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Evolutions – Chapitre 34

Evolutions - Chapitre 34



EVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 34 : Une compagne fidèle.

Une fois que nous sommes arrivés à calmer notre hilarité, alors que mon sexe redevenu flasque est resté en elle parce que nous sommes toujours collés l’un à l’autre, et tandis que je caresse doucement son corps magnifique, Alice exprime son opinion sur la manière dont nous nous sommes comportés :

Pour dire que c’était la première fois que je baisais dehors, cela restera dans les annales même si je ne me suis pas fait enculer…

Ce trait d’humour amène un sourire sur mes lèvres, et je réponds sur le même ton :

Oui, tu as parfaitement compris le principe du jeu de rôle, et je dois reconnaître que tu as très bien su me surprendre.

Puis j’ajoute, tandis que Holly Johnson est cette fois en train de chanter « War » :

Même si une musique plus bucolique aurait mieux convenu à la situation.

Tu as raison, mais je dois dire à ma décharge que lorsque je t’ai demandé du Frankie Goes To Hollywood, je n’avais pas encore pensé à la façon dont les choses allaient se passer. Ce n’est que lorsque je me suis retrouvée ici, après avoir enlevé mes mules, que le contact doux de l’herbe, sans que je sache expliquer comment ni pourquoi, m’a fait penser à un troupeau de moutons en train de paître. Mais puisque tu as l’air d’apprécier que je me comporte de façon singulière, je te promets d’y réfléchir et de trouver d’autres scénarios, bien entendu à la condition que cela reste entre toi et moi.

Il ne me serait jamais venu à l’idée de parler de nos moments intimes à qui que ce soit, et encore moins de nous exposer dans ce genre de situation aux yeux d’autres personnes, ce qui pourrait se révéler, pour nous deux, à la fois humiliant et ridicule. Notre petit jardin doit, selon moi, rester secret, ce qui ne m’empêche pas de répliquer aussitôt sur le ton de la plaisanterie :

Même lorsque tu seras devenue mon esclave sexuelle, personne d’autre ne le saura. A moins que tu veuilles exposer ta soumission au grand jour, lorsque tu te sentiras prête à le faire.

₪₪₪

Étant donné que j’ai la tête posée sur l’herbe juste derrière la sienne, je ne peux voir rougir que la nuque et une oreille d’Alice, mais je ne doute pas un seul instant que la totalité de sa figure est également devenue écarlate. Cette fois encore, je n’arrive pas à déterminer si contrairement à moi, elle envisage sérieusement que nous puissions entrer dans des rôles de dominants et de dominés, c’est pourquoi je n’ajoute rien, et nous restons quelques minutes allongés sans plus parler.

Puis, tout à coup, mon petit bout de femme se dégage de moi d’un coup de reins, et elle me dit, tandis que mon sexe ressort d’elle en faisant un fruit de succion, tout en s’empourprant à nouveau alors que son beau visage avait retrouvé une teinte normale :

Si tu veux immortaliser un nouvel instant de notre vie qui prend une tournure très particulière, je te conseille d’aller chercher ton appareil-photo en vitesse, mon Amour.

Ne comprenant pas trop où elle veut en venir, je vais prendre mon Canon que j’ai posé dans la cuisine après que nous nous en soyons servis lorsque les jumelles étaient là, et lorsque je reviens vers elle, ma compagne est toujours sur le gazon, mais elle a remis ses mules. Elle affiche à présent son petit sourire que je connais très bien, tandis que lentement et sans paraître le moins du monde embarrassée, elle se met accroupie face à moi tout en écartant largement les cuisses.

C’est à ce moment-là que je comprends qu’après ma suggestion du week-end dernier, qui n’en était pas vraiment une, étant donné que je ne pensais pas ce que je disais, elle a l’intention de se soulager devant moi sur l’herbe. C’est pourquoi je me dépêche d’allumer mon appareil, et je sélectionne rapidement le mode « rafale », qui va me permettre de prendre des séries de plusieurs clichés.

₪₪₪

C’est alors qu’Alice me fait de sa voix douce et grave, tout en écartant ses petites lèvres encore poisseuses avec ses doigts, de manière à dégager l’entrée de son vagin :

Tu voulais que ta Grosse Cochonne pisse sur le gazon ? Alors, régale-toi mon amour.

