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De relation mere-fils à amants – Chapitre 16

De relation mere-fils à amants - Chapitre 16



Au retour nous avons continué avec maman à avoir de régulières relations. De mon côté je préparai mon départ pour les cours à mi-septembre. Maman elle était pas mal occupée, elle préparait un potentiel joli contrat avec un client Mexicain.

Un jeudi alors que je rentrai du boulot jentendais maman au téléphone. Elle était avec papa et ils étaient en train de sengouler au sujet dun repas et de son client Mexicain.

Jattendis que la conversation se termine pour rejoindre maman que je retrouvais en pleurs.

-Quy a-t-il ? lui demandais je.

-rien ce nest pas grave, je vais perdre tout le boulot que je viens de faire pour une énième connerie. Mais bon cest ton problème, je vais marranger.

-Dis moi ce quil y a.

-Et bien mon client Mexicain est venu avec sa fille, elle fait traductrice et il souhait nous inviter ce soir au restaurent mais ton père comme dhabitude na pas envie et a trouvé une excuse bidon. Je sais que mon client est très famille et tout et tout et si jy vais seule jamais il ne signera le contrat.

-Daccord et si jy vais avec toi ?

-Attends, je ne sais pas ce quil a prévu ou à quelle heure cela peut se finir et toi tu bosses demain.

-Toi aussi tu bosses.

— Oui mais avec eux normalement alors même si je suis un peu crevée ce nest pas grave, eux aussi.

-Allez ce nest pas grave jaurai peut-être la tête dans le cul mais ce nest pas la fin du monde jarriverai à faire ma journée. Alors quen dis tu ?

-Tu veux bien essayer.

-Mais oui sil est famille il appréciera quun autre membre de la famille soit venu avec toi ?

-Oui peut être. Il faut se préparer alors, il est presque 19 H et il passe nous prendre vers 20H.

Nous avons tous les deux filé à la douche nous mettre sur notre 31. Jai sorti un bon pantalon de toile avec la chemise rose. Lorsquelle maperçut maman fut étonnée.

-Et bien je crois que je ne tai jamais vu aussi classe. Merci.

-De rien prépare toi je tattends en bas.

Elle arriva 10 minutes plus tard, en vrai businesswoman : petit tailleur noir à jupe mi-cuisse qui lui moulait parfaitement les fesses et les cuisses, chemisier blanc un peu cintré pour dessiner sa poitrine. La classe et sexy en plus. Un dizaine de minutes plus tard une grosse berline allemande avec chauffeur vint nous chercher et nous amener à lhôtel de son client. Nous sommes entrés dans lhôtel et dirigés vers le bar de ce dernier. Là nous attendais à une table son client. Cest un homme dune soixantaine dannées très classe, assez corpulent, le teint halé et le front un peu dégarni. Sa fille, elle, était tout autre chose. Elle était brune, de taille moyenne très fine avec une cambrure de rein à faire pâlir et, elle était aussi très classe dans un tailleur tout blanc qui mettait en valeur son teint très mat. Les présentations furent courtoises et ma présence ne sembla pas incongrue. Les discussions reprirent autour dun apéritif. Je mefforçai tend bien que mal dêtre à la hauteur. Après cet apéritif, il commanda de nouveau une voiture pour nous emmener dîner. Ce petit laps de temps permit à maman de me féliciter pour ma prestance, peut-être cela sauverait il son contrat.

Nous avons dîner dans le restaurent le plus chic de la ville. Ce repas fut dabord très bon et courtois. Malgré les problèmes de langue les discussions étaient amicales et fluides. Il était maintenant un peu plus de minuit lorsque le chauffeur revint nous chercher. Je me trouvais à larrière entre les femmes alors que son père était à côté du chauffeur. Nous avons pris la direction de la maison.

Après quelques centaines de mètres, ma voisine Mexicaine posa sa main sur ma cuisse. Maman remarqua immédiatement laction. Rapidement elle commença à caresser mon pantalon. Je ne savais que faire par contre je sentais bien une petit raideur arriver dans mon pantalon. En une fraction de seconde elle senfonça légèrement sur son siège, écarta les cuisses et en passa une au-dessus de la mienne. En même temps, elle commença à se masser la poitrine. Ses mouvements lui avait remonté la jupe au niveau de la ceinture et son intimité totalement imberbe était maintenant à notre vue. Elle était superbe et la raideur de mon pantalon commençai à se faire moins « discrète » et maman lavait bien remarqué tout comme elle pouvait profiter du spectacle que javais sous les yeux. Nous ne savions que faire dautant que devant son père restait impassible et le chauffeur aussi.

Un de ses mains se dirigea alors vers son intimité. Elle glissa un doigt entre ses lèvres et commença à se titiller le clito en poussant ses premiers murmures. Le chauffeur prit alors une nouvelle route, et son père restait toujours impassible. Nous la regardions tous les deux, les jambes largement écartées en train de se branler, puis de senfoncer un doigt dans la chatte. Ce spectacle finit par me donner une trique du tonnerre qui déformait outrageusement mon petit pantalon de toile.

