Histoires de non consentement Histoires de sexe voisins

Tu m'appartiens! – Chapitre 1

Tu m'appartiens! - Chapitre 1



Léa partit prendre une douche.

Elle avait très chaud, cette rencontre tant inattendue avec Stephen lui avait donné de la fièvre.

Une fois mit le gel douche sur sa peau, elle se rendit compte qu’à force de trop penser elle avait oubliée de mettre de côté une serviette.

La porte de la salle de bain s’ouvrit, elle n’avait pas entendue car elle chantonnait.

A la fermeture du robinet, elle entendit des pas se rapprocher d’elle.

« Arizona peux-tu me passer une serviette s’il te plait ! »

Elle lui tendit mais en essuyant son visage, elle s’aperçut que ce n’était autre que Jullian.

Il était habillé en jeans délavé et en tee shirt à manche longues avec un tribal dessiné devant et il avait une grosse chaine en argent pendue à son cou.

Léa fit un saut de surprise.

« Mais tu n’as pas honte ! Qu’est-ce que tu fais là ? » tout en mettant la serviette le plus vite possible autour de sa taille, tout en baissant la tête dun air gênée.

Il se tenait face à elle sans bouger, elle se demandait ce qu’il attendait.

Puis il finit par lui dire après s’être mordu la lèvre :

« Je te plais comme ça ? »

Il était châtain, coiffé les cheveux aplatit, elle lui lança un regard et descendit de la baignoire…

Elle se trouvait à présent devant le lavabo et nettoyait la glace avant de se nettoyer les oreilles.

Il se trouvait toujours derrière elle.

« Tu ne comprends pas Jullian, tu ne me plairas jamais. »

« Je ne te comprends pas » répondit-il.

Il s’était fait cette coloration spécialement pour la charmer.

Elle se laver les dents et il continuait à parler.

« Je suis ton plus grand admirateur Léa, je peux t’offrir tout l’amour qu’une femme voudrait avoir, et j’ai très envie de toi, tu es très jolie, tu me plais beaucoup. »

Léa levait et baissait les yeux tout en écoutant ses paroles.

Puis elle allait pour sortir mais il lui retint la porte, la claquant brutalement et en fermant le verrou.

Jullian la plaqua contre le carrelage froid.

« Que fais-tu? C’est froid pousses toi ! »

Il s’était collé contre elle, lui écartant légèrement les jambes pour passer une des siennes et mettre comme ça plus près son sexe contre le sien.

« Et moi je suis chaud comme la braise, tu veux toucher pour voir ? »

« Mais tu es un grand malade ! » dit-elle tout en tournant la tête.

Léa était écurée, elle mit ses mains pour le pousser, mais rien à faire, il lui prit et avec une main serra ses poignets contre le mur.

De l’autre, il posa son doigt sur sa bouche et descendit sa main pour toucher sa partie féminine, et l’embrassa avec fougue.

Le corps de Léa se crispa, ses tétons pointèrent et elle mouillait.

Sa serviette tomba à ses pieds.

« Hum tu mouilles, je t’excite ma beauté. » dit-il tout en l’embrassant de nouveau.

Elle essayait de se débattre sans succès, alors elle lui mordit les lèvres, il en saigna.

Il recula d’un pas franc.

« Espèce de salope ! » lui dit-il en la giflant.

Léa cria.

« Tu mérites de bonnes fessées toi ! »

Il l’attrapa avec violence et la poussa sur le bord du lavabo et lui frappa les fesses avec sa main pendant qu’avec l’autre il la tenait.

« Salop, tu vas me le payer un jour… » Hurla t-elle tout en pleurant.

« Oui vas-y ça m’excites, continue de hurler poufiasse ! »

Il la lâcha et se mit devant la porte pour défaire son jeans et se retrouver en un instant nu.

« Tu vois je bande, tu veux me sucer, ou alors on passe direct aux choses sérieuses ! »

« Laisses moi partir de suite ou je te tue. »

« Alors je vais te baiser de toutes mes forces, jusqu’à ce que tu ne puisses plus crier pitié. »

Léa pleurait toujours, pendant que Jullian se masturbait.

Puis de nouveau il l’empoigna à lui faire des bleus.

Il lui mit sa main sur son sexe chaud et elle serra tout ce qu’elle put.

Il cria, et la frappa de nouveau, elle tomba à terre et dans les pommes.

Très bien se dit-il… avec un sourire pervers.

Il la prit par les cheveux et lui mit son sexe en bouche et fit des vas et vient.

« C’est bon ça grosse chienne ! »

Elle était assise contre le mur toujours évanouit.

« Putain qu’est-ce que tu suce bien toi, oh que c’est bon… »

Il accéléré encore se va et vient…

« Je vais finir par jouir dans ta bouche grosse chienne, mais je veux que tu sois conscientes quand je vais te bourrer le sexe et peut-être le cul. »

Il finit par jouir dans sa bouche et sur son visage.

Il lui lécha les seins les pinça, les tourna, et la prit à coup de langue à sa partie féminine.