De ce fait, et tandis que mon petit bout de femme me sourit d’une manière que je trouve très coquine, j’assiste à un nouveau moment magique, puisque je vois un flot d’urine gicler du petit trou qui se situe sur le haut de son plus gros orifice dans lequel j’ai le privilège de pouvoir enfoncer mon sexe. Le liquide ambré qui sort avec pression part vers l’avant, avant d’infléchir sa trajectoire sous l’effet de la pesanteur, et venir s’écraser sur l’herbe en faisant des éclaboussures, tout en ayant décrit un arc de cercle.

Bien entendu, j’assiste à tout cela à travers l’objectif de l’appareil-photo, étant donné que je ne me prive pas de faire des clichés, et je me prends à regretter de ne pas m’être mis de profil par rapport à ma compagne, ou mieux de trois quarts, parce que je pense que cela aurait été plus esthétique.

Ce que je ressens à ce moment-là doit se lire sur mon visage, étant donné que le sourire qui s’affiche à présent sur le magnifique visage de mon exhibitionniste privée est nettement ironique, tandis qu’elle ramasse avec son index gauche une goutte d’urine qui est restée accrochée à sa vulve, qu’elle porte ensuite à sa bouche pour le sucer sans aucune hésitation.

Je comprends parfaitement la réaction narquoise de ma compagne, étant donné que bien qu’elle soit censée être la novice et moi l’homme expérimenté en matière de sexe, elle est cette fois encore arrivée à me surprendre en inversant les rôles. Bien que je me sente penaud, j’arrive à dissimuler ma gêne causée par mon attitude de puceau, et je lui demande en prenant une voix de petit garçon :

Tu le feras encore, dis, Mamounette chérie.

Elle me répond alors que son sourire est devenu tendre :

Mais bien sûr mon Gros Nounours. Maman pissera sur l’herbe pour toi aussi souvent que tu en auras envie. Mais à condition que tes surs ne soient pas là, car ce sera notre petit secret à tous les deux.

₪₪₪

Ensuite, nous retrouvons nos rôles et j’aide Alice à se remettre debout, puis nous allons prendre une douche au bord de la piscine pour la première fois ensemble à cet endroit. Bien qu’étant dehors, et bien que nous nous soyons déjà lavés ce matin, nous prenons plaisir à renouveler le petit rituel qui consiste à nous savonner mutuellement, et ce, bien entendu, nous n’oublions pas de nous doigter l’un l’autre l’anus.

Tandis que l’index de mon petit bout de femme s’active à coulisser dans ma rondelle, je réalise qu’aucune femme avant elle ne me l’avait jamais fait, et je me demande si je prendrais du plaisir à me faire sodomiser. Vous l’avez sans doute deviné, je n’ai jamais été attiré par les hommes, sinon je vous en aurais déjà parlé. Par conséquent, je m’imagine mal me faire pénétrer le derrière par un sexe vivant, même si je ne suis pas homophobe. Mais l’idée que mon amante pourrait le faire avec un faux sexe, comme un gode-ceinture par exemple, est en train de germer dans ma tête, puisque je pense que si elle arrive à jouir lorsque je la prends de cette manière, j’en suis en théorie capable autant qu’elle.

La question est de savoir si j’oserai un jour lui en parler, car pour l’instant ce n’est pas le cas; étant donné que lorsqu’elle me demande tandis que nous nous rinçons :

Tu es bien bien sérieux tout à coup, mon Amour, à quoi es-tu en train de penser ?

Je réplique en mentant légèrement :

Rien qui ne vaille la peine de faire des bavardages inutiles, ma Chérie.

Ma compagne a l’air de se contenter de cette réponse qui la fait même sourire, car, sans doute, elle estime tout comme moi, que nous avons tous les deux le droit d’avoir nos petits secrets.

₪₪₪

Une fois que nous nous sommes séchés, en nous frottant l’un l’autre avec des serviettes éponges, nous nous rendons dans la cuisine après être allés poser nos linges dans la buanderie. Ce soir, nous avons décidé de faire dans la simplicité puisque nous allons manger des croque-monsieur, accompagnés d’une salade verte. Il ne nous faut pas bien longtemps pour tout préparer, et lorsque nous avons terminé, je demande à Alice :

On fait une partie d’échecs ?

