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L'internat – Chapitre 1

L'internat - Chapitre 1



C’est la dernière semaine des vacances scolaires. Celle au cours de laquelle on pense ne pas avoir assez profiter de ses vacances et où l’on se prépare pour l’année à venir. Celle-ci sonnait pour moi un peu différemment que d’habitude. Je m’appelle Julien, j’ai 16 ans, et dans cinq jours, je rentre au pensionnat de Bellemire. Cette décision a été prise par mes parents il y a quelques mois, et a été motivée par mon échec scolaire croissant. Bien qu’il y ait un lycée public à une dizaine de kilomètres de chez moi desservi par autobus, ils ont préféré m’inscrire dans un lycée privé, réputé pour être stricte et pour son taux de réussite frôlant l’excellence. Je n’ai jamais étais assidu en cours. Toujours absent, et pas vraiment concentré lorsque j’étais présent, ce lycée privé paraissait être un remède miracle contre mes désastreux bulletins de notes aux yeux de mes parents. Pour moi, ce n’était rien d’autre qu’un prétexte pour qu’ils se retrouvent enfin seul, je suis le cadet de leurs 5 enfants, et tous deux approchent à grand pas de la retraite, ils ont juste envie de souffler et de profiter de leur temps libre sans devoir se faire de soucis pour moi. C’est une véritable épreuve pour moi, j’imagine une prison de béton et d’acier tenue d’une poigne d’acier par des gardiens tortionnaires. En préparant mes affaires, je sentait l’appréhension de ce changement de repère monter en moi. Je rentre un jour en retard à cause du trajet que mes parents préfèrent effectuer de nuit.

Me voici donc cinq jours plus tard devant les grilles de Bellemire. Mes parents m’embrassent avant de remonter dans leur voiture, et me laissent entre les mains d’un professeur assez âgé, chauve, en costume-cravate, qui m’invite à entrer. En marchant, il m’explique que tous les élèves sont déjà en cours et qu’ils sortiront à midi, ce qui lui permet de me faire visiter le pensionnat dans le calme. Il se présente comme Mr MONTEIL, proviseur adjoint. Une fois les grilles et la porte d’entrée passés, je pose ma valise dans un coin, et il commence la visite du bâtiment :

"Ici, c’est le grand hall. De là, tu peux accéder à l’ensemble des couloirs et des salles de cours."

C’était un grand espace en pierre grise sur les murs et carrelage brun au sol, qui n’était pas sans rappeler l’intérieur d’une abbaye ou d’une église. On distingue deux escaliers en pierre permettant d’accéder aux étages, deux portes sur les côtés et une porte sur le mur en face de nous.Il traverse ce hall de part en part pour arriver à la porte d’en face. Lorsqu’il l’ouvre, une cour privée apparaît. Elle a l’air immense, des arbres, de la verdure, un étang, une foret au loin, des bancs, des oiseaux, le tout baigné par les rayons du soleil éclatant de la fin Août. Je suis émerveillé devant ce spectacle qui balaie en moi les préjugés du pensionnat qui s’étaient insinués dans mon esprit.

"C’est la cour, tu peux y venir quand tu le voudras en-dehors de tes heures de classe, elle n’est interdite qu’à partir de minuit pour des raisons de sécurité."

Je reste muet face à tant d’espace. Même en forçant mon regard, je ne distingue pas de clôtures, on dirait qu’il n’y a aucune limite à ce lieu.

L’homme repris sa visite en me présentant le réfectoire, qui lui aussi me laissa béat. Des colonnes en pierre claires soutenant un plafond en voute romaine, des fenêtres immenses illuminant la salle, des tables regroupés par six permettant eux élèves de dialoguer entre eux, ce qui doit offrir une atmosphère bien plus conviviale qu la disposition linéaire de mon ancien collège. Plus la visite se poursuivait, plus je m’enthousiasmait à l’idée de vivre dans cet endroit. Pour finir, il revint devant la porte menant dans la cour, me dit de récupérer ma valise puis de le suivre. Il franchit la porte, je lui emboîtait le pas. Nous suivîmes un sentier de pierre qui nous amena devant un nouveau bâtiment, lui aussi en pierre mais d’une couleur plus chaude, entre beige et blanc. Il s’étendait sur trois étages, avec des fenêtres disposées à intervalles réguliers et un toit en brique :

"Ce sont les chambre, la tienne est au deuxième étage." En disant ces mots, il entra et montât les escaliers, je le suivi. Il m’amena jusqu’à ma chambre, me montre mon lit, et me laissa là en disant :

"Prends le temps de poser tes affaires, les cours reprennent à 14h dans la salle 204, d’ici là tu as quartier libre."

Puis il s’en alla en refermant la porte. Je regarde ma montre : 11h37, j’avais plus de temps qu’il ne m’en fallait. Je partageais ma chambre avec une autre personne apparemment, qui devait surement être en cours. Une fois mes habits rangés dans mon armoire, je décidais d’aller faire un tour pour prendre mes repères. Je retraversais le sentier de pierre, puis japerçus l’entrée par laquelle j’étais arrivée. Je prend la direction de l’étang que je devine au loin. Au bout de quelques bonnes minutes de marche, jatteins mon objectif : un magnifique plan d’eau, bordé de roseaux, entouré par une forêt. Devant cette vision paradisiaque, je m’allonge sur un banc qui se trouvait là, et massoupis. Je fut réveillé par des bruits de pas, je me relève et japerçois une groupe d’étudiant qui se dirige également vers le point d’eau. Il me remarquent et me saluent :

"Hey, ça va? Désolé, on voulait pas te faire peur, dit un garçon aux cheveux bruns.

— Non t’inquiète, je m’étais juste endormi.

