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En Martinique, rencontre avec deux touristes allemandes – Chapitre 2

En Martinique, rencontre avec deux touristes allemandes - Chapitre 2



Le soir, JB et moi arrivons au rendez-vous donné par nos deux amantes de l’après-midi. C’est un restaurant au bord de la plage à Sainte-Luce qui fait aussi des concerts avec une piste de danse. Il est très fréquenté par les touristes, mais aussi par les locaux quand le groupe de zouk qui passe sur scène est réputé. Ce soir, il n’est qu’à moitié plein, mais le groupe prévu n’est annoncé que pour vingt-deux heures. Brigit et Ursula sont installées toutes les deux à une table pour quatre et lèvent la main avec de grands sourires quand elles nous voient. Les deux portent des robes largement décolletées qui permettent de voir une grande partie de leurs gros seins bronzés. Le tissu est suffisamment fin pour dessiner leurs gros tétons. Quand elles se lèvent pour nous embrasser, nous voyons aussi que le bas de leur robe arrive à mi-cuisse. Avec leurs formes et leurs rondeurs et malgré leur âge, les deux sont vraiment sexys. Nous aussi avons choisi de faire simple avec un simple jean bien serré porté sans sous-vêtements et une chemise ajustée.

Je m’assieds face à Brigit, à côté d’Ursula et JB prend la place diagonale à la mienne. Malgré la barrière de la langue, nous parlons de leurs vacances en Martinique, de ce qu’elles ont visité et fait pendant leurs deux semaines de séjour sur l’île. En fait, cette soirée est leur dernière ici, car le lendemain, elles doivent reprendre l’avion pour l’Allemagne, via Paris. Elles comptent donc sur nous pour passer une dernière bonne soirée. Pour réchauffer l’ambiance, JB et moi leur commandons force planteurs. Les deux copines sont de plus en plus chaudes, je sens la main d’Ursula haut sur ma cuisse et ses doigts caressent doucement, par-dessus mon pantalon, ma queue déjà bandée. En face de moi, Brigit s’est déchaussée et son pied nu remonté entre mes jambes caresse mes couilles. Je vois qu’Ursula fait la même chose à JB. L’ambiance est de plus en plus chaude. Ma main s’égare sous la robe d’Ursula pour lui caresser les cuisses. Elle les écarte alors pour me permettre d’accéder à sa fente, je la sens déjà chaude et humide, car elle ne porte pas de culotte. Mes doigts caressent ses lèvres intimes et son clitoris. De temps, je ramène mes doigts à ma bouche pour goûter sa liqueur intime.

Enfin, la salle s’est remplie, le groupe a fini ses derniers réglages et lance les premières notes d’un zouk entraînant. Nous invitons nos deux compagnes à danser, elles refusent d’abord, car elles prétendent ne pas savoir danser. Nous leur montrant quelques couples dansant collé serré et finissons par les convaincre de venir sur la piste. En se levant, je vois que JB est tout aussi excité que moi, et comme moi, il a goûté la cyprine de sa voisine. C’est Brigit qui se colle d’abord à moi en mode collé serré, nous ondulons lentement au rythme de la musique. Sa cuisse frotte doucement ma bite, alors que par un discret de mouvement de va-et-vient, elle se frotte le sexe sur ma cuisse. J’ai les mains qui caressent ses grosses fesses et je sens bien que, comme sa copine, elle ne porte aucun sous-vêtement. En même temps que nous dansons, nous nous dévorons de baiser, sa langue fouille profondément ma bouche, et je fais de même avec elle. Après quelques danses, nous échangeons nos partenaires et c’est Ursula qui vient se caresser le sexe sur ma cuisse. Nous nous arrêtons de temps en temps pour prendre un verre de planteur pour elles et un ti punch pour nous.

À deux heures du matin, et alors que le groupe continue à enflammer la piste, elles nous proposent de les reconduire à leur hôtel. Il n’est pas très loin du restaurant et pour ne pas prendre de risque, nous y allons à pied. Ursula va récupérer la clé à la réception et nous entrons tous les quatre dans leur chambre. Elle est assez grande, même si l’hôtel n’est pas très luxueux, il est confortable. La chambre est meublée de deux lits jumeaux. Nous nous déshabillons, c’est-à-dire tombons la chemise et le pantalon alors qu’elles font voler leurs robes par-dessus la tête.

Brigit prend ma queue en main et me conduit vers la salle de bain. La cabine de douche est assez grande pour nous accueillir tous les deux et après avoir réglé l’eau chaude, elle commence à me savonner tout le corps en insistant longuement sur ma queue et mes couilles. Je ne suis pas en reste, et mes mains savonneuses caressent longuement ses gros seins et ses tétons bien rigides. Elle se tourne pour caresser ma queue avec ses grosses fesses bien rondes, mes doigts s’égarent entre les deux globes et je caresse aussi doucement sa rondelle qui je pénètre même de mon majeur. Brigit semble apprécié, car quand je le ressors de son cul, elle se tourne pour le prendre en bouche et le sucer comme s’il s’agissait d’une petite bite. Puis elle m’embrasse avec passion, fouillant ma bouche avec sa langue.

Nous ressortons de la cabine et après nous être rapidement essuyés, nous retournons dans la chambre. Quand nous entrons, Ursula est à moitié étendue sur le lit, les cuisses écartées et pendant en dehors. JB est à genoux devant elle et la lèche avec passion. Au bruit que nous faisons en entrant dans la pièce, il relève la tête et nous dit : « La sueur et le jus de chatte en même temps c’est trop bon. » Puis il replonge vers la chatte de sa partenaire. Brigit s’allonge sur le dos tout en me tenant toujours la bite, et ces gestes me font comprendre qu’elle désire que je m’occupe de sa fente pendant qu’elle me suce. Nous nous installons donc tête-bêche et c’est avec plaisir que je lèche son sexe poilu pendant qu’elle me suce jusqu’aux couilles. Je parcours inlassablement sa fente et n’oubliant pas d’honorer son clitoris, complètement sortit du capuchon.

Je sens soudain que comme tout à l’heure à la plage, les doigts et la langue de Brigit s’égarent vers mon petit trou. J’y vois une invite à faire de même et commence à lécher la rondelle en écartant bien ses grosses fesses. À ses gémissements plus intenses, je comprends que c’est ce qu’elle attendait. Je glisse doucement mon majeur pour lui dilater la rondelle, son excitation grandit. J’entre alors mon index et les fais aller et venir dans son cul. Elle apprécie d’autant plus qu’en même temps, je continue à lui sucer son clitoris. Elle aussi avale complètement ma bite et je sens ses doigts jouer avec mon cul et même caresser ma prostate. Ce traitement est tellement intense que j’ai le plus grand mal à ne pas jouir.

Soudain, alors que l’envie de jouir me fait presque trembler, Brigit m’écarte, se met en levrette sur le lit et écarte ses fesses en disant : « Ursula, komm ». Sa copine qui était en train de sucer JB abandonne alors mon pote et prend un gode qui traînait sur son lit. Elle s’approche de moi, prend ma queue bien tendue dans la main et la guide vers la rondelle maintenant bien dilatée de sa copine. Ma queue entre sans forcer et rapidement, mes couilles touchent les cuisses de Brigit. Quand je suis au fond, je sens qu’Ursula se colle à moi et pousse pour faire entrer le gode dans mon cul. Il entre finalement assez facilement, car sa copine m’a bien préparé la rondelle, et elle-même l’a bien lubrifié avec sa mouille ou sa salive. Surpris, mais trop excité, je commence à besogner Brigit, pendant qu’Ursula me travaille le cul et la prostate avec le gode. Quand elle sent que le rythme est bien pris, elle s’accroupit pour pouvoir me lécher les couilles, mais aussi la chatte de sa copine. C’est vraiment trop bon et je finis par jouir intensément dans le cul de Brigit en m’agrippant à ses gros seins. La jouissance est tellement forte, que même après avoir juté, je reste, la bite toujours dure, dans le cul de Brigit. Ursula continue à me lécher les couilles et la chatte de sa copine d’un même mouvement.

JB, sans doute vexé d’être délaissé a approché sa grosse bite de la bouche de Brigit et presse son gland contre ses lèvres. Elles finissent par s’ouvrir et elle fait peu à peu entrer l’énorme saucisse de mon pote tout entière dans sa bouche. Il entame un long mouvement de va-et-vient qui s’accélère peu à peu. Il lui baise littéralement la bouche. Tout le corps de ma partenaire s’agite et je finis par sortir de son cul pour pouvoir mater la scène plus tranquillement. Ursula s’approche de JB et commence à lui caresser le cul pour l’encourager. Je vois qu’elle insinue peu à peu son majeur dans entre les fesses de mon pote. Vu le goût de ces deux grosses vicieuses pour le trou du cul, il n’est pas difficile de comprendre ce qu’elle lui fait. Sous l’effet de la caresse anale, JB enfonce encore plus son énorme bite dans la bouche de Brigit et aux soubresauts de son corps, on comprend qu’il est en train de lâcher sa semence.

