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Entre hommes à la plage – Chapitre 1

Entre hommes à la plage - Chapitre 1



Ceci est la suite de mes aventures avec Anne-laure et son oncle. Il nous a invité quelques jours chez lui, il est bi, et m’a initié au plaisir entre hommes. On a baisé sa nièce tout l’après midi et il va se charger maintenant de continuer mon éducation homosexuelle. Il est 22h et on sort tous les deux, laissant la petite seule.

Il a un plan qu’il m’explique dans la voiture. Il connait une petite plage discrète, continue à une plage de nudistes, et qui le soir tombé est idéale pour faire des rencontres entres hommes. On traverse la grande plage déserte et je m’inquiète de ne voir personne. Il me dit de patienter, il faut marcher encore un peu jusqu’à une barrière de rochers, et c’est juste derrière.

On franchit enfin les gros cailloux et j’aperçois des silhouettes, deux ensemble et une un peu distante. Philippe sort des jumelles de son sac de plage, observe quelques secondes, puis me les passe. Je vois distinctement les trois mecs, entièrement nus: il y en a deux qui se font un 69, et le troisième qui les observe en se masturbant. Philippe n’a jamais vu le couple, mais reconnait le mec seul; il ont déjà baisé tous les deux et il parait qu’il est encore plus salope que nous.

On s’approche rapidement et on passe tous prêt des deux. Ils ne s’inquiètent pas de notre présence, continent leur fellation réciproque sous nos yeux. Mon pote leur adresse un bonsoir auquel ils répondent le plus naturellement possible avec un sourire entendu. On a le temps d’apercevoir leurs visages et leurs sexes: ils sont jeunes, dans les vingt ans, et très mignons avec de jolies queues, de quoi me réconforter dans mon envie de baiser entre mâles.

On continue jusqu’au mec seul que connait Philippe: il a la cinquantaine et semble bien monté.

Mon compagnon fait les présentations et lui demande s’il est partant pour une partie à trois. La réponse est oui, sans surprise, et il nous parle des deux jeunes le temps que l’on se foute à poil. Il les trouve super beaux, super bandants, et espérait en vain qu’ils lui proposent de se joindre à eux. On aimerait tous les trois se joindre à eux et on va tenter notre chance, mais pas de suite, on va t’abord s’amuser à trois, s’exhiber à eux comme ils s’exhibent à nous. On démarre les ébats:

Philippe s’agenouille pour sucer notre partenaire qui me demande de lui donner ma queue. Il se jette dessus et me la prend toute, n’en fait qu’une bouchée. Il me la pompe goulûment puis la retire:

— Cette envie de sucer que j’aie, ils m’ont trop excité ces petits salauds. Elle est bonne ta queue, sluuppp, sluppp…

Il m’a repris en bouche et ne me lâche plus. Philippe me propose de changer de place pour se faire pomper lui aussi par cette bouche gourmande. Je suis à genoux et je gobe la deuxième queue de toute ma vie. Ce morceau qu’il a ce salaud, elle est belle sa bite, je me régale. On se renouvelle rapidement, et chacun son tour on va sucer et se faire sucer en même temps. On observe les deux minets et on voit qu’ils aiment le spectacle; on va leur en donner plus.

On va maintenant s’offrir chacun son tour aux deux autres. C’est Bernard (notre nouveau partenaire) qui commence; il est debout, penché en avant, et il ouvre la bouche et écarte les fesses dans l’attente de nos assauts. On le prend en double et je me fais sa gorge et ses reins. C’est ensuite à Philippe, puis c’est mon tour. Ils me possèdent virilement et je n’en reviens pas.

Il y a à peine plus de 24h je n’avais jamais connu d’homme, et je suis là à faire la pute à mecs. Je me fait baiser la gueule, défoncer le cul, par l’oncle de ma petite copine et un inconnus, sous l’il de deux jeunes qui mâtent en se suçant. Je suis une grosse salope, et j’aime ça.

C’est à nouveau à Bernard de se faire mettre, je suis dans sa bouche, et Philippe dans son cul. Il se retire, nous dit de continuer tandis qu’il va voir les deux beaux gosses pour leur proposer une partie à cinq. Ils ont vu ce que l’on fait, savent que l’on est actifs et passifs, autoreverses, et ils doivent l’être eux aussi.

Ils discutent vite fait et notre copain revient avec la bonne nouvelle: c’est ok.

Les jeunes ramassent leurs affaires et nous rejoignent tandis que l’on farcit Bernard.