Au bout dun moment elle ôta sa jambe de sur la mienne puis en se contorsionnant un peu elle finit par s’asseoir à califourchon sur mes genoux et nous regardant alternativement tous les deux. Enfin elle me regarda un instant, me sourit et me dit.

— Comment me trouves-tu ?

-Très jolie évidement.

-Merci.

Sa main se posa alors sur la bosse de mon pantalon. Je sentais le souffle de maman, assez court, avait-elle peur ou bien la situation commençait-elle aussi à lexciter. Elle commença à caresser ma verge au travers du pantalon. Elle attrapa lattache de la braguette, ouvrit cette dernière et enfila sa main pour aller attraper ma queue. Lorsquelle eut lobjet en main elle eut un moment darrêt à la caresser tendrement avant dentreprendre de la sortir. En quelques secondes javais la bite fièrement à lair. Elle tourna la tête en souriant à maman et lui dit :

-Vous avez un fils charmant, avec une belle virilité.

-Oui lui répondit maman un peu hébétée.

-Mais tu me trouves jolie à quel point ? me dit-elle en se retournant vers moi.

-C’est-à-dire ? lui répondis-je alors.

Elle attrapa alors son sac à main et farfouillant dedans pour finalement en sortir un préservatif. Me montrant lobjet, elle me sourit. Son idée était je pense bien clair, elle avait dans lidée de se faire sauter. Je sentais toujours le regard de maman sur nous et ne me sentais plus maintenant reculer, si non que deviendrait son contrat. De toute manière elle était fort désirable alors je lui répondis par un sourire. Elle reçut le message 5/5 et ouvrit le préservatif, Elle le sortit de son enveloppe et le déposa sur la queue avant de lentement le dérouler jusquà la base de mon membre bien raide. Elle se souleva alors légèrement. Je mavachis alors légèrement dans le siège de manière à placer ma verge sous son intimité. Elle positionna alors ma queue et descendit lentement mais sans arrêt. Elle était littéralement trempée et elle neut aucun mal à sempaler à fond. Elle se calla et commença à onduler du bassin. Sa satisfaction se faisait entendre à ses gémissements. Puis elle commença à accélérer ses mouvements. La voiture continuait à rouler et il ny avait aucune réaction à lavant malgré la scène de baise en cours à larrière. Elle se tortillait maintenant comme une furieuse sur ma queue en poussant des cris de plaisirs. Lexcitation de la situation me maintenait en érection mais linconfort de la position ajouté au préservatif mempêchait dexploser pour le plus grand plaisir de la petite furie qui était sur ma queue et qui se défonçait la chatte tout en déversant sa mouillure sur mon pantalon maintenant trempé par son plaisir. Au bout dun bon moment je commençais à ressentir de des contractions dans son intimité, ses cris étaient maintenant continus et elle finit par se prendre des orgasmes à répétition et ne plus pouvoir bouger. Pendant un bon moment elle resta ainsi pour reprendre ses esprits. Relevant la tête elle me sourit et me dit quelques mots en mexicain que nous ne pûmes comprendre. Elle tourna la tête vers maman et lui dit :

-Je corrige ce que je vous ai dit tout à lheure, vous avez un fils avec une magnifique virilité. Excusez-moi, je peux ?

-De quoi ? lui répondit maman.

Mais avant même que maman ai pu finir sa phrase elle avait posé sa main entre les cuisses de maman et commençai à remonter sous sa robe. Maman fut surprise et eut un petit tressautement qui arrêta la main exploratrice. Elles se regardèrent droit dans les yeux puis maman finit par écarter les cuisses, laissant alors accès à la main inquisitrice. Je pense quelle atteint rapidement la vulve de maman car elle lui dit.

-Et bien, vous nêtes pas insensible à nos ébats me semble-t-il ? Personnellement jai pris ma dose, vous savez, le sexe de votre fils est encore tout dur dans mon intimité, il serait dommage de ne pas profiter, venez me remplacer je vous laisse la place.

Elle souleva alors son basin pour extraire ma queue et dune main experte retira le préservatif de sur ma queue tout en la gardant en main. Elle regarda maman qui ne bougea pas. Voyant que la proposition était sérieuse, elle finit par attraper de chaque côté sa jupe et la remonter sur ses hanche.

Notre petite latine retourna sur son siège alors que maman prenait sa place au-dessus de ma queue. Elle me fixa alors, je voyais dans ses yeux beaucoup de choses, de la panique, crainte mais aussi de lexcitation, je ne savais quel était le sentiment qui prédominait. Tout comme sa prédicatrice, elle descendit sur la colonne de chair encore bien dure. Dans le vif de laction elle commença à onduler, petit à petit je voyais dans ses yeux lexcitation monter et bientôt un abandon. Chaque mouvement commença à lui extirper des frissons. Notre voisine ne manquait pas une miette du spectacle. Maman avait maintenant largement dépassé le point de non-retour et elle eut un violent orgasme qui la scotcha elle aussi sur ma queue. Elle se pencha alors et déposa sur mon front un bisou avant de se retirer de ma queue encore toute dure. Voyant cela, notre amie mexicaine la repris en main puis en bouche pour goûter le jus de maman et attaquer une fellation. Au bout dun moment elle arrêta sa pipe et sadressa à maman.

