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Einstein – Chapitre 1

Einstein - Chapitre 1



La solitude et l’abandon !

Une énième dispute venait encore d’assombrir le climat plus que malsain du foyer. Entre Maryse la jolie brune et son compagnon Alix, les choses n’étaient pas en passe de s’améliorer. Cette fois, pour la jeune femme de vingt-huit ans la coupe était pleine. Elle payait tout dans cette baraque. Lui se levait à onze heures du matin, ne faisait pas l’effort de se bouger pour chercher un travail. Alors entre le loyer, les courses et toutes les charges de cette maison de location, ça devenait tellement lourd pour elle.

Depuis un mois, au lieu d’aller chercher un travail, non ! Monsieur n’avait rien trouvé de mieux que de faire venir ses potes à la maison et les regards vicieux des cocos qui jouaient à longueur de journée au tarot dans la salle à manger dérangeaient Maryse. La goutte qui avait fait déborder le vase pour de bon avait un an et courait partout dans la maison. La brune était rentrée un soir après le bureau et elle avait été mise devant le fait accompli. Une boule de poil soi-disant de pure race était là devant elle.

Cette fois elle s’était fâchée pour de bon. Alix avait dû quelques jours vider les cendriers, nettoyer la salle à manger et surtout, il avait été prié de ne plus ramener ses copains à la maison. Oh ! Comme d’habitude, il lui avait juré les grands Dieux, qu’il irait chercher du boulot, qu’il serait un compagnon aimant et gentil. Le grand jeu en quelque sorte. Pendant trois jours, il s’était tenu peinard, quittant le nid le matin pour revenir le soir.

Le chiot, un mâle berger allemand de treize mois lui était resté à demeure et Maryse avait rajouté sur la liste des courses des croquettes et des sachets pour ramasser dans la pelouse ou la rue, les cadeaux de la bestiole. Alix n’avait rien trouvé de mieux d’appeler son cabot… Einstein ! Il était gentil avec la jeune femme, mais elle savait déjà que ce serait à elle qu’incomberaient les corvées de l’entretien de la bête.

Donc depuis un bon mois une cohabitation avec l’animal s’était instaurée. Mais dans l’après-midi de la veille, ne se sentant pas très bien, elle avait demandé à son patron de rentrer chez elle. Arrivée vers quinze heures, elle avait trouvé dans son lit une poupée Barbie, aussi blonde que sa copie et surtout à peine majeure. La colère qu’elle avait piquée avait été monumentale. Alix jurait par tous les saints qu’elle ne comptait pas, qu’elle n’était rien pour lui, juste une passade.

Mais cette fois c’en était trop pour la jeune femme qui comprenait enfin que l’aventure devait s’arrêter là. Oh bien sûr que ce serait pénible, difficile, que sans doute il lui manquerait. C’était vrai aussi que côté sexe, le bougre était du genre doué. Personne avant lui ne l’avait faire jouir comme ça. Mais bon, l’entretenir tout le temps, le voir se comporter comme un gamin et puis ramener des pouffiasses à la maison, c’en était trop.

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Alix s’était vu signifier son congé. Elle l’avait vu s’éloigner avec comme un pincement au cur, mais c’était nécessaire. Il avait bien essayé de la prendre dans ses bras, de l’embrasser, mais elle était tellement en rogne qu’il avait dû prendre ses cliques et ses claques. Il s’était retrouvé dans la rue une heure après, mais la salope avec qui il baisait au retour de Maryse, elle, n’avait pas jugé bon de l’attendre. Alors sans appartement et sans autre argent que les quelques euros que sa compagne venait de lui lancer à la figure, il était parti la tête basse et la queue entre les jambes.

Pour Einstein, au départ, elle voulait qu’il l’embarque avec lui. Mais en y réfléchissant mieux, la pauvre bête n’avait rien à voir là-dedans et elle décida qu’elle le lui garderait, jusqu’à ce qu’il ait trouvé un appartement ou de quoi se loger. Elle avait rapidement réglé ce problème et puisque Alix n’avait pas de boulot, mais en aurait un jour ? Elle garderait donc le chien en espérant qu’un jour il vienne le récupérer, tout comme ses affaires, vêtements et les quelques babioles qui lui appartenaient.

Voilà comment depuis la veille, la jeune femme se retrouvait seule… enfin pas tout à fait puisque le compagnon à quatre pattes était bien présent, lui. Elle fit changer les serrures de suite, le premier jour, pour éviter un retour d’Alix qui avait très bien pu refaire faire des clefs. Ainsi elle s’assurait d’une relative tranquillité. Le départ de son copain datait déjà de plus d’un mois et il n’avait même pas cherché à la recontacter. Une belle preuve d’amour ! Mais Einstein lui, se montrait joyeux, heureux de la revoir chaque soir et ensemble, ils allaient faire un tour tous les deux. Elle imaginait bien qu’après une journée passée dans la solitude de la maison, il était heureux de se dégourdir les muscles.

