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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans – Chapitre 27

La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans - Chapitre 27



Les esclaves dans l’entreprise du Marquis (3) La rencontre avec Madame –

Je ne sais pas combien de temps j’ai passé dans cette cellule, dans le noir, livré à la solitude et à l’introspection… je me demandais comment j’avais pu accepter de subir un tel avilissement ! je me révoltais, envisageais tous les recours qui me permettraient de me venger d’une telle humiliation… mais rapidement, je savais qu’il n’en ferait rien… D’abord parce qu’il y avait cette épée de Damoclès des captures d’écran. Certes l’entreprise n’avait pas le droit de fouiller dans mes mails… mais je serai révélé aux yeux de tous pour ce que j’étais et ça, je ne le voulais à aucun prix ! Et puis… j’avais encore honte de le reconnaître, mais j’avais ressenti un réel plaisir en subissant ces révélations. Une excitation profonde, j’avais vécu ce dont je rêvais et que je n’avais jamais osé concrétiser.

En ces instants si sombres, jeté nu dans une cellule, j’étais excité, j’avais envie de me toucher, de me branler ! Comment pouvais-je ressentir cela ! j’avais joué avec une telle idée, dans mes fantasmes, j’avais discuté sur internet, joué avec cette idée, mais sans jamais avoir osé concrétiser ces envies qui m’habitaient depuis l’adolescence et qui avaient nourri bien des moments de solitude. Alors … ? Alors pourquoi aller contre ma nature ? Pourquoi lutter ? Pourquoi ne pas m’abandonner ainsi à ce destin qui m’était imposé, certes, mais auquel j’aspirais dans mes désirs les plus profonds, les plus enfouis ? Accepter… c’est sans doute ce qu’il y avait de plus raisonnable… Et peut-être, mais j’hésitais encore à me l’avouer, ce que je désirais…

J’en étais là de mes réflexions lorsque j’entendis la porte du couloir s’ouvrir enfin… et avec l’ouverture, le retour de la lumière blafarde qui m’aveugla momentanément… Juste le temps de pouvoir ouvrir les yeux et je découvris à nouveau la secrétaire… Emeline… toujours aussi stricte et silencieuse. C’est d’un geste qu’elle me fit comprendre que je devais la suivre. je me levais donc et la suivis jusqu’au couloir. Je progressais un pas en retrait par rapport à elle, foulant l’épaisse moquette d’un tout autre pas que celui qui m’avait mené le matin même vers le bureau de Monsieur le Marquis d’Evans, le Président Directeur Général et donc notre Patron et désormais mon Maître… Le couloir, au moment d’arriver face à la double porte, faisait un coude et je la suivis dans une nouvelle enfilade, jusqu’à une unique porte matelassée de cuir rouge qu’Emeline poussa… Nous étions dans une petite pièce, ou plutôt une sorte de sas, puisqu’il ne s’agissait que d’un espace étroit, carré d’environ deux mètres sur deux, avec les murs de droite et de gauche décorés de gravures antiques et une porte avec sur le côté une sonnette. Emeline a sonné… La porte s’est ouverte lentement… Emeline entre et je la suis… humblement.

Nous entrons dans un bureau assez vaste, mais bien sur sans commune mesure avec celui de notre Maître. Une femme d’âge mûr, l’air sévère, nous regarde. Elle est assise très droite derrière son bureau encombré de nombreux documents, dossiers et autres piles… Derrière elle, j’aperçois des étagères également chargées de dossiers… et sur le côté, diverses images antiques de la même inspiration que celles du sas… Je m’immobilise derrière Emeline qui s’avance d’un pas

— "Bonjour Madame, voici le nouveau sujet".

