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Corps à corps entre Cindy, Laura et finalement moi. – Chapitre 1

Corps à corps entre Cindy, Laura et finalement moi. - Chapitre 1



Préambule :

Cette histoire sest passée lors de vacances à Ibiza.

Cindy était la meilleure amie de ma sur et occasionnellement ma sex-friend secrète car à lépoque jétais un expatrié vivant sans attache. Javais eu de ma sur linterdiction formelle de brancher son amie à lâge de 21 ans après 7-8 ans jai estimé quil y avait prescription et je narrivais plus à détourner mes envies de Cindy alors que je voyais dautres hommes devenir ses partenaires.

Cindy et moi avions planifié discrètement ces vacances la semaine du 24 décembre de lannée précédente et je vais vous conter tout le cheminement nous ayant amené à aller au-delà de ce que nous naurions jamais imaginé faire…

Nous avions lidée de répondre à deux-trois de nos fantasmes qui prévoyaient entre autres de nous ouvrir sexuellement à dautres partenaires.

Pour la partie dialogue, cest romancé car dans la réalité du moment nous étions plutôt silencieux et quelques mots suffisaient, appuyés de quelques sourires et regards entendus, pour que lon se comprenne.

Nous avions une complicité exquise.

Ainsi pour le dialogue qui suit, il faut simaginer que nous étions dans ce mode empathique du jeu des sourires et des regards de connivence. Toutefois pour le besoin du souvenir narré ici, jen ai fais un dialogue.

Cindy est une jolie femme en fin de vingtaine au moment du récit : 1.62 pour 52 kilos, des additions de chair que je trouve particulièrement bien réparties tant elle est belle et menue.

Elle a une origine mêlée italienne, portugaise et grecque ce qui laisse présager des critères physiques des beautés latines européennes quand la mixité sera réellement un échange commun dans un futur proche.

Peau mordorée dès le premier bain de soleil, regard pétillant noisette et sourire subtile finissent dachever le contemplateur que jétais à cette époque.

Dans ce souvenir, il sétait agi de réaliser mon fantasme de la voir lutter mano-à-mano avec une autre femme et le simple fait de lavoir évoqué avec Cindy mavait valu de beaux souvenirs orgasmiques tant elle se prêtait de manière délictueuse à sa narration lors de jeux coquins, pour me mettre en émoi.

Haaa… quand une femme SAIT ce qui vous émoustille, elle en abuse et abuse car son plaisir de vous voir dans tous vos états lui donne ce sentiment agréable de vous contrôler et de vous soumettre à sa volonté.

Le combat de lutte que je décris a bien eu lieu dans ces circonstances mais je lai romancé sous livresse de lécriture et lardeur du moment exceptionnel que jai vécu. On ne men voudra pas pour avoir voulu le rendre un peu plus engagé que ce quil fut vraiment. Mes deux amies ont eu de la fougue mais elles n’ont pas de techniques de lutte, ainsi même si le combat a été très intense, il n’a pas été aussi épique et aussi émotionnellement fort que je le décris par la suite.

La première partie du récit conte notre rencontre avec Laura, une jeune femme irlandaise, devenue notre amie au cours de ce séjour et qui a lutté contre/avec ma compagne.

Je voulais donner vie aux jours précédents le combat car ils font partis de la construction même du plaisir qui a été le nôtre au moment de la conclusion charnelle dans laquelle nous nous sommes abandonnés par la suite tous les trois.

Ainsi, si vous êtes intéressés par le combat lui-même, sautez ce long passage et rendez-vous à la partie à l’hôtel ("Le repas avait été préparé sur le balcon de notre chambre dhôtel").

Et enfin, juste pour la partie sexe, allez tout en bas et remontez au moment où l’action commence à trois… mais il manquera un peu du sel des scènes précédentes.

Pour celles et ceux qui sont intrigués par le tout, ça commence maintenant…

Récit :

Alors ?, susurrai-je

Cindy me regarda en inclinant ses lunettes de soleil.

Alors quoi?, répondit-elle, amusée de me taquiner sachant pertinemment ce que je mapprêtais à lui demander.

Quoi quoi ?, tu sais bien…, Laquelle ?, ça cest la question, et… si tu veux toujours of course…

Elle me sourit coquine à croquer dans son bikini jaune deux pièces.

Ok, tu la choisis et je vois si elle me convient…

Je lui souris à mon tour, les yeux légèrement plissés, le cur battant sentant déjà le bout de ma verge sentêter denvie simplement à lidée que la belle minvitait à nous engager sur mon fantasme.

Alors… que pense-tu de celle-la?

Loscillation de mon menton invita Cindy à regarder une jolie blonde qui rêvassait assise les pieds dans leau sur le bord de la piscine.

Hum… fausse blonde peroxydée, si elle a des faux-ongles, je la vois bien griffer en plus… non, pas elle… suivante !

— Pourtant, elle a un joli corps et… ok, je vais trouver tu as raison, elle doit être fake à bien des égards.

Mon regard embrassa toute la populace des baigneurs de lhôtel.

Cest pas le choix qui manque, fit Cindy en touillant ses glaçons dans son verre.

Ah tiens, le groupe de latinas là-bas, la plus fine au milieu

Cindy prit le temps de la réflexion, la fille de type brésilienne était jolie mais… finalement je répondis avant elle:

Entourée de ses copines, elles sont là pour séclater, faire la fête et pas forcément tenter des expériences…

Ma compagne eut un petit sourire et re-plongea ses yeux dans la foule de touristes.

Nos regards se portèrent au même endroit… et plus précisément sur la même fille.