Elle réplique après m’avoir fait un sourire narquois :

Sans tricher ?

Je réponds, légèrement vexé, mais également embarrassé par rapport à ce qui s’est passé dimanche dernier, et que contrairement à moi, mon petit bout de femme n’a pas envie d’oublier :

Tu penses que je suis du genre à ne pas tenir mes promesses ?

Je te taquine mon Amour. Et si tu es prêt à prendre une nouvelle leçon, je suis partante pour te la donner.

Son assurance me fait sourire à mon tour, mais il est vrai que jusqu’à présent, elle a gagné plus de parties contre moi qu’elle n’en a perdues, par conséquent elle peut se permettre de fanfaronner.

Il ne nous fait pas bien longtemps pour installer le jeu, comme d’habitude sur la table de la terrasse, et si ma compagne gagne la première manche, à ma grande surprise, je remporte la deuxième assez facilement. Nous n’avons pas échangé une seule parole depuis que nous avons commencé à jouer, mais alors que nous attaquons une nouvelle partie et qu’elle commet une erreur tactique assez grossière, je lui demande :

Est-ce que quelque chose te préoccupe ma Chérie, où tu le fais exprès pour me laisser gagner ?

Tu n’as pas à t’inquiéter, mon Amour. Car s’il y a effectivement une chose à laquelle je pense depuis un petit moment et qui me chiffonne, je n’ai pas envie de t’ennuyer avec ça.

Tu sais que tu peux tout me dire, alors si je peux t’aider…

C’est très gentil de ta part, mais comme tu me l’as si bien servi tout à l’heure, ce n’est rien qui vaille des bavardages inutiles.

Je viens ni plus ni moins que de me faire remettre à ma place, par conséquent je n’insiste pas et nous continuons à jouer.

₪₪₪

C’est sans surprise que je gagne la troisième manche, cependant je ne pavoise pas, et lorsque je vais retrouver Alice dans la cuisine après être allé ranger l’échiquier, elle semble avoir retrouvé l’humeur sereine qui est habituellement la sienne. Par conséquent, je me dépêche d’oublier qu’elle a été troublée pendant un petit moment, et après avoir cuit nos croque-monsieur, nous passons à table, en mangeant bien entendu sur la table de la terrasse.

Lorsque nous avons terminé notre repas, nous débarrassons et rangeons tout ce que nous avons utilisé, puis nous allons directement dans notre chambre, et une fois sur place, mon petit bout de femme se met à quatre pattes devant le miroir. Tout en regardant son reflet, elle émet un bêlement, que cette fois encore je trouve très réaliste, c’est pourquoi je lui demande avec humour, tandis que je suis toujours debout à l’entrée de la pièce :

Tu t’es entraînée ou est-ce que tu as un don pour imiter certains animaux ?

J’ai alors droit à un petit sourire de sa part, puis elle se met à frétiller du bassin comme le ferait une chienne pour remuer la queue, ensuite elle tourne sur elle-même d’une façon que je trouve très agile, et qui ressemble à s’y méprendre à la manière dont se comporterait un chiot excité.

Je suis subjugué par le nouveau spectacle qu’elle est en train de m’offrir, au point que je ne pense même pas à aller chercher mon appareil-photo, et que mon sexe se dresse lentement pour devenir raide comme un bout de bois.

Mon amante a l’air très heureuse de l’effet qu’elle me fait, cependant, elle ne se comporte plus à présent comme une humaine, puisqu’elle se positionne à genoux, mais les fesses abaissées et les cuisses écartées, tout en posant ses mains à plat sur la carpette. Ensuite, elle ouvre la bouche pour sortir sa langue et la rentrer très vite, comme si elle était essoufflée, tout en me regardant avec adoration.

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Étant donné que je ne bouge toujours pas, Alice se met à japper de manière plaintive en ressortant sa langue entre deux aboiements, en se remettant rapidement à quatre pattes pour retrouver aussitôt sa position agenouillée, et en recommençant à se trémousser. C’est tellement bien mimé que je comprends qu’elle a envie que j’aille la rejoindre sur la carpette, comme si elle avait l’interdiction de quitter cette dernière. Par conséquent, je m’avance lentement vers elle, ce qui a l’air de la mettre au comble du bonheur, puisqu’elle se met à se trémousser son arrière-train de plus belle.