« Hummm c’est trop bon, je sais que t’aime ça, cochonne. »

Il essaya de lui mettre un doigt dans son humidité mais s’aperçut que ça ne passé pas.

« Ah tu es encore vierge en plus, hum je vais te niquer comme un porc. »

Elle se réveilla tout à coup.

Il lui tenait de nouveau les bras et se mit sur elle en position du missionnaire.

Jullian mit sa main sur sa bouche car elle criait.

« Je sais que tu la veux, et tu vas l’avoir » lui dit-il en la frottant contre son trou.

Puis il la pénétra d’un coup sec, elle hurla puis tomba de nouveau dans les pommes.

Elle mit du sang sur le carrelage.

« Putain t’es trop bonne avec ton petit trou…t’es ma pute maintenant. »

Il la frappa sur les joues.

« Tu vas les ouvrir tes yeux, je veux que tu me vois te niquer. »

Elle ne pouvait plus bouger et laisser se corps étranger l’envahir entièrement.

Sa bite était énorme, le vagin de Léa était tout petit, à oui il pouvait aimer ça, il la violé de toutes ses forces.

Puis il la retourna pour la mettre en levrette.

« Je vais finir par jouir dans ton cul maintenant grosse pute. »

Léa se débattait tout ce qu’elle pouvait mais il l’empoigna par les hanches et l’humidifia avec sa propre mouille avant de lui enfoncer son pieu dans son anus.

« Oh que c’est bon, putain t’es vraiment trop bonne toi ! »

Léa pleurait de toutes les larmes de son corps mais il n’arrêtait pas pour autant.

Et des vas et vient et vas-y que je te défonce…

Puis il finit par jouir dans son anus.

Il la laissa en plan sur le sol.

« Alors on se remet ça demain…. »

Il rigolait puis sortit de la pièce.

Léa se blottit contre le mur, elle pleurait à chaude larme.

Puis au bout d’un moment après avoir nettoyé les traces sur le sol, elle passa la tête par la porte et se précipita dans sa chambre.

Le reste de la journée se passa normalement, elle ne dit rien à la famille et lui fit aussi comme si de rien n’était, la regardant à peine.

Le soir même elle redoutait le lendemain, il lui avait bien dit « on se remet ça demain » avait-il dit ça pour lui faire peur ou alors allait-il vraiment recommencer ?

Léa ne savait pas du tout quelles étaient ses attentions puis elle finit par s’endormir.

Le lendemain, elle descendit tranquillement à la cuisine, Jullian était en jeans entrain de boire un jus de fruit.

« Salut ma belle, alors tu as bien dormi ? »

Léa le regarda avec une grande haine dans le visage.

Elle ouvrit le frigo et se baissa pour prendre un yaourt.

Il la dévorait du regard, si elle l’avait vu faire comme ça, elle aurait pris fuite directement.

Léa s’assit face à lui et le regardait avec insistance.

« Qu’est-ce qu’il t’arrive » lui dit-il.

« Tu crois que j’ai peur de toi ! » dit-elle en rigolant.

« Je pense que oui »

« Même pas, maintenant que tu m’as pris la seule chose qu’il me restait de pure en moi. »

« Pff, n’importe quoi. »

« Où sont les parents ? »

« Ils sont déjà partis ce qui veut dire que nous sommes seuls. »

Elle se leva pour laver sa cuillère puis il vint se coller contre elle.

Jullian leva légèrement sa chemise et passa quelques doigts sous sa culotte.

« J’ai envie de toi. »

Elle allait pour partir mais il la retint et violemment lui arracha sa lingerie.

Avec son autre main, Léa lui mit une droite.

Il saigna du nez, s’essuya et finit par la poser sur le plan de travail.

« Tu vois si tu étais plus coopérative avec moi, je te ferais l’amour comme tu le mérites mais ce n’est pas possible. »

Il était entre ses jambes écartées et l’embrassait tout en lui touchant les seins.

« Pourquoi je devrais me soumettre je ne désire pas faire l’amour avec toi. »

Il se rapprocha de son oreille et lui dit :

« Je te lécherais ta fleur et tes jolies pêches, et je déposerais en douceur mon nectar. Mais au lieu de ça, tu m’obliges à être vulgaire et violent. »

Pour ne pas souffrir, elle accepta ses paroles.

Il fit comme il avait dit, sa bouche et sa langue sur sa partie féminine, elle mouillait déjà, faisant de petit crie de jouissance.

En même temps, il lui touchait la poitrine.

Et elle pendant ce temps-là, elle regardait partout pour trouver un objet.

Puis il se leva, elle avait la tête tournait.

« Regardes moi dans les yeux Léa, s’il te plait. »

C’est ce qu’elle fit.

« Je veux te donner du plaisir, je veux que tu jouisses. »

Il l’embrassa avec fougue et il frotta son sexe dur contre le sien.

« Je veux que tu prennes mon sexe avec ta main, et que tu gères toi-même la pénétration pour prendre du plaisir. »

Elle n’en avait pas du tout envie, mais elle le prit quand même en main.

"Fais-le, je te jure que ça va te plaire. »

Elle réfléchit très rapidement et fit ce qu’il dit…

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire