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Elle me fait cocu avec un vieux – Chapitre 2

Elle me fait cocu avec un vieux - Chapitre 2



Elle me fait cocu avec un vieux.

Chapitre 2: Entre lui et moi, son cur balance.

Dans le lit, sous les couvertures, je ne trouve pas le sommeil. Les yeux grands ouverts, je regarde dans le vide. Je me repasse en boucle les visions de cette soirée de dingue: Ma femme nue face à Alain, touchant la bite de ce vieux con, elle, couverte de sperme et moi me branlant en les espionnant.

Oui. J’étais excité de voir ma femme me faire un début de tromperie et c’est ce qui me tracasse le plus. J’ai laissé faire, j’ai maté et j’ai éjaculé en regardant mais j’en suis mal, vraiment mal, car Valérie, la femme que j’aime, ma moyennement trompé et au fond de moi c’est douloureux Je suis déchiré entre plaisir et douleur, mais aussi, je suis dans un sens rassuré : Valérie n’a rien fait d’autre que de faire jouir l’autre con, l’honneur est sauf enfin plus ou moins quel bordel !  Je porte mes mains sur mon visage en soupirant, adieux nuit paisible

Mais je n’eus pas le temps de réfléchir trop longtemps car, à la place du sommeil tant désiré, c’est Valérie qui entra dans la chambre. Comme Alain me l’avait dit, elle était passée à la salle de bain pour se "rafraîchir" avant d’aller dormir. Elle s’était changée, forcément, et elle avait enfilé son petit ensemble de nuit: une nuisette et un short de couleur rose, dont la simplicité avait son petit effet sur son corps mince.

— Tu es déjà au lit Mathieu ?

— O oui, je tu

— Hum? Je quoi ?

— Tu es passé à la salle de bain pour te rafraîchir, m’a dit Alain.

— Oui, j’en avais besoin. Aller! Fais-moi la place gros nigaud.

C’est avec le plus grand naturel du monde qu’elle ouvrit les draps et s’installa à mes cotés, comme si rien ne s’était passé avec Alain. Moi je ne réagissais pas, ayant encore en tête les folles pensées de la soirée. Confortablement installée dans ce nid douillet bien préparé par nos hôtes, elle éteignit la lampe de chevet et se rapprocha de moi en laissant échapper des petits gémissements de plaisir. Elle semblait tout excitée d’aller dormir, chose vraiment contradictoire

Entre nous deux, le silence. Du genre: que faire maintenant ? Dormir ? Pas moyen ! Mais Valérie, plus coquine que d’habitude, se rapprochait de moi, au point de m’enlacer et de poser sa tête à coté de la mienne. Elle vint ensuite déposer sur ma joue un petit bisou plein de tendresse et, de sa main posé sur moi, elle me caressa délicatement le torse.

— Mathieu?

— Hum?

Elle rapprocha ses lèvres de mon oreille et, délicatement, m’en mordilla le lobe. Je ne réagissais pas alors elle me susurra ces quelques mots.

— J’ai des envies

— De vraiment ?

— J’ai envie de toi, là

— Je tes dingue ils pourraient nous entendre

— Chut, nous serons discrets.

Valérie déplaça ses caresses vers le bas de mon ventre. Je la regardais profondément dans les yeux et je pouvais voir, même lumière éteinte, toute l’envie dans son regard. Je n’eus rien à faire : j’étais allongé sur le dos, elle glissa sa main sous mon boxer pour caresser délicatement la base de mon sexe. Tout en recouvrant mon torse de baisers, elle se positionna sur moi à califourchon. Javais les yeux grands ouverts et mon sexe, coincé entre ses fesses, durcissait alors qu’elle restait assise dessus. Une sensation délicieusement frustrante, encore un terme contradictoire

Elle se mordillait les lèvres en souriant, pouvant sentir entre ses fesses, l’effet positif qui annonçait le plaisir à venir. Valérie était chaude comme la braise, je l’avais rarement vue comme cela, si entreprenante, si Houaa! Elle balançait à présent ses fesses d’avant en arrière, caressant de ses lèvres vaginales mon sexe au travers du tissu de son short. Elle était joueuse et avait vraiment des envies, je n’en revenais pas de son attitude. Que faire d’autre mis à part en profiter ? J’oubliais presque sa petite aventure avec Alain; ce vieux con aurait bien aimé être à ma place mais c’est moi qu’elle avait choisi. Était-elle aussi partagée entre honte et désir?  Comme je l’étais il y a 5 minutes ? Honte ? visiblement pas; mais une chose était sûre : Elle était chaude comme la braise. Alain l’avait allumée, avait mis le feu en elle et maintenant, c’était  ma saucisse qui allait griller. Bien fait pour toi Alain ! C’est moi son homme ! Un homme heureux du dénouement.

