer. Tu vas me donner du plaisir avec tes seins.

— Je fais comment ?

Sans me répondre, il se lève, baisse son pantalon et son caleçon jusqu’à ses chevilles. Etant assise, lui debout devant moi, je vois son sexe droit, tendu. Je suis troublée, les minutes passent trop lentement. Je voudrais que ça se finisse vite.

Il s’approche de moi, reste debout, me demande de prendre son sexe dans ma main. Je lève le bras, fais ce qu’il me demande.

— Vas-y, fais des va-et-vient. Là tu es en train de me branler. Doucement ! Depuis le temps que je bande, tu vas finir par me faire jouir si tu ne ralentis pas. Tu en as consciente ?

— Non, je ne le sais pas

— Ben moi je te le dis. Tu le fais à ton chéri ?

— Non. Je ne fais rien avec lui pour le moment.

— Arrête de me mentir, sinon, je vais te donner une fessée ! Je sais très bien que tu l’as fait. Je le sens que ce n’est pas la première fois que tu branles un homme. Hein ?

— Oui, je lui ai fait deux fois.

— Tu l’as fait jouir ?

— Oui

— Où ?

— Dans ma main.

— Ah tu vois ! Donc tu es déjà une petite branleuse à ce que je vois. Arrête un peu, tu vas me faire craquer sinon. Tu lui as fait que deux fois ? C’est vrai ?

— Oui, c’est vrai. (Mes mains sur mes cuisses)

— Alors dis-moi que tu es une branleuse

— Je suis une branleuse

— Dis-moi que tu es une branleuse de bites !

Je ne le dis pas

— Dis-le-moi !

— Je suis une branleuse de bites.

Il s’assoit à côté de moi. Me demande de me mettre à genoux entre ses jambes. J’hésite à la faire, mais il renouvelle sa demande. Pour que ça finisse plus vite et que je puisse rentrer chez moi, je le fais. Je me place donc entre ses jambes, qu’il a écartées, et me mets à genoux.

— Approche-toi. Mets tes seins contre mon sexe. Voilà, c’est bien. Tu sais ce que tu vas faire maintenant avec tes gros seins ?

— Non.

— Tu vas mettre mon sexe entre les deux, tu vas serrer tes seins l’un contre l’autre, et tu vas me branler comme ça. Tu lui as fait à ton copain ça ?

— Non.

— C’est vrai ? J’ai un peu de mal à te croire. Parce qu’avec les seins que tu as, sache que beaucoup hommes te le demanderont. Tu vas souvent te faire gicler dessus.

— C’est vrai, il ne l’a pas fait.

— Serre bien tes seins contre ma queue. Fais monter et descendre tes seins contre ma queue. En fait, tu fais comme avec ta main, avec le même rythme. Oui, c’est ça, tu te débrouilles bien pour une première. Tu vas me faire exploser si tu continues comme ça.

Je le masturbe de cette façon. Je prends bien soin de serrer mes seins de manière à ce que son sexe ne sorte pas d’où il est. C’est la première fois que je fais ça, mais j’ai vite compris ce qu’il fallait faire. Rapidement, je le vois se crisper, fixer son regard sur mes seins, ses mains se plier.

— Oui, ne change pas de rythme ! Je vais venir entre tes gros seins. Oui, c’est bon, je viens. Haaaa, oh là là, c’est bon ce que tu me fais ! Humm. Tu me fais jouir là !

Je fais ce qu’il me demande de faire à la lettre. Je sens sa semence se répandre entre mes seins. J’en ai même un peu sur les mains. Malgré le sperme, je garde le rythme.

— Stoppe, arrête de me branler, je suis trop sensible !

J’arrête, je lâche mes seins, je reste à genoux. Il prend son sexe dans sa main, et le promène sur ma poitrine pour étaler son jus.

— C’est bien. Tu as fait ça comme une pro. Si tu veux aller te nettoyer, va dans la salle de bain, tu trouveras un gant et une serviette sur le bord du lavabo.

Je vais dans la salle de bain, me lave, retourne dans la salle à manger, et remets mes vêtements.

— Tu veux boire quelque chose ?

— Oui, je veux bien.

— Sers-toi.

— Tu as été parfaite. Tu as fait une superbe branlette espagnole. Merci à toi.

— De rien. (Je suis vexée d’avoir pu faire ça à mon oncle, donc je ne suis pas très fière de moi).

Je ne prends même pas le temps de fumer une cigarette, je repars vite chez moi. Une fois arrivée chez moi, je file vite prendre une douche, je me sens sale.

Je ne l’ai pas vu que quelques jours, mais pendant ces quelques jours, j’ai tout de même été troublée par ce qui est arrivé.

La suite dans le prochain chapitre ?

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