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Damien et son frère – Chapitre 1

Damien et son frère - Chapitre 1



La lumière des lampes est tamisée. Le salon aux murs vert bouteille dans lequel nous pénétrons nest pas bien grand. Deux canapés en toile cirée font langle, une lampe sur pied avec un abat-jour beige dans le coin. La fenêtre du mur de droite, au dessus du premier canapé, est ouverte. Les rideaux sont tirés. Dans le mur den face, se trouve une porte en bois, fermée.

Sur le sol, un large tapis recouvre le lino à carreaux blanc et bordeaux. Une table basse au centre, submergée de bouteilles dalcool et de verres. Rien, en dehors de ces meubles, naccommode la pièce. Le boudoir sen était un navait de charme que dans sa simplicité.

Mon hôte memboîte le pas, caressant mon échine au passage, et sassied sur le canapé en face. Il sy allonge presque, tel un pacha, sourire aux lèvres.

— Tu hésites ?

— Non, jobserve.

— Quoi donc ?

— Le bordel dans lequel tu memmènes.

— Mon bordel a lair de te gêner.

— Au contraire.

Je me pose sur le canapé de la fenêtre. Il mobserve, les yeux mi-clos, accroché à sa cigarette. La porte en bois souvre, et deux filles nues me font face.

— Debbie, la rousse et Nicole, la blonde.

Me faisant les présentations, mon hôte ouvre une bouteille. Il sort cinq verres du dessous de la table et nous sert un vin rouge.

Les deux filles, timides, fixent le lino. Nayant probablement pas plus de dix neuf, vingt ans, elles paraissent fragiles et inexpérimentées.

— Debbie et Nicole sont chez moi depuis deux jours maintenant. Elles causent pas beaucoup, mais je crois que la vue quelles moffrent chaque jour me suffit. Approchez, nayez pas peur de mon jeune ami.

— Cest avec elles que tu veux quon baise ?

— Pas uniquement.

Jai rencontré Damien en boîte gay sur Nice. Je ny suis allé que pour satisfaire mes potes homos. Je navais aucunement lintention de faire de nouvelles expériences. Le son me plaisait, je rigolais toujours bien dans ces lieux. Cette nuit là, ce jeune gars, trente ans pas plus, plutôt grand, plutôt brun, plutôt belle gueule, me dévisageait dans un coin de la boîte, avec insistance. Quand je me pris un verre au bar, il est venu me parler. Un gars pas de la région, ici pour les vacances. Il nétait pas gay, comme moi, mais ne me confirmait pas non plus quil naimait que les femmes.

On a pas mal discuté. Il était là pour décompresser me disait-il. Ses parents avaient un appart dans le quartier des musiciens, pas loin du club. Après quelques nouveaux verres, il frôla mes fesses de sa main, la posa sur mon dos, et dans loreille, il minvita à fumer une clope dehors. Je ne fume pas mais je le suis. Dehors, il me propose un truc. Une partouze dans son appart, le soir même. « On sera cinq » me dit-il, « Y aura des filles et nous ». Un gars qui me propose ça, sortant dune boîte gay, je me méfie. Mais le gars est sympa, beau gosse, bien fait et je mimagine aisément dans une partouze auprès de lui.

Me voilà donc chez lui, et ces deux mignonnes devant, gênées comme tout. Elles sassoient chacune aux côtés de Damien et prennent un verre. Enfin Nicole me parle :

— Tu viens doù ?

— Dici, je suis Niceois, et toi ?

— Tu es célibataire ?

— Nan, je suis fiancé.

— Assez parlé les filles, dit Damien, toujours la clope au bec. Il ouvre sa braguette, sort de son jean une bite demie molle déjà bien épaisse. La vue de cette bite ne me laisse pas indifférent. Il prend par la nuque la rouquine à sa gauche et mène son visage entre ses jambes, sans ménagement.

— Voilà, suce, cest bien. Nicole, occupe-toi de notre ami.

Nicole se lève, et se plante devant moi. Je la regarde de bas en haut, japprécie la vue de sa belle chatte blonde, tondue en ticket de métro qui me fait face. Ma bite réagit illico, je commence à bien bander.

