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Des potes pas si hétéros que ça – Chapitre 18

Des potes pas si hétéros que ça - Chapitre 18



J’étais toujours en couple avec Antoine, mais ma réputation volage me succédait. Ainsi, certains mecs n’avaient pas peur de m’approcher pour flirter avec moi, et je ne les repoussais pas forcément. C’était le dernier jour avant les vacances d’avril. Nous étions tous assis sur l’herbe, papotant, rigolant, flirtant. Je me trouvais notamment avec Louis et Clément. Un ami de ce premier vint nous rejoindre: il était en première ES et s’appelait Paul. Il m’attirait énormément car dans cette après-midi ardente, la température nous rendait étrange. Pour l’heure, Paul jouait de la guitare et je regardais son short derrière mes lunettes de soleil. Il mettait en valeur ses cuisses musclées ainsi que ses mollets galbés et poilus. Paul était châtain, très grand et avait des gros bras musclés qu’il ne tarda pas à découvrir en parlant de la chaleur. En effet, il enleva son T-Shirt et je pus admirer son corps en toute impunité. Mes yeux s’attardaient sur ses abdos, ses pectoraux durs qui bougeaient au rythme de ses mouvements sur la guitare. Son air doux et timide m’excita encore plus: je voulais le voir dévergondé et en action.

L’après-midi continua, et au bout d’un moment je décidai d’aller aux toilettes. Paul me suivit et nous nous installâmes aux urinoirs, sortant nos calibres pour uriner. Je ne pus m’empêcher de jeté un coup d’oeil du côté du guitariste qui ne se rasait pas mais possédait un membre imposant aux couilles lourdes. Je détournai le regard et je le vis décoller ses couilles de sa teub tout en disant:

"Putain il fait trop chaud, j’ai les couilles qui collent, regardes!"

S’il me tentait aussi… Alors je regardai encore une fois son monstre de chair et lui sourit en répondant par un hochement de tête. Une fois vidés, nous retournâmes nous asseoir et mes potes commencèrent à s’en aller. Ne resta plus que Paul et moi, assis dans l’herbe à discuter tranquillement. Au bout d’un moment, Antoine passa avec ses amis et vint m’embrasser rapidement en me disant à ce soir. Paul me regarda avec un demi sourire puis, une fois mon copain parti, me demanda:

"T’es gay alors?

-Oui, c’est le principe quand on sort avec des mecs généralement, répliquai-je avec un clin d’oeil.

-Ah ouais chaud en plus t’as vu ma teub et tout!

-C’est rien t’inquiètes, j’en ai vu d’autres crois-moi, continuai-je en venant poser ma tête contre mes mains.

-C’est vrai? T’as eu pas mal d’expériences?

-Oui on va dire que j’arrive facilement à faire changer de bord mes potes.

-Et alors par rapport aux autres, tu la trouves comment ma queue?, me demanda Paul en se mettant en tailleur, intéressé.

-Vraiment pas mal, je t’assure, rétorquai-je."

Je ne voyais pas où il voulait en venir. Cachés par les buissons, personne ne nous voyait mais Paul vérifia tout de même derrière lui. Là, il m’embrassa sans me prévenir. Sa langue vint caresser la mienne et je répondis au baiser avec passion, loin d’éprouver de la crainte avec Antoine qui était pourtant à côté. Le baiser fut intense et dura quelques minutes. Mes mains vinrent caresser son cou et son torse encore nu. Je touchais ses bras qui me faisaient rêvés et quand Paul rompit le baiser, je fus presque déçu. Mais se fut pour mieux venir me mordiller le cou, le lobe de l’oreille et après m’être assuré qu’il n’y avait encore personne, je me penchai alors pour venir lui suçoter le téton. Ce dernier durcit rapidement, tout comme autre chose que je sentais dans le short en jean de Paul. Le jeune homme devait bander dur, car mon coude posé négligemment pendant les baisers échangés ressentait clairement une grosse bosse. N’y tenant plus et ne voulant pas casser cette scène qui se déroulait, je vins caresser la bosse que formait son pantalon. Je saisis le paquet à pleine main en venant embrasser son cou et je le sentis frémir:

"Il peut y avoir des gens là c’est chaud!

-Je propose qu’on ailles se trouver un coin tranquille, répondis-je d’une voix espiègle."