— Ahah, cest vrai que cet endroit est assez reposant. C’est ton premier jour ici?

— ça se voit tant que ça? Dis-je en souriant

— Un peu. On t’a déjà fait visiter ?

— Oui, Mr. Monteil l’a fait

-Ah, d’accord. Viens, on va te montrer tout ce qu’il ne t’a pas montré!"

Sur cette invitation, je décidais de suivre le groupe d’étudiant. Après m’être levé, le garçon brun me serra la main et se présenta comme étant Nathan, en deuxième année, et me présenta aux autres membres de son groupe composé de trois autres garçons : Raphaël, Maxime et Nicolas.

Nous nous mîmes en route. En chemin, nous croisions dautres étudiants en pause, qui erraient dans la cour pour passer le temps. Je les suivi jusqu’à arriver à un bâtiment que Monteil ne m’avait pas fait visiter, on dirait une copie conforme de bâtiment des chambres:

"C’est quoi ici ? Demandais-je.

— Le dortoir des filles, me répondit Raphaël.

— Elles ont des cours et des chambres séparés des nôtres, mais il arrive que les garçons et les filles aient pause aux mêmes moments. Par contre, les diners se font dans deux réfectoires différents, je cherche toujours où se trouve celui des filles." Précisa Nathan en souriant.

Les filles ne m’avaient jamais vraiment intéressé pour le moment. De nature plutôt timide et réservé, je n’avais encore jamais connu les joies du couple tant au niveau sentimental que sexuel. Cependant, je sentais grandir en moi un envie indescriptible à l’idée qu’un grand nombre de fille dorme à quelques dizaines de mètres de nous chaque nuit. Je passais le reste de la pause de midi à discuter avec mes nouveaux amis sur l’organisation du pensionnat.

Je viens de finir ma première journée de cours, il est 18h. Tout le monde rentre dans son dortoir. Je découvre avec joie que Nathan sera mon camarade de chambre. Heureux de cette coïncidence,je pars à la douche l’esprit léger. Les douches se situent aux troisième étage du dortoir, et on a le choix entre douches communes ou individuelle. Mon choix se porte bien évidemment sur les douches individuelles. Une fois douchés, nous allons au réfectoire pour le diner du soir. Moi et le groupe de Nathan décidons d’occuper un table de sic, et discutons de nos villages d’origine respectifs. Une fois rassasiés, nous partîmes nous coucher. Une fois dans notre chambre, Nathan me demanda :

"ça te gène si je dors en caleçon?"

Je lui répondit que non, et il se déshabilla. Il était assez beau : des abdos légèrement dessinés, pas de ventre, pas de poils, le tout surmonté d’un visage agréable à regarder. Il se glissa sous la couette en grelottant. Étant également habitué à dormir en caleçon, je décidais de faire de même. Lorsque j’enlevais mes vêtements, je sentais qu’il me fixait. Je rougis, puis me glissa sous les draps. Nous restâmes un moment sans dire un mot, avec la lumière allumée, puis il me demanda:

"As-tu déjà eu une petit copine?

— Non, jamais, lui répondis-je après avoir hésité entre mentir ou être honnête.

— T’as jamais embrassé personne alors?

— Non plus.

— Tu n’as jamais une fille nue ?

— Pas vraiment. Jhésitais à lui répondre que j’en avais déjà vu plusieurs sur des revues coquines, mais ma timidité m’en a empêché.

— Ah, tiens, ça va faire ton éducation!" A ces mots, il se leva, souleva son matelas, et en sorti des revues qu’il me lança. Je les ouvrais et les feuilletais : c’était carrément du porno!

"ça t’embête si je les regarde avec toi ? Me lança-t-il

— Non, je crois pas." Répondis-je.

Je n’avais pas vraiment compris le sens de sa question : il vint s’allonger sous mes draps et me montrait ses photos préférées. Au fur et à mesure de cette présentation, je sentais ma bite grossir et se tendre. Je me retenais de me masturber, mais Nathan n’eût pas cette retenu : il se redressa pour enlever son caleçon :

"Tu peux faire pareil si tu veux. T’inquiète, on est entre nous."

A ces mots, je fus pris d’un frisson d’excitation, et fis de même. Nous voici nus comme des vers, en érection, dans le même lit. Il me lance :

"J’ai toujours voulu savoir ce que ça faisait de sucer quelqu’un, tu veux bien te laisser faire ?" Il rougit en prononçant cette demande, et jétais choqué devant son attitude. Constatant que je ne protestait pas, il passa timidement sa main sur mon ventre, mon corps tout entier se mit à frissonner. Puis, sa main descendit sur mon bas-ventre, puis sur mon pénis en érection. Il le saisit à pleine main, et sans dire un mot, dirigea sa tête vers ma queue en se glissa sous les draps. Je sentais son souffle sur ma bite, puis ses lèvre vinrent y déposer un baiser avant de l’enrouler. La sensation était exquise, et alors qu’il multipliait les aller-retours, je sentais le plaisir monter en moi, jusqu’à déverser ma semence dans sa bouche dans un râle d’extase. Il se rallongea et déposa un baiser dans mon coup:

"Tu vas voir, tu vas vite t’y faire dans cet endroit.

-Comment ça ?

-Tu verras dès demain. En attendant, tourne-toi s’il te plait."

Je m’exécutait, et m’allongea sur le ventre. Il se mit à couvrir les fesses de caresse, puis à caresser ma raie et finit par s’attarder sur mon petit trou dont il caressa tous les bords. Je me surpris à aimer ça, et en constatant que j’en profitais, il déclara :

"Oui, tu vas vraiment te plaire ici."

La suite au chapitre 2

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