Lorsque je suis assez près d’elle, mon petit bout de femme, qui pour l’instant n’en est plus tout à fait une, reste sagement dans la position qu’adopterait une chienne assise, et elle lève une de ses mains en fermant le poing, comme si elle voulait me donner la patte. Je me penche en avant pour attraper cette dernière de bon cur, ce qui la fait frétiller encore plus, et elle me surprend en tendant le cou pour venir lécher ma propre main quelques instants, pour ensuite recommencer à me regarder avec admiration.

Ma compagne est tellement bien entrée dans son rôle, que je lui dis :

Je comprends mieux pourquoi tu n’aimes pas les bavardages inutiles, c’est parce que dans ta vie précédente, tu devais être une petite chienne fidèle à son maître.

Elle émet un petit glapissement en guise de réponse, que je prends pour une affirmation, c’est pourquoi je continue :

Je vais t’acheter un collier en cuir comme dans ton rêve, et sur la plaque je ferai graver Dolly. Parce que ça se traduit en français par petite poupée, et vu que tu n’es pas très grande, je trouve que ça te va très bien.

J’ai droit à un nouveau jappement, et j’ajoute :

Mais lorsque nous serons en société, je t’appellerai tout simplement Poupée. Ça te convient ?

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Alice pousse alors un troisième glapissement, et tout en me redressant et en décalottant mon gland, je lui demande :

Il est pour qui le gros nonosse ?

Cette fois, elle se contente de frétiller du bassin, en levant ses deux mains toujours fermées, mais en gardant ses coudes collés de chaque côté de son buste, comme si elle faisait la belle. Alors après avoir souri, je lui dis :

Viens chercher, Dolly.

Mon petit bout de femme ne se le fait pas dire deux fois, puisqu’elle s’approche de moi tout en restant à genoux, et lorsqu’elle est assez près, elle se met à lécher mon sexe tendu sur toute sa surface, tandis que ses bras restent dans la même position. Ensuite, elle fait subir un traitement semblable à mes bourses, avant de prendre chacun leur tour mes testicules dans sa bouche, en allant même jusqu’à les mordiller.

La sensation que je ressens à ce moment-là est tout simplement délicieuse, puisqu’elle se partage entre le pur plaisir et la peur qu’un accident n’arrive, qui pourrait me faire affreusement mal. Néanmoins, j’ai confiance en mon amante, même si je suis soulagé lorsqu’elle redresse la tête pour gober cette fois mon gland. Cependant, elle lui fait subir la même chose, et ce n’est qu’après l’avoir agacé pendant environ deux minutes avec ses dents, qu’elle se décide à le pomper pour faire venir ma semence.

Pendant tout le temps qu’elle s’est occupée de mon membre, et de mes bijoux de famille, ma fidèle compagne n’a pas cessé de me regarder, sans doute pour observer mes réactions; mais elle l’a fait avec toujours la même adoration dans les yeux, qui ne l’a pas quittée depuis qu’elle a décidé de jouer au jeu de la chienne soumise.

Cependant, je remarque que sa dévotion est remplacée par de la malice lorsque j’éjacule dans sa bouche. Comme les fois précédentes, elle avale mes jets de spermes au fur et à mesure qu’ils giclent, en déglutissant systématiquement, et lorsque j’ai fini de me vider, elle lèche à nouveau mon sexe pour y enlever toute trace de sa ferveur.

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Lorsque tout est consommé, j’aide Alice à se relever, et si nous allons nous coucher sans échanger une parole, je constate au petit sourire satisfait qu’elle affiche sur son magnifique visage que mon petit bout de femme est très content de la manière dont nous avons terminé cette journée. Elle vient probablement de réaliser un autre de ses fantasmes, ou pas, et je ne sais toujours pas si la manière dont elle imite les animaux est un don, ou si elle s’entraîne lorsqu’elle est seule. Mais cela n’a pas vraiment d’importance à mes yeux. Ce qui en a par contre, c’est que ma nouvelle compagne soit heureuse, et je pense que cela doit être le cas, puisqu’elle me fait un dernier sourire avant que nous ne nous endormions, l’un en face de l’autre.

A suivre…

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