Ce petit jeu entre nous continuait. Paul m’entraîna au coeur de la ville, dans une petite ruelle fraîche par rapport au soleil qui tapait. Là, nous étions tranquille car personne ne passait jamais et il n’y avait aucune maison aux alentours, seulement des monuments inhabités depuis longtemps. Paul me colla contre le mur, agrippant mes mains, puis commença à passer les siennes contre mon torse. Il vint jouer sur mes tétons avec ses doigts, ses lèvres exerçant une forte pression sur les siennes. Je continuais de fixer son paquet qui me faisait envie. Il le comprit bien vite car il prit ma main et vint la mettre à l’intérieur de son short, dans son caleçon. Déjà, je sentis l’énorme queue de Paul contre ma main, ses boules pleines de sueurs, ses poils pubiens et je décidai de m’amuser un peu à le titiller. Mon pouce passa contre son gland gonflé, puis ma main engloba le tour de son chibre alors qu’il poussait un soupir d’extase. Je saisis ses couilles en les malaxant tendrement au rythme de ses baisers. C’était trop pour lui car son short empêchait des vrais mouvements de vas et viens amples sur sa queue. Alors, après avoir regardé à droite et à gauche nerveusement, Paul baissa son short et son boxer d’un coup, libérant sa bite à ma vue. Je me mis à genoux et il se rapprocha de moi, me la fit sentir avec un petit sourire.

"Désolé j’ai sué mais je suis sur que tu vas aimer ça quand même cochonne!

-Y’a de grandes chances, oui, rétorquai-je simplement."

A ces mots, je pris son morceau de chair en bouche. Ma langue suçota son gland pendant quelques instants alors que déjà des gémissements s’échappaient de la bouche du guitariste. Puis, je vins coller la bite contre ma tête, tapotant plusieurs fois le gland contre ma langue. Cette dernière descendit contre l’objet de mes désirs, arrivant aux bourses et s’activant sur elles. Paul lui donnait des petits coups de bassin pour que j’augmente le rythme. Je continuai alors en le suçant tout en le masturbant dans le même temps avec des petits coups secs. Je voyais ses boules bouger devant mes yeux, et cette vision créa une vague de plaisir dans mon être. Je les pris en bouche, continuant de branler le chibre. Je repris en bouche et il poussa sa queue en me regardant, une grimace de contentement sur le visage, et je dus la prendre en gorge profonde. Mes mains passèrent contre ses fesses poilues et je les sentis se crisper au fur et à mesure que j’enchaînais les gorges profondes. Quand il se sentit venir, il me demanda de me retirer pour branler à son rythme encore quelques secondes.

A ma grande surprise, Paul se retourna et me donna accès à son cul. Avec plaisir, j’enfonçai alors un doigt dans son cul sous ses gémissements, continuant ma branlette de l’autre main. Il poussait de longs soupirs d’extases et déjà sentait la sueur mais comme un mal en rut: cela m’excitait. Je finis par mettre un deuxième doigt puis par enlever le tout et par mettre ma langue à la place. Je léchai sa raie puis mit ma langue dans son anus tout serré. Déjà il avait mal. J’agrippais ses fesses, enfonçant du mieux que je pouvais ma langue dans son intimité, collant mes lèvres à son cul. Puis, je lui demandai de me sucer. Il hésita mais j’entraînai sa tête vers ma queue et aussitôt il commença, plutôt maladroitement, à me donner une pipe. Sa bouche s’activait le long de mon pénis et on aurait dit qu’elle était faite pour lui. Il appréciait prendre mes boules dans sa bouche et je finis même par le forcer à faire quelques gorges profondes, venant coller mon gland contre son palais au fur et à mesure qu’il suffoquait.

"Allez tu l’as assez bien lubrifiée, maintenant je vais t’enculer Paul, m’exclamai-je tandis que le regard du guitariste changeait du tout au tout.

-Heu ouais c’est chaud je vais avoir trop mal Gaël, je préfère pas.

-Putain tu peux pas me chauffer comme ça et repartir là mec.

-Bon dès que je te dis d’arrêter, tu arrêtes okay?, me fit-il promettre."

