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D'une vierge effarouchée à une femme – Chapitre 1

D'une vierge effarouchée à une femme - Chapitre 1



La première des choses à faire quand on rencontre quelqu?un n?est-elle pas de se présenter ? Je le pense, et cette règle est aussi valable avec des lecteurs, aussi puisque vous vous apprêtez à suivre la première des mes histoires, je vais commencer par cela :

    Je m?appelle Vanessa et suis une jeune fille de 20 ans, une étudiante en commerce appartenant à une famille bourgeoise, je suis de nature curieuse et plutôt aventurière mais aussi très gentille et assez sympa paraît-il. Je suis brune, avec des cheveux assez courts à la garçonne mais très féminine, de toute façon, mes formes ne me laissent pas le choix ! Disons que la nature m?a fait très femme, je suis pulpeuse, des fesses et des seins à damner un saint, pas de fausse modestie, pas entre nous ! Qui plus est, j?ai un visage tout en finesse, qui donne envie de me protéger si j?en crois les hommes qui peuplent ou ont peuplé ma vie.

    Mais venons en à l?épisode de mes frasques que je vais partager avec vous cette fois. Je vais simplement vous le narrer au présent, je trouve cela plus vivant.

    Ma famille est très unie, et les vacances d?été sont sacrées, c?est le moment de l?année où tout le monde se rejoint, impossible d?y échapper et de toute façon, je ne le voudrais pas. C?est donc tous les 5 (mes parents, mon frère et ma soeur) que nous prenons pied dans la magnifique villa que mon père nous a louée sur la côte tunisienne. Il n?est que neuf heures du matin et l?air est déjà délicieux. J?adore la chaleur mais à la seule condition qu?elle soit rendue supportable par le vent de la mer et c?est le cas. Le choix des chambres pour les ? enfants ? se fait comme ce fut toujours le cas : ma grande soeur, aînée du groupe pour une malheureuse année, prend la plus belle, celle qui donne sur la mer, mon petit frère, toujours compatissant à mes déceptions prend la plus petite pour me laisser l?intermédiaire, ce qui m?offre une vue somme toute agréable sur des oliviers. Je défais mes valises et reste immobile quelques instants quand vient l?instant de ranger mes sous-vêtements, pas de problème avec mes culottes et soutiens gorge normaux, mais je ne sais pas où mettre l?ensemble en dentelle que mon meilleur ami m?a offert. Je ne sais pas pourquoi je l?ais pris en fait ?

    (Nico est un ami d?enfance, on se connaît depuis toujours et il ne se passera jamais rien entre nous, mais on ne se cache rien et on délire souvent à propos du sexe. Nos vies à ce niveau sont encore très sages, moi par choix et lui par obligation, il est obèse.)