-Voudriez-vous maidez, je pense quun homme aussi viril à le droit de jouir lui aussi et jai envie de goûter sa semence.

Maman était maintenant totalement dans le truc, elle approcha la tête et reprit la fellation. Elle savait exactement comment me faire jouir et sy appliqua. Notre hôte lobservait me faire monter dans les tours. Lorsquelle eut bien profité de la situation maman sadressa à notre amie :

-A vous de finir maintenant.

Elle reprit en bouche mon membre et poursuivit laction de maman. Je sentais la plaisir venir et ma queue était gorgée de tensions. Léjaculation finit par venir. La première giclée fut si forte et abondante quelle faillit sétouffer mais elle poursuivit son uvre. Les suivantes continuèrent à la ravir et elle avala absolument toute ma semence jusquà la dernière goutte.

Elle remit alors mon sexe dans le pantalon et referma ce dernier. A lavant il ny avait toujours aucune réaction, nous avions maintenant repris le chemin de la maison et les filles étaient en train de se réajuster et recoiffer. Les dix minutes quil nous fallut pour arriver à la maison se passèrent sans aucun mot ou regard. Arrivés, nous sommes descendus de la voiture ainsi que notre voisine. Cest elle qui prit linitiative de la parole, comme si de rien nétait, en se dirigeant vers moi et me tendant la main :

-Jai été très heureuse de vous connaître, jespère que nous nous verrons de nouveau.

-Merci cest réciproque.

-Désolée pour votre pantalon.

-Ce nest pas grave, lui retournais-je.

Puis elle se tourna vers maman qui était un peu stressée et mal à laise.

-Jai passé une bien agréable soirée en votre compagnie.

-Merci répondit maman.

-Je pense que ce contrat peut être une bonne chose pour nos deux parties. Que diriez-vous den parler à nouveau demain matin. Pourriez-vous passez à lhôtel vers 10H ?

-Bien sûr lui retourna-t-elle avec un large sourire mais aussi un air un peu étonné.

-Et bien je vous dit à demain, bonne soirée.

Elle se sengouffra alors dans la voiture qui reprit son chemin nous laissant comme deux ronds de flan devant la maison. Maman me fit face et je vis des larmes couler de ses yeux.

-Eh eh eh te fais pas de bile. Vas-y demain je suis sûr que tu peux lavoir ce contrat.

Elle ma souri mais rien dit. Nous sommes rentrés et sommes allez nous coucher directement chacun de notre côté sans une parole, les émotions avaient été suffisantes pour ce soir et il y avait le boulot dans quelques heures.

Lorsque que le réveil sonna javais limpression que je venais de fermer les yeux. Mais bon une bonne douche froide et un petit déjeuner me permirent de partir au boulot alors que maman dormait encore. En milieu de matinée jeus un petit coup de fils de maman au boulot :

-Mon coucou mon cur, je ne te dérange pas plus, je suis dans le hall de lhôtel pour mon rendez-vous, je taime, je tembrasse.

-Moi aussi bon courage et ramène le contrat.

-Jespère, je taime, bisous.

Le repas fut bienvenu le midi pour recharger un peu les batteries mais le début daprès-midi fut fort difficile à passer dautant plus quil y avait pas mal de boulot et quil faudrait sans doute faire un peu de rab pour un vendredi après-midi.. En milieu daprès-midi jappelai maman pour avoir des nouvelles et lui dis que je serai de retour à la maison un peu plus tard. Au son de sa voix je compris tout de suite quelle avait signé le contrat, elle était heureuse, presque euphorique, mon retard neut quun petit effet sur son enthousiasme, elle me dit juste « fais vite ».

Au retour à la maison je ne vis personne de prime abord mais trouvai un petit encas dans la cuisine avec un petit mot.

Mon cur, prend ce petite encas et un petit rafraîchissement, je tattends dehors, nue les cuisses écartées pour fêter notre contrat. Je pris alors ce petit repas, avalait une boisson fraîche et me dirigeai derrière où jy trouvai comme annoncé maman, nue mattendant. Elle était plus quheureuse et cela la rendit chaude comme la braise. Nous avons bestialement fait lamour dans tous les coins jusquà ce que je ne puisse plus bander.

Cette aventure fut la dernière dun été bien rempli. La rentrée approchait et je devais partir à trois bonnes heures de route de la maison pour mes études. Par chance nous avions trouvé le cursus que je voulais dans une ville où maman avait une amie qui possédait un appart libre, quelle voulut bien nous louer, alors ce serait plus cool. Et peut-être le théâtre de nouvelles aventures

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