Une jolie brune très fine, à la longue chevelure lisse et à la peau de porcelaine, dont la mèche la plus longue lui descendait au bas du dos, semblait hésiter à poser sa serviette sur le transat juste à côté de nous.

Deux yeux bleus intenses, un sourire aimable et charmant, elle nous demanda dans la foulée Can I lay down here?

Je savais que Cindy avait un anglais hésitant, mais la question posée était évidente et je fus surpris de la voir répondre avant moi dans un anglais de sonorité bien française :

Yes, you can.

Les filles séchangèrent un sourire franchement sympathique.

La jeune femme anglaise ou irlandaise du fait de la blancheur prononcée de sa peau, mavait plu au premier coup dil et cétait avec ravissement que je la vis sétendre gracieusement sur le transat à côté du mien.

Cindy eut un regard gentillement réprobateur, entièrement consciente des images peu chastes que javais en tête.

La fille nous sourit encore une fois avant de sadonner à la lecture dun roman.

Je fis anodinement du bruit en tirant sur la paille de mon cocktail à force de biberonner dessus.

Cindy tourna le dos à létrangère et madressa une petite moue duck face, rehaussant ses sourcils lui donnant tout à fait lexpression dune lolita qui savait son homme excité.

Je me pinçai la lèvre inférieure entre mes dents, renifla par accoup et fit aussi un duck face implorant tout en criant mentalement : Elle ! Elle ! Pleeeeaaase !

Elle baissa furtivement les yeux, me décocha un sourire complice et se leva pour aller se baigner me laissant le champ libre pour entamer la conversation avec cette jolie inconnue.

Nous amorçâmes donc le plan, car oui il sagissait bien dun plan qui était censé nous permettre de deviner tous les signes qui nous conforteraient dans lidée de voir si la fille choisie serait réceptive à un contact charnel avec une autre fille

Nous devions espionner les détails quelle laissait échapper et qui pourraient nous amener à penser que nous avions là – ou pas – une candidate pour nos jeux coquins.

Le regard furtif de la belle étrangère, donné lair de rien par-dessus son livre pour mâter le déhanchement de ma compagne, mavait encouragé à me lancer dans la phase dapproche même si je pouvais à ce moment me tromper sur ce réflexe banal dune femme en regardant une autre vite fait…

20 minutes passèrent quand Cindy revint le corps ruisselant de gouttes deau. Elle était troublante de beauté avec ses reflets scintillants sur sa peau bronzée.

Je ne suis pas timide, cest une chance dont jai conscience et jai de laisance pour parler.

Ainsi, nous riions avec Laura, et deux cocktails, un vide et un sur le point dêtre fini, marquaient déjà la détente de la jolie touriste.

And there she is, Cindy!, La jolie brune accueillit la baigneuse avec un sourire charmant.

Cindy peu à laise avec la langue de Shakespeare eut un petit trémolo dans la voix et bredouilla un hello un peu intimidée.

My name is Laura!

— Heu…. Nice to… meet you…Laura!

— Jadore ton accent ma chérie, tançai-je vers ma compagne.

Cindy du rougir très fugacement, mais le teint caramel de sa peau lui conférait lavantage du doute.

— Nice to meet you too! You look so lovely! You two make a really handsome couple!

-… thanks!, hésita en souriant Cindy.

Jexpliquai à Cindy que Laura était Irlandaise, en vacances organisées par sa boîte pour laquelle elle travaillait en tant que réceptionniste.

Elle était heureuse davoir rencontré quelquun ayant connu Dublin (jy ai vécu 5 ans).

Le courant était passé entre nous trois à force de rires, de gentilles moqueries sur la fausse rivalité France-Irlande au rugby le tout ponctué de quelques effets de charmes ; Nous étions tous trois conscients de notre potentiel de séduction…

Nous nous séparâmes en fin daprès-midi, nous donnant rendez-vous pour le lendemain un peu plus tôt pour aller visiter la ville et faire les boutiques.

Au cours de la journée du lendemain, Cindy et Laura avaient chacune vêtu un paréo de couleurs. Cétait la tenue de la plupart des femmes du pays, soit des 90% des touristes féminines.

Lunettes de soleil fichées dans les cheveux pour Cindy et au bout du nez pour Laura, je me sentis flatté dêtre accompagné par deux aussi ravissantes jeunes femmes.

Je pus tout au long de notre ballade admirer leur taille fine, les courbes exquises de leur silhouette et leur démarche chaloupée. Ce que je trouvais appétissant était leur taille et leur poids identique, me laissant présager dune force égale. De plus leur jolie voix était délicieusement chantante et évidemment mon fantasme me taraudait en imaginant les deux donner de leur petite voix flûtée pendant leur confrontation musclée…

Mon agacement érotique crût un peu plus tard, lors des séances dessayage où jeus droit à un défilé entre les deux nymphes. Proposant lil expert de lhomme, je les conseillais sur leurs achats de fringues locales, tee-shirt et de petits boxers moulants au capital hautement subjectif.

Javais trèschaud et Cindy samusait en me passant des petites mains aux fesses. La belle mattrapa même au détour dune ruelle et membrassa langoureusement alors que Laura était occupée à brasser des vêtements dans un panier proposant un vrac de bonnes affaires.

Cindy était en mode volcan qui séveille et le retour à lhôtel sannonçait sulfureux entre elle et moi. La chaleur ambiante titillait nos libidos et je surpris le manège complice auquel les filles se livraient depuis un petit moment : Chaque inclinaison de tête après une taquinerie ou à chaque interpellation dans les magasins, était accompagné dun grand sourire qui charmeur, qui enjôleur, les rendaient complices de songes plaisants.

Elles se plaisaient.

Cindy et moi avions eu le doute la veille lors de notre première conversation. Cette journée, nous étions sûrs que Laura ne seraient pas farouches à une tentative de lamener dans notre lit.

