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Vacances, sexe et exhib. – Chapitre 6

Vacances, sexe et exhib. - Chapitre 6



Moi, une chienne ?

Le festival continue. Pendant que je moccupe delles, jéchafaude des plans doucement mais sûrement. Elles veulent montrer leur minette à tout le monde ? Vous aller voir

Je magenouille, embouche la fleur dÉlodie. Comme Tatiana, je suce, mordille, aspire, lèche et la fais gémir, couiner, haleter moi, jai la chatte en feu et pour finir elle aussi jouit, et en plus je crois quelle ma pissée dans la bouche. « Putain Ça, tu vas me le payer, espèce de grosse dégueulasse ! » Jai bien envie de lui gueuler dessus, mais ma condition desclave que je savoure avec délectation ne me permet pas de dire quoi que se soit.

Arrive le tour de mon chéri. Lui, je lui taille une pipe de compétition ; elle est appliquée et méthodique. Je le lèche, le suce, lui fais aussi une gorge profonde, maintenant que je sais ce que cest. La réalisation est un peu compliquée car son sexe assez gros ne passe pas ; mais avec de lentraînement, je vais y arriver.

Mon téléphone sonne. Ah, cest lheure ! Je me lève. Au passage, je croise le regard de mon chéri. Je lui envoie un regard sensuel et coquin, et je vais vite chercher sa langue en un baiser bruyant ; son regard et son sourire en disent long.

Je minstalle courbée en deux, le pubis en appui sur le bord de la table, la poitrine écrasée sur le plateau, les jambes bien écartées ; joffre aux regards la totalité de mon intimité. Quelque chose passe autour de mes chevilles elles sont en train de mattacher les jambes aux pieds de la table puis mes poignets sont aussi prisonniers. Les cordes ou plutôt la drisse pour les voiles du bateau, il y en a plein dans le garage courent sur la table et sont attachées. Je suis à leur merci : impossible de faire le moindre mouvement. La sensation est étrange ; exposée ainsi, je me sens humiliée.

Pat, tu navais pas une course à faire ? demande Élodie.

Si ; jy vais. Amusez-vous bien !

Amusez-vous, amusez-vous Je voudrais bien ty voir ! Il a peut-être raison ; mais bon, jai demandé, donc jassume. Je suis terriblement excitée. Pat est parti je ne sais où, et moi attachée sur la table, le cul à et en lair, jattends. Avec ces deux tigresses ! Cest vrai quelles ressemblent plus à des tigresses qua deux chattes douces et câlines.

Dun seul coup, il y en a une qui me prend par les cheveux et me tire la tête et arrière. Elle me fait mal, la vache ! Cest Tatiana.

Alors, petite pute, tu aimes quon soccupe de toi ? Hein ? Dis-le que tu aimes quon te fasse des misères. Tu veux du sexe ? Tu vas en avoir Dis que tu en veux plein, et te faire fouetter aussi. Réponds !

Oui, je veux du sexe. Oui, faites-moi plein de trucs et du fou fouet. Oui, je le veux ! Mais pas de marques, hein.

Je ne sais pas dans quoi je membarque ; je suis hyper excitée et je mouille comme une fontaine.

Ne tinquiète pas. Regarde.

Tatiana me montre ses fesses.

Tu vois des traces ?

Non.

Alors, tu veux essayer ? Nous, on va se faire plaisir : pendant quune de nous deux te fouette, tu suceras lautre, et inversement. Ça te tente ?

Allez-y, faites comme bon vous semble.

Tatiana est derrière moi ; je ne sais pas comment et avec quoi elle va me fouetter. Élodie monte sur la table. Jai sa chatte dans ma bouche, tellement elle est près. Je suce, je lèche. Un premier coup sabat sur mes fesses. Ça me chauffe mais jaime bien ; cest grand. Chaque coup porte sur mes deux fesses en même temps. Javais un peu peur de souffrir ; eh bien non, jadore ! Je suce, je lèche, je gémis à chaque coup et compte 1 2 3 4 5 Puis plus rien.

On change, déclare Tatiana.

Elles changent de place. Maintenant, jai la founette de Tatiana dans la bouche. Je me tends un peu, ferme les yeux et suce à nouveau. Jai très chaud aux fesses ; mon sexe me pique de plaisir et de désir. Je voudrais quelle me rentre un gode ; ou mieux, que Pat soit là. Je viens de compter encore cinq coups, puis plus rien. Si elles me détachent, cest la fin. Jen aurais bien voulu encore un peu Jai envie de réclamer, mais je me ravise car nous ne sommes quau début de la journée.

Va tallonger sur le transat ; celui qui a une serviette posée dessus. Et sur le ventre ! ordonne Tatiana.

Tu as aimé ? demande Élodie.

Oui. Merci de mavoir donné ce plaisir.

Cest bien, tu deviens docile. Nous allons nous occuper de tes fesses ; détends-toi, laisse toi aller. Avant, tu bois ça ; tu dois avoir soif.

Oui, jai soif. Je prends la bouteille deau ; elle fait un litre et demi. Jen avale une partie, mais quand je vais pour la reposer

Tout ! exige Tatiana.

