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Enfin ma femme aime la sodo. – Chapitre 4

Enfin ma femme aime la sodo. - Chapitre 4



La vérité.

J’ai inscrit cette histoire comme histoire vraie …

En fait c’est une vraie histoire fabriquée avec des bouts de plusieurs histoires qui concernent bien les mêmes personnes. C’est juste arrivé en plusieurs fois.

La partie voyeur exhibition a bien eu lieu sur le lieu décrit, et ma femme soupçonnait qu’elle était matée, et s’amusait à faire ses besoins devant les gamins du village plusieurs jours de suite, changeant les orientations, montrant parfois ses fesses parfois son entrecuisse. Un jour elle s’est caressée en plein air espérant qu’ils la voyaient. Les femmes sont beaucoup plus coquines qu’on ne le croit. Les voyeurs étaient l’élément érotique de ces baignades nues pour Nathalie comme pour moi. Simplement je ne savais pas qu’elle savait …

Mon épouse un peu coincée, est bien devenue libérée et jouit sans contrainte y compris par l’anus. Son dépucelage anal s’est passé comme je l’ai dit au bord de l’eau, avec les voyeurs supposés aux alentours. Nous étions excités chacun de note côté par cette idée, paradoxalement sa surexcitation à la pensée de se savoir observée l’a bien aidée à accepter la sodomie. En quelque sorte il fallait que le spectacle soit de qualité et ne s’arrête pas: saluez l’artiste!

L’intervention des jeunes resta un phantasme … ce jour-là.

Après une partie de jambes en l’air mémorable où bien entendu j’avais eu droit à sa porte étroite, nous étions au moment de repos où l’on parle, j’étais revenu sur ce jour et l’ambiance érotique incroyable de cette première enculade sous les regards des voyeurs cachés dans les fourrés. Elle parût surprise de me savoir au courant. Elle m’avoua les avoir vus "avant". Je bénissais alors à haute voix, ce jour et les jeunes voyeurs qui l’avaient excitée, me demandant ce qu’ils étaient devenus, Nathalie me dit alors: "Tu sais … j’y suis retournée … ensuite.

— Wahou, on peut dire que t’as du culot. Quand ça?

— Ben, quand j’étais seule, quand tu es allé rechercher les enfants à Lézignan.

— Ah, oui c’est vrai, tu n’es pas venue, je me souviens.

— … c’était pas un peu chercher les ennuis çà?

— Et alors?

— Et alors, je me suis baignée, c’était divin, je me souvenais de tout, je pensais à toi, à ta bite dans mon cul la veille ici même. Je flottais … et je me caressais dans l’eau, au soleil.

— Ah, bon.

— Et …

— Et?

— Dis-moi que tu m’aimes, mon chéri, j’en ai besoin.

— Je t’aime ma chérie …

— Et … soudain les deux jeunes étaient là.

— Hmm?

— Que crois-tu? Ils avaient tout vu.

— Tu as dû avoir sacrément peur!

— … ils n’étaient pas agressifs, plutôt câlins si tu vois ce que je veux dire…

— Oh! je vois. Et quoi d’autre.

— On s’est baignés ensemble, ils mont parlé, qu’ils étaient du coin et se baignaient souvent ici.

— …

— Que jétais belle, qu’il nous avaient vus "ensembles", et moi les jours d’avant "dans les rochers". Ils ont ajouté qu’ils ont trouvé çà très beau et qu’ils pensaient à moi tout le temps. Je ne savais plus où me mettre. Ils ont cherché à m’embrasser. Ils disaient qu’il m’aimaient … Ils étaient excités comme des puces … mais gentils…

— Tu veux dire quils bandaient? Ils étaient à poil?

— Oui … comme moi. Je ne voulais pas me laisser embrasser mais ils étaient deux et si j’évitais l’un, l’autre atteignait ma bouche.

— Ok, chéri je comprends: tu veux me dire que vous avez baisé … tous les trois?

— …

— …

— … ne le prends pas mal, je t’en prie, si je te le dis c’est que j’ai entière confiance en toi.

— … c’est quand même fort de café."

Nathalie m’embrasse et se presse sur moi:

" Oh chéri c’est toi mon amour! Eux c’était juste un moment d’égarement, comme un verre de trop pendant un repas, Ils sont oubliés."

Elle me baise la bouche, le cou, la poitrine. "C’est toi mon homme, mon baiseur de fion, mon chéri d’enculeur qui me fait jouir de partout".

— Au fait: eux ils t’ont enculée?

— Mon chéri … ça fait longtemps. Oh et puis zut: oui! N’oublie pas tu m’avais fait goûter ce plaisir, et ensuite à la maison. Tu sais comme j’aime ça. Ils nous avaient vus faire. Et là ils ont voulu la même chose… Quand j’ai … cédé ils m’ont prise comme çà, l’un après l’autre au bord de l’eau. Comme toi.

— Charmant! Merci de me l’avoir dit tout de même.

— Chéri, tu m’aimes encore?

— Hmm …

— Sois pas fâché, tu m’aimes? Dis le moi!

— Je t’aime ma douce … viens … mets-toi sur ma queue et raconte-moi tout en détail.

— Mais tu bandes … vicieux!"

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