Du moins, nous en avions le sentiment fort pour cette escapade, quant à accepter un combat de lutte….

Alors que Laura partait pour essayer une jupe très colorée, je demandai à Cindy :

Toujours partante ?

Elle me sourit (et je revois la lente oscillation de tête, le soleil dans ses cheveux, sentant sa main dans la mienne faire une petite pression) Oui et elle ajouta mystérieuse Et Elle embrasse délicieusement bien…

Devant mon air bêta, Cindy eut un petit sourire et mindiqua de rejoindre notre amie. Tandis que je mengageai dans la direction où Laura devait se trouver je restais un peu déboussolé sur cette révélation : Ma compagne mavait devancé, mais je navais pas vu à quel moment… je crois que quelque chose avait disjoncté dans ma tête. Cindy mavait toujours dit que lutter, même nue avec une fille ne la dérangerait pas mais quelle ne lui ferait rien dactivement sexuel ou bien même de lembrasser.

Le cerveau est une véritable éponge et, sollicité au carburant du désir, il restitue tout de manière très précise dans une chronologie parfaite !

Très honnêtement, je ne savais plus trop où jen étais et je ressassais les échanges de regards entre elles, de taquineries, de petits contacts de mains sur lépaule de lautre, sur le bras, ou sur leur hanche

En fait jessayais de voir où Cindy avait craqué mais moi qui la lisait habituellement si facilement, là, je ne voyais que des gestes habituelles de filles entre elles.

Certes il y avait eu du charme entre nous, mais je voyais plutôt entre elles une complicité encourageant Laura à entrer dans la romance de notre couple et quà fortiori ce jeu de charme métait destiné.

En fait je ne mattendais pas que Cindy et Laura puissent se charmer à leur tour Ma jolie petite amie avait craqué pour le charme irlandais !

Tout à mes pensées, je trouvai Laura au cabine dessayage.

Je distinguais ses mouvements brefs derrière le rideau. Je vis même son paréo accroché au porte-manteau par lentrebâillement.

Le bruit feutré de ses gestes, sa respiration je devinais exactement le moment où elle enfilait la jupe quelle essayait.

Le zip du vêtement confirma ma lecture de son ombre chinoise.

Ses longues jambes blanches sortirent les premières… Tout en se montrant à la vue de tous, ses yeux me captèrent à peine surprise de me voir.

Son sourire fut spontané. Son beau visage était agréablement captivant…

En anglais je lui dis You are stunning wearing that dress (Tu es stupéfiante dans cette jupe)

Son sourire redoubla, illuminant sa beauté en peau divoire.

Elle sadmira quelques secondes dans la glace de la cabine en présentant une hanche puis lautre, puis son image réfléchie me décocha un sourire plus… charmeur (ça, cest un truc fou messieurs! Une femme qui vous regarde avec un air amusé-coquin-intéressé grâce au reflet dun miroir je trouve que cest un prémice érotique particulièrement grisant…)

You like the way I look?

— …oui, la jupe nest quun faire-valoir presque futile à ta beauté. (et ça en français car je nai pas eu limmédiateté de la formule anglaise en tête) puis jenchaînais sur un :

— Just said that the dress is an excuse…for to I cant mean it the way I would like but

Elle rit.

Nous nous plaisions en cet instant et cest le cur battant la chamade que…

Je mapprochai delle et la prenant par lépaule, je lentraînais dans la cabine dessayage.

Nos lèvres se trouvèrent en une fraction de seconde. Elle sétait déjà dressée sur la pointe des pieds…

On sembrassa avec avidité.

Tout en nous dévorant de baisers, je la plaquais contre la cloison et je sentis la tendresse de ses seins pressés à travers le fin tissu du top de son bikini.

Josai remonter son paréo et je glissai ma cuisse entre ses jambes.

Elle frotta son maillot très naturellement sur ma cuisse repliée sous elle.

Son souffle devint court… au moment où je mécartai delle !

Elle eut un temps dhésitation un peu surprise de ma réaction et dit un peu empressée

Cindy I kissed her, she told me that you like me too, so…

Je la regardai le sourire intrigué-intéressé. Elle confirmait que ma compagne avait effectivement eut sa petite faiblesse.

(Je change pour le français pour les prochains échanges en anglais avec Laura pour plus de simplicité)

— Cindy sait ce que je fais là, annonçai-je.

La jolie brune secoua rapidement sa chevelure un peu dans lattente de la suite que je donnerai.

Je continuai.

— Viens nous retrouver dans notre chambre ce soir, on dînera tous ensemble. Vous ferez plus amples connaissances toi et Cindy.

La jolie brune réfléchit deux secondes à peine et esquissa un sourire coquin.

— Daccord, je viens à quelle heure ?

— 20 heures, fais-toi… belle, lui dis-je en tirant le rideau de la cabine dessayage, et… mets un string, si tu en as un

Je rougissais en faisant volt-face sur cette dernière demande, sans regarder sa réaction.

La laissant au magasin, je retrouvai Cindy sur le trottoir den face qui samusait à essayer des lunettes de soleil.

Un sourire de ma part, elle comprit que nous mangerions à trois ce soir…

Le repas avait été préparé sur le balcon de notre chambre dhôtel.

La vue donnait sur lhorizon dun soleil qui sétirait lentement avant de se coucher, offrant un spectacle nimbé de lumière orangée à la beauté époustouflante…

tout autant que Cindy qui parut dans une robe moulante noire, avec escarpins à talons fins et bracelet de cheville aux scintillements détoiles.

