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Des hommes et des chiens pour ma petite chatte. – Chapitre 4

Des hommes et des chiens pour ma petite chatte. - Chapitre 4



On marchait au coucher du soleil quand la chaleur commence à décroître, pas encore à la fraîche pourtant. En plein cagnard, on se repose et on avance la nuit, enfin si ça nous dit. On revenait de Paris où on avait squatté dans un immeuble en construction et où on avait pu se taper une bourge qui aimait bien les bites d’hommes et de chien. La fille était parti et on avait dans l’idée de retourner au patelin où on avait baisé l’autre. Des fois qu’on la retrouverait.

On avait traversé un petit village de bouseux où des vieux assis sur des bancs de pierre ou sur des clôtures nous regardaient d’un drôle d’air et chuchotaient dans notre dos. On venait à peine d’en sortir qu’une petite bagnole grise s’est arrêtée quelques mètres devant nous.

La portière s’est ouverte et on a vu un bras féminin déposer quelque chose sur la chaussée. Puis la bagnole est repartie. On a suivi ses feux qui ont disparu à quelques centaines de mètres devant plus loin.

Les chiens se sont précipités. On n’aime pas qu’ils nous échappent alors on les a rejoints en courant.

Lupus tenait un truc dans sa gueule. C’était une cannette de bière vide avec un reste de mouchoir en papier attaché par un élastique. Il y avait un mot :

"Ma chatte est mouillée. Je suis très chaude du cul. Venez vite m’enfiler. Deuxième à gauche, la petite ferme. Je vous att…". Le reste du mot était illisible. Lupus l’avait déchiré en saisissant la canette.

–  Putain, c’est quoi ce truc de ouf ? a dit Marco.

–  J’en sais rien…

Jean-Lou a repris :

–  Qu’est-ce qu’on risque ?

–  Tu trouves ça normal toi une meuf qui s’arrête et qui nous laisse un mot pour se faire niquer ? C’est quoi l’embrouille ? On connait personne dans ce trou !

–  A propos de trou, j’pense que la proposition est cool quand même.  Y’aurait quoi d’étonnant ? Sab, et Lucie à Paris, elles ont pas fait trop de difficultés. Au contraire, c’est elles qui sont venues nous chercher ! Alors là, la meuf elle nous voit, elle voit qu’on est bien foutu et bam… Moi j’suis pour qu’on y aille !

–  T’en penses quoi Marco ?

–  J’en pense qu’on va perdre les chiens. Eux, ils ont pas l’air de se poser la question, ils trottent. On les suit. De toute façon, à trois et avec nos toutous protecteurs, il peut pas nous arriver grand chose.

–  OK. On y va. Il dit où le message ?

–  Deuxième à gauche, petite ferme. On doit pas pouvoir se tromper.

–  De toute façon ça me chauffe déjà tellement que j’ai la bite comme un GPS. Putain, si c’est une arnaque, j’vais tout déglinguer ! Y’a intérêt qu’on se foute pas de notre gueule !

Alors on a essayé de  rattraper les chiens. On est arrivé dans la petite ferme. La porte du logement était ouverte. Je suis rentré dans un couloir. A droite, il y avait la cuisine.

Allongée à poil sur la table, la moule au ras du bord, les jambes bien écartées, une femme offrait sa vulve à mon chien tout en se triturant les nichons dans de petits gémissements préorgasmiques.

C’était Sabine.

On est resté médusés pendant quelques instants, puis elle nous a dit de venir.

Alors j’ai poussé Bitsa pour qu’il me laisse la place. Il a grogné un peu mais il sait qui est le maître; et j’ai enfilé la meuf direct en passant mes bras sous ses jambes pour bien la bloquer et je me suis mis à la déboiter.

Les potes ont vite grouillé de se foutre à poil et sont montés sur la solide table en chêne pour se faire sucer.

On n’ a pas tardé à aller dans la piaule. On a foutu tous les matelas qu’on a pu trouver au sol et là on a pu niquer comme on voulait.

Avec Marco on l’a tout de suite sautée en double. Ah putain ! c’était bon de pouvoir baiser et surtout elle qui est vraiment bien chaudasse de la chatte de la bouche et du cul. Pendant ce temps, elle suçait Jean-Lou ou un chien alternativement.