Il était affectueux et se montrait doux, gentil, presque câlin avec elle. Le soir quand elle allait se coucher, il s’étendait derrière sa porte, veilleur patient et calme. Il avait pourtant un matin à son réveil marqué un temps d’arrêt devant elle et sa façon de se frotter contre sa cuisse avait surpris la jeune femme. D’ordinaire, il était plutôt calme et pourtant ce matin-là… il venait la sentir, la humer d’une bien étrange manière. Ce n’est que lors de sa douche qu’elle s’aperçut qu’elle avait ses règles.

Était-il possible que ce saignement ait à ce point perturbé l’animal ? Elle se demandait s’il avait su avant elle que ça allait débarquer ! Bon, la nature avait des droits et aucune femme au monde ne saurait y déroger. Maryse et Einstein traversèrent ainsi la belle saison et quand l’automne arriva, Alix n’avait plus donné de nouvelles. Le chien était toujours là, mais elle ne s’en plaignait pas. Ce compagnon l’obligeait sans un mot à marcher, se balader, sortir et elle trouvait ça plutôt bien. Par contre pour les sorties seules, c’était plutôt compliqué.

Elle avait donc pris l’habitude de rester à la maison avec Einstein, et devenait plutôt casanière. Il avait bien grandi, forci également, mais restait cet agréable ami qui l’attendait chaque soir, après le travail derrière la porte. Il était toujours installé pareillement. Assis, la tête levée en guise de salut, il remuait la queue et venait lui lécher les mains, à chaque retour. Heureux de la revoir, il savait le lui faire comprendre. Plus le temps passait et plus Maryse s’attachait à son chien. De plus, aucun signe de vie de son propriétaire et elle savait qu’elle ne le reverrait sans doute jamais.

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Le printemps revenu, la jeune femme achetait la maison et dans la foulée, le jardin fut clôturé. Einstein pouvait ainsi passer le plus clair de ses journées à gambader sur l’espace herbeux de la pelouse. Le soir, la porte-fenêtre ouverte il allait et venait à sa guise. Dans la maison, les beaux jours retrouvés, la brune se promenait à demi nue, sans crainte de voir qui que ce soit la mater. À la moindre alerte, son copain aboyait et la prévenait. Elle avait aussi pris l’habitude de se coucher sur son canapé, sans se préoccuper de ce que faisait l’animal.

Alors un soir, la belle s’endormit sur son sofa. Elle se mit à rêver, et les images qui surgissaient dans sa tête n’étaient en rien sages. Il faudrait bien un jour qu’elle fasse à nouveau l’amour. Mais pour l’heure dans son sommeil, le grand et fort gaillard qui la caressait était d’une incroyable délicatesse. Ses longs doigts allaient et venaient et la tension de son corps se transformait peu à peu en plaisir. Elle sentait entre ses cuisses la langue de cet homme qui lui léchait la chatte. Depuis si longtemps que ce n’était pas arrivé… un vrai délice.

Les bras ballant le long de son corps la jeune femme en léthargie sur son divan, avait des soubresauts distillés par son envie tellement ciblée. Chaque coup de langue de ce type sans visage lui rappelait combien elle avait aussi besoin de faire l’amour. Elle gémissait doucement, sans plus avoir aucun contrôle sur sa libido. Son envie de jouir était là, profane et chevillée à ses tripes. Ses jambes largement écartées, elle sentait le souffle de son amant sur la fente qui bavait d’impatience. Une douceur exquise qui envahissait peu à peu l’ensemble de son être la tétanisait par des caresses d’une inimaginable force.

Son long hiver corporel se réveillait insensiblement, alors que couchée là, sur son canapé, elle geignait sous des attouchements imaginaires, elle sentait confusément que quelque chose n’allait pas. Souvent le subconscient reprenait le dessus et elle ouvrit les yeux. Elle était allongée sur l’assise de cuir fauve du sofa, ses jambes largement ouvertes et ce qu’elle entrevoyait, dépassait l’entendement. Le sien du moins ! Sa nuisette remontée par ses gestes dans son sommeil, et Einstein était là. Sa langue léchait la chatte que la jeune femme laissait très en vue. Elle fit un bond, mais le chien ne stoppait pas pour autant ses léchouilles.

