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dans le train de nuit – Chapitre 4

dans le train de nuit - Chapitre 4



Un dimanche soir, comme d’habitude, je prend le train de nuit. J’arrive avec ma demi-heure d’avance et je vois le contrôleur.

— Bonjour monsieur, vous allez bien?

— Très bien merci dis je en lui tendant mon billet.

— Aujourd’hui, tout va bien, je vois que vous avez votre place préférée. Passez me voir quand le train aura démarré après l’arrêt à Montauban.

— Vous savez bien que je me couche avant le départ.

— Oui, mais je crois que j’ai quelque chose pour vous.

— Ok, à tout à l’heure.

J’entre dans le compartiment, vérifie le chauffage et la fermeture de la fenêtre. Nous sommes en hiver et il fait assez froid dehors. Je relève le rideau intérieur pour voir le quai, mais aussi pour que les gens du quai puissent me voir.

Je me déshabille entièrement et me couche donc comme d’habitude, nu. Je commence à lire mon bouquin porno.

Un homme d’une soixantaine d’années entre dans le compartiment.

— Bonjour monsieur me dit il.

— Bonjour monsieur.

— Colonel s’il vous plait.

Je suis abasourdi par sa réponse, je n’en est rien à foutre qu’il soit colonel.

— Je ne suis pas dans l’armée, alors pour moi vous serez monsieur.

— Je vois que vous ne respectez pas vos aînés.

— Ecoutez monsieur, je ne vais pas passer la nuit à vous expliquer mes convictions, sachez que pour moi il n’y à ni de colonel, général, maître, monseigneur ou tout autre titre plus ou moins bidons. Pour moi il y a monsieur, madame ou mademoiselle suivant le sexe et c’est tout. Je ne suis pas sous vos ordres, donc vous nêtes qu’un homme comme les autres pour moi.

— Ceci est inadmissible.

L’homme sort du compartiment et revient quelque minutes plus tard pour reprendre ses affaires.

— Au revoir me dit il.

— Au revoir monsieur.

Je reprend ma lecture quand le contrôleur entre.

— Que s’est il passé, le colonel x…. est très en colère. Il parle d’insultes.

— Attendez il est fou celui là.

Je lui raconte ce que j’ai dit et le contrôleur sen va. Il revient 5 minutes plus tard avec un autre homme.

— Avec ce qui s’est passé, j’ai du donner la place de monsieur au colonel, il doit donc prendre la place du colonel, cela ne vous dérange pas?

— Aucun problème si monsieur accepte qu’on lui dise monsieur.

— Bien sur monsieur.

Nous éclatons tous de rire, le contrôleur se retire et l’homme se retourne vers moi.

— Pierre.

— Jean.

Il sort un livre de sa valise et la range dans le porte bagages. Il se déshabille et, au moment ou il enlève son pantalon, il regarde vers moi. Je suis couvert du drap, mais comme d’habitude je fais en sorte que l’on voit bien que je suis à poil dessous. Constatant le fait, l’homme enlève son slip et monte dans son lit. Il est imberbe, il n’a aucun poil, ni sur les jambes, les bras, le torse, les fesses et le sexe d’une bonne taille. En le constatant, l’envie me prend de le caresser. j’aimerais passer ma main sur ce corps lisse. Il laisse sa lumière individuelle allumée et commence à lire.

Le train démarre, je lis mon bouquin en me caressant. je commence à bander ferme. De temps en temps, je jette un oeil vers mon voisin. Je constate qu’une bosse apparaît au niveau de son sexe. Il doit lire un livre de cul. Je constate aussi que son drap bouge. Il se caresse la bite, c’est sûre.

Je descends de mon lit, toujours à poil, et je monte sur l’échelle des lit, toujours de son côté. Me voyant monter vers lui, Pierre enlève son drap et je peux voir son sexe pointé vers le ciel. Je me penche et le gobe avec avidité. Habitué au trajet, je sais qu’il faut très peu de temps pour arriver à Montauban. Je le pompe donc avec énergie, ma langue titille le gland, la hampe, mes mains malaxent les couilles. Ses main s’emparent de ma tête pour me guider. Il est résistant mais, ma technique fait qu’il joui dans ma bouche avant Montauban. Je remonte dans mon lit mais ne me couvre pas, les gens du quai pourrons constater que je suis à poil sur mon lit. Pierre en fait autant.

Le train freine dans un bruit d’enfer et s’mobilise. Nous sommes à Montauban. effectivement quelques personnes sur le quai passent plusieurs fois en regardant vers nous. 15 minutes plus tard, nous redémarrons, Pierre se tourne vers moi.

— Je crois que certaines personnes vont se souvenir de ce train.

— Je le pense aussi, mais tu sais je le fais toutes les semaines et de temps en temps je reconnais certaines personnes.