Mais, je vais avoir

envie de pisser ? Cest le but. Allez, avale !

Je me force. Je voudrais bien ty voir, avaler un litre et demi de flotte ! Jai compris ce quelles veulent faire : me faire boire beaucoup deau pour me donner envie de pisser et mobliger à me retenir. Je lai déjà fait une fois ; cest terrible, je nai pas tenu une heure (mais javais bu deux litres deau, et là il ny en a quun litre et demi).

Élodie me met un casque sur les oreilles ; il diffuse une musique douce. Le soleil me chauffe le dos et mes fesses déjà brûlantes ; je ferme les yeux et me laisse aller.

Quelque chose de frais coule sur mes fesses ; cest de la crème. Deux mains létalent généreusement, et petit à petit la chaleur sestompe faisant place à une sensation de fraîcheur. De la crème coule sur mon dos ; ce nest pas la même, elle est plus liquide. Deux autres mains létalent puis massent mon dos et mes épaules. Entre mes fesses, des doigts frôlent mon anus et ma fleur ; le temps sarrête, je savoure cet instant. Instinctivement, jécarte les jambes : un appel, une invitation à venir en moi pour ces doigts curieux.

Jouvre un il et découvre juste devant mon nez la vulve dÉlodie (je suppose) ; elle est accroupie, visiblement nue. Je referme mon il car des doigts sont en train dentrer en moi, provoquant un frisson démarrant de mon étui, passant par ma colonne vertébrale pour terminer je ne sais où. Ils me fouillent le vagin, et à chaque passage sur mon point G je vibre. Quelque chose vient de sintroduire dans mon anus ; un liquide envahit mes boyaux. Il y en a beaucoup, je sens mon ventre se gonfler. Entre la flotte que je viens de boire et celle quelles viennent de minjecter, je dois ressembler à un chameau ! Linjection est terminée. Jai envie de tout éjecter, sauf que cest devenu impossible : un plug est venu boucher mon trou. Je crains devoir rester ainsi un long moment. Le casque se soulève ;

« Retourne-toi, sale chienne ! » puis il se repose.

Ce « sale chienne » vient de me frapper comme un éclair. Quont-elles en tête ?

Je me retourne. En me retournant, quelque chose de doux comme une peau de bête me caresse entre les cuisses ; cest bon, cest doux. Alors que je suis confortablement installée sur le dos, elles menduisent de crème ; à lodeur, je reconnais lhuile de massage au monoï. Elles létalent avec soin puis se lancent dans un massage doux sans oublier de me pincer les tétons et dappuyer sur mon ventre, ce qui me donne envie déjecter tout le liquide qui est en moi. Des doigts passent sur ma vulve, entrent dans mon vagin. Ça dure longtemps, très longtemps ; jai de plus en plus envie de pisser.

Tatiana, jai envie de faire pipi !

Cest bien ; tu attends, tu te retiens jusqu’à ce que je te donne lautorisation, sinon je te le ferai boire.

Elle est vraiment dégueu, cette nana ! Me faire boire ça ? « Tes pas bien ma cocotte ! Si tu joues à ça, je tétripe ! Oui, sauf quavec cette cocotte, tu veux faire un tas de trucs cochons Eh bien maintenant, tu assumes ! » Et cette foutue conscience qui sy met En tout cas, jai sacrément envie ! Je me concentre pour résister ; heureusement que le massage me fait oublier ce supplice à la limite du supportable.

Sil vous plaît Je nen peux plus, laissez moi aller aux toilettes !

Jimplore, je pleure aussi, des fois que ça marche.

Aux toilettes ? Mais tu rêves, ma pauvre fille : une chienne ne va pas aux toilettes. À quatre pattes ! Ici ! Au pied !

Lordre est autoritaire, sec à faire peur.

Tatiana me passe un collier de chien autour du cou, prend la laisse dune main, et clac ! un coup sur le cul.

En route ! Viens, ma chienne on va faire son petit pipi à sa mémère. Un conseil : essaie de ressembler à une vraie chienne.

Tu as une jolie chienne, ma chérie ; cest quoi comme race ?

Maintenant, cest Élodie qui en rajoute.

« Oh, elles ont pété un câble, ces deux là ! Je vais finir par mordre, on est hors sujet ! Et qui a demandé davoir des trucs ? » Bon, je sais, jai encore tort ; et en plus je dois imiter une chienne.

— Wouaf-wouaf !

Elle tire sur la laisse ; javance à quatre pattes dans lherbe de la pelouse (cest très agréable : on dirait un tapis). Jai vu le plug planté dans mon cul : il est terminé par une queue de chien qui se balance à chaque mouvement. Il faut quelle se magne, la Tatiana, car moi jai trop envie de pisser ; jen ai mal au ventre à force de me contracter pour ne pas évacuer avant lordre. Enfin nous nous arrêtons à la lisière de la haie de cyprès.

Assis ! Donne la papatte !