Après une telle jouissance, il reste lui aussi un peu éteint après avoir retiré sa bite maintenant à demi bandée de la bouche de Brigit. Cette dernière se fait nettoyer de quelques traces de sperme par Ursula qui utilise sa langue. Elle descend même entre les fesses de sa copine pour lui lécher le petit trou et ramasser les gouttes qui coulent de son anus. Quand sa récolte lui paraît suffisante, elle se tourne vers nous et nous montre sa bouche pleine de liquide blanc avant de l’avaler. L’étrangeté du spectacle et sa perversité donnent un nouvel essor à nos queues qui rebandent. Cette fois, Ursula à l’air bien décidé à se faire prendre. Elle s’approche de la queue de JB et commence elle aussi à lui faire une gorge profonde. Elle est à quatre pattes et Brigit m’indique de m’asseoir sur les grosses fesses de sa copine. Elle me fait écarter les jambes, ce qui lui permet d’un seul mouvement de lécher ma bite et l’anus de sa copine. Voir sa langue entrer dans le petit trou d’Ursula est un spectacle qui à lui seul me maintiendrait en érection. En même temps, je sens sous moi les mouvements qu’Ursula fait pour sucer JB.

Au bout de quelques minutes, estimant sans doute le trou du cul de sa copine et ma queue suffisamment lubrifiée, Brigit me fait mettre à genoux derrière elle et guide ma queue vers le cul de sa copine. Mon gland pousse sur le sphincter d’Ursula qui s’écarte doucement pour me laisser entrer. Malgré le passage de JB et l’habitude qu’elle semble avoir de la sodomie, le passage est bien serré autour de ma bite, mais reste assez souple pour me faire progresser sans effort. En agrippant bien son gros cul, j’accélère peu à peu mes mouvements de va-et-vient. Brigit s’est mise derrière moi et me caresse les tétons, ce qui contribue à m’exciter encore davantage. Encore quelques minutes de ce traitement, et je lâche mon sperme tout au fond du cul d’Ursula. Je peux voir qu’au même moment, JB jouit lui aussi, mais sur le visage de notre partenaire, de grosses traînées blanches. Quand nous nous retirons d’Ursula, Brigit se précipite vers le visage maculé de sperme de sa copine pour la nettoyer avec sa langue. Les deux femmes échangent ensuite un long baiser ou le sperme passe d’une bouche à l’autre par un habile jeu de langue.

Après cette scène torride, nous nous reposons un peu. Je pose alors une question qui me turlupine depuis que nous avons commencé à baiser avec ces deux touristes, pourquoi nous sucent-elles et nous font-elles passer par leur petit trou, alors que leurs grosses chattes pourraient plus facilement absorber nos grosses bites. On comprend que n’aimant pas utiliser de capotes et ne voulant risquer un accident, c’est-à-dire la naissance d’un enfant à la peau trop foncée pour être celui de leur mari, elles préfèrent largement se faire enculer. D’ailleurs, elles ont l’habitude d’aller ensemble en vacances dans des pays exotiques et demandent toujours à leurs amants de passer par là. Mais après quelques minutes de conversation, avec le sexe et l’alcool, nous nous endormons tous les quatre.

Au réveil, je sens une bouche sur ma queue, c’est Brigit qui me suce. Elle le fait tout en douceur, loin de ses exploits de gorge profonde de la nuit. Quand elle voit que je suis réveillée, elle me propose de me mettre en 69 au-dessus d’elle pour que je puisse profiter de sa magnifique fente. Avec tous les exploits de la veille, l’odeur est vraiment enivrante et cest avec douceur que je la lèche tout le long. Sa langue lèche ma queue, mes couilles, mais je sens aussi ses doigts qui me caressent la rondelle. C’est une invite à lui faire de même et mon index pénètre doucement son anus. L’excitation est de plus en plus grande, mais nous sommes attentifs à nous synchroniser pour jouir en même temps. Je finis par lui lâcher une bonne giclée de semence dans la bouche et je sens son corps secoué par la jouissance alors que sa mouille se fait plus importante.

Quand nous sortons du court moment de repos qui suit le sexe, nous voyons que JB et Ursula baisent en levrette et sont aussi sur le point de jouir. C’est avec de longs cris que les deux jouissent. JB et moi nous nous rhabillons pour retourner chez nous. Nos deux amantes d’une journée devaient prendre l’avion dans l’après-midi.

Après cette aventure, je suis souvent retourné à cette plage nudiste, seul ou accompagné.

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