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Erreur de film – Chapitre 3

Erreur de film - Chapitre 3



Au milieu de la nuit, je fus réveillé par une lueur. La télé, dont le film était terminé depuis longtemps, projetait un écran bleu assez lumineux dans le noir. Mon sommeil avait dû passer dans une phase moins profonde et cette lumière mavait réveillé.

En bougeant, je fus obligé de bousculer légèrement, ma cousine pour me libérer de son étreinte et saisir la télécommande pour couper lémission. Quand ce fut fait et que je mapprêtais à la prendre dans mes bras pour me rendormir contre elle, je vis quelle était réveillée. Elle me sourit et elle vint se blottir contre moi. Nayant plus sommeil, jentamai la conversation.

— Comment te sens-tu ? Je veux dire, tu as trompé Jean, tu as dépucelé un homme et, pour finir, tu as couché avec ton cousin. Il y en a que ça perturberait.

Elle fit silence une minute.

— Tu sais, commença-t-elle, ce qui se passe ce soir, disons que cest exceptionnel. Jétais trop en manque, mais si ça avait été quelquun dautre que toi, il ne se serait rien passé. Nous avons toujours été très proches, toi et moi. Nous avons tout partagé, mais la seule chose que nous navions pas partagée, cétait ça. Et puis, je suis contente que ça soit moi plutôt quune autre. Et toi ? Comment le vis-tu ?

Elle leva vers moi un visage un peu anxieux.

— Eh bien, moi, je dois dire que ça va. Jappréhende un peu le retour de Jean, mais si on se promet demmener ce secret dans la tombe, il ne devrait pas y avoir de problèmes.

— Oui, tu as raison, affirma Mélody. Mais, puisquon en est a parler de pucelage Il y a une chose que Jean na jamais voulu faire

— Hum hum ? Et quest ce ? Lui demandai-je un peu suspicieux.

Elle me plaqua sur le dos avant de me répondre et elle parcouru de ses doigts mon torse.

— Jaimerais essayer la sodomie.

Un peu surpris, je la regardai fixement pour être sûr davoir bien compris. Son petit sourire gêné me confirma que je nétais pas sourd.

-Ouaw

Ce fut tout ce que javais trouvé à dire. Croyant comprendre que je nétais pas daccord, elle se mit à parler vite.

— Sil te plait, Jérôme, encule-moi. Je tai bien dépucelé. Alors, tu peux faire ça pour moi… Juste une fois, prends-moi par derrière

Je fus obligé de mettre ma main sur sa bouche pour la faire taire. Je fis un sourire à la fois amusé et coquin, avant de faire un petit oui de la tête. En réalisant quelle venait dobtenir ce quelle voulait, elle poussa un cri de joie, à moitié étouffé par ma paume, et elle se jeta sur ma bouche. Nos langues se mêlèrent une fois de plus. Après ce baiser, elle se redressa légèrement et me dit :

— Tu sais, tout à lheure, quand tu mas mis le doigt dans le cul… Jai cru que jallais tomber dans les vapes tellement cétait délicieux. Rien que pour ça, tu mérites une petite gâterie

Elle fit un sourire particulièrement « salope » et elle vint ajouter au creux de mon oreille, dans un murmure :

— Et jadore le goût de ton sperme

Puisque jétais déjà excité par ces quelques mots, elle neut pas à faire de gros efforts pour me faire bander. Pour la deuxième fois de la soirée, elle emboucha mon pénis, quelle lécha sur toute la longueur, en faisant un tas de choses que je ne saurais décrire.

Ma jouissance ne tarda pas à venir et je remplis une nouvelle fois sa bouche. Elle avala tout et elle vint me faire goûter les restes de ma semence par un baiser. Ça avait un étrange goût, mais pas désagréable.

Mélody mabandonna soudain et elle se rendit dans la salle de bain pour chercher du lubrifiant, quelle avait acheté au cas où Jean changerait davis.

En revenant, elle me demanda de mallonger pour que nous nous mettions en 69, de telle manière à ce que jai bien vue sur son trou pour lenduire et la préparer comme il faut. Novice en la matière, je nétais pas sûr dêtre à la hauteur, mais javais un peu de théorie grâce à quelques récit du net et à des vidéos pornos.

Je pris le gel lubrifiant et jen mis une petite noix sur le bout de mes doigts avant de létaler entre ses fesses bien ouvertes. Pendant ce temps-là, elle soccupait de mon sexe, quelle branlait et suçait pour lui rendre sa vigueur. Je rajoutai du gel sur mes doigts, pour les faire entrer, un par un dans son anus. Je ne sais pas si cétait lexcitation du moment de la nuit, ou leffet du gel et de mes doigts, mais elle ne mit pas longtemps à se dilater, permettant du même coup, que je puisse lui entrer le majeur et lindex sans problèmes.

Elle pencha son visage vers moi et elle me regarda entre les cuisses.

-Je pense que cest bon. Viens me prendre.

Vu que je suis en érection de nouveau, je me déplace et je me mets à genoux derrière elle, qui se trouve à quatre pattes. Je prends encore un peu de lubrifiant et jenduis ma queue, au cas où cela ne suffirait pas. Japproche alors mon gland de son petit trou, serré, malgré mes efforts pour louvrir, et je me mets à pousser dessus. Ma cousine se crispe parfois, elle émet de petits gémissements, à moitié de douleur, à moitié dexcitation. Je pousse un peu plus, si bien que mon gland entre. Jamène un peu de gel autour de lentrée et javance doucement. Petit à petit, me voilà au fond. Je sens ma bite à létroit dans le conduit anal. Lentement, je commence les va-et-vient. Un peu inquiet, je demande :

-Ça va ?

-Oui… oui Ça brule juste un peu quand tu recules, me répondit-elle. Mais ça va passer. Accélère un peu, jai envie de te sentir bien au fond.

Ayant reçu le feu vert pour une enculade en bonne et due forme, jaccélère la cadence, elle commence a pousser des cris de douleur, mais elle mordonne de ne pas en tenir compte. Je tiens désormais un bon rythme que je garde et sa douleur semble se transformer en plaisir. Elle se trémousse, elle envoie sa main caresser sa chatte et me caresser les couilles. Emporté par la fougue, je lattrape par les seins plutôt que par les hanches et la sodomise, en la tenant ainsi.

Je la sens devenir complètement folle sous mes assauts. Elle crie à pleine voix et elle hurle sa jouissance. Heureusement que nous sommes en campagne et quil ny a pas de voisins proches. Alors que je veux me répandre dans son cul, elle me repousse rapidement, elle se retourne et elle me prend dans sa bouche, en me masturbant rapidement. Bien que ma verge soit un peu souillée par la pénétration anale, voilà Mélody qui me finit en me pipant. Pour la dernière fois de la nuit, je gicle à puissants jets dans sa bouche, ainsi que sur son visage. Ramassant le sperme qui traînait sur ses joues, elle se lèche les doigts, puis seffondre à côté de moi. Trop épuisé pour dire quoi que ce soit, je la prends dans mes bras, et nous nous endormons pour le reste de la nuit.

Le lendemain, nous nous levons et nous habillons après avoir fait une nouvelle fois lamour sous la douche, pour marquer la fin de cette folle nuit, et je repartis chez moi dans le courant de la matinée. Mais comme rien ne se passe jamais comme prévu, ce nétait pas totalement fini entre elle et moi, mais cest une autre histoire

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