    Enfin, il faux que je range ce cadeau d?anniversaire dans un endroit où aucun regard indiscret ne se perdra. Et je le mets donc au-dessus de l?armoire, sous ma valise vide. Maintenant que tout est rangé, il est 11 heures et j?ai un coup de barre… J?ais envie de dormir, j?allais m?allonger sur le grand lit moelleux quand mon père nous convie tous au premier apéritif des vacances. Il est si enthousiaste que je ne peux pas lui refuser ça ! Mais je ne peux plus supporter ces vêtements qui m?étaient indispensables à Bruxelles. Je m?éjecte donc de mon jeans et de mon chemiser à la vitesse grand V et me retrouve en sous vêtements dans ma chambre. Mon regard croise immanquablement le grand miroir et je ne peux m?empêcher de penser à Nico qui trouve ridicule que je ne porte que des culottes en coton et les soutiens gorges qui vont avec. C?est vrai que cet accoutrement de pré pubère ne cadre pas vraiment avec ce que je dois mettre dedans… Mais je n?ai pas le temps de m?épandre sur le sujet, la deuxième somation vient déjà de tomber, j?ôte donc ce qu?il me reste pour enfiler mon maillot de bain. Un joli maillot une pièce, avec le dos nu mais qui a bien fait rire ma soeur quand on l?a acheté ! Sous prétexte qu?elle est la définition vivante de la dépravation, elle se croit habilitée à se moquer de moi qui suis, je veux bien l?admettre, un peu de l?autre côté de la moyenne. De toute façon, je ne lui porte que très peu de crédit, elle ne le vaut pas ! J?arrive le long de la piscine et comme pour confirmer mes pensées, mon père est en train d?essayer d?expliquer à ma soeur que les quelques cm carrés qui couvrent son corps ne peuvent pas décemment être appelé maillot mais ma soeur ne veut rien entendre et répond sans cesse que c?est le seul moyen d?optimiser son bronzage. Je ne suis pas sûr que cela soit son unique motivation, ou seulement quand nous sommes en famille ! Quoi que… En tournant les yeux, je vois mon frère qui ne la regarde pas vraiment fraternellement. Et je ne peux pas lui en vouloir, il n?a que 18 ans le pauvre, et il est si timide qu?il en connaît encore moins sur les femmes que moi sur les hommes. Et ma soeur vient promener son corps si peu couvert devant son nez. Elle, en dehors de son caractère que je vous ai un peu détailler avant, elle est comme moi, on nous prend souvent pour des jumelles, des corps si ressemblant pour des esprits si différents… Heureusement, elle porte les cheveux bien plus long et ça évite au moins toute confusion ! En tout cas, elle n?a que faire des remarques de mon père, prend le verre de Porto qu?on lui a servi et va s?asseoir sur un transat le long de la piscine. Ma mère qui elle s?est fait une raison passe devant moi et me propose un verre de Batida. En temps normal je ne bois jamais, mais les vacances sont une période particulière et j?accepte donc. Je m?installe à l?ombre de la tonnelle, à côté de mon père. Dimitri prend une bière et va s?asseoir près de Virginie. Ma mère s?installe enfin et les discussion s?enchaînent, on parle de tout et de rien, on est ensemble et pendant ces instants, Virg semble oublié de joué son personnage et devient une personne intéressante, presque sensible par moment. Mes parents sont heureux, ça se voit, les vacances commencent ! Nous passons ensuite à table où quelques verres de rosé se vident encore et c?est en me levant du banc que je me rends compte comme ces quelques malheureux verres ont de l?effet sur moi : mes jambes me semblent faibles et ma tête tourne, cela ne doit pas passer inaperçue car le reste de la table rentre dans un long fou rire. Je suis vexée, ils ont bu 2 fois plus que moi et c?est moi qui ait de la peine à me déplacer jusqu?au transat ! Je le met de suite en position couchée, pose une serviette sur mon visage et décide de dormir un peu. Je suis réveillée par la voie de mon père qui demande aux deux autres d?être sage et de ma laisser dormir pendant qu?il va faire les courses avec ma mère. Je suis donc éveillée sous ma serviette mais ne bouge pas, je suis encore fâchée pour tout à l?heure. Je les entends arriver en discutant, et je n?ose pas croire ce que mes oreilles me rapportent quand j?entends Virginie expliquer qu?elle va profiter de cette absence pour faire du top less et de demander à Dimitri de bien vouloir la prévenir si il entend les parents avant elle. Il semble trop d?heureux de cette nouvelle perspective pour lui refuser ça. Je ne vois rien mais je ne doute pas que les gestes aient accompagnés la parole. J?imagine ses seins libres devant notre frère qui doit sans doute faire des efforts pour ne pas laisser apparaître son émoi sous son maillot. Les transats bougent délicatement autour de moi, je vais finir par croire qu?elle essaye vraiment de ma laisser dormir, ce n?est pourtant pas son style. Que peut elle bien avoir dans la tête ? J?entends Dimi rentrer dans l?eau qui doit être bonne. La situation semble se figée et je suis un peu surprise que tout se passe si calmement. Je commence à me rendormir lorsqu?une phrase éveille toute mon attention. Elle lui demande de lui passer de la crème dans le dos, elle ne recule devant rien, elle va donc jouer avec son propre frère… Elle sait que de nous trois elle est la seule à ne plus être vierge, et que si moi c?est parce que je le veux, lui c?est parce qu?il ne peut… Il m?a déjà dit qu?il en pouvait plus, que les femmes le rendaient fou et elle le sait aussi, mais elle lui demande de lui caresser le dos en toute fraternité et ? sans ? arrière pensées bien sûr ! Mais je ne peux pas penser plus longtemps car je l?entends sortir de l?eau, ses pas sont brouillant, je sens une goutte ou deux tombées sur mes jambes quand il passe près de moi et il s?arrête peu après, elle c?est donc installée tout près de moi la cochonne. Elle lui demande de s?essuyer correctement et lui indique de s?asseoir par terre près d?elle pour faire son travail. Elle lui parle comme un contremaître à ses ouvriers alors que c?est sensé être lui qui lui rend service et il ne bronche pas. Et la voilà qui ronronne presque : ? hummm, plus haut… Tu es adroit ! ? et vas-y que j?en remet une couche. Je suis révoltée mais je ne sais pas quoi faire, je cherche un moyen de faire stopper ça quand soudain je n?entends plus rien. Le silence ne dure que quelques secondes avant que mon frère ne laisse échapper un ? mais ? ? très interrogateur. Elle lui réponds d?une voie plus douce que d?accoutumé :

    – Quoi ? On est frère et soeur non ?

