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Famille lesbienne – Chapitre 1

Famille lesbienne - Chapitre 1



Chapitre 1: quand une mère épile sa fille.

Bonjour je m’appelle Barbara, j’ai 18 ans, blonde 1m65, cheveux longs, yeux bleus.

J’ai une sur jumelle avec qui j’entretiens des relations "particulières ".

Mon père est architecte 40 ans, un grand brun typé sud. Musclé .

Ma mère, aussi blonde que nous, 39 ans, silhouette fine car sportive avec une jolie poitrine (100d).

Comme nous habitons dans le sud et que mon père reçoit beaucoup, ma mère est toujours habillée sexy. Ce qui a permis à mon père d’obtenir plusieurs contrats.

Ce matin de mai, je me lève comme d’habitude , je porte une culotte en coton et un petit haut moulant.

Je vais dans la cuisine prendre mon petit déjeuner . Je mange mes céréales , ma mère arrive à son tour avec un unique t shirt jaune.

Elle se penche en avant pour me faire la bise. Je ne sais pas pourquoi mais ce matin là, je me focalisais sur la pression de sa poitrine sur mon épaule . Je repris de manger mes céréales alors que ma mère, me tournant le dos, commençait à ranger la vaisselle de la veille.

La première fois, je n’avais pas fait attention, mais lorsqu’elle se penchait en avant pour aller dans le lave vaisselle, ses fesses s’écartaient laissant apparaître sa vulve et son anus.

Sa vulve était assais boursouflée avec des lèvres généreuses , son anus légèrement dilaté montrait que la sodomie faisait partie de ses pratiques sexuelles.

Je mangeais mes céréales machinalement , le spectacle commençait à faire son effet en moi, mon bas ventre me brûlait et je devais sûrement mouiller. J’écartais et refermais les cuisses fermement l’une contre l’autre.

Lorsque ma mère eu fini, elle pris un bol et viens s’installer à côté de moi . Le temps qu’elle installe sa place debout, je pouvais visualiser son mont de Vénus , entièrement lisse, lèvres dépassant généreusement et la boursouflure de son clitoris.

Elle s’assit enfin, en me parlant, je m’aperçut que son regard était accès sur ma poitrine. Mes tétons étaient dressés d’excitation.

Je rougis mais ma mère me répondit par un sourir. Elle continuait à regarder mes seins comme moi j’avais regarder ses fesses.

Je trouvais ça à la fois troublant mais terriblement excitant . Mon sexe me brûlait et lorsque je vis les pointes de sein de ma mère pointer à leur tour, je ne pu m’empêcher de faire passer une main sous la table du petit déjeuner , la faire glisser dans ma culotte.

Puis , je fis rentrer un doigt dans mon sexe. J’avais oublié à quel point je pouvais mouiller fort et un bruit de clapoti caractéristique raisonna dans la cuisine. Je devins rouge de honte et stoppa mon mouvement le doigt toujours dans ma chatte baveuse. Lorsque mes yeux croisèrent ceux de ma mère, elle était aussi rouge mais pas de colère , son regard était vicieux toujours sur mes seins.

C’est alors que sa mains gauche disparu sous la table, et que le même bruit de clapoti raisonna encore une fois dans la cuisine.

Sauf que là elle ne s’arrêta pas immédiatement . J’en profitais pour sortir mon doigt non sans avoir caressé ma chatte encore un peu.

La main de ma mère réapparu avec 2 doigts luisant de mouille, comme pour me provoquer, elle les porta à sa bouche. Je n’avais jamais pensé à goûter mon intimité ainsi, mais pris dans l’excitation du moment , je fais comme elle, me rendant encore plus honteuse et plus excitée .

Une fois nos doigts nettoyés , ma mère me demande.

Alors ma chérie, il était bon se petit déjeuner?

Délicieux maman.