À cet instant, elle incarnait lélégance raffinée absolue. Mon cur marqua un temps darrêt et je manquais de respirer durant 5 secondes, interdit (jétais soufflé, jadorais la voir en tenue de soirée).

Un pendentif en cristal de Zwarosky plongeait dans la vallée de ses petits seins et des lumières réfléchies des orangées du soleil couchant teintaient et rappelaient avec justesse la pupille obsidienne de ses yeux.

Elle était maquillée avec raffinement, étirant un trait à la manière des égyptiennes pour allonger son regard quelle avait de…mystique!

Ses lèvres, rehaussées dun rouge à lèvre plus carmin que dhabitude, ressortaient leur bel ourlet et lenvie de lembrasser ne tarda pas à me consumer.

Elle navait pas de soutien-gorge. Sa robe couvant avec justesse la finesse de ses seins (quelle a de petits mais délicatement dessinés) présentait toutefois un entrebâillement fin dévoilant un peu de leur douce sensualité.

Assurée, elle arborait ce sourire emprunt de lexquise féminité de celles qui se savent tout naturellement belle en jean et, en robe de soirée, divine…

Jétais sous le charme, elle le vit et dit…

Mon string est noir…

— Me chauffe pas trop vite, tu es somptueuse…

— Je sais…, elle rit.

Je lui répondis par un sourire presque intimidé et secoua la tête pour reprendre mes esprits.

Cest à ce moment quon frappa à la porte.

Je vais ouvrir, dis-je Je savais que moi aussi je ferai impression.

Jétais en costume de soirée et chemise bleue nuit. Je me défendais pas mal physiquement et je sus que Cindy était en train de mater mes fesses pendant que je me dirigeai vers lentrée.

Les coups avaient été délicats et ils furent répétés un peu plus fort à la porte.

Jouvris sur une deuxième vision de rêves.

Laura en robe blanche et jaune de type Marylin Monroe inondait de lumière le vestibule de lappartement.

Sa chevelure brune cascadait, soyeuse et ondoyante, débordait ses épaules et soubliait au bas de son dos. Ses yeux bleus limpides avaient en regard mutin et pétillant. Sa peau blanche dIrlandaise avait des reflets naturels dun brillant ivoire qui allait en harmonie avec la blancheur de son sourire.

Maquillée elle aussi, elle avait utilisé un fond de teint et un bleu léger pour les yeux ainsi quun gloss brillant sur ses lèvres ce qui accru dun cran sa beauté naturelle.

Elle avait aussi un décolleté à leffet très envoûtant et dont on voyait le doux rebondit du flanc de ses seins dépassant légèrement vers lintérieur.

Une bouteille de vin à la main, elle avait aussi prit le temps de me savourerdu regard.

Me passant devant, je lui décochai un sourire complice et… une main touchant sa taille (je nosai pas , je minterdisais – malgré léchange de laprès-midi – de descendre plus bas ma main dailleurs, je sentais ce geste déplacé en ce tout début de soirée) Elle ondula des hanches toutefois sous ma caresse furtive…

…Et les deux jeunes femmes se découvrirent

Je lus instantanément dans leur regard de la stupéfaction, un peu dadmiration, une légère surprise, un temps de calcul rapide où elles se jaugèrent instantanément et la pointe de jalousie naturelle des femmes en présence de beautés de leur acabit (enfin, cest comme ça que jai interprété ce petit temps darrêt dans léchange de regard les découvrant lune à lautre).

Tu… es… superbe… Cindy !

Laura avait détaché chacun de ses mots pour marquer son compliment comme le font les anglo-saxons pour amplifier leurs propres émotions et marquer ainsi leur compliment.

Je répondis plus vite que la principale intéressée…

Elle le sait…

Cindy menvoya un regard bref, dubitatif et amusé.

Toi aussi Laura!, dit Cindy en renvoyant le compliment.

Laisse moi te regarder, ton pendentif cest du cristal ?

La belle irlandaise sapprocha de la sublime française et le plus simplement du monde, elles se prirent par les mains. Je crus voir un tableau vivant des nymphes dAphrodite en train de babiller sur leurs atours.

Très naturellement, elles se complimentèrent et se permirent de poser sur lautre des regards sans gêne, privilège dêtre une femme parlant fashion et beauté avec une consur.

Pendant que les filles samadouaient, je mis au frais le vin apporté par Laura et je servis trois coupes de champagne.

À cette soirée, commencée sous le signe de la beauté !

Nous trinquâmes et tout sourire nous primes nos aises dans le salon. La baie vitrée grande ouverte, laissait entrer la brise à peine chaude dune nuit des Baléares et les premiers chants des insectes nocturnes.

Tout fut classe et naturel à la fois : Laura se révélait une invitée exquise et très vite Cindy et elle parurent comme deux bonnes copines de longue date.

À chaque rire elles se tapotaient doucement lépaule ou posaient sans gêne une main sur le genou de lautre. Elle cherchait à se capter de manière marquante par ces gestes peut-être pour attiser lenvie et lattention de lautre à chacune de leurs phrases, à chacun de leurs rires de flûte.

Le champagne semblait sévaporer à peine versé dans les coupes, personne ne voulait se modérer.

Nous étions jeunes et avides de nos beautés, heureux de passer une soirée qui était explicitement chargée de promesses. Nous sentions, nous percevions, aux travers des regards, lexcitation grandissante des probables et des attentes palpables de nos imaginaires en effervescence…

Cindy était tellement à laise quelle neut pas de mal à comprendre langlais que rendait fort simple Laura. Assise lune à côté de lautre, mon imagination, quant à elle, avait déjà jeté son dévolu sur des scènes allant de lérotique impliquant les deux jeunes femmes seules, au pornographique où je me voyais en prendre une sur le canapé tandis que lautre se masturbait en nous regardant

Vince…

Jétais dans mes songes.

