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Famille, je vous aime ! – Chapitre 4

Famille, je vous aime ! - Chapitre 4



Telle mère, tel fils !

Toute la famille s’est réunie chez les grands-parents pour fêter leur anniversaire de mariage.

La veille au soir tout le monde s’est retrouvé dans la grande maison des grands-parents Pierre et Juliette.

Leur fils Eric avec sa femme Sylvie et eux-mêmes ont dormi au premier étage. Leur fille ainée, Annie ainsi que les enfants d’Eric et Sylvie, Béatrice et Marc, accompagné de sa petite amie Claude, ont, quant à eux, dormi au second étage. La nuit, au premier étage, a été assez mouvementée.

Le lendemain matin, Annie a initié ses neveux Marc et Béatrice aux joies du triolisme (voir les chapitres précédents)

A midi, toute la famille était réunie pour le repas de midi, vite expédié car Sylvie a demandé à son fils Marc de l’accompagner faire quelques achats de dernière minute. Son mari a préféré rester à la maison ; il a décidé de faire visiter à Claude, la jeune amie de son fils Marc, les alentours de la propriété en compagnie de sa fille Béatrice. Annie a demandé si elle pouvait se joindre à eux pour cette promenade dans la campagne. Il faut dire que le temps s’y prête. Il fait beau et chaud, une vraie journée d’été.

Marc et sa mère roulent depuis un moment déjà. Elle est vêtue d’une robe légère, échancrée et boutonnée sur le devant, largement remontée sur les cuisses, dévoilant sa peau fine et blanche. Par l’échancrure du corsage, on peut distinguer des gouttes de sueur qui perlent entre les seins lourds et généreux. Marc, qui a encore en tête les ébats du matin avec sa soeur et sa tante, regarde sa mère. Il la trouve belle, épanouie, et appétissante, cette femme assise à côté de lui, à portée de main. Il ne peut détacher son regard de ses jambes, remontant des mollets jusqu’à la lisière de la robe, en haut des cuisses. C’est encore plus érotique que si elle avait été nue. L’idée qu’on se fait de quelque chose est tellement plus évocatrice que la réalité. Bientôt il ne peut plus dissimuler l’effet que sa mère lui fait : une érection incontrôlable, une bosse dans son pantalon qu’il essaye de dissimuler en posant ses mains sur ses cuisses. Sa mère, du coin de l’oeil, l’observe, un léger sourire aux lèvres.

- ? Tu ne trouves pas qu’il fait chaud, mon chéri ? Passe-moi un mouchoir, ils sont dans la boite à gants. Je sens la sueur couler de partout. Quelle chaleur ! Heureusement qu’on a baissé la capote !

Marc tend le mouchoir à sa mère. Ses doigts effleurèrent les siens et le contact de sa peau déclenche un soubresaut de sa queue qui se tend encore davantage. Sa mère s’apercevant de son émoi le regarde dans les yeux et lui sourit. Elle s’éponge longuement le décolleté en tapotant le mouchoir, descendant profondément entre ses seins, ne faisant rien pour dissimuler sa poitrine, enchâssée dans un minuscule soutien-gorge à balconnets.

- ? Eh bien, Marc ! Qu’est-ce qui t’arrive, ne me dis pas que c’est moi qui te fait cet effet ? Tu as l’air tout chose depuis un moment. Mais qu’est-ce que je vois, tu bandes ? Ah ben, ça, c’est la meilleure, voilà maman qui fait bander son fils ! T’as pas honte, petit vicieux ! ?

— ? Maman ! Tais-toi ! Tu m’excites, je ne sens plus mon sexe tellement il est dur et me fait mal. Regarde ma braguette, elle va éclater. ?

— ? Et alors ? Qu’est-ce que je peux faire pour soulager mon bébé ? ?

Elle passe une main sur l’entrejambe de son fils, caressant la queue par dessus le tissu.

- ? Mais c’est vrai qu’elle est grosse. Une vraie bite d’homme que tu as là ! Ca me fait tout drôle. ?

— ? Maman arrête la voiture s’il te plait. Tu vois ce chemin là bas, prend le et arrête toi. J’ai besoin de pisser, ça me soulagera. ?

Elle garde la main sur le pantalon jusqu’au moment où elle engage la voiture dans le chemin. Elle la gare de façon à ce qu’on ne la voit pas de la route, se penche vers le ventre de son fils et entreprend de lui dégrafer le pantalon. La bite gonflée lui saute au visage. Elle happe le bout, fait tourner sa langue dessus puis l’avale entièrement.

— ? Maman, qu’est-ce que tu fais ? T’oublies que je suis ton fils ! ?

— ? Tais-toi, mon chéri, laisse maman te faire du bien. Ne me dis pas que tu n’aimes pas ! ?

