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Drôles de parents – Chapitre 4

Drôles de parents - Chapitre 4



Le jour fatidique arriva où Claude nous présente à son tour une petite amie et l’intégrer dans notre famille. Claude sait ce qu’il veut, il a pris son temps, la personne qu’il a choisi (peut-être la destinée) répondra parfaitement à ses désirs, mais à cet age on est prêt à tout pour suivre celui que l’on aime.

Lors de la présentation de sa chérie, toute la famille est là; Irène mon épouse, ma fille Isabelle et Robert son chéri, Claude bien sûr et moi. Je pense que Claude a mis sa copine un peu au courant de notre façon de vivre. Liliane, c’est la petite amie, aussi grande que Claude, les cheveux très noirs et la peau mâte, cette grande fille est d’une immense beauté, sensiblement la même taille que notre fille, peut-être un peu plus grande, très souriante, elle dégage parmi nous une très bonne impression, très à l’aise dans ses gestes et ses propos, elle cherche à séduire tout le monde par son dialogue et ses gestes.

Pendant le dîner traditionnel pour la circonstance, le courant passe bien avec toute la famille, les rires fusent, la joie est de rigueur. Liliane nous a charmé, elle se sent chez elle. Comme d’habitude, en attendant le dessert, Isabelle et Robert entament une danse sur une musique douce, suivit de Claude et Liliane. Irène et moi sommes dans le canapé admirons nos enfants, ils sont beaux tous les quatre évoluant tendrement. Nous ne voyons pas le temps passé, peut-être une heure, peut-être deux, ils dansent des slows, Isabelle et Robert commencent à s’échauffer, les vêtement tombent naturellement les uns après les autres, ils prennent bien soin d’émoustiller tout le monde par des gestes osés.

Liliane ne quitte pas des yeux le couple dénudé, ce qui stimule encore plus Isabelle et Robert, ils se contorsionnent dans tous les sens, ce qui ferait bander un mort ou mouiller la plus frigide des femmes, personne ne peut résister à un pareil spectacle.

Claude retire un à un les vêtements de Liliane qui ne résiste pas, au contraire, elle l’aide à retirer son soutien-gorge et culotte, en quelques minutes le couple est dans le même état que le premier. Pour ne pas paraître à la traîne, Liliane nous joue le même spectacle que leurs voisins, elle se tord, se montre sous toutes les faces, exhibe son corps ainsi que ses charmes dont elle doit être très fier, elle a bien compris le jeu qu’elle joue avec grand plaisir et pour nous faire voir qu’elle est dans le coup.

Avec mon épouse on se dit que Claude à sûrement trouver le dernier maillon de notre chaîne. On se bécote émerveillés par les quatre jeunes qui nous excitent de plus en plus.

Claude et Robert se disent quelques mots à l’oreille, puis rassemblent les deux filles pour les faire danser ensemble, puis les garçons nous rejoignent sur le canapé, Robert à coté d’Irène et Claude à coté de moi. Ils sortent nos vêtements en vitesse, il n’y a aucune raison pour que l’on soit habillés. Le spectacle devient très chaud, notre fille qui connaît bien nos goûts et de plus, veut satisfaire ses envies avec la nouvelle venue, elle embrasse à pleine bouche la belle brune, une main derrière le cou, l’autre caresse le bas des reins, Liliane se laisse couler sous notre captivante fille.

Quelle vision remarquable, nous ne quittons pas des yeux ce duo ardent en nous masturbant.

Robert à poser une main sur le bas ventre de mon épouse, Claude promène la sienne sur ma cuisse. Je crois que la soirée va être chaude, les caresses se multiplient sur le canapé, complètement excités par ces deux nanas collées l’une à l’autre, je m’occupe d’Irène, les deux jeunes m’accompagnent, trois hommes pour elle toute seule, elle ne va pas s?embêter.

