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De femme du monde à salope de chienne – Chapitre 1

De femme du monde à salope de chienne - Chapitre 1



Il va me falloir quelques récits pour vous narrer la transformation d’une femme du monde, pudique, timide et réservée en une Salope de grande classe ; dans une relation qui dure depuis quelques années maintenant. Il va sans dire que vu le nombre de projets sexuels inventifs dont nous sommes friands, il y a lieue de penser que ce n’est pas demain que nous nous lasserons de ce qui nous fait en nous offrant de biens belles jouissances.

J’ai connu Gourmande, veuve sexagénaire, qui n’avait connu qu’un seul homme, par le biais du monde associatif et dans la pratique du sport loisir de plein air (pétanque) et du tarot par jours de mauvais temps ou de grand froid attablés dans le club house du club.

Première activité en commun lors d’un concours de pétanque où je l’ai eu comme équipière puis premier contact physique appuyé de nos jambes sous une table pendant que nous jouions aux cartes.

Elle se montrait réservée malgré tout, rougissant de mon audace et de ce qu’elle ne se croyait plus désirable. Moi, la cinquantaine, célibataire libertin, aimant la gent féminine, je me faisais fort de jour en jour de la séduire. J’appréciais sa forte poitrine, ses hanches larges et estimais bien dommage que son veuvage la privait trop tôt de sexe et donc j’entrepris de créer entre elle et moi, une relation plus conviviale. Une soirée anniversaire me permit de l’inviter et elle s’étonne encore aujourd’hui que j’ai pu la convier à cet événement. Plus tard, une panne de son ordinateur me permit de me rendre chez elle et donc de connaître son lieu de vie. Il m’a fallu deux interventions pour résoudre son problème informatique avec sans doute un zeste de volonté à ne pas trouver la panne de suite. J’aimais le côté intimiste de ces rencontres où il n’y avait que nous et je sais qu’elle les appréciait autant.

Ne voulant en rien la brusquer, mais aussi à ne pas tout gâcher par une maladresse, je ne fis rien, même pas une allusion alors que je la sentais bien disposée même si timide. Puis vint une première invitation à dîner. Resto asiatique, bel échange de propos, confidences pour confidences, et à la fin osant lui dire l’intérêt que je lui portais. Premier baiser sur le trottoir devant le restaurant et je la laissais rentrer seule chez elle, sachant au vu de l’émotion causée, qu’elle avait mouillée sa culotte. Je la savais prête à devenir une partenaire qui me permettrait d’assouvir une pleine sexualité et que si tel était le cas, elle deviendrait Ma Salope idéale. Le temps jouait pour moi maintenant et je sentais une certaine impatience de sa part lors de nos rencontres au club, où je me faisais charmeur (c’est ainsi qu’elle me voyait) pour entretenir la flamme, pas encore rallumée, de ses envies.

Il était évident que je l’intéressais et que toute femme du monde qu’elle était, il y avait du rêve dans ses yeux à chaque fois que nos regards se croisaient. Rêve d’un sexe dont elle devait imaginer les proportions et la manière de vite s’en servir.

Alors qu’elle allait fêter son anniversaire, elle m’invita. Belle soirée avec ses enfants et quelques amis. Vint le moment de clore la soirée. Je faisais tout pour être le dernier à quitter sa maison et en lui faisant la bise, je lui demandais discrètement si elle voulait que je revienne après le départ de tout le monde. Elle parut surprise, mais sa réponse positive ne laissait guère de doute que ce serait cette nuit-là que nous allions baiser ensemble pour la première fois. Je quittais les lieux en même temps que tout le monde, prenant mon temps avant de revenir vers elle. Elle m’accueillit à son entrée et dès qu’elle eut refermé la porte, je lui prenais sa bouche tout en plaquant ma main sur son mont de Vénus à travers son pantalon. Je voulais qu’elle sache qu’il n’y avait pas matière à tergiverser, que mon but était de la bien baiser. Nous nous retrouvâmes dans un canapé du salon et j’entrepris de la mettre à l’aise.

Petite séance de pelotage de ses beaux nichons aux larges aréoles et baisers profonds la rendaient haletante de désir et je sentais son entrejambe qui se trempait d’envies trop longtemps ignorées, trop longtemps insatisfaites. Elle m’entraîna dans sa chambre.

Je fus vite nu alors qu’elle avait éteint pour se déshabiller dans le noir, complexée sans doute par un embonpoint de femme ronde qui ne m’avait pas échappé et qui n’enlevait rien à mon appréciation d’elle. Je savais, en me glissant dans ses draps, qu’il y avait longtemps qu’elle n’avait pas eu un homme dans son lit et qu’il me fallait peut-être la rassurer avant de la prendre. Allongée sur le dos, elle était hésitante à ne savoir que faire et alors que mes doigts s’insinuaient dans sa fente vaginale toute mouillée, je lui dis de prendre ma queue en main. Elle n’attendait que cette invitation apparemment et c’est avec une satisfaction non feinte qu’elle m’empoigna la queue avec des gémissements et une forte excitation qui ne laissait douter de son manque. L’instant était sublime. Gourmande avait gardé sa culotte et son soutien-gorge et je fis sortir chacun de ses seins des bonnets qui les comprimaient. Nous étions dans une semi-pénombre qui était sans doute sécurisante pour elle.