Philippe s’adresse à celui qui est le plus prêt de lui pour lui demander, presque comme un ordre, de l’enculer. Il ne se le fait pas dire deux fois, et l’embroche d’un seul coup. Le deuxième jeune me demande si je veux me faire enculer moi aussi, et j’ai à peine répondu que je sens sa longue queue coulisser entre mes miches. Je me fais baiser en même temps que je baise, je suis super excité et ce n’est pas évident d’adapter mon rythme à celui de mon jeune enculeur. Il me conseille, me dit de me calmer, me dit de le laisser faire, et ensuite ce sera à moi de m’activer. On fait comme il dit et c’est bon: il me matraque le cul à grands coups de rein, et j’ai ma queue qui pénètre la bouche de Bernard à chaque assaut; et puis il ne bouge plus et c’est moi qui vais et vient dans la gueule qui m’est offerte, et qui coulisse sur le sexe tendu de mon jeune amant, m’en servant comme d’un gode.

Philippe discute avec le deuxième nouveau venu, et je les vois inverser les rôles: le jeune défonce Bernard et se fait mettre par mon pote. Mon étalon me demande si ça me plairait de l’enfiler: tu m’étonnes que ça me plairait.

On va baiser longtemps les cinq ensemble, en changeant les rôles rapidement. On passe tous au milieu, ce qui permet de se reposer un peu la queue. On se fait ainsi prendre le fion et la bouche, tandis que nos deux baiseurs se font sodomiser. On essaie toutes les combinaisons et tout le monde suce tout le monde, tout le monde tringle tout le monde.

A force de forniquer on va jouir, et on s’inquiète de savoir qui veut se faire inonder les reins, ou avaler du foutre. On doit tous aimer se faire remplir, mais Bernard ne nous laisse pas le temps de répondre: il souhaite qu’on lui jouisse tous les quatre sur la gueule et dans la bouche. L’idée nous plait et il va avoir ce qu’il désire.

Il s’agenouille devant nous et on se branle tous les cinq, lui aussi. On décharge les uns après les autres, on recouvre sa langue et on asperge sa gueule de nos semences abondantes. Il avale tout, puis lèche le contenu de sa main dans laquelle il a joui. Puis il passe ses doigts sur son visage pour récupérer le sperme que l’on y a déversé et le bouffer.

Il nous demande maintenant si on veut lui uriner dessus. On se regarde, étonnés et surpris, puis un des jeunes accepte disant qu’il a très envie de pisser. Ils s’éloignent un peu de nos affaires pour ne pas en mettre partout, et le gros porc se met à genoux, les fesses sur les talons. On regarde son partenaire, voir s’il va oser l’arroser. Sans problème, on voit un petit filet qui devient vite plus dru et puissant. Il lui pisse sur le ventre, sur les seins, et Bernard se caresse pour étaler ce liquide chaud et odorant sur son corps. Le jet est quasi continu, et le gros porc ouvre grand la bouche et lui fais signe de pisser dedans; l’autre n’hésite pas une seconde.

On s’est rapproché pour mieux voir, et on se rend compte qu’il engloutit au maximum; il en recrache vu la quantité, mais c’est sûr, il en boit le plus possible. Il nous supplie de pisser nous aussi, nous dit qu’il est un sac à foutre, un sac à pisse, qu’il veut être notre urinoir après avoir été notre vide couilles.

Et puis merde, si ça lui fait plaisir, après tout pourquoi pas. On pisse nous aussi, un seul à la fois, doucement, pour qu’il se désaltère sans rien perdre.

On s’est tous soulagés et Bernard s’empresse de partir en nous précisant qu’il est là tous les soirs.

Les deux jeunes bandent et nous proposent de se refaire une partie. Philippe répond pour lui et pour moi: il leur explique qu’on est incapable de les baiser, mais que l’on veut bien que eux nous baisent, à une condition, qu’ils acceptent.