J’attends un instant et je sort de mon lit. Je suis toujours à poil. Pierre lit s’est remis à lire, je le regarde et je constate que le chapiteau est de nouveau dressé. Il bande comme un cerf. J’ouvre la porte, le contrôleur n’est pas loin et arrive vers moi. Il me connait depuis quelques mois et ce n’est pas la première fois qu’il me voit à poil.

— Il y a un couple dans le compartiment voisin qui aimerait passer un voyage sortant de l’ordinaire. Je pense qu’ils aimeraient une compagnie virile.

— Je ne suis pas contre mais comment fait-on?

— Je vais les voir et je reviens.

Le contrôleur repart, frappe à la porte d’à côté.

— Que désirez vous comme petit déjeuner demain matin?

— Deux cafés noirs.

— Très bien, mais avant vous désirez quelque chose de particulier?

— Nous aimerions vérifier la légende des wagons lits.

— Très bien, vous n’avez qu’à sortir dans 10 minutes et aller aux toilettes habillé comme vous êtes.

— Ok, dans 10 minutes.

Le contrôleur revient vers moi et me dit.

— C’est arrangé, allez aux toilettes dans 6 ou 7 minutes, ne fermez pas votre porte et attendez.

— Ok.

Je referme la porte et Pierre me demande.

— C’est quoi ce mic mac.

— Le contrôleur m’avait prévenu qu’un couple voulait s’envoyer en l’air durant le voyage. Nous venons de voir comment faire.

— Je peux participer.

— Je ne pense pas qu’il y ai de problème, tu n’aura qu’à prendre la seconde toilette.

A l’heure dite, nous sortons du compartiment à poil et nous allons dans les toilettes sans les fermer. 1 ou 2 minutes plus tard, la porte de ma toilette s’ouvre et un homme apparaît. Il me sourit et entre. Il est lui aussi nu. J’entends l’autre porte se fermer et se verrouiller.

— Vous venez dans notre compartiment ou nous restons là.

— Votre compartiment ferra l’affaire.

Nous sortons, l’homme frappe à la porte de l’autre toilette et Pierre et une femme sortent. Elle est aussi nue. Le couple doit avoir 30 ans à peu près, lui moyennement grand, assez mince, très peu poilu avec un sexe moyen. Elle, la taille de son mari, blonde, jolie, belle poitrine, taille fine, épilée avec juste un trait de poil raz sur le sexe, de longues jambes. Elle est perchée sur des escarpins. Nous rejoignons leur compartiment. c’est un compartiment avec deux lit superposés.

Dès que nous sommes à l’intérieur du compartiment, je sens une gêne de la part du couple et de Pierre. Constatant que je suis le seul un peu habitué à ce genre de rencontre dans le train, je prend l’initiative. Je m’approche de la femme, la prend par les épaules et la dirige vers la banquette pour l’asseoir. Pierre commence à bander sérieusement et je lui demande de s’approcher de nous. Sa bite est à la hauteur de la bouche de la femme et je pose ma main sur les fesses de Pierre pour le pousser vers la femme. Elle comprend et ouvre la bouche. Le sexe de Pierre, à l’horizontale, entre dans la bouche sans problème. Elle referme sa bouche sur la bite et le pompe. Je me lève et me dirige vers l’homme, je m’agenouille et prend son sexe en bouche. Il n’a aucun geste de recul. S’ensuit une super fellation qui l’amène vite au 7ème ciel. Il menvoie tout dans la bouche, j’avale et me retourne vers Pierre pour constater que la femme est entrain de se lécher les babines. Cela commence très bien. L’atmosphère est détendu et le couple a l’air de reprendre le dessus.

— Moi c’est Jean, lui c’est Pierre.

— Jérôme, Alice. Aimeriez vous nous servir de partenaire sexuels?

— Mais nous sommes là pour ça.

— Je veux dire, accepteriez vous de vous soumettre à nos jeux sachant qu’il n’y aura aucune violence ou humiliation. Nous aimerions juste que vous fassiez ce que nous voulons. Je précise qu’à tout moment vous pouvez voue retirer.

— Pas de problème pour moi.

— Je suis aussi partant.

L’homme s’approche de Pierre, le saisi par les épaules et le dirige vers le lit du bas. Il le couche sur le dos. Il vient vers moi, me dirige vers le lit et me positionne tête bêche avec Pierre. J’ai le sexe de Pierre devant ma bouche et lui le mien devant la sienne. Nous avons compris et nous commençons un 69. Quand nous bandons bien tous les deux, Alice se positionne à cheval sur la queue de Pierre et s’assoie dessus. Elle se laisse descendre et Pierre lui transperce l’anus pendant que je m’occupe de sa vulve. Ma langue titille le clitoris, descend sur les lèvres, et tente de s’introduire dans son sexe. La position mempêche de bien la pénétrer. Je sent une main sur mes fesses, et un doigt huileux m’enduire le fion. Jérôme s’installe derrière moi, positionne sa bite encapuchonnée d’un préservatif sur ma pastille et pousse doucement. Je sent sa queue s’enfoncer lentement et me posséder entièrement. quand ses couilles touchent mes fesses, Il commence un va et vient régulier et ample. Son gland est sur le point de sortir à chaque aller retour mais il reste en place et à chaque retour, je sent mon sphincter s’ouvrir et se refermer dessus. C’est le pied. Tout à coup j’entend Alice gémir.

