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Ecole du sexe – Chapitre 11

Ecole du sexe - Chapitre 11



Une fois le cours de masturbation terminé, Alice et moi-même sortîmes du cours et, main dans la main, nous attendîmes, prétextant de nous embrasser, quelques instants jusqu’à ce que, dans une union parfaitement feinte, ma sur et Fabien quittassent à leur tour la salle de classe. Mylène ne croisa pas mon regard, sans doute craignait-elle la réaction de son partenaire si, derechef, elle venait à trop me regarder ou si, par inadvertance, mon membre venait à gonfler en posant mes yeux sur le corps nu de ma sur. Pressant davantage sa main dans la mienne, Alice se mit en marche et nous emmena dans le réfectoire, la grande salle dans laquelle les premières années, dont je faisais parti, avaient, quelques jours auparavant, passés leurs examens d’admission dans l’école. Nous entrâmes dans cette pièce pleine des souvenirs originels et nous assîmes à la même place que lors des précédents repas.

-Regarde ce qu’on a à manger, aujourd’hui, s’enthousiasma Alice.

Devant elle se trouvait un plat de pommes de terre cuites au four baignant dans une sauce marronatre. Un plat de gigot d’agneau fumant était posé juste à côté. Alice se servit en premier. Elle se précipita tellement vite sur ce plat qu’elle renversa un peu de sauce sur sa poitrine. Je n’attendis pas et récupérai la sauce que je suçai rapidement. Lorsque je me repositionnai correctement, elle me tendit le plat que j’attrapai. Je le posai devant moi et m’apprêtai à me servir mais mon voisin de face fut plus rapide que moi.

-Pas de précipitation, tu auras droit à ta part, plaisanta-t-il.

Je reconnus ledit voisin : c’était celui qui m’avait abordé dans les douches, la dernière fois. Celui qui m’avait complimenté sur mon efficacité quant à donner du plaisir à Alice.

-Au fait, je ne crois pas m’être présenté, ajouta-t-il. Moi, c’est Stéphane, mais tu peux m’appeler Steph. Et voici Veronica, ma partenaire, dit-il en pointant la femme à sa droite du doigt. Elle n’a pas l’air, comme ça, mais elle elle sait y faire avec une bite dans le cul, ça je peux te l’assurer

Je ne pus alors m’empêcher de dévorer du regard la jeune fille aux longs cheveux roux qui servait de partenaire à Stéphane. Ms yeux descendirent sur son visage et examinaient les détails de ses yeux marrons, de son long nez et de sa fine bouche. Ils descendirent encore jusqu’à rencontrer ses seins, fermes et ronds, collés à la table. Peut-être me trompai-je, mais il me sembla que, lorsqu’elle s’aperçut que je l’examinai de la tête aux seins, ses tétons pointèrent.

-Salut, me salua-t-elle d’un léger signe de la main sans rougir devant la référence sexuelle de son partenaire.

-Salut, lui répondis-je. Alors comme ça, tu te débrouilles au lit.

-À ce qu’il paraît, mais tu pourras venir vérifier toi-même, si tu veux, ajouta-t-elle dans avec un clin d’il.

Là non plus, elle ne rougit pas, contrairement à moi. D’ailleurs, j’en étais maintenant certain, ses tétons pointaient effectivement. Je me surpris à me demander si son entre-jambe était humide.

-Non, ça ira, répondit immédiatement Alice en enroulant ses bras autour de mon cou, il faut déjà qu’il s’occupe de mon cul à moi.

-Oh, ne sois pas si égoïste, la réprima Stéphane. On est dans cette école pour apprendre, et quelle meilleure leçon que de changer de partenaire.

-Je sais, mais…

-J’ai compris, sourit-il, tu n’as pas envie de rester seule à regarder. Pas de problème, je pourrais prendre soin de toi pendant ce temps.

Je ne mis pas longtemps à réfléchir à sa proposition. Bien sûr que je voulais essayer mes nouveaux talents sur la jolie rousse assise presque en face. Mais je ne voulais surtout pas blesser Alice. Incapable de prendre la décision seul, je me tournai vers mon âme-sur.

-Alors, qu’est-ce que tu en penses ?

-Je ne sais pas trop.

-Tu es certaine de ne pas vouloir essayer de changer de partenaire ? lui demandai-je. Qui sait, peut-être que, comme ça, tu te rendras compte à quel point je suis le meilleur, plaisantai-je.

Stéphane rit ainsi que Véronica. Toutefois, Alice ne sembla pas avoir entendu ce que je venais de dire.