— ? Oh, maman ! Maman ! Putain que c’est bon ta langue sur ma queue, oui, lèche-la partout, suce moi bien. ? - ? J’aimerai te rendre la pareille, allez montre moi ta chatte, je pourrai y mettre ma langue… s’il te plait,

maman ! ?

— ? Tout ce que tu voudras, mon chéri. Toi aussi tu me rends folle, je ne sais plus ce que je fais. Tu es mon fils et un homme en même temps ! Ca m’excite encore plus. Je dois être une vraie dépravée à tes yeux, mais ça ne fait rien, c’est trop bon ! ?

— ? Tu as raison, on est des chiens et je vais te baiser comme une chienne ! ?

— ? Oui, vas-y, dis-moi des cochonneries, sois encore plus vicieux que ton père. Si tu savais tout ce qu’il me fait faire ! C’est un vrai dégueulasse, ton père ! ?

— ? Il t’encule ? ?

— ? Pire que ça ! ?

— ? Ah bon ! Et quoi donc ?

— ? Pas plus tard qu’hier soir, il a voulu que je l’encule! J’ai mis un gode ceinture et je l’ai pris comme s’il était une femme, à quatre pattes !

— ? Et il a aimé se faire mettre ?

— ? Pourquoi cette question ? Ne me dis pas que toi aussi, tu apprécies la sodomie. Allez, viens, on va se mettre à l’aise. C’est toi mon chéri qui va me baiser. ?

Ils étendent par terre une couverture prise dans le coffre et finissent de se déshabiller en hâte. Une fois à poil, ils se jettent l’un sur l’autre. Il admire sa mère nue. Dieu quelle est belle ! Il ne peut détacher son regard de cette chatte entièrement rasée. Son clito ressemble à une petite bite ! Elle aussi fixe son fils. Cette queue dressée qui bande pour elle… Quel bonheur de se sentir désirée ! Il s’allonge sur sa mère. Elle écarte les cuisses pour l’accueillir. Avec la fougue de sa jeunesse, il s’enfonce d’un coup dans sa chatte, sans s’embarrasser de préliminaires. Il la baise comme une bête ! Un jeune mâle qui couvre sa femelle ! Il éjacule presque aussitôt, tant le plaisir est fort. Il crache de longues giclées de sperme épais au fond du ventre de sa mère et s’écroule sur elle, vidé.

- ? Oh maman, j’ai joui… j’ai joui trop vite mais je n’ai pas pu me retenir ! Tu ne m’en veux pas ?

— ? Mais non, grand fou, c’est normal à ton âge. Et puis on a le temps, je suis sûre que tu vas rebander très vite pour me faire jouir à mon tour. Car ta maman veut que son petit la fasse jouir comme une grosse salope. Tu prendras ton temps et tu regarderas monter le plaisir dans mes yeux.

— ? Oui maman, je ferai tout ce que tu voudras. ?

— ? Relève-toi, tu m’écrases. Viens me sucer entre les cuisses. Regarde, je m’ouvre rien que pour toi. Ca ne te dégoûte pas j’espère, j’ai pas de quoi essuyer ton foutre. ?

— ? Au contraire, maman, j’adore le goût et l’odeur de mon jus. Quand je me branle, je me lèche toujours les doigts ! ?

— ? Petit cochon, va ! ?

Toujours couchée sur le dos, elle replie ses jambes et les écarte au maximum. De ses deux mains elle s’ouvre les fesses et offre sa chatte et son cul. Le clitoris est gonflé, saillant. Du sperme s’échappe de sa vulve et coule le long de sa fente. Elle prend la tête de Marc et la colle sur son sexe.

— ? Allez, goûte ton sperme, lèche bien partout, nettoie-moi la chatte avec ta langue. Oui c’est ça, fourre ton nez dedans, sens mon odeur. Suce-moi le clitoris. ! Il est gros, je parie que t’en as encore jamais vu un comme ça ! Et puis fourre-moi tes doigts dans le cul en même temps. Vas-y, écarte moi l’anus et défonce moi le fion, salaud ! Je veux que tu me fasses jouir rien qu’avec ta langue ! ?

La gueule enfouie entre les cuisses de sa mère, Marc ne peut proférer que quelques onomatopées Il va et vient dans la fente, enfonçant sa langue dans la chatte dégoulinante de sperme. Il descend dans la raie pour y lécher, du bout de la langue d’abord, le trou grand ouvert. Puis, empoignant sa mère par les cuisses, il colle sa bouche sur l’anus odorant. Il n’est plus qu’un gros dégueulasse en train de bouffer le cul d’une grosse salope. Il sent soudain sa mère se tendre et s’arc-bouter, emportée par le plaisir. Elle a un long orgasme. Elle serre violemment ses cuisses sur la tête de Marc, puis se relâche, repue et satisfaite.