Alors qu’elle continuait ses caresses, j’entrepris de lui baisser délicatement des deux mains son short. Celui ci au niveau des cuisses, jempoignai avec fermeté le galbe de ses fesses et je les pelotai avec délice. Elle souriait encore. Elle appréciait. Après avoir enlevé de manière plus pressée tous nos vêtements de nuit, elle sallongea sur moi et m’embrassa d’un long et langoureux baiser. Nos langues s’entremêlèrent, Valérie déplaça sa main entre ses cuisses. Plus précisément, elle attrapa mon sexe pour en guider le gland à l’entrée de son vagin et c’est avec lenteur qu’elle sempala sur ma verge avec une grande facilité tellement elle était humide.

Une belle cavalcade s’en suivit. Nous faisions l’amour comme rarement. Elle qui n’était pas du genre à baiser dans des lieus publics, elle se laissait aller à ses vices alors que nos hôtes dormaient à coté. Quel pied !

A un moment, alors que se continuait notre  union charnelle, avec Valérie assise sur moi, j’entendis un bruit. Il m’interpella. Car il ne me semblait pas venir du craquement du lit, mais de l’extérieur de la chambre. Valérie n’y porta pas attention, toujours emportée par l’extase de notre fusion. Nous étions dans l’obscurité mais j’étais sûr d’avoir entendu un craquement, comme le craquement d’un vieux plancher quand on marche dessus. Je jetais un il discret à la porte: celle ci était légèrement entrouverte. J’aurais juré qu’elle était fermée peu avant; et me vint à l’esprit l’autre pervers : Alain. Était-il là ? Ce vieux bouc nous épiait-t-il ? J’en avais la très nette impression; je ne pouvais pas laffirmer car il faisait  trop sombre dans la chambre mais j’en étais persuadé. Il nous matait alors que nous faisions l’amour. Se savoir observé pendant l’acte était vraiment une chose étrange. Mais savoir en plus  que l’homme voulait me prendre ma femme décuplait mon ardeur. « Regarde tant que tu le souhaites, le vieux, cette femme est mienne ! »

Je continuai à pilonner ma femme jusqu’à notre orgasme commun : j’éjaculai en elle et elle lâcha un râle qu’elle étouffa le plus possible en se mordillant les lèvres pour rester discrète. Prise de fatigue, elle s’allongea sur moi et me fit la grâce d’un baiser amoureux, preuve de sa satisfaction. Nous nous sommes ensuite endormis alors que je savais qu’Alain n’allait pas en rester là.

Le lendemain fut une journée étrange. Au matin, pour le petit déjeuner, Valérie semblait très gênée face à Alain, elle cherchait même à fuir son regard. Je pensais qu’à ce moment, la honte de son comportement avec lui la travaillait, elle s’en voulait probablement d’avoir accepté les avances et les attouchement de cet homme alors que j’étais juste à coté. Était-ce l’alcool qui lui avait fait  dépasser la limite ou un désir naissant ? Pour le moment, je me sentais victorieux, surtout avec cette bonne baise d’hier soir. Sûr de moi, je pensais avoir triomphé du vieil étalon au membre imposant.

Nous avons ensuite passé la journée à visiter Namur rien qu’à deux, notamment la citadelle avec sa vue magnifique, les Jardins d’Annevoie ou une balade dans le piétonnier.  Nous nous sommes assis à une terrasse de la Place du Vieux, Une bonne journée ensoleillée et plaisante; cependant, parfois, ma compagne et moi même avions la tête ailleurs, hantés sans doute par le souvenir d’Alain. En parlant de lui, j’étais persuadé qu’il n’avait pas dit son dernier mots et quand nous sommes revenus chez nos hôtes, j’avais raison: il recommença directement son petit jeux de séduction.

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