Il y avait tellement longtemps que j’attendais de piner que j’ai été assez peu résistant et j’ai vite lâché la purée. Du coup, Marco s’est excité et il a vidé ses couilles dans la chatte avant que je ressorte mon zob.

Alors, on a empilé des coussins sous son cul pour le surélever et permettre à un chien de la prendre en missionnaire si on peut dire; on y a mis speedo parce qu’elle l’avait bien sucé et qu’il était chauffé à mort. Son gros bâton rouge expulsait sans arrêt des petits jets de sperme et son bulbe était énorme. Il a pas pu entrer tout le morceau mais elle en a eu assez quand même.

Jean-louis continuait de se cramponner à sa tête pour qu’elle le pompe à fond et elle branlait les deux chiens en remettant régulièrement de la salive dans ses mains pour lubrifier leur vit tendu puis, au fur et à mesure qu’ils dégoulinaient, le sperme a fait rempli cet office.

Enfin, Jean-louis a éjaculé dans sa bouche. Quand il a retiré sa verge, le sperme s’est échappée le long du menton. C’était cool à voir et a goûté aussi parce que je lui ai roulé une pelle aussitôt.

On l’a mise à quatre pattes et m’ont chien l’a montée. Il en pouvait plus d’attendre.

On a décidé de le lui mette dans le cul mais, là non plus, il n’y a rien eu à faire pour que la boule force le passage. Mais on s’est bien promis d’y revenir un jour à coup de gel pour tout faire entrer.

Il a déchargé comme une lance de pompier. Quand il s’est retiré du cul, sa bite était toute gluante et il a entraîné de longs fils de sperme épais qui se sont rompus sur les fesses.

Puis on a roupillé.

Je me suis réveillé au petit matin. Tout le monde pionçait.

A ce moment là, elle était allongée sur le dos. Il faisait jour et, à travers les persiennes , un rayon de lumière éclairait précisément sa moule luisante; Ses gros nichons, dans une légère pénombre, ajoutèrent à mon désir et je me mis à bander.

Je me suis approché pour lui bouffer la chatte. Elle était encore toute humide et foutreuse.

Elle a commencé à réagir, à se réveiller, à ronronner. Alors je suis allé au nombril puis aux tétons que j’ai avalé comme un affamé Puis je l’ai embrassée. Elle m’a agrippé le cul et m’a palochée avec fougue; Alors je lui ai dit :

–  Putain, t’avais encore la moule pleine de jute !

–  Je vois ça, ta gueule pue le sperme… C’est de ce matin.

–  Pas vrai ? Lequel des deux t’a fourrée. J’ai rien entendu.

–  Bitsa !

–  Vrai ?

–  Vrai !

–  T’es vraiment une grosse cochonne !

–  Dis plutôt une chienne en chaleur.

Je le croyais pas! Je lui avait récuré le trou avec application en pensant que c’était la jute d’un de mes potes…  Au point où j’en étais, j’étais trop chauffé alors je me suis remis à lui bouffer la chatte.

Et puis je l’ai repénétrée d’un coup sec. J’ai mis mon gland sur l’orifice et j’ai poussé d’un seul élan. C’est passé tout seul, jusqu’au fond.

On commençait à faire du bruit. Les gars s’étiraient… avec la gaule du matin, bien raide.

J’ai demandé à Sabine si elle préférait le chien ou moi.

Elle a dit que c’était du pareil au même alors j’ai eu une idée pour nous départager.

Je me suis allongé et je lui ai dit de venir s’empaler. Elle a bien sûr sauté sur l’occasion.

Lupus était en train de s’exciter alors j’ai demandé aux garçons de l’aider à la grimper dans le trou de balle et on lui a fait une double. C’était géant. La masse du zob de mon clébard emplissait tout le cul et comprimait ma bite. C’était hyper sensible, comme si entre ma teub et celle du chien il n’y avait que l’épaisseur d’un préso.