Vince ?, Cindy répéta mon prénom tout en souriant de manière complice à Laura.

Euh…oui ?, je sortis de ma rêverie.

— Laura demande où jai trouvé ce bracelet de cheville, cest toi qui me la offert…

— Je lai trouvé au milieu dautres joyaux, dans le trésor de Willy le Borgne

Laura rit

— Tu étais un des goonies ?

— Oui, le plus cool de tous…

Et Cindy de me charrier :

— Cynok ?

Laura, pliée de rires, se pencha sur les cuisses de Cindy…

et dans ma tête survint aussitôt une nouvelle image sexy de la bouche de lirlandaise suçant le clitoris tendre et humide de lenvoûtante française…

Une heure, deux heures… passèrent et jouvrai une troisième bouteille de champagne…

Lalcool les déshinibant, les filles me lançaient des regards appuyés, parfois la bouche entrouverte sur un désir soutenu par la pensée mais retenu presque aussitôt, conscientes que le jeu de la séduction était à son paroxysme.

Chacune avait posé négligemment sa main sur la cuisse de lautre. Laura caressait presque imperceptiblement celle de Cindy alors que les doigts de la française reposait lair de rien vers lintérieur des cuisses de la belle anglaise, sa paume de main franchement posée sur lune dentre-elle.

Une acceptation tacite sétait installée entre elles et la certitude quelles se consommeraient sur ce canapé ne faisaient plus aucun doute.

Régulièrement leurs yeux tombaient sur le décolleté de lautre ou sur la protubérance épaisse quelles devinaient sous mon pantalon, mais le plus souvent elles se languissaient, de plus en plus béate, dans le regard charmeur de lautre…

Puis, le cur battant, Cindy se lança… Elle attendit que Laura posa son verre pour passer sa main derrière la nuque gracile de lirlandaise.

Celle-ci se laissa attirer vers Cindy laissant seulement leurs lèvres se gouter très suavement. Laura aussi passa sa main derrière la nuque de Cindy et elle lui rendit la même caresse.

Je les vis se redresser pour être plus proche lune de lautre. Cette fois-ci la langue de Cindy glissa sur les lèvres de Laura pour caresser la sienne. Elles étaient tout à fait immobile, seules leurs langues se lovaient tendrement et se caressaient dans un long baiser.

Cindy se recula un peu, un sourire de désir aux lèvres. Elle semblait reprendre son souffle.

Me regardant puis se tournant vers Laura qui affichait la même mine séduite, elle inspira et dit :

Laura… Vincent et moi avons quelque chose à te demander…

Je vis les tempes de ma chérie palpiter un peu vite.

Le baiser langoureux et la hardiesse de sa prochaine question lempruntaient démotivité…

La belle irlandaise eut un sourire entendu et elle exerça une petite pression délicate au genou de Cindy, linterrompant avant quelle ne poursuive plus loin…

Je suis daccord…, murmura-telle avec un doux sourire.

Cindy du rougir et sa respiration saccéléra légèrement sachant que la demande serait peut-être trop exotique au goût de Laura. Mon fantasme se jouait ici.

Lencourageant à faire sa demande exotique, Laura poursuivit : Tu es très belle Cindy et Vince tu me plais aussi beaucoup et…

Cindy prit délicatement la main de Laura linterrompant à son tour.

Ma compagne cherchait ses mots et elle eu un petit déglutissement quand ceux-ci, dans son anglais approximatif, lui parvinrent.

Je vais boire dabord un peu plus et je te le dis

Demande-moi, tu es timide soudain cest quelque chose avec des objets…sexuels ?

Cindy vida dun trait son champagne.

Hum… en fait cest un peu plus épicéeque ça… tu as déjà fait un peu de catch de la bagarre pour jouer avec une fille ? Est-ce que tu as déjà…, Cindy était cramoisie et elle nosait plus aller plus loin dans sa demande.

Les deux jeunes femmes échangèrent un regard et Laura eut un mouvement de sourcils, surprise de la question.

Cindy se pinça les lèvres et me chercha du regard. Je sentais aussi une panique réalisant de manière très réelle combien cette demande en cet instant pouvait nous faire passer pour des anormaux à ses yeux Même avec la mention de Laura sur les sex-toys.

Si, une fois…. avec une amie ! Cétait un délire cétait aussi là que jai embrassé une fille pour la première fois mais on na rien fait de plus que se pousser sur le lit et se faire des petits bisous. On avait 15 ans.

Elle eut un petit rire nerveux et avala elle aussi dun trait le reste de son champagne.

Je pris mon courage à deux mains et josai demander :

Et est-ce que tu accepterais de lutter contre Cindy pour moi, mano à mano…?

Laura se tourna vers Cindy, un demi-sourire interloqué, la demande la surprenait vraiment.

Cindy était silencieuse et moi javais peur de la réaction suivante (on était un peu mort de honte).

Les deux avaient les lèvres légèrement frémissantes

Laura baissa les yeux et posa à plat sa main sur le genou de la française.

Tu as envie de te battre avec moi Cindy ? , lui demanda-telle en la fixant droit dans les yeux.

Cindy fit un petit signe de tête non et posa sa main sur celle de Laura :

— Cest pas une bagarre mais on fait un combat de lutte toutes les deux, un catch entre filles pour voir laquelle de nous deux est la plus forte. Faut quon essaye vraiment de gagner. Ca plairait beaucoup à Vincent et moi, je nai jamais essayé mais jaimerais bien le faire avec toi si tu es daccord…

Laura toisa rapidement Cindy.

