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Elle n'est pas qu'à moi – Chapitre 2

Elle n'est pas qu'à moi - Chapitre 2



Mélanie et moi avions repris une vie à peu près normale durant quelques semaines avant le coup de téléphone de Rodrigue, Il nous annonça qu’il passerait le week-end avec nous dans trois semaines. D’ici là nous n’avions plus le droit d’avoir une quelconque relation sexuelle ni de dormir ensemble. Mélanie, malgré le fait qu’elle adore faire l’amour, se plia à ses règles. Cette période fut très difficile pour chacun de nous. Heureusement, les trois semaines arrivèrent à leur fin et nous savions que nous allions n’avoir qu’à supporter Rodrigue deux jours avant de pouvoir de nouveau se sauter dessus.

Lorsque je suis rentré le vendredi soir, j’ai trouvé une Mélanie prête pour l’arrivée de Rodrigue et visiblement très excitée.

« Tu m’as l’air en chaleur ma chérie.

— Oh oui, j’ai hâte J’avoue que baiser me manque.

— Baiser ?

— Désolée mais oui, j’ai hâte de me faire baiser. »

La sonnette de l’appartement se fit entendre et Mélanie sauta sur la porte. Quand elle ouvrit, elle fut un peu déçue. Rodrigue était accompagné d’une femme de son âge, petite brune aux cheveux très courts. Franchement grasse, son corps dépassait un peu de sa tenue. Sa poitrine semblait tombante. Bref, elle n’était pas du tout appétissante pour moi.

« Salut. Je vous présente Paulette, mon épouse. Elle va rester avec nous ce week-end. »

Puis, s’approchant de Mélanie, il la prit dans ses bras et l’embrassa.

« Machine interpella Paulette

— Elle s’appelle Mélanie, lui dit Rodrigue.

— M’en fous Machine, fous-toi à poil qu’on te matte. »

Mélanie, obéissante, fit tomber l’ensemble de ses vêtements et se retrouva nue face au couple. Paulette commença alors à faire le tour de ma compagne en faisant des commentaires des plus désobligeants et salaces : « Une bonne bouche de suceuse », « Son cul est fait pour la sodo », « J’serai un mec, j’banderai. Elle est bonne. » ou « Nichons de salope ». Elle tripotait aussi au passage et glissa même sa main entre les cuisses de ma copine.

« Rod, elle mouille

— C’est vrai répondit Rodrigue en glissant sa main entre les cuisses légèrement ouvertes de Mélanie. T’as envie ?

— Oui, avoua Mélanie, honteuse. C’est que ça fait un moment.

— Tu t’es pas branlée, demanda Paulette.

— Non.

— Tu es conne, t’avais le droit, répondit Paulette amusée. »

Rodrigue sortit alors son sexe et Paulette ordonna à Mélanie de se mettre à genoux. Rodrigue guida son sexe vers la bouche de ma compagne qui l’engouffra sans attendre. Mélanie commença à sucer avec entrain le sexe de Rodrigue qui semblait vraiment apprécier. Paulette ne manquait pas une miette de la fellation et commentait la dextérité supposée de ma compagne. Les lèvres de Mélanie allaient et venaient le long de la tige bien dure de Rodrigue. Ses mains caressaient les bourses poilues. Rodrigue, une main posée sur la tête de Mélanie guidait le rythme de la caresse. Avec de petits coups de reins, il s’enfonçait loin dans la gorge de ma compagne qui acceptait ses pressions autant que possible. Paulette quitta son poste d’observation pour venir se mettre derrière Mélanie. Elle glissa une main sous ma copine et commença à lui caresser le sexe. De son autre main, elle se mit à tripoter un sein de Mélanie. Cette dernière tentait de continuer la fellation malgré son plaisir qui montait en flèche. Heureusement pour elle, Rodrigue ne tint pas très longtemps et jouit dans la bouche de ma compagne. Mélanie le suit très rapidement et jouit aussi assez bruyamment de la caresse de Paulette.

« Machin La bouche de ta pétasse doit bien sentir le sperme et la bite. Ça te dérange ? Me demanda-t-elle.

— Oui Un peu Quand même

— On va résoudre ce problème. »

Paulette enfonça ses doigts boudinés dans la bouche de Mélanie qui se mit à les lécher docilement.

« Maintenant, elle va sentir le sperme, la bite et sa chatte. C’est mieux ? me lança-t-elle en rigolant.