Emeline s’écarte sur le côté et je me retrouve directement face à la femme qui m’observe. je suis très mal à l’aise, je ne sais pas trop comment me comporter. Je choisis donc la simplicité, ne pas bouger, rester debout, les yeux baissés et les mains jointes dans le dos… Un lourd silence emplit la pièce… je sens le regard de la femme qui pèse sur moi… Et Emeline demeure immobile et silencieuse, même sans un mot, je peux sentir de la tension, la secrétaire-esclave semble paralysée, craintive… Enfin, La femme se lève… contourne son bureau… vient vers moi. Elle est toute proche, m’observe. je m’attends à ce qu’elle me touche, peut-être me frappe, mais il n’en est rien. Elle se contente de saisir mon épaule du bout des doigts, comme dégoûtée de ce contact et me fait prendre position face à Emeline

— "Tu ne bouges pas tant que tu n’en reçois pas l’ordre" se contente-t-elle d’ordonner, avant d’aller vers la secrétaire. Elle est tout contre elle, caresse ses cheveux… semble lui déposer un baiser dans le cou…

— "Mmh tu sens bon, la petite putain" lui murmure-t-elle … "ouvre ta chemise"

Lance-t-elle d’un ton sans réplique. Emeline obéit docilement, déboutonnant son chemisier et offrant la vision d’une poitrine lourde et ferme

— "Les mains dans le dos, chienne ! Ne bouge pas !"

Emeline tremblait légèrement sous le regard inquisiteur de la femme Domina qui se penchait sur la poitrine offert… La femme colle son visage contre les seins, sa bouche entoure un téton rose, déjà érigé… elle le lèche doucement puis le mordille, d’abord doucement, puis un peu plus fort, jusqu’à sentir une tension dans le corps docilement immobile de la secrétaire…

— "Moui… voilà, j’aime ta sensibilité… comme j’aime tes beaux nichons, petite traînée ! Tu le sais, d’ailleurs !"

— "Oui Madame", répond Emeline d’une voix timide…

Tandis que l’autre lui titille encore le téton du bout de la langue… Le souffle court, Emeline tentait de maintenir l’immobilité voulue par celle qui jouait ainsi de ses seins offerts. Elle subissait les assauts d’une langue chaude et humide qui jouait de ses mamelons, aspirait les pointes roses, les entourait de sa langue, avant de les mordiller toujours un peu plus fort, un peu plus cruellement… Emeline se mordait la lèvre pour ne pas gémir… et l’autre s’acharnait, grignotant les deux boutons roses turgescents avec un plaisir et une cruauté de plus en plus appuyés. Puis soudain la femme se redressa et dans le même mouvement remonta la jupe d’Emeline jusqu’aux hanches, dévoilant les cuisses et ensuite le sexe parfaitement épilé de l’esclave… Une main qui s’insinue

— "Je le disais bien que tu n’es qu’une chienne en chaleur, tu mouilles ! Sale Putain ! (la main accentuait sa pression entre les cuisses d’Emeline, les doigts fouillant lentement la fente lisse et les chairs humides…

— "Note que j’apprécie… Je prends cela comme un hommage à lêtre Supérieur que Je suis ", dit-elle tout en portant ses doigts souillés de mouille à son nez, "Mmhh quel délicieux parfum !"

D’une main, la femme triturait encore les tétons de l’esclave avec ses doigts comme des pinces cruelles, tandis que de l’autre main, elle fouillait à nouveau l’antre intime de la femelle docile. Le jeu se poursuivit ainsi de longues minutes, la femme ne cessant que lorsqu’elle obtint qu’émeline se tortille entre ses mains… rompant ainsi l’humble immobilité qu’elle avait tout fait pour préserver aussi longtemps qu’il lui était possible…

— "Bien, cela suffit ! Va maintenant, je vais m’occuper de cette larve que tu m’as amenée" dit-elle sur une claquement de doigt strict.

Immédiatement, émeline remit sa jupe et son chemisier en place, puis quitta la pièce, me laissant seul avec l’inconnue… Celle-ci vint tout près de moi et me présenta ses doigts

— "Lèche, le chien !"

Bien sûr, j’obéis sans tarder, léchant sur ses doigts les sucs intimes de la secrétaire-esclave…

— "Bien, toi au moins tu sais obéir" dit-elle en retirant ses doigts, faisant suivre sans répit son geste d’une gifle puissante, cinglante- "Mais ? tu oses bander ! Sale chien !"