Toutes les deux les jambes croisées, elles étaient deux formidables bombes de sensualité…

La jeune Irlandaise hésitait encore un peu, mais son visage sempourpra légèrement en demandant :

— Si je gagne, je choisis ton gage… ok Frenchie ?

Cindy eut un haussement de sourcils, agréablement surprise à son tour…

— Daccord… et si je gagne, cest toi qui te plie à mes caprices… Ok lEnglish ?

— Irish…

— ha oui, Cindy retrouva dun coup le sourire, lirish !

Et moi je jubilai intérieurement, toutefois javais un large sourire qui illuminait ma face de mec totalement aux anges !

— Ok… Lets do this!

Et Laura commença à tendre les mains au devant delle dans lintention évidente de passer son bras autour du cou de Cindy qui par réflexe opposa ses propres mains pour bloquer sa soudaine approche…

Dun coup elles se retrouvèrent poitrine contre poitrine, assise sur le canapé, les visages à quelques centimètres à peine de lune de lautre. Leurs doigts enlacés, elles sengageaient sur une épreuve de force quand jintervins très vite :

— Attendez ! Lâchez-vous les mains.

Les deux filles avaient un sourire équivoque aidé par la griserie du champagne et qui comportait déjà une tonalité lointaine de défi.

Cindy était carrément soulagée et elle qui avait un peu angoissé la perspective dun combat de lutte depuis notre certitude de partir pour Ibiza, montrait un enthousiasme soudain à ce petit jeu…

Elles se des-empoignèrent et se provoquèrent en se souriant faussement narquoise et en faisant des petits mouvements de menton.

Mais je voulais quelles le fassent à ma manière Je déplaçais la table basse hors du tapis et je revins masseoir dans le fauteuil.

— Enlevez vos talons dabord puis levez-vous lune face à lautre.

Les deux filles sexécutèrent et Laura se leva la première. Cindy avait des lanières à défaire qui retenaient son escarpin à son pied.

Laura légèrement nerveuse dansait dun pied sur lautre.

Elle souriait et rougissait puis nous adressa un This is crazy ! I am gonna fight with a girl… with your girl Vince!

Cindy parvint à défaire ses chaussures et se dressa sur la pointe des pieds à son tour.

Elles se grandissaient naturellement mûes par linstinct dimpressionner lautre avant la confrontation.

Elles sapprochèrent pour ne plus laisser quun mètre entre elles.

De même taille, leur corps sopposait comme deux images miroirs dont les silhouettes étaient gracieusement identiques. Même tour de hanche, de poitrine, et de bras… Elles semblaient être loriginal dune photo et son négatif et je voulus en voir plus…

— Enlevez votre robe.

Sans broncher, les filles eurent un sourire complice.

En matant Cindy commencer à se déshabiller, Laura laissa échapper peut-être par un désir à peine contenu un Interesting…

Cindy navait pas compris ou entendu le mot de sa future rivale et elle me demanda :

Elle a dit quoi ?

Quelle te trouvait à son goût.

Me too, dit-elle en baissant le regard.

Elles rirent.

Leurs robes glissèrent jusquà leurs chevilles et dun mouvement gracile elles sen débarrassèrent du pied.

Elles navaient plus pour seule pièce de tissu, quun string noir toutes les deux qui tranchait avec la peau vanille de lune et celle safran de lautre.

Naturellement, elles masquèrent leur poitrine nue entre leur bras, rougissant de plus belle… quant à moi, je crus commencer à toucher à lextase de lart fait femmes en me dévoyant à leur contemplation.

Tout leur corps était une vague de sensualité. Leurss fesses rebondies, leurs cuisses tendres dessinées dans le seul but dêtre des réceptacles damour charnel, leurs jambes au galbe délicat et leurs ventres plats fait pour épouser un autre corps

Toutes les deux avaient des petits seins absolument mignons dont la tendresse se devinait sous les reflets délicats de leur peau.

La chute de leurs épaules sur leurs bras repliés accentuait encore plus la pudeur enchanteresse des deux jeunes femmes…

qui se se souriaient tout en échangeant deux trois provocations…

— You are amazing… for a little frenchy girl!, fit doucement en souriant Laura

— Toi aussi tes canon pour une ptite irlandaise… !, répliqua avec la même douceur de voix Cindy

— Come on, try me!

— Toi, viens !

Elles jouaient du moment.

Regardez-vous dans les yeux, demandai-je.

Elles plongèrent leur regard dans celui de lautre, se sourièrent et tout doucement elles affectèrent un regard sérieux. Elles se fixèrent un long moment et la tension que je cherchai couru comme un frisson dans la pièce Je me perdais à la vision de leur beauté, du regard appuyé quelles soutenaient, tout en admirant leur fragilité dans la finesse de leur silhouette.

Les filles trépignaient à la fois nerveuses et excitées, attendant après les mots libérateurs qui les verraient se jeter lune sur lautre.

Mon cur battit la chamade dès que je mentendis prononcé ces mots…

Battez-vous !

(Note : Dans la réalité, le combat a été plus soft que ce que je décris ensuite. Il y avait bien une énergie et une vraie volonté dêtre la plus forte mais il na pas été aussi chargé émotionnellement. Toutefois, elles ont eu certains gestes très engagés témoignant à ce moment de leur ténacité. Elles ont libéré une fougue retenue et il y a eu des longs moments où je nexistais pas tellement elles étaient concentrées pendant quelles luttaient).

Et ça alla très vite !

Je vis des flammèches de chevelure brune et des mèches de chevelure châtaine se déplacer et semmêlées les unes aux autres dans une tornade de mouvements énergiques de jeunesse ! Les deux beautés comme deux météorites se télescopèrent dans un bruit sensuel de la chair sélançant contre la chair…

Très vite, je vis les deux naïades senserrer dans leurs bras et se balancer dun côté et de lautre cherchant à se faire tomber.