Elle se lit debout ramassa les bols et les rangea dans le lave vaisselle, me procurant une dernière fois le spectacle de son cul à la différence de sa chatte luisante de liqueur.

Je profitais de ce moment pour partir à la salle de bain. Plus tard, ma mère entrait en tenu d’Eve. Je pouvais observer son corps superbe, je deviens alors tristounette car je ne pouvais rivaliser avec une telle déesse .

Ma mère s’aperçut de mon mal être et me dit.

Qu’est-ce qui ne va pas ma chérie ?

Je réponds

Je suis moche.

Mais non ma puce tu es très belle, regarde ta sur a plein de copains.

Peut être , mais moi je n’aime pas mon corps, j’ai des petits seins et ma vulve…

Quoi ta vulve? Me dit ma mère.

Elle est toute poilue, la tienne est si belle sans poils. (Je n’osais croire à ce que je venais de dire à ma mère).

Tu sais ma puce si je ne m’épilais pas je serais comme toi.

Moi, maman j’aimerai être comme toi.

Tu en est sûre ?

Oui maman

Très bien on va régler cela.

Elle me pris par la main, me sécha et me fit m’assoir sur le rebord des vasques. J’étais sur le dos, les fesses au bord du meuble, les cuisses repliées sur moi.

Elle passa de la crème à raser sur ma vulve encore brûlante de la cuisine. Lorsque sa main passa sur mon clito, j’eu un sursaut.

Je dis

Excuse moi maman mais je n’ai pas l’habitude que quelqu’un passe sur cette zone.

Elle sourit et faisant mine de ne pas avoir entendu, elle repassa sur mon clitoris dressé, ce qui provoqua encore des sursauts et gémissements .

Ma chatte me brûlait .

Ma mère entrepri le rasage, quand il ne restait que les lèvres , elle écarta ma chatte, je sentais son souffle chaud me pénétrer , je mouillais tellement que je sentais la mouille couler sur mes fesses et à chaque fois que maman écartait mes lèvres un bruit de succion raisonnait dans la salle de bain.

Ses tétons pointaient fièrement , sa poitrine généreuse me narguait. Lorsqu’elle eu fini, elle s’agenouilla pour prendre quelque chose sous le meuble. Sa poitrine vint cogner sur ma vulve béante.

Je gémis un instant de ce contact si doux.

Ma mère remonta et une fois encore son téton glissa le long de ma fente ruisselante.

Lorsqu’elle fut debout, elle tenait une fiole de monoî, son téton était luisant de ma mouille ce qu’elle remarqua dans la glace.

Elle le saisi avec ses 2 mains et porta son téton à sa bouche. Quand elle eu fini elle me dit:

Tu es délicieuse ma chérie .

Excitait au possible, je réponds

Tu sais si c’est si bon, tu peux en prendre autant que tu veux, je suis plutôt généreuse .

Elle regarda ma chatte ruisselante et me dis, tu es la digne fille de ta mère tout comme ta sur .

Enfin, elle pris la fiole de monoî et me badigeonna la chatte afin d’apaiser la brûlure du rasoire. Elle me massait le clito sans ménagement , un doigt glissa dans ma chatte, elle s’excusait en prétextant que l’huile glissait trop.

Je lui dit ne t’inquiète pas, quand tu auras fini, ce seront mes doigts qui rentreront dedans.

Elle rougit mais m’enfila encore un doigt en le laissant cette fois dans ma chatte.

Ma mère me doigtait avec douceur. Je ferme les yeux, saisie mes seins. J’ondulais sur son doigt de plus en plus vite, l’orgasme arriva, foudroyant . Je gémi comme une pucelle. Ma mère retira son doigt et recula pour commencer à se caresser devant mon corps nu, cuisses ouvertes.

Elle s’afferrait méthodiquement puis jouie en silence.

Je me mis debout m’approche de ma mère et lui fis un smack.

Merci maman, à ce soir je vais être en retard à l’école .

Bonne journée ma chérie .

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