-Enfile ça, dit Rodrigue à Mélanie en lui tendant un sac. »

Mélanie découvrit dans le sac une petite robe bleu marine. Sans prendre la peine d’enfiler des sous-vêtements, elle passa la robe. Celle-ci s’ouvrait par devant avec une série de boutons. Elle était très courte, terminant quelques centimètres en dessous des fesses de ma compagne. Pour le haut, elle avait de fines bretelles et un décolleté profond. Ainsi « vêtue », elle mit les sandales noires sur ordre de Paulette et commença à préparer le repas.

Nous sommes ensuite passés à table. Mélanie dut servir le repas en subissant les attouchements pervers de Rodrigue. Il ne manquait aucune occasion de passer ses mains dans le décolleté de Mélanie ou sous sa robe. A mes côtés, Paulette engouffrait les plats avec avidité. Ses grosses lèvres aspiraient tout ce qu’il y avait dans son assiette et elle se resservait régulièrement. Le repas englouti, Paulette, Mélanie et Rodrigue partirent s’installer sur le canapé.

Paulette et Rodrigue installèrent Mélanie entre eux et je fus relégué à une chaise. Ouvrant largement les cuisses de Mélanie, Paulette commença à faire danser ses doigts boudinés sur le sexe de ma compagne. Rodrigue ouvrit le haut de la robe et fit sortir les seins de Mélanie pour les tripoter. Mélanie était masturbée alternativement par Paulette et Rodrigue. Quand l’un caressait son sexe, l’autre lui tripotait les seins. Ils y étalaient le jus recueilli entre ses cuisses. Toute la soirée, Mélanie gémit du plaisir donné par les petits doigts boudinés de Paulette et les longs doigts fins de Rodrigue. Puis Paulette se dit fatiguée avant que Mélanie n’ait pu jouir.

« J’vais me foutre au pieu. On prend ta chambre, me dit-elle. Et toi, tu dors avec mon mec et moi, lança-t-elle à Mélanie.

— D’accord Et répondit Mélanie en me montrant du doigt.

— Lui ? Le canapé suffira, coupa Rodrigue.

— Mais il peut v’nir voir, comme un bon p’tit branleur, ajouta Paulette »

Ils partirent tous les trois à l’étage. Au bout de quelques minutes, ne tenant plus, je me décidais à monter à l’étage. La porte de la chambre était ouverte. Allongés nus sur le lit, Paulette et Rodrigue regardaient Mélanie. Elle était nue également, debout, avait les mains derrière la tête et les cuisses légèrement écartées.

« T’en as fallu du temps ! On attendait que toi, me dit Paulette. »

Elle fit alors signe à Mélanie de les rejoindre. Cette dernière les rejoint et se mit a quatre pattes sur le lit. Doucement, elle prit en bouche Rodrigue. Elle commença une nouvelle fellation. Paulette attrapa alors la main de Mélanie et la guida vers son sexe. Fouillant entre les replis de son sexe, Mélanie finit par trouver le petit bouton de Paulette. Tout en continuant à sucer Rodrigue, elle se mit à caresser la fente dégoulinante de Paulette. La grosse femme commença à gémir de plaisir lorsque Mélanie enfonça ses doigts dans l’antre trempé. A côté, Rodrigue avait posé ses mains sur la tête de ma compagne pour la contraindre à enfoncer un peu plus son sexe au fond de sa gorge. De concert, il donnait de petits coups de reins. Puis Paulette attrapa la tête de Mélanie et attira le visage de ma compagne entre ses cuisses.

« A moi Bouffe-moi la chatte !

— Et moi ? Questionna Rodrigue.

— Son cul est bien en l’air. T’veux un dessin ? »

Rodrigue se redressa et passa derrière Mélanie. Pendant que ma copine découvrait le sexe liquide de Paulette, Rodrigue passait ses doigts entre les cuisses de Mélanie.

« Elle est déjà prête, lança Rodrigue visiblement satisfait.

— C’est qu’elle aime ça la cochonne, répondit Paulette. Et elle bouffe super bien les minous. »

Rodrigue pointa alors son sexe à l’entrée du vagin de Mélanie et y entra d’un coup sec et brutal. Ma copine, encaissant la pénétration, avait arrêté de lécher Paulette. Cet arrêt ne fut pas au goût de la grosse femme qui la gifla avant d’appuyer sur sa nuque pour qu’elle reprenne sa caresse. Fermement agrippé à ses hanches, Rodrigue pilonnait Mélanie avec vigueur. Ma copine tentait tant bien que mal de continuer à lécher le sexe trempé de Paulette pour éviter de nouvelles gifles. Ceci dura quelques minutes avant que Paulette ne soit prise d’un orgasme. Elle frotta alors son sexe dégoulinant sur le visage de Mélanie. Elle fut suivie de près par Rodrigue qui juta sur les fesses de ma copine. Il s’écroula ensuite aux côtés de sa femme.