-Je… C’est facile pour toi, de dire ça, mais je te rappelle que la dernière qu’un mec que je ne connaissais pas à essayer de me baiser, il m’a presque défoncé le cul. Je tiens pas à ce que ça se reproduise.

-Je ne suis pas ton ancien partenaire, s’indigna Stéphane. Promis, je serai docile, comme un agneau. Un agneau en chaleur, disons.

-Bon, d’accord, finit-elle par dire. On fait ça quand ?

-Ce soir ? proposa-t-il.

Alice et moi nous regardâmes, une flamme dans les yeux. Nous avions de quoi nous occuper pour la soirée. Je me surpris même à avoir hâte de vivre cet instant.

Lorsque nous quittâmes le grand réfectoire, Alice et moi nous dirigeâmes vers notre cours suivant : la fellation. J’entendais beaucoup d’étudiantes se plaindre de l’inutilité de cette matière, comme quoi chacune des filles ici présentes savait parfaitement sucer un pénis. Je me retenais toutefois de rire lorsque j’entendis un étudiant de première année répondre à sa partenaire qu’elle devrait suivre sérieusement ces cours pour que, selon ses propres termes, « tu ne me mordes plus le gland, ça fait un mal de chien ». Main dans la main, ma petite-amie et moi longeâmes les quelques tableaux des différents couloirs de l’établissement jusqu’à ce que nous atteignissions notre salle de classe. Là, nous retrouvâmes une jeune femme d’environ vingt-sept ans, assise à son bureau au fond de la salle. Elle nous invita d’un geste de la main à entrer et, comme nous en avions l’habitude, nous nous assîmes aux mêmes places. Lorsque la cloche retentit, la jeune professeur, brune aux yeux verts, se leva et fit un tour de la salle afin de vérifier que tout le monde était présent. Une fois son tour de salle terminé, elle revint à son bureau mais resta debout.

-Je vous souhaite la bienvenue dans mon cours sur les fellations, commença-t-elle. Je suis madame Nymhéa et je vais vous enseigner, mesdemoiselles, comment faire connaître à vos partenaires un plaisir sans borne. Messieurs, je vais vous demander de reculer vos chaises tout en restant assis.

Sans poser de questions, tous les garçons de la salle reculèrent leurs chaises jusqu’à ce que chacun des dossiers cognât contre la table qui se trouvait derrière elle. À cause du frottement des pieds de métal contre le sol, un énorme vacarme retentit dans la salle, si bien que je me demandais si les classes adjacentes n’étaient pas gênées par la bruit.

-Bien. Maintenant, mesdemoiselles, je vais vous demander de faire gonfler les organes de vos hommes, continua madame Nymphéa.

Avec un regard excité, Alice attrapa mon membre de sa main gauche et le masturba lentement. L’effet fut immédiat : mon membre était à l’optimum de sa taille. D’un simple coup d’il sur les côtés, je remarquai que chacun avait eu droit au même traitement, exceptée ma sur qui avait utilisé sa bouche, sans doute une demande de Fabian.

-Je vois que vous êtes efficace, mesdemoiselles, c’est encourageant. Maintenant, passons directement à la pratique. Je vais passer voir chacun d’entre vous. Lorsque je serais à votre table, vous devrez, mesdemoiselles, prendre votre partenaire en bouche. Je prendrai alors le relais et votre partenaire vous décrira la différence. C’est bien compris ?

Nous acquiescions tous ensemble.

-Vous êtes vraiment chanceux, vous les mecs. Vous allez vous faire pomper par madame Nymphéa, me taquina Alice.

-Effectivement, je ne te laisserai pas ma place.

-Qui me la laisserait ? plaisanta-t-elle. Même si je suis une fille, je dois reconnaître qu’elle est plutôt jolie.

Je ne répondis que par un sourire ; mes yeux étaient trop occupés à admirer madame Nymphéa mettre le pénis de l’étudiant au premier rang dans sa bouche et entamer un mouvement de va-et-vient. Comme pour valider sa position de professeur, notre professeur fit hurler l’étudiant de plaisir sous les yeux ébahis de toute la classe. Il ne s’écoula que quelques secondes avant qu’il ne jouît dans la bouche de la professeur qui, comme si cela lui était naturel, avala le tout. Elle se permit même de récupérer un filament de sperme coulant le long de ses lèvres avec son doigt et de le fourrer lui aussi dans sa bouche.