    – Ben justement, je peux quand même pas faire ça, et puis cette partie tu peux la faire toute seule non ?

    – Mais je suis une fainéante, et puis comme ça, tu me fais un câlin de frère à soeur et tu peux t?entraîner à toucher une femme, des seins… Et puis ça ne va quand même pas t?exciter de toucher ta propre soeur ?

    Je ne peux pas croire ce que j?entends. Je dois être en plein rêve psychédélique à cause de ce que j?ai bu au repas ! Elle n?est pas en train de lui proposer de l?huiler de l?autre côté ?

    – Bon, après tout tu as raison, et puis c?est toi qui vois !

    – Bonne décision, et puis ça ne doit pas être si déplaisant…

    Et il va le faire ! Je voudrais me lever, pour les obliger à cesser, mais quelque chose me paralyse, je ne bouge pas, je me surprends à attendre la suite. Et elle vient vite, j?entends les clapotis de l?huile solaire. Je ne peux plus me contenter du son, je me tourne et bouge la serviette dans le même temps pour me dégager un angle de vue, le temps que mes yeux s?habitue à la lumière et je les vois. Ma soeur allongée sur le dos, les yeux clos et ses seins arrogants exposés, je ne pense plus les avoir vus depuis nos 12 ans mais en fait si, ils exactement comme les miens ! Et lui, il me tourne le dos, je voudrais bien voir les expressions de son visage. Il lui passe le produit sur le ventre, il passe lentement. Il remonte doucement, comme si il n?était pas sûr qu?il puisse, il lui frôle le bas des seins. Cette situation me répugne mais je ne peux pas empêcher mon bas ventre de se réchauffer, je suis parcourue de sensations étranges. Il remonte maintenant plus franchement et palpe tout le bas du sein, ça lui remplie bien la main. Il lâche ses nouveaux jouets un instant pour remettre de l?huile, puis il passe sa paume sur les tétons déjà bien dardés. La bouche de ma soeur est mis ouverte, elle tient sa lèvre inférieure entre ses dents et mon frère la caresse maintenant ouvertement, plus rien à voir avec de l?huile solaire. Il ne semble pas aussi gauche que je l?imaginais. C?est de plus en plus révoltant mais ces sensations dans mon ventre s?accentuent, je sens mon intimité s?humidifier et j?ai honte de cette situation. Ma main se dirige inconsciemment vers le bas de mon maillot, elle passe sur mon sexe au dessus du tissu et ça me fait du bien. Mon doigt passe sous l?élastique quand le coffre de la voiture nous rappelle tous à l?ordre. Ma soeur se relève comme un soldat pour remettre la deuxième partie de son maillot, mon frère saute dans l?eau et mes bras reprennent leur position le long de mon corps !

    Mes parents arrivent, mon père crie depuis le garage qu?il a besoin d?aide pour décharger, que tout le monde est de corvée. Je feinte de ma réveiller, ma soeur à un sourire jusqu?au oreille, elle fixe mon entrejambes :

    – On dirait que tu as fait de beaux rêves ?

    Mon maillot laisse paraître l?humidité de mon sexe, je ne peux rien répondre, je suis confondue, je la déteste ! Je me retourne et commence à marcher vers la voiture, 200 choses se bousculent dans ma tête : ma soeur est une salope, j?ai été excitée par cette situation, elle le sait… Quand tout à coup, deux mains dans mon dos me pousse à l?eau :

    – Comme ça, ça ne se verra plus, il ne faudrait pas que quelqu?un d?autre le remarque !

    – Remarquer quoi ?