Maryse referma les cuisses et l’animal en geignant se remit assis près d’elle. Un instant décontenancée, elle ne savait pas comment interpréter ce qui venait de se passer. Le gronder, le punir ? Mais elle était la seule responsable sans doute de ce… truc idiot. Pourquoi l’animal était-il là, a lui bouffer la fente et le pire de l’histoire, c’était qu’elle n’avait pas trouvé cela si mauvais. C’était même l’inverse qui se produisait. La brune avait failli jouir sous les coups de langue de Einstein ! Elle se traitait de folle, se cochonne, pire, de salope et… son envie n’avait pas pour autant disparu.

Mais jouir restait aussi un impératif, une véritable nécessité pour la jeune femme solitaire. Dans les jours qui suivirent cet épisode étrange, elle se réappropria son corps. Lissant de ses longues mains fines au lit ou sous la douche les parties les plus intimes de sa personne. Elle râlait si souvent et avait l’impression que dans les yeux de son ami à quatre pattes, elle pouvait lire comme une attente. Jamais de désapprobation, jamais d’impatience non plus ; il restait assis le nez à la hauteur de ses cuisses comme s’il guettait cette agitation invisible qui allumait ce ventre de mille feux.

Comment les choses se reproduisaient parfois ? Elle ne saurait jamais le dire. Mais un soir, un parmi tant d’autre ou de nouveau ses envies déferlaient dans son crâne, allongée devant sa télévision, le déshabillé remonté bien plus haut que la décence ne l’aurait admis, elle entreprit avec les yeux fiévreux, des caresses de soulagement. Sous ses paupières à demi closes, elle savait que Einstein ne la quittait pas du regard. Elle fit un seul petit mouvement du doigt et se remit assise en écartant largement les jambes. Il avait compris l’invitation tacite et en deux secondes elle sentit le souffle sur cet endroit si bouillant.

La langue qui venait de la frôler avait un effet bénéfique et elle se plongea plus encore dans l’extase de ces envies aux relents d’interdits. Il la léchait avec ardeur, sans se préoccuper de savoir si c’était bien ou mal. Pour lui sans doute que le simple fait de n’être pas repoussé lui ouvrait des perspectives nouvelles. Quand Maryse rouvrit les quinquets, elle vit sous l’animal cette chose rouge et très bizarre qui restait tendue. Par quel réflexe tendit-elle la main pour sentir la texture de cette bite si différente de celle de… elle n’osait pas faire plus. Le simple mouvement de refermer les doigts sur la tige, la mettait en transes.

D’instinct elle avait peur, peur de ce qui pourrait, de ce qui allait arriver peut-être. Mais dans son esprit, plus rien n’était perçu d’une façon normale et son envie la taraudait tellement. Elle se mit à serrer en repoussant vers le ventre ce qui recouvrait le sexe de son chien. Einstein faisait des mouvements avec son bassin et geignait un peu. Alors elle se laissa glisser sur la moquette du salon. Elle était à quatre pattes près de l’animal qui maintenant tentait de lui monter sur le dos. Il retrouvait les gestes instinctifs du coït et son poids, sa force étaient ceux d’un chien en pleine possession de ses moyens.

Elle tentait ensuite de le calmer, de canaliser cette débauche d’énergie qui émanait de la bête. Alors elle le prit entre ses bras et roula avec lui sur la laine du sol. Il se laissait faire, comme un homme l’aurait fait. Quand elle reprit dans sa paume la queue du clebs, elle sentait que c’était humide. L’avancée de sa bouche vers cette trique si différente se faisait sans qu’elle s’en rende compte. D’abord elle laissa sa langue découvrir la texture de la baguette. Longeant celle-ci, elle fit plusieurs aller et retour sur ce manche qu’elle tenait par la base.

Bien entendu Einstein s’était mis sur le dos, comme s’il pressentait ce qui allait se passer. Une énième fois, la brune lissait de la pointe baveuse de sa langue la pine canine. Mais cette fois, arrivée à l’extrémité elle en fit le tour sur ce qui chez un homme aurait été le gland. Lentement d’abord, elle s’imprégnait de cette bizarre odeur de sexe et de sperme inconnue. Puis elle enfonça la bite dans son palais comme elle l’avait fait si souvent de celle de son copain. Sensation bien étrange que de penser qu’elle suçait son chien, qu’elle taillait une pipe à Einstein.

L’autre évidemment ne bronchait plus, gros pépère qui semblait attendre encore plus de cette femelle qui s’occupait si bien de son appendice. Le jus qui lui coulait dans la bouche pour s’échapper en mince filet le long de son menton la rendait folle. Au bout de longues minutes de ce jeu hors norme, elle se redressa à demi, puis vint comme pour s’asseoir sur cette quille dont elle cramponnait toujours la base. Elle fit coulisser sur sa chatte l’objet de son désir. Et elle se mit enfin à jouir, simplement en se frottant contre la bite de son meilleur ami.

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À suivre…

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