Elle saccroupie entre mes jambes, défait ma braguette, sort ma teub et la prend directement en bouche. Les bruits de sucions saccompagnent des gémissements de Damien qui de temps en temps menvoient des regards complices. A la fois ça me gêne, à la fois la situation mexcite la situation ou lui. Après un certain temps Damien me demande :

— Alors ? ça te plaît ?

— Bah ouai, carrément.

— On passe à létape suivante ?

— Qui est ?

Damien se lève, se dessape entièrement. Il recule la table basse contre le mur, à côté de la porte dentrée, et dispose Debbie sur le canapé, les jambes écartées. Il délaisse sa cigarette, saccroupie et lui lèche la chatte en lui caressant le clito. Nicole sétant levé, rejoint le couple et embrasse la rouquine à pleine bouche, lui malaxant ses petits seins. De mon côté je me dessape, range mes fringues non loin de la table, et commence à me palucher en les regardant. Je commence à être grave excité, ces deux gouines qui se tripotent et qui se mangent la bouche, et aussi Damien, de dos, accroupi, le visage enfoui entre les cuisses dune fille, son dos cambré, ses fesses rebondies ; je ne sais pas ce qui mexcite le plus.

Des clefs tournent dans la serrure de la porte dentrée. Surpris, je fous vite fait mon tee-shirt sur ma teub. Le trio ne semble pas avoir entendu, et continue de plus belle. Là, un ado rentre. Un jeune gars, probablement dix sept, dix huit ans. Plus petit que moi, fin, ressemblant curieusement à Damien.

— On attendait plus que toi, dit Damien se retournant sur lado.

— Damien, tain quest-ce que tu fous ?! Je tavais dis que je voulais plus de ça chez moi !

— Oh ça va, ferme-là et rejoins-nous, petit frère. Regarde plutôt le cadeau que je tapporte, dit-il en hochant le tête en ma direction.

Lado me regarde, mi énervé, mi intrigué. Puis il part vers lautre porte, disparaît un petit moment. Court moment pendant lequel Damien a commencé à planter son chibre dans la chatte de la rouquine. Elle gémissait, pendant quil lui chuchotait des insultes du genre « Tiens, ma belle pute, régale-toi. Tiens salope, taime te prendre des coups de bites hein ? »

Nicole, quant à elle, se caressait seule, enfoncée dans le canapé, les yeux clos.

— Eh gars, reste pas seul. Regarde cette belle chienne qui tattend. Occupe-toi delle.

A ses mots je ne me fis pas prier. Je me levai, restais debout, et mis directement ma teub sur la bouche de Nicole. Surprise, elle ouvrit les yeux et tenta par réflexe de senlever, mais jagrippai son visage de mes deux mains, et lui enfonçait ma bite entre ses lèvres. Elle ne se refusait plus. Elle prit ma bite en gorge profonde et débuta des va et viens sur le long de ma tige, comme une reine. Elle pompait avec frénésie, comme une pute, elle me regardait avec envie. Moi ça mexcitait, je lui tenais dune main ses cheveux, et de lautre je sortais parfois ma teub pour la lui tapoter sur le visage.

A cet instant, lado rentra. Nu, immobile dans lembrasure, il me fixait. Il était bien jeune mais avait un corps dathlète, musclé sec, avec une bite mi molle, impressionnante, reposant sur une lourde paire de couilles. Il sapprocha de moi, moi je ne savais plus quoi faire. Je minquiétais. Je métais convaincu que je ne serais pas tombé dans un piège de gays. Il commença à caresser mes épaules mais je lui enlevai directement sa main, je reculais et trébuchais sur le canapé.

— Eh doucement gars, il veut juste samuser avec toi.

— Désolé les gars, mais je suis pas pédé. Si ça continue dans le bi, ce sera sans moi.

Damien se lève, la bite bandée raide et vers le haut, un bon 18 centimètres majestueux, et sassied à côté de moi dans le canap.

— Je vais te dire un truc, le jeunot que tas devant toi est certainement le meilleur coup que tu nauras jamais loccase de goûter si tu te casses. Fais-moi confiance, moi les mecs cétait pas mon kiff non plus. Jusquau jour où ma pute de frérot veuille de ma queue. Je tassure, jamais je nai eu telle sensation que callé dans sa bouche, et pour le reste je ten parle même pas.

Tout en parlant, il me caressa la cuisse. Il finit de me convaincre en massurant que cest une expérience à faire. Les deux mignonnes en avaient profité pour se gouiner puis sont sorties du boudoir, en fermant la porte derrière elles.

Je me retrouvais la queue pendante avec deux gars, deux frères bien glauques qui me regardaient avec envie. Aussi, je ne sais pas si le parfum de Damien me remuait les sens ou si cétait les regards de son frère, brillants aux yeux bleus éclairée par la tamise des lampes qui me firent craquer, mais je cédais à leur caresses et dés lors, me laissait complètement guider par les deux garçons.

Maxime, le jeune frère se cala alors à mes pieds et commença une fellation royale. Son frère avait une main dans ses cheveux et membrassait le cou, me léchait le lobe des oreilles. Je ne savais pas trop quoi faire, aussi jaccompagnais la main de Damien sur la tête de Maxime et de lautre main je caressais le dos et les fesses de mon hôte.

Je restais assis, complètement retourné par leurs caresses et lincongruité de la scène. Cédric me suçait la bite comme jamais on a pu me le faire. Parfois des potes à moi se sont tentés mais jamais je navais trouvé autant de plaisir. Il y mettait tellement de finesse et de gourmandise. Il lapait mon gland puis léchait de la pointe de sa langue le long de ma tige, enfournait dans sa bouche mes couilles, puis reprenait la succion profonde de ma queue entière, ingurgitait mes dix sept centimètres pourtant bien épais sans problème, caressait de ses mains ma hampe, titillait par la même occasion mon anus Je nosais rien dire, je paraissais figé, sous ses chaudes entreprises, et sous les caresses électrisantes de son frère. Javais comme des mini-spasmes de gènes, un tic nerveux.

Alors Damien se leva et sasseyait sur le dossier du canapé, une jambe de chaque côté de mon corps. Sa queue tapait contre ma nuque. Il me massa les épaules, la nuque, et parfois se touchait en tapotant négligemment ma tête avec son gland. Puis il se baissa et me murmura à loreille :

— Ne trouves-tu pas mon frère magnifique ? Matte-moi ce regard lubrique sur un visage paraissant si innocent

Il navait pas tort. Le garçon me tendait son regard jusquau mien, avec sensualité, tout en me branlant. Il avait arrêté sa fellation pour nous observer. Je nen pouvais plus dêtre aussi bloqué par lexpérience, mes nerfs tiraient dans mes bras et mes jambes et javais limpression dêtre paralysé.

— Essaie de te détendre, me dit Cédric. Si tu te détends, je te promets de passer la nuit la plus émouvante que tu puisses imaginer.

Damien se retira de mon dos et sagenouilla auprès de son frère, il le prit par lépaule.

— Observe bien.

Il posa ses lèvres contre celles de son frère, devant moi. Ils sembrasaient sans gène, ces deux éphèbes incestueux. Leurs langues se mêlaient avec passion, les mains de Damien se promenaient sur léchine de son petit frère quand celles de Cédric, elles caressaient le doux visage, la nuque, sengouffraient dans les cheveux du grand frère. Ils ne se lâchaient plus. Et moi, hypnotisé, je les regardais, je languissais de les rejoindre et à la fois, jétais troublé, pétrifié par la scène. Une telle scène dont on ne rêve quavec dégoût de soi-même Javais conscience de la teneur glauque et interdite de la chose et ça me pétrifiait.

Enfin, quand les deux hommes se sont regarder, tout sourire aux lèvres, ils se retournèrent vers moi, et prodiguèrent à deux, une merveilleuse pipe. Leurs bouches lapaient ma queue de bas en haut, leurs langues senroulaient autour delle, ils sembrassaient fougueusement, incluant ma bite dans leur baiser.