    Mon frère n?avait rein compris et c?était déjà une bonne chose, quand à ma soeur, j?allais presque lui dire ? merci ? pour m?avoir jetée à l?eau. Cette eau dont je sortais en même temps que mon frère qui avait encore une bosse sous le maillot. On a tous déchargé la voiture et passé une après-midi tranquille. C?est la tradition de nos vacances, on reste ensemble toute la première journée. C?est donc avec surprise que j?ai accueillie la nouvelle quand mon père nous a dit vers 18 heure qu?il avait rencontré un ami de lycée au super marché, que cet homme était avec sa famille dans un hôtel tout proche et que pour cette circonstance exceptionnelle, on ne resterait pas seul pour notre première soirée mais que nous les recevrions. Je dois bien avouer que ce n?est pas une idée qui m?enchante mais bon, je n?ai pas vraiment le choix, alors pendant que ma soeur fait une vie à mon père parce qu?elle n?aura qu?une petite heure pour se pouponner, je me dirige vers la salle de bain. Je passe avant dans ma chambre, prends une robe d?été. Je prends une douche rapide où tous les évènements de la journée me reviennent en tête ! Je n?arrive pas à chasser ces images qui me troublent malgré moi ! Je baisse un peu la température de l?eau pour me rappeler à l?ordre. Je me regarde encore dans le miroir et me trouve belle. Je suis à nouveau de bonne humeur et un joli sourire s?imprime sur mon visage. Ma soeur tambourine déjà sur la porte pour avoir la place mais je ne l?entends que d?une oreille. Je me dirige vers ma robe et suis obligée de me rendre à l?évidence ! J?ai oublié de prendre des sous vêtement, et l?autre qui tape de plus en plus sur la porte. Je ne sais pas quoi faire, mon maillot est encore mouillé car j?ai été nagé en fin de journée. Je n?arrive pas à prendre de décision quand la voie de mon père m?ordonne :

    – Tu laisseras quand même la place à ta soeur, sinon elle m?en voudra pour toutes les vacances !

    Je décide dans la précipitation de passer la robe d?aller chercher le nécessaire dans ma chambre. J?ai l?impression d?être nue quand je franchie la porte de la salle de bain et que ce détail ne peut échapper à personne. Pourtant ma soeur rentre juste comme une furie dans la pièce sans même m?adresser un regard, mon frère me croise sans beaucoup plus d?attention qu?un sourire. Parfois mon corps trop femme me gêne, même dans cette robe sage, qui me couvre du bas des genoux jusqu?au cou, je me trouve trop provocante ! En effet, mes seins n?ont pas besoin d?un décolleté pour s?imposer et malgré leur volume, ils se tiennent bien sous ma robe, mes fesses n?ont-elles pas besoin d?être moulées, mais je ne peux pas faire moins. J?avance donc nue, sous ce fin tissu dans les couloirs vers me chambre quand ma route croise celle de ma mère qui elle est en sous vêtement justement. Le timbre de la sonnette retentit :

    – Mon dieu, ils sont en avance ! Ton père est au magasin pour acheter du vin, je ne peux pas y aller comme ça, tu es la seule à être prête, tu peux les accueillir stp ?

    – Bon, j?y vais…

    Etait-ce possible de dire non ? Je ne pense pas, mais je suis embarrassée. Même si il semble que je sois la seule à savoir ce qu?il y a sous ma robe, ça me gêne et je voudrais y remédier au plus vite. J?ouvre donc la porte et me retrouve nez à nez avec un petit gros chauve, on le croirait tout droit sorti d?un film. La femme derrière lui est son alter ego féminin. Ils se sont échappé d?un cirque ou quoi ?

    – Bonjour, vous devez être l?ami de mon père.

    – C?est moi ! Enchanté de vous rencontrez, vous êtes ravissante.

    Et j?accueille bobonne, ils sont mal habillés, pire que les touristes classiques. La soirée est prometteuse, merci papa !

    – Notre fils est encore à la voiture qu?on a louée, il a oublié ses lunettes, il arrive.

    Parce qu?ils ont procréé en plus ? Je crains le pire mais j?attends devant la porte. Le courant d?air passe sous ma robe et me caresse délicatement, c?est agréable mais je garde une main sur ma cuisse, je ne voudrais pas que cette robe légère s?envole, surtout pas maintenant ! Je vois le gars arriver au bout de l?aller. Je ne le détail pas encore mais il semble clair qu?il est beaucoup plus grand que son père, par contre, plus il s?approche, plus je constate qu?il est aussi mal habillé. Etonnament, il est pas mal fait. Il semble bien musclé, dommage qu?il ait cette sale tête et ces laides lunettes. Il me serre la main délicatement et entre. C?est encore plus flagrant vu de derrière, il doit faire de la natation ou de la musculation. Je le guide vers la terrasse et en arrivant je me rends compte que tout le monde est là, et plus une chaise. On essuie quelques remarques bien grasses de la part du petit gros qui se demande pourquoi on a mis tant de temps.

    – Installer vous sur les deux transats qu?on a rapprochés, il manque des chaises !

    Il me faut un prétexte pour aller dans ma chambre tout de suite :

    – J?ai oublié mon GSM dans ma chambre, j?arrive !

    – Ah oui, je m?en suis servi pour envoyer un message, j?ai pas l?international sur le mien… Tiens, le voilà !