Une demie heure s’écoula et enfin madame Nymphéa s’arrêta à notre table. Elle fit un sourire à Alice qui comprit alors qu’elle devait commencer. Peinant à retenir mon excitation, j’attrapais l’un de ses seins et jouais avec pendant qu’elle s’occupait de mon membre. Je fermai les yeux de plaisir lorsque sa bouche engloba mon gland. Sa langue se balada alors sur l’intégralité de mon membre et caressa sa tige comme s’il eut s’agit d’une relique sacrée.

-Tu te débrouilles plutôt bien, lui dit madame Nymphéa, mais laisse-moi te montrer comme t’y prendre mieux.

Alice retira mon pénis de sa bouche et se recula lorsque notre professeur se pencha sur moi avant de mettre mon membre dans sa bouche. Lorsque sa langue entra en contact avec mon gland, un léger soubresaut me fit presque tomber de ma chaise. Heureusement, je me rattrapai à la table et ne laissai rien paraître. Je me concentrai de nouveau sur ma professeur et, contrairement à ce que je pensais, le plaisir ne fut pas si intense. Toutefois, comme pour me contredire, madame Nymphéa adopta un nouveau rythme de succion et, soudainement, je poussai un hurlement de plaisir. Je n’arrivais pas à croire qu’il était possible d’éprouver autant de jouissance à l’aide d’une bouche, sans doute Alice avait-elle encore beaucoup à apprendre. Le temps s’écoula plus vite que je ne l’aurai cru et je jouissais déjà dans la bouche de ma professeur. Elle suça mon gland une dernière fois avant de reculer, la bouche pleine de ma semence. Je vis qu’elle s’apprêtait à avaler, mais, au dernier moment, elle remarqua le regard excité de ma partenaire et, comme par instinct, elle s’approcha d’elle et l’embrassa. Alice ouvrit alors de grands yeux et pencha sa tête vers l’arrière. Je ne compris que lorsque madame Nymphéa sépara leurs lèvres qu’elle lui avait transférée ma semence, ce fut donc Alice qui avala. Notre professeur sourit devant le visage ravi de ma partenaire et continua son tour de classe.

L’heure s’écoula et, lorsque la classe entendit la sonnerie, chacun se leva.

-Où est-ce que vous allez, tous ? demanda madame Nymphéa, intriguée.

-Nous n’avions qu’une heure avec vous, madame, lui répondit poliment Mylène.

-Oh, je vois que vous n’avez pas très bien lu votre emploi du temps.

-Je vous assure, madame, poursuivit Mylène. Nous avons cours de

-De cunnilingus, je sais, mais avez-vous au moins lu le nom du professeur ?

-Madame… Nymphéa, dit-elle en lisant son planning.

-Exact, je vous demanderais donc de bien vouloir vous rasseoir, conclut-elle en souriant.

Gênés, nous nous rassîmes tous à nos places et laissâmes notre professeur entamer notre deuxième heure de cours sur le sexe oral.

-Bien. Pour le cunnilingus, je procéderai presque de la même manière, c’est-à-dire par un tour de classe. Seule différence, comme vous pouvez vous en doutez, vous inversez les rôles. Je demande donc à ces messieurs de se mettre à genoux devant ces demoiselles, la tête devant leurs jambes.

Nous nous exécutâmes et nous mîmes à genoux. J’avais, de mon côté, une vue parfaite sur le vagin d’Alice et sur son petit triangle de poils laissé là intentionnellement. Je fus alors pris d’une nouvelle érection et ma respiration s’accéléra. Lorsqu’Alice se mit à rire faiblement, je la questionnais du regard.

-Tu m’envoies de l’air sur la chatte tellement tu respires fort, ça chatouille, dit-elle.

Je ris également et lui promis d’expirer moins fort.

Une vingtaine de minutes s’écoula et madame Nymphéa arriva devant notre table.

-Tiens, Alice. Alors, ton petit-ami a-t-il bon goût ? demanda madame Nyphéa

-Très bon, répondit-elle en me fixant avec le regard aguicheur qu’elle aimait me lancer.

-Tu peux commencer, poursuivit-elle en me regardant.

Je ne fis pas attendre les deux femmes plus longtemps et je plongeais ma bouche sur les lèvres intimes de ma partenaire. Je commençais par embrasser le bas de son vagin pour remonter petit à petit jusqu’à atteindre le clitoris que je léchais et suçais amoureusement. Alice, sans pouvoir se contrôler, attrapa sa poitrine de ses deux mains en poussant quelques jouissements à peine contenus. Madame Nymphéa me complimenta du regard ; j’étais apparemment doué pour m’occuper des vagins.

-Vraiment pas mal, mais laisse-moi te montrer comment faire bien mieux.

Je me reculais et regagnais ma place. Madame Nymphéa s’accroupit et, avant de commencer, elle me lança en pointant mon engin :

-Tu peux te masturber si tu en as envie. Seule condition : tu évacues sur elle, ni sur moi ni par terre.

Je me levais tandis que madame Nymphéa sortit sa langue et la plongea dans le vagin d’Alice. J’ignore ce qu’elle lui faisait, mais ce que je savais, c’était que ma partenaire adorait. Les cris de celle-ci intensifièrent mon état d’excitation et je commençai réellement à me masturber avec de grands mouvements de poignet. Le visage de ma partenaire, sur lequel se dessinait l’extase du moment, me firent atteindre l’orgasme et, approchant mon membre de son visage, j’éjaculais dans sa bouche. Alice parut surprise et avala rapidement mon offrande avec un sourire à mon égard. J’eus à peine le temps de débander que les cris d’Alice redoublèrent d’intensité. Je compris alors que ma petite-amie jouissait et, intérieurement, j’adorais la voir ainsi. Madame Nymphéa racla une dernière fois le vagin de ma petite-amie avec sa langue et recula sa tête. Cette fois, ce fut moi qu’elle embrassa. Elle me déversa alors un liquide salé et familier au fond de la gorge : la cyprine d’Alice. Notre professeur se servit de sa langue pour verser l’intégralité du contenu de sa bouche dans la mienne. Lorsqu’elle fut vide de toute la mouille qu’elle contenait, madame Nymphéa mit fin à ce semblant de baiser et me laissa dégusta comme il se devait la création de ma partenaire ;

-Vous êtes mignons, tous les deux, lâcha notre professeur avec un sourire avant de rejoindre la table suivante.

Une vingtaine de minutes s’écoula et madame Nymphéa acheva le second tour de classe de la journée. Lorsqu’elle rejoignit son bureau, à l’avant de la salle, elle resta debout et frappa dans ses mains afin que les bavardages cessassent. Lorsque le silence prit possession de l’ambiance de la salle, notre professeur commença à parler.

-Bien. Comme vous avez pu le remarquer, je suis beaucoup plus douée que n’importe lequel d’entre vous en matière de sexe oral. La raison est simple ; vous autres, étudiants et étudiantes, adoptez un rythme qui vous est propre, mais c’est une erreur. Lorsqu’il s’agit de sexe oral, vous devez non pas adopter le rythme que vous souhaitez, mais celui que votre partenaire souhaite que vous lui procuriez. C’est pourquoi, si vous discutez entre vous, vous remarquerez que je vous ai tous fait plaisir différemment. C’est sur point que nous travaillerons pendant toute cette année. Sur ce, je vais devoir vous libérer, l’heure s’achèvera dans quelques minutes.

Une fois qu’elle eut donné son accord, nous nous levâmes tous en chur et sortîmes de la salle, encore émerveillés des bienfaits ressentis durant ces deux magnifiques heures. Nous eûmes à peine le temps de discuter entre nous des miracles que faisait la langue de notre chère professeur que la sonnerie retentit. Je me dirigeais alors vers la prochaine salle de classe pour suivre deux heures de travaux pratiques. J’ignorais de quoi il s’agissait puisque le terme « travaux pratiques » est on en peut plus vaste. J’eus toutefois l’impression de ne pas être suivi et, après m’être retourné, je remarquais que mes soupçons étaient fondés : Aline, Stéphane et Véronica, avec qui nous discutions à l’instant, me regardaient médusés.

-Je peux savoir ce que tu fais ? me demanda Alice.

-À ton avis ? Je vous rappelle qu’on a cours, répondis-je surpris.

-T’es pas au courant ? ricana Stéphane.

-Les cours de travaux pratique ne commencent que la semaine prochaine.

-Sérieux, criai-je presque. Comment ça se fait que je ne sois pas au courant ?

-Disons que tu n’étais pas au top de la forme, ce matin, me taquina Aline. Tu as dû raté l’info.

Passant pour un imbécile, je rejoignis mes trois amis et nous continuâmes notre discussion pendant une demie heure avant de nous séparer.

-Au fait, prends ça, dit Stéphane à Aline en lui tendant une photo.

-C’est toi dessus, dit-elle surprise. Tu sais, je sais à quoi tu ressembles.

-je m’en doute, ricana-t-il. C’est au cas où tu en aurais besoin pour te préparer pour ce soir.

-C’est gentil de ta part, lui répondis-je, mais si elle a besoin d’être excitée, je pense qu’elle fera appel à moi. Sans vouloir te vexer, elle adore quand je fais ça avec mes doigts.

Et pour illustrer mes propos, je posais ma main droite sur son entrejambe et enfonçais lentement deux de mes doigts, le majeur et l’index, dans son vagin. Alice retint un petit cri sous les yeux ravis de nos deux interlocuteurs. Elle ferma les yeux et se laissa aller au plaisir. Je remarquais d’ailleurs que, en plus de ceux d’Alice, les seins de Véronica pointaient férocement dans ma direction.

-Elle a l’air d’adorer ce que tu lui fais, dit la partenaire de Stéphane, rêveuse. Je me demande ce qu’elle ressent en ce moment.

-Tu le découvriras ce soir, si tu es sage, lui répondis-je avec un clin d’il.

Elle me sourit et, sans perdre plus de temps, nos deux amis s’éloignèrent. Je pus alors retirer le doigt que j’avais discrètement enfoncé dans le rectum d’Alice, c’était d’ailleurs cette double pénétration tactile qui était à l’origine du plaisir ressentit à l’instant par ma petite-amie. Elle me sourit et, ensemble, nous montions dans nos chambre et nous préparions pour les événements à suivre.

Je me préparais mentalement pour la suite devant mon lit de la chambre commune des premières années. Le simple fait de penser au corps nu de Véronica, cette magnifique rousse, me donna immédiatement une érection. Ce fut alors qu’Alice sortit de la salle de bain par la porte juste à ma droite et remarqua mon membre fièrement dressé. Son corps, fraîchement lavé, ne gouttait plus puisqu’essuyé par la serviette qu’elle portait sur ses épaules.

-Je vois que tu penses à elle, dit Alice d’un ton que je ne sus qualifier.

-Ne sois pas jalouse, Alice. Véronica est sublime, mais pas plus que toi. Je peux t’assurer que c’est simplement le mystère de notre première fois qui m’excite. Je ne m’arrêterais pas pour autant de te désirer.

-Alors, si je te demande de t’occuper de moi avant d’aller les voir, tu le ferais, me dit-elle avec un nouveau regard aguicheur.

Lorsque je captais ce regard, mon érection n’en fut que plus intense et, par conséquent, plus douloureuse.

-Viens là, lui dis-je en l’attirant à moi.

Elle sourit et se laissa mener jusque dans la salle de bain. Là, je la retournais et la laissais prendre appui sur le mur des douches. Je posais alors mon gland sur la paroi de ses lèvres avant qu’elle ne me repoussât légèrement.

-Non, pas par là, cette fois, m’expliqua-t-elle. J’ai envie que tu passes par l’autre.

Ravi de satisfaire cette délicieuse envie pleine de luxure, je collais mon gland contre son rectum et appuyais. Malgré mes efforts et malgré le fait qu’Alice n’avait, je présumais volontairement, pas sécher la raie de son fessier, je n’arrivais pas à passer par ce couloir sombre et étroit. Alice l’avait remarqué et, aussitôt, elle se retourna, se mit à genoux et, rapidement, me suça le pénis. Cette fellation fut rapide mais efficace : mon gland était couvert de salive. Satisfaite, Alice se releva et reprit sa position initiale. Cette fois-ci, lorsque je plaçai mon gland à l’entrée de sa grotte secondaire, mon pénis entra comme dans du beurre sous un couinement d’Alice. Je donnais alors de violent coups de reins afin de la faire jouir davantage.

-Oh oui, vas-y Bastien ! Plus fort ! Plus vite ! Lâche-toi !

Sous les encouragements de ma partenaire, je la pénétrais de plus en plus férocement. J’agrippais férocement ses hanches et la ramenais vers moi chaque fois que j’enfonçais mon pénis en elle. La pénétration n’en était que plus profonde et plus puissante, si bien qu’à chaque fois que mon torse claquait ses fesses, à chaque fois que mes testicules frappaient son vagin trempé de cyprine, elle était propulsée contre le mur dans un cri d’extase. Notre petit jeu dura facilement dix minutes au bout desquelles je finis par exploser dans son rectum. Je sortis alors de sa grotte et, après l’avoir laissée respirer pendant quelques secondes, je l’embrassais fougueusement.

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