Damien se leva, grimpa sur le canapé et lentement sapprocha de mon visage. Il membrassa. Ses lèvres, sa langue avait le goût de ma bite, et sûrement de la salive de son frère. Je nen pouvais plus tant ça mexcitait. Jeu cru pouvoir jouir dans les secondes qui venaient, mais les caresses plus lentes et plus adoucies de Cédric me fit retomber la pression. Mes nerfs lâchaient peu à peu. Les crampes que javais pu sentir, sassouplirent et je sentais une nouvelle chaleur dans mes membres. Je ne frissonnais plus, je devenais même apaisé, calmé par les baisers de Damien.

Cédric reprit les fellations, alternées de ma bite et de celle de son frère. Jobservais avec envie, puis je me glissais du canapé pour rejoindre Cédric. Je lembrassais dans le coup, sur la nuque, je léchais ses épaules, je descendais sa colonne vertébrale. Il sétait mis à quatre pattes, le cul bien cambré, et je le lui caressé avec insistance, je me permettais une légère fessée qui aussitôt le fit gémir de plus belle, pendant quil suçait son frère. Damien me regardait avec un sourire.

— Continue, je crois quil aime ça.

Alors, je lui en mi une autre, un peu plus forte, et de plus belle il se mit à gémir. Jécartais ses fesses, et plongeais mon visage entre. Jembrassais sa rondelle, lui léchais le pourtour, je pénétrais son cul de ma langue et il gémissait langoureusement ! Je nen pouvais plus, je me suis rehaussé, et jai pointé ma queue vers sa rondelle. Je navais pas envie dêtre tendre, je voulais le posséder le plus vite possible. Aussi, je lai enfilé dun coup sec. Il a crié de mal, mais ne ma pas fait sortir. Je suis resté un moment pour quil shabitue.

— Quest-ce que tattends ?! Défonce-moi le cul ! Lime-moi, je veux que tu me baises comme une chienne, comme une salope !

— Ok bébé, tu vas déguster !

Je me mis à lui limer le cul le plus fort et le plus rapidement possiblement possible. Je voulais carrément lui déchirer la rondelle devant son frère. Il gémissait fort, il criait de plaisir !

Dans un moment où je me faisais plus doux, Damien me sourit et se leva. Il se mit debout en face de moi et me présenté sa belle bite.

— A toi dy goûter.

Jappréhendais un peu, toujours en enculant son frère, puis sans réfléchir, jai plaqué mes lèvres sur le gland de Damien. Il me prit le visage entre ses mains, et commença de longs vas et viens dans ma bouche. Je me laissais faire et trouvait ça excitant. Je transpirais de mes ébats avec Cédric et de la chaleur qui a pu émaner de nos corps. Je commençais vraiment à prendre plaisir davoir cette masse de chair dans la bouche, je sentais son liquide, je le goûtais avec excitation. Puis dun coup, il se fit plus violent, me prit littéralement la bouche, me la baisa comme un trou à jus. Il se branla dans ma bouche avec une telle frénésie. Je suivais la cadence enculant Cédric et bientôt je nen pouvais plus, je me sentais venir au même moment où je sentais la queue de Damien tressaillir dans ma bouche, et dans un même cri de jouissance, nous giclâmes lun lautre en même temps. Il minonda la bouche et le visage de son sperme. Il me vidait tout sur le visage en râlant, de même que je recevais tout en me vidant les burnes dans le cul du petit frère qui avait contracté son cul au bon moment. Je lui remplissais le ventre de tout mon sperme.

Ereintés nous nous sommes écroulés sur le tapis, tous les trois ensemble. Le sperme de Cédric nous collait au dos. Il avait joui au même moment. Nous respirions fort

Après quelques moments, Cédric posa sa tête sur mon torse. Je ne fus plus surpris daucune preuve daffection entre hommes, et jacceptais avec bonheur son corps contre le mien. Son frère se cala contre lui et nous dormions ensemble…

La suite, si vos commentaires me le suggèrent.

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