    Même quand elle ne le fait pas exprès elle m?embête celle là. Je suis donc obligé de prendre place dans ce piège de transat. Je le fais avec 1000 précautions et finalement j?aboutis dans une position avec les jambes droites et serrées devant moi et mes deux mains sur mes cuisses. Ce n?est pas très commode mais c?est une garantie maximum ! Et mon père de m?amener un verre comme pour se faire pardonner de ne pas pouvoir m?asseoir avec eux. Et ça commence, les vieilles histoires, ce que les gens sont devenus etc… Je sirote mon verre en essayant de m?évader mentalement mais l?autre essaye de lancer la conversation avec moi sans cesse. Mon frère, pour tout obsédé qu?il semble être n?en est pas moins très prévenant à mon égard et après m?avoir fait un petit clin d?oeil lance :

    – Il y a un goal de foot au fond du jardin, tu veux qu?on aille taper la balle ?

    – Pourquoi pas, ça nous ouvrira l?appétit !

    Je le remercierai pour ça. Je me lève avec toujours autant de précaution et prends la place à table de mon frère. Les deux garçons s?en vont en courrant. La conversation passe, c?est long, j?ai faim et il ne semble pas prêt à passer à table, mon père n?a même pas encore allumé le barbecue. ?a dure tellement que sans y prendre garde, les verres commencent à s?accumuler et moi qui ne bois jamais, je commence à me sentir saoule pour la deuxième fois de la journée. Je crois que ma soeur est aussi fatiguée que moi de la conversation des ? adultes ? et alors que je venais de me décider pour retourner dans ma chambre m?invite à aller voir les gars au foot. On dirait qu?elle sait et qu?elle ne veut pas que je m?habille. Je ne peux rein prétexter pour refuser et la suit donc. Le soleil entame sa descente vers la mer et le paysage est magnifique. En marchant les quelques centaines de mètres qui nous sépare du goal, ce paysage et l?alcool m?emmène ailleurs. Mais on arrive déjà et mon attention revient sur terre, les gars jouent torses nus, et je ne m?étais pas trompée ! Qui plus est, sans ces lunettes, son visage est plutôt mignon !

    – Vous venez voir les bêtes ?

    – C?est ça frèro, on s?est surtout échappées !

    – Je veux bien croire… Vous voulez jouer ?

    – Non merci, je vais on va juste

    – MOI JE VIENS

     ?a faisait longtemps qu?elle m?avait pas coupé elle, j?aurais du me douter qu?elle se serait jetée entre deux mâle en sueur. Je m?assois donc sur la table, les pieds sur le banc. Et je repars dans mes songes, je suis même à 2000km de là quand encore une fois je suis ramené sur terre brutalement. Le grand dadais est sous le banc, sous mes jambes, il reprend le ballon sous la table !!! Si il tourne la tête, il verra mes fesses… Et sous un judicieux conseil de ma soeur, il la tourne sa tête et doit avoir une agréable surprise avant que je ne bouge !!! Pourquoi n?aie je pas une robe serrée ? Quelle honte ! Il ressort de sous la table. Si j?avais eu une culotte je l?aurais incendié mais là je reste sans voie. Lui aussi d?ailleurs, il me le paiera ! Ma soeur rie comme une folle, et si elle savait je crois que ça serait encore pire… Le grand se met à rire aussi. Je ne sais toujours rien dire ! Mon frère avance vers lui et alors que le grand allait parler il lui met tout bonnement une droite en pleine mâchoire. L?autre s?écroule et mon frère m?emmène par la main vers les parents. Je me retourne et vois me soeur se porter au chevet de l?autre.

    – Vous tombez bien, on va passer à table ! Ta soeur arrive ?

    – Oui, elle ne va pas tarder, elle ramasse nos déchets et elle vient !