Robert s’est déjà installé entre ses jambes, Claude est passé derrière et moi j’ai le reste de ma chérie, ce qui me permet de la voir prendre son plaisir tout en regardant ma fille dans toute sa splendeur. Comme je connais Isabelle elle doit être transformée en fontaine, leurs bouches ne semble pas vouloir se séparer, leurs mains courent le long de leurs corps chauds.

Mon épouse se glisse sur le tapis pour donner plus de facilité à ses galants, elle se met sur le coté, son fils toujours derrière, le visage noyé dans le joufflu, je sais qu’il titille la bague intime de sa maman, c’est sa caresse préférée, Robert replonge la tête dans la broussaille crépue, la poitrine étant disponible j’en profite pour sucer les tétons et caresser tout ce beau monde. Enfin les deux filles se détachent pour venir nous rejoindre, elles se couchent à nos cotés pour se mettre immédiatement en soixante neuf comme si elles ne se connaissaient depuis longtemps, elles font l’amour à quelques centimètres de nous, tous les quatre regardons la vivacité de nos mignonnes, elles se lèchent comme des folles, les corps sont secoués dans tous les sens sous nos yeux émerveillés, Irène est en transe par son fils et son ami qui la dévorent, je caresse toujours les trois corps en vrac, mon épouse me murmure des mots d’amour, son regard plein de bonheur qui en dit long sur le plaisir qu’elle reçoit, les verges des deux jeunes sont fièrement dressées, légèrement baveuses, elles semblent attendre leur moment. Je ne peux m’empêcher de les prendre une dans chaque main, comme pour les remercier de la joie qu’ils donnent à Irène. Je m’amuse à branlicoter ces deux jeunes membres, puis je m’applique plus sérieusement pour faire monter encore plus la température. Pris par le plaisir de mon entreprise, je prends la tige de Robert dans ma bouche sous le regard gourmand de mon épouse, je la suce sur toute sa longueur tout en continuant ma caresse sur celle de mon fils. Robert se durcit de plus en plus dans ma bouche, je sens bien qu’il va venir, je le pompe de plus en plus vite pour qu’il se vide, Robert sort son visage des cuisses d’Irène pour prendre son souffle et jouir pleinement. Le sperme envahit ma bouche que j’avale sans avoir le temps de le goûter, je donne deux trois coups de langue sur la verge ramollie et la laisse tomber entre les cuisses.

Après quelques secondes de pause, Robert revient entre les cuisses d’Irène pour finir son ouvrage, je fais comme lui sur la ziquette de mon Claude qui s’occupe bien du macaron de sa maman, je ne me lasse pas de sucer, déguster cette belle et jeune verge toute fraîche, Claude prend le même chemin que Robert, il se tend dans mon palais, ma langue tourne autour du gland comme si c’est un objet fragile, quelques gouttes de liquide se mêlent à ma salive, je triture les couilles, caresse l’anus en tentant de faire pénétrer l’index, c’est mon fils qui pousse ma main pour m’inciter à rentrer mon doigt dans son étui brûlant, la pénétration amène la jouissance de Claude immédiatement suivi par sa mère qui pousse un cri aigu, le jus de mon fils coule dans ma bouche, je le garde un peu avant de l’avaler, je savoure ce liquide qui devient un nectar du fait que c’est mon fils qui me l’a donné, je continue à sucer cette chair jusqu’à ce qu’il me dise d’arrêter.

Les deux filles arrivent à l’orgasme si j’en juge les secousses et leurs petits cris et enfin elles sursautent sur le tapis, leur bonheur est fort, les deux garçons caressent leur légitime avec une joie bien apparente. Nous sommes dans une euphorie indescriptible tous les six, il n’y a que moi qui n’a pas jouit, mais mon bonheur est largement plus fort et ma satisfaction complète.

On prend enfin le dessert, quelques boissons en se délassant sur la musique douce, nos yeux sont tournés vers notre invitée, on s’émerveille de sa beauté en la regardant sur toutes les coutures, comme si on a envie d’elle. Elle a quelque chose d’attirant, la chevelure en désordre, les lèvres rougies par le frottement, le visage coloré par la chaleur, le corps luisant par la légère sueur, le fuselage impeccable des longues jambes, le tout signé d’un indéfinissable sourire.