Ils sont jeunes, mignons, très beaux, et on leur offrira nos petits trous s’ils acceptent des préliminaires. Ils nous laissent les caresser, les embrasser leur dire tout le bien que l’on pense d’eux. Nos mains, nos bouches, courent sur tout leurs corps, on les embrasse à pleine bouche, on les suce, on leur bouffe les couilles, on leur broute le cul…

Ils bandent bien dur, ils ont des bites de toute beauté, et il est temps que l’on s’offre à eux. On se met à quatre pattes pour qu’ils montent comme des chiens. Un des deux me prend, et je ne sais même pas lequel. Il me ramone sauvagement, profondément, et je sens à chaque pénétration ses couilles claquer contre les miennes. Il me lime longtemps, sans faiblir, et m’insulte comme leur a demandé Philippe. Je confirme ses injures, je les répète:

— Oui, je suis une salope, une grosse salope qui aime les grosses queues…….je suis ta pute, la pute à tout le monde…… je suis un chien, un porc…….un enculé……

Philippe subit le même traitement que moi, et je l’entends lui aussi dire des obscénités, gémir, grogner de plaisir. Je n’en reviens pas de tout ce qu’il me met dans le cul, il est increvable.

Il se retire enfin, je pense à peine à m’en remettre que je me reprends une saillie. Mon sodomiseur me parle à nouveau et je réalise que ce n’est pas le même, que ce n’était que la mi-temps. Ils ont changé de monture ces salauds, et on va se prendre une deuxième ramonée d’enfer. Il me casse le cul autant que son ami, je l’ai en compote. Incroyable ce qu’ils sont endurants.

Ils se retire à nouveau, pour de bon cette fois. On est à genoux devant eux, on les suce amoureusement et ils se dégagent pour se branler et décharger sur nos visages, de longues et épaisses giclées. On se relève, Philippe me prends par les hanches, passe sa langue sur ma joue, et me roule une pelle savoureuse. Je le lèche à mon tour, l’embrasse, et on recommence plusieurs fois pour bien nettoyer nos gueules de salopes.

Les jeunes nous regardent faire, et se roulent des pelles eux aussi.

On rentre.

Quand on arrive, Anne-laure dort, et on se couche ensemble pour ne pas la réveiller. On est à poil, dans les bras l’un de l’autre, et on s’endort.

Je suis réveillé dans la nuit. Mon compagnon est plaqué dans mon dos et je sens sa queue contre mes reins. Il a passé une main par dessus ma taille et tripote ma bite molle. Je me retourne, empoigne son manche, et ses lèvres se posent sur les miennes, nos langues s’enroulent. On se bouffe la poire puis il me parle:

— Humm, c’est bon de se réveiller avec un homme dans son lit. Ouii, branle moi, je vais te faire bander moi aussi.

— Désolé, mais je suis à plat, je ne vais pas y arriver.

— Tu veux quand même que je te baise?

— J’espère bien, avec la gaule que tu as, ce serait dommage de m’en passer.

Il allume la lumière, me fait mettre au milieu du lit, sur le dos, et il relève mes jambes, me dit de les tenir en l’air. Il place un coussin sous mes reins pour me positionner à sa guise. Il est à quatre pattes et me bouffe le cul; il lèche ma raie, lèche mon illet, le doigte, y fourre sa langue. Je gémis:

— Oh oui, oh putain que c’est bon. Tu me fais du bien mon salaud.

— Je me fais du bien moi aussi, il est trop bon ton gros cul de salope, ça me fait bander encore plus.

— Encules moi, prends moi.

Il vient aussitôt sur moi, de face, et je sens son pieu s’engouffrer dans mon trou bien préparé. Il se couche sur moi, écrase mes lèvres avec les siennes, et me besogne à grands coups de reins:

— C’est bon de t’aimer mon chéri, tu es une bonne salope, comme moi. Il est bon ton cul, et ma bite tu la sens bien?

— Oui salaud, tu m’encules trop bien, défonces moi mon amour, je suis ta pute soumise.

Il me matraque de toute ses forces et me roule des pelles à perdre son souffle. Il va jouir, et a à peine le temps de se retirer pour venir dans ma bouche, avant de vidanger ses couilles jusqu’à la dernière goutte.

Il me demande de ne pas avaler et on se roule une pelle au foutre, on se partage sa semence diluée dans nos salives. SLLUUPPP, hummm, putain que c’est bon.

On se rendort et c’est Anne-laure qui nous réveille nous disant que le petit déjeuner est prêt. On se restaure et on se fait un dernier petit plan avant de partir. Philippe me suce la queue et se fait pomper par sa nièce. J’ai repris des forces et parviens à éjaculer dans sa bouche, pour son plus grand plaisir. Sa nièce le suce toujours et obtient sa récompense: de bonnes giclées de sperme qu’elle savoure avant d’avaler.

On quitte tonton avec de longs roulages de pelles et on s’en va.

A suivre…………..

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