En effet, il m’était impossible de retenir l’érection qu’avait suscitée en moi la scène qui venait de se dérouler. Une autre gifle apporta un bon dérivatif et je sentis mon sexe qui redevenait flasque…

— "Voilà, c’est comme ça que j’aime voir les petits mâles de ton espèce. Je pense que Monsieur Le Marquis ne tardera pas à t’encager et ce sera une excellente chose. Bien j’ai des choses à t’expliquer, alors écoutes attentivement, j’ai horreur de me répéter et je peux être très sévère" Elle retourna s’asseoir à son bureau – "Je suis Madame, la comptable et trésorière de Monsieur Le Marquis. Je n’aime pas les hommes, à l’exception bien sur de Monsieur Le Marquis qui est un être exceptionnel. Lorsque tu seras convoqué ici, tu ne parleras que si je t’interroge, car même ta voix me révulse ! Compris ! ?"

— "Oui Madame"…

— "Bien ! Que je t’explique brièvement la situation : tu bénéficies d’une promotion professionnelle, puisque tu seras désormais l’assistant de Monsieur Le Marquis. Avec une augmentation à la clé. Mais que les choses soient claires, durant toute la durée du nouveau contrat que tu vas signer, ton salaire sera versé sur un compte bloqué, dont je serai la seule à avoir procuration. Chaque semaine, tu viendras ici et je te donnerai la somme que j’estime nécessaire pour ton usage quotidien. A charge pour toi de me remettre à l’issue de la semaine tous les justificatifs pour les sommes utilisées, jusqu’à la plus infime. Et tu me rendras le surplus, s’il y a lieu. Tu n’auras pas à te préoccuper de tes crédits, impôts et autres frais, c’est moi qui m’en chargerai. Tu as compris ?"

— "Oui Madame"

— "Parfait… tu vas signer ces documents (elle venait d’étaler sur son bureau plusieurs feuillets) afin que tout soit en règle"

Je me penchais, saisis un stylo et commençai à lire. Mal m’en prit, car une nouvelle gifle me fit défaillir

— "Que fais tu sale chien ! ?"

— "Je… je lisais Madame"

— "Silence, ta voix est répugnante ! Tu lisais ? (Elle me saisit les cheveux, m’obligeant à me coucher de face sur son bureau) Prends ça, petite larve insignifiante !"

Je sentis un objet, une règle peut-être, frapper mes fesses, une, deux, trois, plusieurs fois, très fort…

— "Voilà… j’ai dit : tu signes !"

— "Oui Madame" dis-je dans un sanglot.

Et docilement je signais les documents qui me liaient plus encore à Celui qui était désormais mon Maître. Lorsque j’eus terminé…

— "Bien, voilà une bonne chose de faite. Avant de te renvoyer à ta cage, saches que ton quotidien va être profondément bouleversé. Bien sur tes horaires ne seront plus les mêmes. tu es désormais à la disposition de ton Maître 24 heures sur 24… Et tu devras effectuer toutes les tâches qui te seront confiées, sans jamais poser de questions, ni tenter de te défiler. tu peux cependant mettre fin à cela dès maintenant. Tu n’as qu’un mot à dire, après il sera trop tard … Veux tu renoncer ?"

La question était abrupte, inattendue… mais à ma grande surprise, je n’eus aucune hésitation pour murmurer craintivement

— "Non Madame"

— "Parfait ! Pour le, moment tu peux évacuer ton corps immonde de mon espace, tu m’as assez polluée, petit pouilleux ! retournes vers ta cage, on se chargera de toi" dit-elle et j’obéis…

Je venais de franchir une nouvelle étape. En quelques heures, ma vie prenait un tournant absolument incroyable. Et je n’envisageais plus du tout de me révolter, bien au contraire je me sentais … comment dire ? Bien ? Non, ce n’était pas le mot. Pas bien, car je ressentais profondément la profonde humiliation, l’avilissement que je subissais et que j’allais subir sans doute de plus en plus au fil des jours. Non… je n’étais pas bien, j’étais… moi !

(A suivre…)

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