Je sentais la queue palpiter régulièrement. Je ne pouvais pas bouger au risque de faire sortir l’animal mais il faisait bien le boulot pour deux. J’ai senti son sexe se gonfler à mort quand il a déchargé. Et il y en avait ! Quand il s’est retiré, en faisant un "plop" très sonore, une grosse quantité de liquide chaud a coulé le long de la raie et a recouvert mes couilles; J’ai déchargé et elle s’est précipitée sur mon sexe pour le décrasser à fond.

Puis les gars l’ont tringlée à leur tour; Et j’ai maté.

Bon, faut pas se mentir! Au début, on me prend toujours pour un gros porc. Un mec qui bouffe une chatte pleine de foutre et qui plonge sa queue dans la jute des autres, et surtout quand les autres c’est des chiens, ça fait pas clean. Mais stop ! Précisons! Marco et Jean-Lou, on traine ensemble depuis tellement longtemps que nos échanges de sperme, c’est monnaie courante. On fait tout en compagnie.

Et puis je considère que dans le cochon tout est bon. Moi, j’aime le cul pour le cul. OK, le plaisir c’est d’abord de sentir ma queue dans un trou étroit mais j’aime le cul qui sent le cul. Une baise ça doit sentir une baise. Comme chantait mon tonton militaire, un nud ça doit sentir un nud et pas l’eau de Cologne. Et puis j’aime voir.

Quoi de plus réjouissant, quand je monte Sabine, que je sois debout ou à genoux selon les positions, que de jeter un il ver mon bas ventre et voir ma bite fendre la raie ou disparaître entre les globes fessiers. J’aime voir une pine coulisser, voir le sperme jaillir entre les seins ou sur les poils de la chatte. J’aime regarder les gros nichons, rouler, ballotter, tanguer en cadence sous les coups que le corps du mâle assène à la femelle.

Il faut convenir qu’avec les chiens, on voit moins bien. Alors, parfois, quand Sabine est en levrette avec un dogue accroché à sa croupe, je me faufile en 69 pour regarder la tige rougeâtre écarter l’abricot et la boule fendre les lèvres comme si elles étaient gonflées… le tout en me faisant bouffer les roustons.

Alors, tout le week-end, je m’en suis donné à cur joie et, plus d’une fois, après avoir délesté mes burnes, j’ai pris la pause voyeur et ma gaule s’est redressée à l’occasion devant ce bon porno réel et pas virtuel.

Comme il a fait beau, on a vécu à poil dans la ferme. On aidait Sabine en bricolage et entretien. On l’a surtout aidée à jouir…

Quand on passait à côté d’elle, une petite claque sur le cul, un doigt vite fait sur le clitos et hop ! La quéquette se remettait en marche. Je ne sais pas combien de fois chacun l’a tirée. Le dimanche j’en pouvais plus. J’avais trop bandé. Les couilles étaient à sec.

Pour les chiens, c’était encore pire. Pas de résistance les toutous ! Une libido nulle, à part Speedo peut-être qui a dû la regrimper trois ou quatre fois. Mais les autres, pas facile de leur faire avoir une nouvelle crampette.

Alors on a joué un peu car, il faut reconnaître, ça nous chauffe bien quand elle écarte les cuisses et qu’elle se fait décaper la vulve par les clebs, surtout qu’elle aime ça la chienne. Faut la voir s’agiter, gueuler et se masser les nichons quand le clito explose sous les caresses linguales de nos bêtes.

Le samedi après-midi, on s’est approché d’elle et on l’a bloquée tous les trois. On l’a forcée à écarter les cuisses. Elle se débattait en nous demandant à quoi on jouait, puis, quand on a commencé à lui barbouiller la raie avec de la confiture, elle a rigolé. Le goût du sucré, les chiens ils aiment…

Du coup, même quand ils n’ont pas envie de la saillir, elle se recouvre le clito de confiotte et elle se fait lécher. Nous, ça nous ferait triquer aussi sec, mais eux pas forcément. Il n’empêche, elle a trouvé le truc pour s’éclater quand elle veut.

Bref, on a passé un super week-end. Hébergement grand luxe, avec douches, bouffe et sexe à volonté. Elle nous a quitté en promettant de revenir le vendredi d’après…ça me paraissait une éternité.

A suivre.

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