Allongée sur le dos, j’entendais sa respiration s’accélérer à chaque caresse que je lui prodiguais. Je parcourais son corps de mes mains qu’elle trouvait chaudes tandis que ma bouche aspirait alternativement ses tétons. Ils durcissaient et je pouvais sentir sous mes doigts les picots d’excitation sur le pourtour de ses aréoles. Elle me tenait la queue avec force, la comprimant un peu maladroitement, mais qu’il était bon de me sentir prisonnier de ses doigts. Lorsque ma main parvint à son entrejambe, je devinais un mont de Vénus bien rebondi sous le coton de sa culotte. Je l’empaumais en le malaxant doucement et quand mon majeur s’inséra dans sa fente vaginale, le tissu était tout trempé d’une mouille abondante. Je passais un doigt en dessous de l’élastique de sa culotte et vins au contact direct de son intimité que je doigtais sans retenue. Douceur et chaleur de sa mouille abondante m’incitaient à la posséder de manière forte. Trois doigts actifs dans sa chatte la faisaient gémir.

Je me mis sur le côté alors qu’elle était sur le dos, je soulevais ses jambes les posant sur les miennes. J’amenais mon gland au contact de sa vulve et la pénétrait d’un coup. Sa chatte était profonde et captura ma bite tendue comme jamais. Tout autour de ma queue je ressentais des contractions de ses chairs intimes et constatait que son utérus était gonflé, gorgé de sang comme ma bite pouvait l’être, bref elle bandait fort elle aussi. La baisant doucement et avec la volonté d’aller au plus profond de sa chatte à chaque coup de reins et sans autre caresse, je la sentais prête à jouir. Gourmande était vaginale. Je la besognais de plus en plus vite et la fit crier de plaisir. Je l’accompagnais avec des mots doux, l’incitant à aller loin dans son plaisir et ainsi je lui fis avoir deux orgasmes coup sur coup qui la rendirent haletante et abandonnée, jambes resserrées dans un besoin de faire retomber l’excitation entre son entrejambe.

Je continuais à lui caresser les seins, faisant courir mes mains sur son corps. J’aimais la sensation électrisante dont son corps entier semblait être doté. Je pris le temps de la laisser se décompresser ma queue toujours fichée dans sa chatte. Quand elle eut retrouvé un peu plus d’amplitude dans sa respiration, je me mis à lui caresser son clitoris et quasi instantanément, je reçus un petit jet de liquide tout chaud sur mes doigts alors qu’elle se pâmait à nouveau, tout son corps pris de contractions que ma queue percevait en direct, comprimée par ses parois vaginales gonflées. Gourmande était aussi clitoridienne et très expressive dans la montée de son plaisir. J’aimais ça et le lui dit tout en continuant à la baiser avec douceur. Je sentais bien qu’elle avait coulé entre ses cuisses et les bruits de succion, les « flocs flocs » perçus à chaque fois que je la pénétrais confirmaient ses belles coulées.

Il y en avait plein dans sa raie culière, et de mon majeur je m’en servis pour lui lubrifier l’anus. Bientôt mon doigt dans son cul suivait le même mouvement d’avancée de ma bite dans sa chatte. Gourmande acceptait cette double pénétration tant que rassuré sur ses capacités à aimer la sodomie, je quittais sa chatte pour positionner mon gland contre son illet. Je n’eus pas à forcer trop pour la pénétrer, mais je le fis consciencieusement et méthodiquement. Je voulais qu’elle me prenne en entier au fond de ses reins et quand, lui soulevant une jambe, je me fichais au plus profond de son fondement j’y restai un moment lui faisant prendre conscience qu’un pieu de chair de 20 centimètres était planté dans son cul, un doux fourreau. Conscient de son acceptation et de son aptitude, je la besognais de plus en plus fort, lui arrachant des cris de plaisir qui allaient crescendo et quand elle explosa, je lui lâchais de longues giclées de foutre au plus profond de son tunnel.

Gourmande était aussi anale, pas loin d’être la femme exceptionnelle dont rêve beaucoup d’hommes, à savoir disponible une fois conquise, jouissive de toutes parts. Ne me restait plus qu’à découvrir ses capacités en matière de caresse buccale et quittant le confort de son trou du cul, je me mis sur le dos et l’invitait à me sucer dans des termes qui ne lui laissaient pas d’alternatives. Je voulais qu’elle comprenne que dès cette première fois, il n’y aurait aucun interdit ni de tabou dans le relationnel que je souhaitais établir entre nous. A mon invite, elle emboucha ma queue sans même se demander si elle était souillée et se mit à me sucer avec application même si j’estimais qu’il y aurait du progrès à faire de ce côté-là. Gourmande se montrait appliquée, douce et patiente et acceptait ma main sur sa nuque pour lui bloquer la tête afin de lui baiser sa bouche telle que je l’avais fait de sa chatte. Elle aimait sucer même si un peu sur la réserve.

Je savais qu’il me fallait l’amener à du mieux dans tous nos échanges, mais aussi à s’accepter comme elle était afin de ne plus éteindre la lumière lors de nos ébats futurs.

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