— Oui, je viens, continuez mes chéris, c’est bon, ça y est, je joui, je joui, plus vite Jean, plus vite.

J’accélère mes mouvements de langue le plus possible, malgré ma position et ses va et vient, et je reçois un flot de liquide odorant et délicieux. Je lèche et j’avale tout au moment ou je sent Jérôme se vider dans mon fondement. Sa queue palpite et déclenche ma propre jouissance.

— Putain que c’est bon.

C’est Pierre qui ayant soulevé Alice pour se dégager, joui sur son propre ventre en se finissant à la main.

— Ton cul se faisant défoncer par la bite de Jérôme, ça c’est du spectacle.

— Le cul d’Alice sur ta bite, c’est pas mal aussi.

— Moi, j’aimerais bien voir de près un cul se faire défoncer par un gros gode nous dit Alice.

Je rétorque aussi sec.

— Mon cul est à ta disposition dis je.

— Ok, Jérôme sort le matos.

Jérôme ouvre un sac et en sort une ceinture porte gode intérieur et extérieur sans gode, trois godes adaptables à la ceinture dont un énorme, du gel et des préservatifs.

— Lequel je met? Celui là fait 3 cm de diamètre sur 15 de long, celui là 5 sur 19, et celui là 8 sur 22.

Ils ont tous un gland plus gros que le diamètre de la hampe.

— Jean, tu as une préférence?

— Oui, je crois que je vais prendre du 8 dans le cul.

— Tu es sûre.

— Oui, pas de problème si tu y va doucement.

Jérôme adapte le gros gode sur la ceinture, se la fixe à la ceinture et se retourne vers Alice.

— Tu le prépare chérie?

— Jean, appuis toi sur le lit du bas sans plier les bras, écarte un peu les jambes.

Je sent une main me badigeonner le cul de gel en en introduisant dans ma rondelle. Un doigt entre, puis un second et un troisième. Les doigts tournent sur eux même, et commencent un va et vient. Je sent mon cul se dilater et accepter de mieux en mieux les doigts.

— C’est bon, tu peux y aller dit Alice en se couchant sous mes jambes pour assister au spectacle.

Jérôme présente le gode à l’entrée de mon puits et comme d’habitude, je ressens comme une décharge électrique dans tout le corps. Il pousse très doucement. Mon sphincter s’ouvre petit à petit, je sent le gode avancer dans mon fion. La douleur est encore acceptable, je laisse faire. Tout à coup, je ressent une vive douleur et fait un geste pour que Jérôme arrête sa progression. Il stoppe et attend que je lui fasse signe. Une langue vient me lécher le bord de l’anus tandis quune bouche gobe ma bite. La douleur s’estompe et je fait signe à Jérôme de continuer. La progression recommence, le gland passe et le reste suit sans douleur. Je sent la ceinture sur mes fesses. Le gode est entré en entier. Je n’aurais pas cru. Jérôme s’arrête un instant pour habituer mon cul. Il s’active par de petits aller et retour, augmente le rythme et l’amplitude pour terminer par un enculage viril et rapide. Le gode dans mon cul, une langue qui me lèche le fion et une bouche sur ma bite, je sent le plaisir monter à toute vitesse. Je me retiens le plus possible en pensant à mon ex femme. Mais rien n’y fait, mes pieds s’électrisent, mon ventre se crispe, mon coeur s’emballe, mon cerveau se liquéfie. Je joui de tout mon corps en tremblant de la tête aux pieds et en me vidant dans la bouche de Pierre. Pierre avale tout. Je m’écroule sur lui ne pouvant garder mes bras tendus. Il se dégage en souriant.

— Ca c’est du spectacle.

Tout le monde se calme et je m’étends sur le lit pour récupérer.