Quand elle reprit ses esprits, Paulette invita Mélanie à me faire « un p’tit bisou » pour me souhaiter bonne nuit. Ma copine se leva alors, s’approcha de moi avec un regard empli de honte et m’embrassa. Son baiser avait le goût du sexe de Paulette. Cette sensation d’être dépossédé’ du corps de ma copine me fit autant de mal que de bien, comme une envie malsaine Lorsque Mélanie se retourna, je vis que le sperme que Rodrigue avait répandu sur son dos avait coulé entre ses fesses et descendait un peu le long d’une de ses cuisses. Rodrigue qui avait suivi sans que je m’en aperçoive, ferma la porte.

« Ce qui va se passer maintenant ne te regarde pas. C’est une histoire de grande personne, ajouta-t-il en riant doucement. »

Je redescendais l’escalier menant au salon avec cette image de ma compagne salie d’un sperme qui n’était pas le mien rejoignant un lit bien occupé par d’autres que moi. Arrivant sur le canapé que je n’avais pas pris la peine d’ouvrir, j’ai attrapé mon sexe et me suis masturbé frénétiquement en imaginant Mélanie obéissant à tous les caprices de Paulette et Rodrigue. Le sommeil me prit tout de même un peu plus tard.

Le lendemain matin, Paulette et Rodrigue m’expliquèrent qu’ils avaient envie d’aller promener et qu’ils voulaient que Mélanie vienne avec eux, pour la journée. N’ayant pas d’autre choix que d’accepter, je laissais Mélanie se préparer à cette sortie. Elle enfila la robe bleue de la veille et remit ses sandales. A la demande de Paulette, elle mit aussi une petite culotte, ce qui me rassura un peu. Je passais la journée seul et attendais le soir avec impatience.

Vers 19h, ils rentrèrent tous les trois avec quelques courses pour le repas du soir. Curieux, je tentais de me retrouver seul avec Mélanie pour la questionner.

« Alors cette journée ?

— Finie, me répondit-elle comme pour couper court.

— Mais vous avez fait quoi ?

— Je ne peux rien te dire.

— Ils ont encore abusé de toi, c’est ça ?

— Je ne peux rien te dire.

— Mais, je t’ai vu avec eux. S’ils t’ont prise, ça ne me choquera pas Pas de secret, non ?

— Je suis désolée mais je ne peux rien te dire. »

Laissant tomber l’affaire, je quittais Mélanie visiblement honteuse. Ma copine commença à préparer le repas avec Paulette pendant que Rodrigue et moi installions la table. Me regardant, Paulette souleva la robe de Mélanie me dévoilant son cul nu. Même si je m’y attendais, je fus un peu surpris de ne pas y voir la culotte mise le matin en partant.

« Dis-lui, lança Paulette. Dis à ton homme où est ta culotte.

— Je Je l’ai donnée répondit Mélanie en baissant les yeux.

— A qui ? Dis-lui à qui.

— A un homme.

— Comment il s’appelle ? Dis-lui

— Je ne Je ne sais pas

— T’as donné ta culotte à un gars que tu connais pas ? C’est ça ? Dis-lui

— J’ai donné ma culotte à un inconnu.

— Et il a eu droit à quoi d’autre ?

— Une pipe, lâcha-t-elle en sanglotant. »

Abasourdi par la nouvelle, j’en fis tomber les verres que j’avais à la main. Une fois les morceaux ramassés et le repas prêt, nous avons dîné dans un silence de cathédrale. La soirée continua sans un mot et, à mon grand étonnement, sans exhibition de ma copine jusqu’à ce que Paulette et Rodrigue décidèrent qu’il fallait que nous alliions tous à l’étage.

Arrivés dans la chambre, sans attendre le moindre ordre, Mélanie se dévêtit puis dénuda Rodrigue et Paulette. Elle se mit à genoux entre eux et commença à lécher alternativement les deux sexes. Lorsque Rodrigue fut bien dur, il se dirigea vers le lit entraînant Mélanie avec lui. Paulette s’approcha alors de moi. Alors que Rodrigue commençait à prendre ma copine en missionnaire, Paulette ouvrit ma braguette et sortit mon sexe déjà bien bandé. Ses petits doigts boudinés l’attrapèrent et elle commença à me masturber.