    Le repas se déroule bien avec des conversations plus agréables mais par contre, les bouteilles continuent de se vider sans relâche. Les vieux sont de plus en plus en forme et en ce qui concerne les jeunes, je crois pouvoir dire que je ne suis pas la seule à être de moins en moins sobre. Je crains leur conversation mais le grand qui s?appelle Marc et ma soeur, qui sont l?un à coté de l?autre n?arrête pas les messes basses et rigolent sans cesse en regardant dans ma direction ! Dimi lui boit de plus en plus et les vieux en rigolent en prévoyant sa chute dans les prochaines minutes… Je vois ma soeur partir aux toilettes et ça me donne une idée au travers du brouillard qui s?instaure dans mon esprit. Dès qu?elle revient, je simule un besoin urgent pour passer dans ma chambre et me couvrir le minou. Chose dite chose faite, je me dirige dans la pénombre vers la maison, arrive dans la cuisine et prends le couloir vers ma chambre. Je clinche mais la porte ne s?ouvre pas ! J?essaye encore, pas moyen. Elle est fermée à clef, comment est-ce possible ? Je me dirige alors vers la chambre de ma soeur me disant qu?un string vaut mieux que rien mais elle est fermée aussi ! Trop pour être une coïncidence, je n?ose pas comprendre. Cet imbécile a bien vu mes fesses mais ne l?a pas gardé pour lui, et ma soeur ne pouvait pas rester sans exploiter ça. Je retourne donc à table, toujours cul nu. Et Dimi lui est bel et bien tombé, il est sur un transat inerte. ?a lui arrive de temps en temps. Je m?assois et je vois les deux du fond avec des sourires béats, Marc lève la main, l?ouvre et je vois les deux clés. Il descend alors la main vers son short et me la remontre ensuite sans rein dedans. Pendant ce temps mon père s?est levé avec le gnome obèse pour mettre mon frère dans son lit. Et quand il revient il me donne un coup de masse :

    – On va aller boire un verre en ville, vous venez avec ?

    – Non merci papa, je suis un peu fatiguée, je vais rester là.

    – Je reste là avec Marc, on ne va pas laisser Van toute seule ici !

    La garce, moi qui me croyais tirée d?affaire. Les parents partent en nous promettant de ne pas être long. Ils ne le croient pas plus que nous mais bon. Et me voilà seule avec les deux pervers, j?appréhende. Et j?ai raison, à peine la porte fermée :

    – Alors petite soeur sainte nitouche ? J?en apprends des choses…

    – De quoi tu te mêles ?

    – Disons que ça surprend, tu me surprends 2 fois sur la journée, déjà toute à l?heure au bord de la piscine !

    – Qu?est ce qui c?est passé au bord de la piscine, raconte, j?étais pas là !!!!

    De quoi il s?occupe l?autre abruti, il a l?air encore pire qu?elle… Et moi je ne sais plus quoi dire, elle n?assène que des vérités. Je n?ai pas de culotte et pour la piscine c?est vrai aussi !

    – Cette cochonne s?est touchée en regardant notre frère me mettre de l?huile solaire !

    – Mais ce n?est pas vrai !!!!!!!!!!!

    – Ouah, elle est terrible ta soeur ! C?est une chaude.

    – Toi ta gueule, rends moi plutôt ma clé !

    – Viens la chercher, tu sais où elle est !

    – JAMAIS, je ne mettrai jamais les mains là-dedans…

    J?étais au bord des larmes, je ne voulais qu?être dans mon lit, dans ma robe de nuit !

    – Bon, et bien pas de clé alors !

    – Attends, c?est ma soeur quand même, on peut trouver un compromis… Tu nous donnes ta robe et on te rend la clé !

    – Tu rêves ou quoi ? Que je me mette nue ici ? Devant lui ? Plutôt mourir ! Si il faut j?attendrai le petit matin que les parents rentrent ! Je vais aller dormir avec Dimi et c?est tout.

    – Mais c?est ce qui va arriver, tu vas te faire tuer si tu ne fais pas d?effort! Marc dira que dès qu?ils sont partis, tu as essayé de l?emmener dans ta chambre, que tu étais comme folle, que tu t?es montrée sous toutes les coutures que tu ne portais pas de sous vêtements.

    – Je dirai le contraire, papa me croira ! Qui pourrait croire à cette histoire ?

    – Je serai ? obligée ? d?appuyer la version de Marc, à contre coeur car tu es ma soeur, et je dirais que ça m?a choqué de voir ça mais que c?est tout bonnement inacceptable.

    Je suis désemparée, comment les parents vont-ils réagir ? Me croire moi ou ces deux cinglés ? Je devrai admettre que je n?avais pas de sous-vêtements, qu?il a vu mes fesses ! Et même si ils ne les croient pas, il y aura toujours un doute… Mais d?un autre côté me mettre nue, devant ma soeur et lui ! Alors qu?aucun homme ne m?a vue en tenue d?Eve ! Quel dilemme… Les secondes me paraissent des heures, je ne bouge plus, j?attends que quelque chose arrive !

    – Bon, je vais aux toilettes, quand je reviens tu prends une décision ! C?est la dernière limite, après il faudra qu?on travaille notre histoire avec Marc pour être crédible au maximum !

    – Tu me le paieras ! Je te le jure…

    – Mais oui… Bien sûr !