Je mexécute ; en position de chien assis, je donne la papatte à sa mémère avec en plus un « Wouaf- wouaf ! » voulant dire « Bouge tes fesses, ça urge ! »

Recule sous les arbres et pisse ! mordonne Tatiana qui lâche la laisse et retourne à la piscine.

Je ny tiens plus ! Vite fait, je me tourne, enfile mon derrière sous les arbres, enlève le plug et pousse ; je vous passe les bruitages. Tout sort. Je me vide ; cen est presque jouissif.

Jai fini. Je remets le plug et je gambade ; du moins, jessaie. Arrivée au bord de la piscine, jai envie de plonger.

Tu tes lavé les fesses au moins ?

Je fais un non de la tête, accompagné du « Wouaf ! » réglementaire.

Tatiana pointe un doigt vers le sol.

Viens ici !

Jobéis, docile, approche du « ici ». Tatiana prend le tuyau darrosage et ouvre le robinet à fond. Cest un torrent deau glacée qui masperge ! Elle tire sur la queue ; le plug sort mais est remplacé par le jet deau. Cest court, mais intense et glacial. Je couine comme un chien qui pleure. Elle me remet le plug.

Je lève la tête ; Pat arrive. La honte menvahit. Avec la queue dans le cul et le collier plus la laisse, je me sens rougir.

Waouh, Tatiana ! Tu as une jolie chienne à ce que je vois. Comment sappelle-t-elle ?

Julie. Tu nas pas un mâle pour la saillir ?

Mon cur sarrête, puis tape dans ma poitrine comme un fou. Ils ne vont pas me faire ça

Si, je vais le chercher, annonce Pat en se dirigeant vers la maison.

Je tremble. Je ne sais pas si cest de peur ou dexcitation. Élodie apparaît ; elle tire sur une laisse. Cen est trop ! Je tremble encore plus Dans une fraction de seconde, je vais hurler le mot de sécurité.

Lattente est longue ; la laisse se tend, mais toujours rien ni personne. Enfin lanimal qui est au bout semble avancer et apparaît. Cest Pat ! Ah oui que je veux bien me faire saillir par celui-là.

Élodie et Tatiana nous détachent.

Allez jouer sur la pelouse ; et pas de trous, sinon maman va vous donner la fessée !

Elles sont vraiment barjes ; jai eu la trouille de ma vie. Pat arrive à quatre pattes. Nous jouons, nous nous léchons le museau, il me renifle le cul comme un chien qui veut monter sa chienne. Il me lèche le visage, la bouche ; nos langues se mélangent. Il couine, et moi aussi. Je me roule au sol les quatre pattes en lair ; il en profite pour me renifler la chatte et la lécher généreusement. À son tour il se met sur le dos ; à mon tour je lèche son sexe et lembouche. Et là, cest sans les mains. Puis je tourne autour de lui en couinant comme une chienne en chaleur. En chaleur ? Oui. Chienne ? Pas sûr. Quoique Je tourne, remue du croupion, la queue avec. Enfin cet imbécile de chien a compris mon langage. Il se met sur ses pattes, me renifle la chatte, lèche un coup, se glisse au-dessus de moi et me pénètre sans douceur. Pas de doigt avant, pas de cunni À sec ! Le jet de tout à lheure a enlevé mon jus.

Pat force et ça rentre. Je marc-boute pour résister à sa force : je veux quil me prenne comme ça, comme une chienne que je suis. Finalement mon passage souvre dans les grognements des deux bêtes en rut, puis il me pilonne. Cest fort ; mes seins sont ballottés sous les coups de boutoir. Il se redresse et me prend par les hanches. À ce moment-là, je sais que ça va être très fort. Il me tient solidement ; mes fesses tapent contre ses cuisses avec un claquement sec. Je grogne, je retiens cet orgasme qui va me faire trembler et crier de bonheur et, avec un peu de chance, il ne va pas sarrêter là.

Oui, oui Oh ouiii !

Il me pilonne. Le rythme est régulier ; on dirait une machine à vapeur : cest une machine, mon mec. Je ne peux plus retenir lorgasme qui me tenaille, je ne contrôle plus rien. Je tombe sur les coudes, le cul bien en lair, prisonnier des mains de Pat. Lorgasme me foudroie. Je crie, jen pleure de bonheur ! Pat continue avoir un orgasme tout en étant pilonnée de la façon dont le fait Pat, cest terrible il ne sarrête pas, la cadence ne change pas, un métronome, une valse à trois temps. Oui, cest ça : une valse à trois temps. Il me serre le bassin encore plus fort ; il va venir, cest certain. Et pour moi aussi, un nouvel orgasme se prépare ; mon vagin me pique à nouveau. Ensuite, tout va très vite : je ressens comme une décharge électrique. Au moment où mon orgasme arrive, des jets saccadés et puissants inondent mon écrin ; sa verge se gonfle et se rétracte au rythme de son éjaculation. Je suis remplie de bonheur et de sperme.

Eh bien, vous deux, vous ne faites pas semblant ! Venez et installez-vous là sur les transats ; jespère que nous aurons de jolis petits chiots bientôt, plaisante Élodie

[ à suivre ]

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