- ? Putain, mon salaud c’était bon ! T’as senti quand j’ai joui ? T’as aimé ? Elle sent bon ma chatte ? Et mon cul, tu l’aimes aussi ? Tu sais que tu es un sacré lécheur, tu n’as rien à envier à ton salaud de père ! ça te fait quoi de savoir qu’il y a mis sa queue, hier soir,

— ? C’était merveilleux maman. On recommencera, hein ? Maintenant je ne pourrai plus m’en passer. Attends, il faut que je pisse, je crois. ?

— ? Viens, je vais t’aider, je te tiendrai la queue ! Et puis moi aussi je crois que j’ai un petit besoin !

Il se lève, sa mère le fait pisser et lui secoue la bite. Elle ne peut s’empêcher d’y passer le bout de la langue.

- ? Tu sais mon chéri, c’est un truc que j’adore. Souvent ton père me pisse dessus, en pleine figure et je prends de longues giclées dans ma bouche. C’est chaud et j’aime bien le goût. Et puis j’avale. ?

A son tour, elle s’accroupit et laisse échapper un long filet d’urine de sa chatte. Marc se penche pour regarder, tend la main pour récolter un peu de cette pisse chaude et la porte à sa bouche.

- ? On est vraiment des sales, hein maman ? Mais c’est bon ! ?

— ? Oui mon chéri ! Tu verras tout ce que maman va t’apprendre. Je serai ta petite femme, au même titre que celle de ton père. J’aurai comme ça, deux hommes à ma disposition ! ?

— ? Maman, je t’aime ! ?

Ils s’enlacent et s’embrassent à pleine bouche, comme deux amants, à en perdre le souffle. Leurs langues se sucent, la bave coule à la commissure de leurs bouches. Leurs corps, étroitement collés, se frottent lascivement. Il sent les seins de sa mère contre sa poitrine. Son plaisir renaît. Sylvie sent la verge reprendre de l’ampleur, elle grandit contre son ventre. Elle s’en empare et le branle doucement, décalottant le gland en tirant sur le prépuce. Elle se laisse glisser à genoux et masturbe son fils. Ses mains soupèsent les couilles, elle les prend dans sa bouche. Avec sa langue, elle masse les deux boules, puis pinçant la peau avec ses lèvres, elle tire dessus.

- ? Quelles sont belles ! Elles sont encore pleines de jus. Il faut que tu le donnes à maman ! ?

— ? Mais tu vas m’épuiser à force de me traire la queue ! Putain, t’es insatiable ! ?

— ? Discute pas, viens me baiser ! ?

Elle s’accroupit sur la couverture et lui présente ses fesses qu’elle écarte de ses deux mains pour bien dégager sa fente. Marc, à genoux derrière cette croupe offerte, n’a d’yeux que pour la rondelle ! Elle est dilatée, ouverte… Sa queue a repris toute sa vigueur. C’est dans le cul de sa mère qu’il s’enfonce. L’anus n’offre aucune résistance, habitué qu’il est à se faire pénétrer. Sa mère resserre les fesses pour comprimer l’anneau de chair autour du mandrin qui la défonce.

- ? Oh, maman ! Qu’est-ce qu’il est bon ton cul ! Putain que c’est chaud et puis ça me serre bien la queue !

— ? Baise le bien le cul de ta maman ! Prends ton plaisir, il est à toi, pour te faire du bien ! Jouis au fond, remplis-le de ton jus. Bourre bien ta grosse salope de mère !

— ? Oh, oui ! Je viens ! Oh, tu me vides les couilles !

Marc éjacule de longues giclées de sperme, son ventre collé au cul de sa mère. Il se penche et d’une main, il lui agrippe les seins qu’il triture comme un malade. De l’autre, il lui branle le clitoris.

- ? Vas-y, jouis ma salope ! C’est ton fils qui t’encule ! Allez, couine, je veux t’entendre, vieille pute ! C’est ça, t’es ma pute! ?

— ? T’arrêtes pas ! Oui, je suis ta grosse pute, je ferai tout ce que tu voudras ! ?

Il ressort sa bite gluante de sperme et de sécrétion culière de sa mère. Il la lui fourre dans la bouche.

- ? Alors, nettoie-moi tout ça, salope ! C’est ta merde ! Lèche !?

Les joues de Sylvie se creusent. Elle nettoie religieusement la queue souillée de son fils.

Les sens apaisés, ils se rhabillent, la mine un peu fatiguée. ils repartent et restent sans se parler un long moment, perdus dans leurs rêveries.

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