Je fus souffler par cette débauche dénergie que je ne soupçonnais ni chez lune, ni chez lautre.

Toujours à la recherche du déséquilibre, je vis leurs cuisses fines se forcer, sentrecroiser et chercher à se faire des crochets en enlaçant sans cesse leurs jambes magnifiques.

Tremblantes de forces déployées, leurs mains jointes et leurs doigts mêlés les uns avec les autres, elles accentuaient leurs efforts par de grands mouvements de bras et des petits cris incontrôlés.

Les deux filles sarc-boutèrent lune contre lautre, se retenant par les mains, poitrine contre poitrine, la tête par-dessus lépaule de leur rivale cherchant à se pousser de toutes leurs forces. Je vis sur chacune des cuisses les traits de muscles fins tendus sous leffort intense quelles maintenaient à force de persévérance et par fierté de ne pas être celle qui céderait la première.

Cétait une image absolument divine dont je me souviendrai parmi dautres jusquà la fin de mes jours.

Je me régalais de chaque angle de sensualité ainsi provoquée par le combat quelles se livraient : de la voûte plantaire de Laura qui avait la finesse dune ballerine, au genou délicat de Cindy légèrement plié et tremblant, jusquà leur regard habité par la fougue ainsi que leur souffle entrecoupé par des gémissements qui ne pouvait cacher toute lénergie quelles déployaient pour mettre lautre à terre.

Cétait Magique Divin !

Elles étaient aussi tellement appétissantes avec le rebond de leurs fesses, les courbures souples de leur dos, leur musculature si fine de femmes de tous les jours sollicitée dans un effort inhabituel Elles étaient à couper le souffle !

Soudain Laura fit basculer sur le côté Cindy et les deux se précipitèrent au sol. Je frottais mon sexe à travers mon pantalon, prenant le temps de me délecter de chaque image et de chaque son…

De nouveau, jentendis ce choc de la peau contre la peau quand elles se tombèrent un peu brutalement lune sur lautre.

Commença alors une série de roulades de corps à demi-nu enlacés qui étaient des tentatives de contrôle des deux lutteuses. Lempoignade était sauvage, presque furieuse ce qui témoigna instantanément des prétentions des deux filles qui grondaient à chaque effort musculaire…

Lune et lautre savait quelle pouvait gagner, comme perdre mais le challenge quelle se représentait lune contre lautre, était à leur portée !

Les sourires avaient disparus depuis longtemps et avaient fait place à des visages crispées et hautement partagés démotions.

Elles avaient une beauté grave : parfois suppliante quand lune se trouvait dans une position défavorable, parfois jubilatoire quand lautre entendait le petit cri de douleur quelle avait provoqué chez sa rivale…

Entre soubresauts et empoignades musclées, toutes les parties de leur corps participaient à la recherche de la prise de domination : Les jambes sétaient enlacées les unes autour des autres comme des lianes souples, leurs cuisses se pressaient les unes contre les autres plus ou moins fortement, leurs bassins sentrechoquaient entre-eux, leur ventre plaqué lun contre lautre cherchait même à se maîtriser en se tamponnant avec vigueur.

Leurs bras joutaient tandis que leurs mains torsadaient avec une petite cruauté des poignées de cheveux… Même leurs jolis seins se boxaient au gré des mouvements endiablés des corps et il nétait pas rare de voir lune ou lautre grimacer quand elles éprouvaient un coup accidentel sur sa poitrine.

Les tétons dressés en pointe des filles se bousculaient ou bien se fichaient tout durci un peu partout dans la peau tendre de lautre lutteuse y compris dans les mamelons de lautre.

La pudeur était à des années lumières et latmosphère du ring improvisé était empli de charge sexuelle. Les lutteuses étaient tellement focalisées sur leur souhait de dominer lautre que toutes les prises étaient bonnes même les plus osées…

Très vite, leur corps se parfuma des essences entêtantes de leur fine sueur mêlée à leur parfum…

Je vis plusieurs fois le visage froncé de Cindy, qui tantôt me regardait avec un air légèrement confiant quand elle passait au-dessus de Laura et tantôt affichant un léger désarroi quand sa rivale la chevauchait. La même tension se voyait chez Laura mais toutes les deux masquaient à lautre ses faiblesses passagères… La lutte était très chargée émotionnellement entre les deux combattantes.

Puis à force de roulades et de reptations, Laura parvint à sasseoir sur sa rivale et à garder son équilibre sur elle.

Ayant immobilisé les bras de la jolie française sous ses jambes, elle souleva la nuque de ma compagne avec les deux paumes de sa main et plaqua son visage contre son string noir.

Jentendis le Hohoo..! de surprise de Cindy qui marquait aussi une désaprobation instinctive !

Mon sexe se mit à bondir dans mon boxer ! (Laura la vraiment fait…jentends encore le gémissement de surprise de Cindy étouffé par le sexe de Laura séparé par une fine dentelle)

Pendant le temps que lirlandaise maintint la tête pressée de ma compagne contre le petit triangle de tissu de son string, jentendis séchapper les gémissements étouffés de celle-ci en position humiliante…

Je me suis aussitôt dit que Cindy voudrait arrêter-là, et bien quelle sétait frottée à moitié nue contre Laura durant de longues minutes, je savais quelle ne voulait pas de contact sexuel avec une fille, et encore moins de cette manière. Elle mavait révélé que jamais, non jamais, elle lècherait le clitoris dune fille

Elle ne le lèchait pas là, mais elle avait la bouche collée à son string…

Je vis les jambes de la française se dresser dans le dos de sa rivale pour lattraper au cou ou à la taille afin de la faire basculer pour se dégager Ses mouvement de jambes et de bassins étaient si frénétiques que Laura faisait du rodéo.