    Elle s?en va, sans même me regarder pour me parler ! L?autre est là, planté en face de moi, les yeux tout brillant. Si il savait comme je le hais à cet instant, ça calmerait sans doute ses pulsions d?animal en rute. Le bruit de la chasse d?eau m?indique que je dois me décider !

    – Alors tu fais quoi ? Tu t?es décidée ?

    – …

    – Fais vite ma belle, t?inquiètes pas pour moi, on est fait pareil, c?est comme si je me regardais dans un miroir avec une nouvelle coupe.

    – Dis lui de dégager et je le fais !

    – C?est lui qui a les clés ma puce…

    Je suis a bout, l?alcool n?aide pas mes réflexions…J?agis sans m?en rendre compte, je suis comme un robot. Je défais la tirette sur le côté, je laisse les bretelles tombées sur mes épaules toutes seules, la robe tient toute seule sur mes seins. J?aurai préféré qu?elle tombe toute seule, là, je dois utiliser une main pour lui faire passer ma poitrine. Je mets aussitôt mon bras devant mes seins, ça ne cache pas tout, loin de là mais c?est déjà ça. Avec ma main libre je fais péniblement glisser la robe le long de mes hanches. Ils me regardent tous les de manière presque étonnée, ils ne ratent pas une miette de ce que je suis obligée de leur offrir. La robe glisse jusque sur mes chevilles, mon autre main cache maintenant ma toison. Je dégage mes pieds de la robe et garde la tête vers le sol. Je ne veux pas affronter leurs regards une seconde de plus.

    – Tu dois lui donner ta robe petite soeur, pas la laisser traîner par terre comme ça !

    – C?est bon là non ? Allez donne moi la clé toi !

    – Donne moi la robe alors…

    Au point où j?en suis, je me baisse en continuant de cacher mes seins et utilise mon autre main pour prendre la robe et la tendre à cette espèce d?animal.

    – Ouh là là ! Ne me dis pas que tu ne rase pas ça ma puce ? C?est une vraie forêt vierge… C?est pas possible ça. Tu as 20 ans, il faudrait penser à devenir une femme.

    Pendant ce temps l?autre a déjà reculé de 2 mètres avec ma robe puis fait demi tour et pars vers les chambres !

    – Bon, y fait quoi là ? Et ma clé ?

    – Attends, il est parti mettre ta robe en lieu sûr. C?est incroyable comme tu es crédule !!! Tu crois vraiment qu?il y avait UNE chance pour que les parents nous croient ? Pas une non ! Et t?as vraiment cru qu?on allait arrêter de jouer alors que te voilà seulement vraiment vulnérable ? Toutes les fois où tu as mis ton grain de sel pour dire que j?étais une vraie salope dans les discussions de familles, toutes les fois où tu m?as balancée… C?est le début de l?addition aujourd?hui, et la note est lourde !

    Mais ce n?est pas vraie cette histoire, elle est folle, je n?ai jamais fait tout ça ! Ou je ne m?en rendais pas compte, ce n?était pas fait exprès ! Jusque où ils vont aller… J?en ai complètement oublié que je suis nue, c?est quand l?autre imbécile, outil heureux de ma soeur, est revenu que je me suis de nouveau senti gênée. Il me regarde, me détail tant qu?il peut. Je me sens de plus en plus étrange, de nouvelles émotions s?ajoute à la honte, j?ai peur que la situation m?excite ! Mon bas ventre est de nouveau chaud, je repense aux images de cet après midi tout se mélange.

    – Tu as l?air troublée ? J?ai une idée, vu que tu te promènes sans culotte, on va commencer par te raser ! Qu?est ce que t?en pense Marc ?

    – Excellent, je n?aime pas les chattes poilues !

    – Non… Svp

    – Ce n?est pas à toi que je posais la question ! Tout le monde est d?accord, A LA SALLE DE BAIN ! Et toi tu arrêtes de te cacher, tu mets les bras le long de ton corps. Marc tu prends la vidéo, faut pas louper ça!

    – Ok !

    – Quoi la vidéo ? Non !