« Tu dis rien du tout, tu t’laisses faire et j’te raconte la journée, me dit Paulette à l’oreille.

— D’accord »

Et elle commença à m’expliquer le déroulement de la journée. Elle me raconta le trajet en voiture par aller dans une ville un peu éloignée et les premières minutes de marche chastes avant de tomber sur le gars’. Elle me dit que Rodrigue et elle avaient obligé Mélanie à sucer cet inconnu dans l’entrée d’un immeuble avant de la contraindre à lui laisser sa culotte « en souvenir ». Devant moi, Mélanie et Rodrigue avaient changé de position. Installés en cuillère, je pouvais voir le corps nu de ma copine et le sexe de Rodrigue qui allait et venait en elle. Paulette, toujours en me masturbant doucement, me décrit le reste de la matinée, en particulier le passage pendant lequel, après avoir croisé un petit groupe de jeunes’, elle les avait autorisés à ouvrir la robe de Mélanie, à la tripoter et même à introduire leurs doigts en elle. Elle me raconta le repas pris dans une petite brasserie qu’ils connaissaient et le pourboire en nature laissé au patron. Je voulus réagir mais Paulette ne m’en laissa pas le temps. Serrant très fort mon sexe dans sa main, elle se tourna vers le couple qui s’ébattait sur le lit.

« Rodrigue. Il veut que t’encules sa pétasse, lança-t-elle à son mari.

— OK. Je la prépare et

— Non, la prépare pas. A sec, il m’a dit Tu vois, fallait pas vouloir dire quelque chose ! Me dit-elle discrètement. »

Rodrigue mit Mélanie à quatre pattes et se mit à forcer l’anus de ma copine. Celui-ci finit par céder dans un grand cri déchirant de douleur de Mélanie. Il se mit alors à l’enculer avec rage pendant que Paulette reprenait son récit. Elle me raconta les courses dans un supermarché et le besoin irrépressible de Rodrigue de choisir les produits en bas des rayons. Ils ordonnèrent à Mélanie de les prendre sans plier les jambes dévoilant à chaque fois un peu les fesses nues de ma compagne et, par moment, son sexe. Elle me décrit le verre pris à la terrasse d’un café et l’interdiction pour Mélanie de fermer les cuisses. Puis, enfin, le retour et l’arrêt sur une aire de repos sur laquelle ma copine fut contrainte de se masturber devant les regards pervers de trois routiers. Pendant toute l’histoire,

Je ne sais si c’est le récit de Paulette, la vision de ma compagne et Rodrigue ou la caresse des doigts adipeux mais mon orgasme ne tarda pas à arriver. Je jutais abondamment sur le sol. Face à moi, dans un dernier coup de reins, Rodrigue s’enfonça profondément dans l’anus de Mélanie pour y laisser son sperme. Il jouit en traitant ma compagne de « garage à bites », de « salope » ou de « trou pour foutre ».

« Va laver le parterre que t’as sali. Ta copine va me finir avec sa langue. »

Docilement, j’allais chercher de quoi essuyer mon sperme au sol. En revenant, je vis Paulette allongée sur notre lit. A genoux à côté de celui-ci, entre les cuisses de Paulette, Mélanie léchait le sexe de la grosse femme. En me voyant, Rodrigue s’approcha de Mélanie et écarta ses fesses. Je vis alors son anus rougi par la sodomie duquel s’échappait un peu de sperme.

« N’est-ce pas magnifique ? Me dit-il.

— Quoi ?

— Le cul d’une jolie petite pute bien baisé et rempli de foutre. »

Je nettoyais mon sperme au sol sans quitter des yeux cette scène qui, je dois l’avouer, m’excitait de nouveau. Très rapidement, Paulette fut prise d’un orgasme intense. Elle agrippa le visage de Mélanie et y frotta son sexe qui dégoulinait de plaisir. Puis elle se leva et elle et Rodrigue se rhabillèrent.

« Tu nous raccompagnes, dit Rodrigue à Mélanie. »

Les trois quittèrent la pièce puis Mélanie revint.

« Ils sont partis. On peut dormir ensemble.

— D’accord Tu vas te laver ?

— Non, je n’ai pas le droit. Je dois rester comme ça. Tu dois enfiler un caleçon, me dit Mélanie en me voyant m’approcher du lit nu. »

J’enfilais le vêtement et glissait sous les draps aux côtés de Mélanie. Elle m’attira contre son dos et je sentis l’odeur du sexe de Paulette sur son visage et le sperme de Rodrigue sortant de son cul.

Je l’aime.

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