J’acquiesçai et il finit par se retourner à nouveau, dans la position de la levrette comme une vraie salope. Je crachai sur ma bite puis la rentrai dans le début de son cul. Je sentis mon gland se compresser affreusement dans cet anus pas encore ouvert. Mes doigts n’avaient pas suffit et il allait souffrir. Sans attendre, je continuai à essayer de rentrer. Déjà, Paul se retenait de crier. Ma main était devant sa bouche et quand je fus à la moitié de ma bite rentrée et qu’il voulut me dire d’arrêter, je gardai ma main contre ses lèvres pour ne pas entendre ses supplications: j’allais me faire plaisir. Alors sans attendre je poussai un grand coup et rentrai mon calibre entier dans son intimité. Pendant quelques instants, je m’amusai à caresser ses fesses, ses cuisses bronzées et musclées puis j’activai le mouvement. Ma bite entrait et sortait de son cul avec violence sans que je ne ménage le garçon, même pour une fois, j’étais trop excité. Paul tentait de me repousser désormais, je voyais la douleur sur son visage, mais ma main continuait de secouait sa bite bien dur. Je vins jusqu’à enfoncer tellement mon pénis dans son cul que mes couilles furent collés à ce dernier. J’étais bien en lui, à le défoncer comme une salope, et je le fis sucer mes doigts pendant que je continuais mes coups de bassins. Paul me demandait d’arrêter, je lui disais de subir encore quelques minutes pour bien être ouvert et qu’après il allait kiffer. Il n’en était rien, au bout de quelques minutes il était en sueur, se crispant de douleur à chaque allers retours. Je lui caressai la bouche, les tétons mais il ne réagissait plus à ces marques de plaisir. Alors, il réussit à se dégager et me regarda d’un air énervé.

"T’avais dit que t’arrêterais quand ça ferais mal merde!

-Oui bah écoutes, faut endurer des fois, lui dis-je d’un air faussement désolé."

Je croyais qu’il allait partir mais Paul recommençait déjà à bander. Sans dire un mot de plus, il me saisit, me retourna, me plaqua contre le mur et plaça son gland à l’entrée de mes fesses. Il ne les avait aucunement préparé et n’avait même pas mit un doigt mais peu lui importer pour l’heure, il voulait juste venger et retrouver sa "virilité". Alors il poussa de toutes ses forces et une douleur immense m’envahit. Il donnait de grands coups de reins, je voyais ses abdos se contracter mais cela ne me faisait même plus plaisir, ses coups étaient violents, passionnels mais trop puissants:

"Tu vas prendre cher salope à force de trop jouer on finit par perdre! Ca fait quoi de se faire enculer à sec?, continua Paul en murmurant contre mes oreilles des insultes alors qu’il continuait ses mouvements."

Je ne répondis pas, crispant mon anus à chaque fois que je sentais son chibre entrer et ressortir. Il continuait ses mouvements, infatigable et je compris qu’il prenait son pied au maximum. Il bandait tout son corps pour pouvoir me pénétrer encore et toujours. Il me disait que j’avais un bon petit cul, qu’il aimait me défoncer et ces paroles vulgaires me firent frisonner de plaisir. La violence de sa bite en moi me faisait mal mais je connais une sorte de plaisir dans cette souffrance. Très vite, je compris qu’il fallait que je joue de mon petit talent pour que tout cela s’arrête. Alors je crispai mon anus contre sa bite plusieurs fois, le rendait complètement fou et encourageant ses vas et viens. Paul ne put tenir et sortit de moi. Là, il me mit à quatre pattes et commença à se branler devant moi, tenant ma tête fermement d’une main, sa bite de l’autre:

"Allez assumes tes choix, tu vas bouffer mon sperme tu vas kiffer je te le dis!"

Aussitôt, il se lâcha sur mes lèvres en criant de jouissance et je sentis le sperme inondé ma bouche. Il était abondant et bien blanc. J’avalai presque tout sous son regard vigilant et il étala le reste sur ma tête, préférant m’humilier jusqu’au bout. Je choisis alors de finir cette partie de baise et je vins me coller contre lui pour qu’il me branle. Le jeune homme s’exécuta et bientôt, je couvris son torse musclé d’une quantité impressionnante de semence. Paul vint goûter légèrement, et lécha mes boules pour que je termine ma branlette correctement. Très vite, nous nous rhabillâmes, nous demandant comment nous avions pu faire cela au milieu de la rue et nous nous quittâmes rapidement sans vraiment nous parler: l’après-sexe n’était pas aussi bien que la chose en elle-même apparemment.

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