    En me retournant, je me rends compte que cette catin avait tout prévu, elle pense vite bon dieu. Elle vient de filmer tout ça avec la caméra de papa ! C?est l?apocalypse !!! Cette fois je suis male. Je ne peux que suivre pour le moment. Marc est derrière, il doit filmer mes fesses, puis je l?entends se rapprocher, il passe à notre hauteur, me touche les fesses et nous double pour me filmer de face ! Ce contact m?a fait sursauter. Je crois bien que je suis de plus en plus excitée, ces deux là me dégoûtent profondément mais je ne peux pas contrôler cette sensation nouvelle qui met le feu en moi. C?est la première fois que ça m?arrive, je ne sais pas quoi faire ! On arrive, il film toujours. Ma soeur me fait signe de m?asseoir dans le bidet pendant qu?elle fouille dans les affaires de toilette de mon père. Et revient avec des ciseaux, et elle commence ma nouvelle ? coupe ? alors que l?autre est à moins de 50cm en train de filmer mon intimité. Cette situation est surréaliste et l?excitation est de plus en plus forte.

    – Tu vois Marc, regarde comme son clito gonfle, on dirait que sous ses faux airs, cette situation lui plaise plus qu?elle ne veuille bien le dire.

    – C?est vrai qu?on commence à bien le voir, et on dirait qu?elle commence à mouiller non ?

    – Attends…

    Et ma soeur écarte mes lèvres en passant l?extrémité de son doigt, elles se décollent toutes seules, je suis en effet mouillée. Leur commentaire à voie haute, la caméra, les ciseaux, je ne veux pas leur montrer mais je suis en émoi ! Malheureusement, mon corps parle pour moi !

    – Oui, elle mouille un peu ! C?est mieux avec les lèvres entrouvertes pour le film ! Bon, c?est assez court, on peut passer le rasoir maintenant !

    Et je n?ai pas le temps de dire ouf qu?elle passe déjà de la mousse partout, et elle me rase, devant cet inconnu, puis elle rince et passe une crème adoucissante.

    – Regarde moi le bel abricot qu?elle a !

    – J?ai envie de le manger !!!!

    – Je ne crois pas qu?elle soit contre…

    En disant ça, ma soeur se recule et passe derrière le bidet, elle a pris la caméra à Marc en passant et celui-ci à maintenant la tête entre mes jambes. Je serre tant que je peux mais il pousse avec ses mains sur mes genoux pour écarter et je sens déjà son souffle sur mon minou. Ma soeur a la caméra dans une main et caresse les seins avec l?autre. Marc pousse trop fort, mes jambes me lâchent. Et là où aucun homme n?avait posé le regard avant, la où j?avais toujours refusé de mettre mes doigts, il y avait une langue… Qu?est ce que c?est bon, le plaisir me vient de partout, Marc se concentre sur mon clitoris, il le lèche délicatement, l?aspire puis le lèche frénétiquement. Ma soeur me caresse les seins, elle s?occupe de mes tétons, j?oublie tout, je crois même que je les incite, que j?en demande ! Il a maintenant un doigt en moi, il me lèche encore, c?est divin.

    – Elle en veut la cochonne, c?est bien ma soeur finalement!

    – Je crois que je sens son hymen !

    – Dis lui qu?il va mourir… AH AH AH

    – AH AH AH

    Il me traite comme un objet et ça décuple mes sensations, quelle honte mais quel plaisir ! Je n?aurais jamais soupçonné que mon corps puisse me faire tant de bien. Si bien qu?à la place de m?affoler du programme qu?il me réserve, je m?impatiente ! Puis les caresses de Marc cessent et j?ouvre les yeux pour le voir se déshabiller. Je découvre mon premier sexe, bien tendu, ce que je trouvais il y a 5 heures encore répugnant me déchaîne maintenant !

    – Comme c?est la soirée des premières, autant en profiter pour qu?elle me tire une petite pipe !

    – Non, ça, ça sera pour une prochaine fois ! T?inquiètes pas, tu l?auras… Baise là maintenant, et essaye de faire ça bien, qu?elle y prenne goût !

    – Pas de problème !

    Il me prend par les hanche et m?installe au bord du bidet, il est grand et son sexe est juste à hauteur, il avance lentement mais d?une traite. ?a fait d?abord mal, ensuite malgré la gêne, une onde de plaisir monte en moi, je déconnecte complètement, je tremble je… Quand je reprends un peu mes esprits il est en train de me pilonner, toujours dans cette position. Son visage se crispe, il interroge ma soeur du regard :

    – Tu peux y aller, ma mère nous oblige à prendre la pilule et t?as fait du bon boulot !

    A peine terminait elle sa phrase que je sentis un liquide chaud au fond de moi. Il se relève, prend ses vêtements et me jette la clé de ma chambre. Ils s?en vont sans même me regarder. Je suis honteuse mais heureuse. Ma soeur me lance sans se retourner :

    – On a le film, c?était juste le début, t?as pas fini de déguster !

    C?est ce qu?elle croit, elle me le payera de toute façon, un jour l?autre !!!

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