Jérôme prend Pierre par les épaules et le retourne de manière à se trouver derrière lui. Il met le gode moyen, enduit le cul de Pierre de gel et défait sa ceinture qu’il tend à Alice. Alice serre la ceinture autour de sa taille et se positionne derrière Pierre. Comprenant ce qui va arriver, Pierre se penche légèrement en avant et écarte ses fesses des deux mains. Alice présente le gode sur son fion, lui agrippe les hanches et pousse. Le gode entre d’un seul coup. Elle le pistonne énergiquement. Jérôme vient devant Pierre, s’accroupie et lui prend la bite dans la bouche. Pierre pose ses main sur les épaules de Jérôme et penche sa tête en arrière. Il savoure ce moment. La jouissance arrive, il explose dans la bouche de Jérôme en lui tenant la tête et en donnant de violent coup de rein en arrière pour s’empaler le plus possible. Il est parcouru de spasmes et a du mal à tenir son équilibre. Alice se retire et Pierre vient s’asseoir à côté de moi. Alice enlève sa ceinture et vient aussi s’asseoir sur le lit. Jérôme sort du compartiment pour aller pisser.

quelques minutes plus tard Jérôme revient.

— Chérie, le contrôleur a besoin de soins, tu ne pourrais pas t’en occuper?

— Bien sur chéri, j’y vais de ce pas.

Alice quitte le compartiment et se dirige vers le contrôleur. Je me doute que les soins seront prodigués en dessous de la ceinture.

Nous sommes tous toujours nus et la porte est ouverte car nous voulons entendre ce qui se passe du côté du contrôleur. Malheureusement nous n’entendons rien, même pas les pas d’une femme qui passe devant la compartiment. Elle voit trois hommes, à poil, entrain de discuter. Elle s’arrête, fait un pas de recul, regarde bien dans le compartiment et repart aux toilettes. Alice ayant terminé avec le contrôleur nous rejoint. Cinq minutes plus tard, la femme repasse dans l’autre sens, regarde de nouveau vers nous, constate qu’il y a maintenant une femme de plus et poursuit son chemin.

— C’est bien mais il manque le final dit Alice.

Elle me fait lever et me positionne face contre la fenêtre, place Pierre derrière moi. Elle nous enduit le cul de gel. Elle suce Pierre et lui met une capote.

— Vas y Pierre, encule le.

Pierre se positionne et me transperce le cul d’un seul coup. Après ce que mon cul a encaissé, il ne risque plus rien. Alice s’enduit le cul de gel, met le petit gode à l’intérieur de la ceinture avec le gode moyen à l’extérieur, suce son mari et une fois qu’il bande lui enfile une capote. Elle le positionne derrière Pierre.

— Encules le.

Elle s’enfile le petit gode dans le sexe, serre la ceinture à sa taille, se présente derrière Jérôme et lui transperce le cul.

— Allez mes chéris, chacun son membre dans le cul, c’est bon hein?

— Oh putain que oui répond Pierre.

Tout le monde s’active sur le cul de l’autre, et Pierre s’occupe de ma bite avec sa main droite.

Je joui en premier, me dégage de Pierre. La main de Jérôme vient remplacer mon cul. Je me positionne derrière Alice pour lui lécher le cul. Elle apprécie et me le fait savoir.

— Oui vas y c’est bon.

Tout le monde joui en même temps ou presque dans une ambiance pas très discrète.

Il commence à faire tard et Pierre et moi rejoignons notre compartiment.

— Tu n’as baisé personne me dit Pierre.

— Oui, quand j’enfile une capote, je débande. Je ne peux baiser quelqu’un que sans capote, c’est pourquoi je ne baise que des personnes que je connais depuis longtemps et que je sais saines. Forcément, ça limite.

— Bon c’est pas tout ça, mais il faudrait peut être dormir un peu si on veut bosser demain.

Nous nous couchons et nous nous endormons assez vite.

Le lendemain, je sent quelque chose d’humide sur ma bite. C’est Pierre qui est entrain de me faire une pipe. Je bande comme un cerf. Je fais semblant de dormir encore mais un doigt humide dans mon fion me fait sursauter. J’ouvre les yeux et à peine réveillé, je lui envois tout dans la bouche.

— Ca c’est du réveil.

Je descend du lit et constate que le rideau est levé sur 15 cm. Nous sommes pas loin de Paris et le train roule doucement eu milieu des trains de banlieue. Tous les passagers peuvent voir ce qui se passe dans le compartiment.

— Tu aime te faire voir?

— Oui, ça m’excite.

— Moi aussi.

On frappe à la porte, j’ouvre, c’est le contrôleur qui nous rend les billets.

— La nuit a été bonne?

— Excellente.

— Bonne journée.

Le train ralenti de plus en plus en nous nous habillons à regrets.

Une fois le train immobilisé, je laisse la plupart des passagers sortir. Je pose ma valise sur le sol du wagon, descend et me retourne pour la descendre. Le colonel est là qui attend son tour.

— Un coup de main monsieur?

— Merci je me débrouille.

— Bonne journée, Monsieur.

Je rigole en moi même et salue une dernière fois mes compagnons de voyage que je ne reverrais plus. Le contrôleur, lui, je le reverrai souvent.

Le monte dans un taxi et vais à mon travail.

J’ai eu d’autres aventures dans le train de nuit, mais ceci est une autre histoire.

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