C’est Irène qui vient la première déranger ce tableau vivant, évidemment il n’est pas facile de résister à cette sollicitation à l’amour, Liliane se laisse aller une deuxième fois aux caresses d’une femme, après la soeur c’est la mère de son chéri qui explore son corps, mon épouse promène ses lèvres sur la peau tiède, Liliane se plie sous les câlineries, Irène lui prend la main en disant à son fils: ? Tu permets Claude ? ? et sans attendre la réponse de son fils elle emmène Liliane dans notre chambre. On se regarde tous les quatre, surpris par l’audace d’Irène, on termine notre dessert en vitesse pour nous diriger vers la chambre, sur le lit, Liliane est couchée sur le dos, mon épouse, le visage entre les cuisses largement ouvertes, elle est complètement déchaînée sur ce corps de déesse, on s’installe autour du lit pour apprécier cette scène d’une rare splendeur. Au bout d’un moment Irène s’aperçoit que nous sommes présent, elle regarde son fils et lui fait signe du doigt de venir, la verge de mon Claude est pointée vers le plafond, sa maman se déplace un peu pour faire mettre son fils à genoux devant la grotte dégoulinant, appuyé sur une épaule de sa mère, Claude caresse les deux femmes, sa maman prend le membre d’une main, caresse le beau coquillage de l’autre en flattant le clitoris, elle dirige le biscuit de son fils dans la chatte accueillante de sa chérie. Claude s’enfonce dans l’intimité, mon épouse étreint les deux corps imbriqués, elle les dévore de partout, ce spectacle est extraordinairement excitant. Je me masturbe comme un fou, c’est ma fille qui vient à ma rescousse en prenant mon engin dans sa bouche comme elle sait si bien le faire, sous les yeux de son chéri, elle ne va pas traîner à me faire monter au ciel, pauvre de moi, Robert l’a rejoint en se plaçant à ses cotés, quatre mains caressent mon corps, deux bouches sur mon pénis, c’est sûr je ne vais pas tenir longtemps à ce traitement, je suis léché, trituré pour finir dans un orgasme terrible suivi par Liliane et Claude sous les caresses d’Irène qui paraît extrêmement heureuse de son résultat

Liliane nous complimente sur notre façon de vivre, sur nos valeurs, c’est vrai que tout ce petit monde s’entend à merveille, où chacun a adopté la devise du plaisir des autres avant tout, Toutes ces joies se répétent le plus souvent possible, on commence par une bonne table pour ensuite jouer à deux, trois, quatre etc…selon la disponibilité ou les désirs de chacun.

Le plus souvent c’est les femmes qui ouvrent le jeu, quand elles sont toutes les trois ensemble, c’est très difficile de tenir, alors bien souvent, je m’occupe des deux grands garçons qui sont assis l’un à coté de l’autre sur le canapé, se masturbant en yeutant les exhibitions féminines, je pousse leurs mains pour les remplacer par ma bouche, je déguste l’une après l’autre ces majestueux organes, pour terminer comme les femmes, on se suce tous les trois ou tous les six en changeant de place. Il n’y a pas de préférence, on a tous fait l’amour avec l’un ou l’autre, on a tous goûté la chatte le cul ou la verge de l’un ou l’autre et chaque fois que l’on commence une soirée d’amour comme on dit, il y a toujours quelque chose de nouveau qui sort de la soirée. Chacun déploie des nouvelles techniques pour agrémenter et satisfaire les autres. Les langues voyagent de toutes parts, sur les verges, sur les chattes, sur les culs, c’est toujours dans un synchronisme que nous nous retrouvons au cinquième ciel, puis chaque couple se reforme pour finir la nuit ensemble.

Je ne peux que souhaiter à tout le monde un pareil bonheur.

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