Mais la jolie brune se penchait si bien quelle évitait les tentatives daccrochage et de désarçonnage Cindy nabandonnait pas et vue comment ruaient ses jambes et son ventre, elle était clairement furieuse dêtre ainsi soumise (devant moi jaimerais dire, mais je sais que ça devait être un mélange dhumiliation du fait que Laura la dominait clairement là, que je la voyais en position de faiblesse et que lirlandaise faisait delle ce quelle voulaitsurtout quelles étaient de même force toutes les deux, ça devait en rajouter à sa frustration. Cindy naime pas perdre en règle général).

I am too fast for you !,claironna avec un sourire triomphant Laura qui mordonna un peu essoufflée:Enlève ton pantalon !

Et dans la foulée, elle sadressa à sa proie desemparée :

Darling, you give ?

Cindy resta silencieuse, son maquillage légèrement imbibé dhumidité avait commencé à lui faire des yeux cernés de noir, troublée… Elle cherchait désespérément à se sortir de sa situation de dominée.

Les corps brillant de sueur, Cindy geignait, se contorsionnait sous Laura qui à la fois semblait se délecter de la voir se débattre. Lirlandaise fit replonger successivement à plusieurs reprises la tête de la française contre son sexe séparé du fin string… Cindy sentait lhumidité sur ses lèvres et se sentait humiliée par Laura devant son mec.

De voir Cindy dans la difficulté et la contempler lutter avec lénergie du désespoir, mexcitait au plus haut point. Je savais quelle et Laura ne voulaient pas perdre face à moi…

De nouveau elle tenta de saisir Laura en relevant ses jambes dans son dos, mais une énième fois celle-ci se pencha encore juste assez vite pour éviter de nouveau lattaque…

I told you…I am too fast for…Hiiiiiiaaïiiiie !!!

Laura cria quand la main de Cindy empoigna et tira brutalement sur la longue chevelure noire.

Laura bascula sur le côté et la française la gifla dans la foulée (jen entends encore le bruit mais javoue que là jai eu un peu peur que la lutte devienne une bagarre et ça je ne voulais absolument pas une fin aussi dramatique) Jeus la sensation que la claque fit vibrer lair Cindy était habitée par une envie de vengeance et Laura sempara aussi de la tignasse au carré défait de la française (elles étaient un peu échevelées à ce moment) quelle secoua assez brutalement.

Elles criaient toutes les deux…

Jhésitais à me lever pour les séparer, mais jétais hypnotisé par cette soudaine montée de sauvagerie entre les deux femmes qui étaient à des années-lumières de leur frêle aspect quotidien.

Elles respiraient bruyamment et des petites gifles partirent de parts et dautres. Elles étaient sur le côté cherchant à se remonter dessus tout en se tirant continuellement les cheveux.

Je voyais leur cage thoracique ébranlée par leur respiration haletante.

Lirlandaise, aussi furieuse, échangeait gifle pour gifle mais aucune navait encore eu la force dimpact que celle que lui avait administrée en tout premier lieu Cindy. Elles faisaient toutes les deux des moulinets avec leurs coudes pour bloquer les claques de lautre.

Elles recommencèrent à se contorsionner lune contre lautre, se tordant en prime les doigts par de nombreux mouvements de poignées. Leurs seins sagitaient, furieux, tout dur et les pressions entre-eux gonflaient leurs tétons. Sans nul doute, les seins de Cindy avaient hérité de ces petites tâches sombres à force de tension et de pression. Ceux de Laura étaient rougies par les frottements et les petits coups !

Jextirpais mon sexe, grossi par de violentes envies de les posséder et incroyablement chargé de frissons délicieux de plaisir contenu. Je me masturbais au minimum, ne voulant pas jouir comme jétais tenté de le faire… le mano à mano se révélait tellement intense quil fallait quil se poursuive…

Mes yeux se perdirent plusieurs fois au niveau de leur entrecuisses, là où le seul carré de tissu qui leur restait, minterdisait de massouvir à la vision de leur sexe… je prenais mon mal en patience bien heureux de voir le spectacle de ces deux magnifiques créatures de rêves sattraper dans une lutte explosant de sensualité rien que pour moi (elles mont avoué après que pendant le combat elles étaient vraiment concentrées sur lautre et que jétais pas au centre de leur préocupation immédiate)

Sur le côté et en face lune de lautre, les deux lutteuses cherchaient à semprisonner la taille entre leurs cuisses et à ce petit jeu, Cindy se montra la plus habile ou bien fut-elle la plus chanceuse.

Dans lun ou lautre cas elle domina en cet instant… Au moment où ses cuisses en étau se refermèrent un peu au-dessus des hanches de Laura, celle-ci eut le souffle coupé.

Elle se mit à gémir de plus en plus fort au fur et à mesure que Cindy resserrait ses cuisses. La taille de Laura était tellement comprimée que son ventre semblait tout aussi étriqué que si elle avait porté un de ces corsets fantaisie du siècle dernier.

Lirlandaise souffrait et son maquillage coulait légèrement emporté par une petite larme dut à la tension de leffort (elles avaient le visage perlé de petites gouttes de sueur, des mèches de cheveux trempées mais pas de larmes)

Le corps de Cindy puisant toutes ses forces était tendu comme une liane vigoureuse.

Elle avait même croisé ses pieds pour cadenasser sa prise et je vis poindre les phalanges reliant chacun de ses doigts de pied à la surface de sa peau tendue par leffort.

Toutes les deux respiraient très forts et de manière haletante

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