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Renée et Odile ou la cinquantaine merveilleuse – Chapitre 6

Renée et Odile ou la cinquantaine merveilleuse - Chapitre 6



Vendredi

Le réveil sonna à sept heures, j’étais crevé mais heureux, j’avais passé une des plus belles soirées de ma vie. Mais il ne fallait pas perdre de temps, car ma journée de travail commençait à neuf heures. Après une douche qui me réveilla bien, je descendis, allai ramasser les sous-vêtements de Renée et Odile. Je les pris dans les mains et les portai à mes narines pour retrouver leurs odeurs puis les embrassai.

Je rangeai le salon, encor une heure devant moi pour tout faire y compris préparer le petit-déjeuner. Je me précipitai à la boulangerie du coin de la rue pour acheter du pain frais et des viennoiseries et commençai à faire le café.

Le téléphone sonna, c’était Chantal qui prenait des nouvelles voulant aussi savoir à quelle heure et où, retrouver sa mère et Renée.

Je lui dis que je n’en savais rien, car elles n’étaient pas encore descendues

— Oh ! Vous avez dû vous coucher bien tard tous les trois, mon coquin ! J’espère que votre soirée a été bonne ; tu comprends pourquoi j’ai préféré rentrer chez moi hier soir. Tu sais, ma mère m’avait un peu briefée au téléphone sur ce qu’elles te préparaient en rentrant. Je suis sûre que tu as passé une soirée merveilleuse, mon ami.

— Tu as raison, ce fut sublime. Chantal, excuse-moi, je n’ai pas beaucoup de temps, il faut que je prépare la table et tu sais que ce matin, je bosse. J’en parle à la première qui descend et elle te rappellera pour le lieu et l’heure du rendez-vous. Mais vous n’allez pas au salon aujourd’hui ?

— Non, on accompagne Renée chez les créateurs pour ses achats

La première à descendre fur Renée, c’était très bien; comme c’est elle qui avait organisé le planning, elle pourrait appeler Chantal et l’informer.

Elle vint vers moi et m’embrassa.

— Merci Pierre pour cette soirée d’hier, j’en ai rêvé toute la nuit. Et même si ce fut une première à presque trois, ce fut super excitant de voir de mes yeux, le plaisir qu’on a pris tous les trois

— C’est moi qui ne vous remercierai jamais assez, toi et Odile, pour l’extase et le plaisir que vous m’avez donnés, J’espère au moins que j’ai été un peu à la hauteur

— Pourquoi tu en doutes, moi aussi, j’ai aimé cette joute.

— Tu me rassures et j’aimerais que cette aventure puisse continuer un peu

— Juste un peu ? Non mon bonhomme, maintenant on va être deux à te bichonner mais il faudra aussi que tu t’occupes de chacune de nous. Bon, j’arrête et j’appelle Chantal

-Renée, toi et Odile, vous aviez aussi prévenu Chantal de votre défilé sexy d’hier soir

— Non pas dans les détails, mais on lui a dit grosso modo qu’on voulait te faire une surprise un peu érotique et c’est pour nous laisser seules avec toi qu’elle est rentrée chez elle hier soir.

— Oui, je comprends tout maintenant vous étiez complices toutes les trois

C’est à ce moment qu’Odile arriva, elle s’assit à la table

— Et bien Odile, tu ne dis pas bonjour à Pierre ?

— Pardonne-moi, je suis encore un peu endormie malgré ma douche

Odile vint vers moi, je me levais et elle se jeta dans mes bras en m’embrassant

— je n’en suis toujours pas revenue pour hier soir. Nous , tous les trois …… Ce fut pour moi incroyablement excitant, être tous les trois sans pour autant partouzer. C’est dingue, et toi Renée ?

— Je l’ai dit à Pierre, jamais je n’aurais cru pouvoir faire ça, mais que ce fut bon. Pierre, ce n’est pas la peine de lui demander en voyant son sourire

Ma journée commença follement bien et je pensai soudain avec tristesse à après demain quand chacune d’elle repartira de chez moi et que je me retrouverai de nouveau, seul entre ces grands murs.

Odile et Renée partirent en me donnant rendez-vous ce soir vers huit heures à la maison où nous dînerions tous les quatre. Il fallait bien aussi se reposer un peu.

La matinée fut occupée par mes patients qui furent traités au mieux de mes possibilités et l’heure du déjeuner arrivait quand mon téléphone sonna encore une fois

— Bonjour, c’est Chantal, comment vas-tu ? Je t’appelle pour savoir si tu veux que l’on achète quelque chose pour ce soir ; comme on est toute la journée dans Paris à aller chez les différents grossistes, on peut aussi faire quelques courses

— Oui Chantal, achetez donc un gâteau

— Au fait Pierre, ma mère et Renée tiennent un moral incroyable, elles semblent avoir rajeuni. Par contre ma mère est de nouveau un peu gênée par son dos. Un autre faux mouvement peut-être, mais tu sauras résoudre tout ça. Pour avoir une pareille pêche, je pense que tu les as bien traitées hier soir; apparemment elles ont apprécié ta technique et ton doigté, dit-elle en rigolant et sur ces mots, elle raccrocha.

À midi, après une légère collation au bistrot du coin, je partis au cabinet où cinq rendez-vous m’attendaient. Vers quatre heures et demi, je devrai avoir terminé ce qui me laissera tout le temps pour nettoyer la maison et préparer le repas.

Un peu moins de trois heures plus tard, je rentrai et me mis au travail.

Je ne vis pas passer le temps tellement j’étais occupé; la nuit qui était tombée depuis un moment me rappela soudainement qu’il était déjà sept heures.

J’avais encore une heure devant moi pour achever mes préparatifs, pas de problème, donc

La sonnette de la porte retentie, Chantal était face à moi.

— Tu es seule

— Oui, elles sont reparties !

— Quoi ?

Ma tristesse devait être très visible et Chantal ajouta

— Mais non Pierre, elles arrivent dans peu de temps je pense, mais je les ai laissées pour aller acheter le gâteau dans une pâtisserie que je connais bien ; il est au chocolat et fruits de la passion, tu verras, c’est un régal.

On alla vers la cuisine et elle se proposa de m’aider pour préparer les tapas apéritives comme celles que nous avions souvent mangées tous les deux.

J’évitai soigneusement de faire dévier la conversation sur Renée et Odile car je ne souhaitai pas m’épancher sur mes relations devant une femme avec laquelle j’avais vécu. Nous parlâmes un peu de tout et nous nous servîmes une flûte de Champagne histoire de ne pas avoir le gosier trop sec.

On avait tout juste trinqué tous les deux quand la sonnette retentit de nouveau et j’entendis de grands éclats de voix derrière la porte. Je l’ouvris et me trouvais face à Renée, Odile et un homme que je ne connaissais pas.

Devant mon étonnement, Odile dit en rigolant

— Tu vois Renée, je te l’ai dit qu’il serait très surpris. Mais non Pierre, ce n’est pas un invité supplémentaire, c’est le chauffeur de taxi qui gentiment nous a aidé à porter tous les sacs que nous avons accumulés cet après-midi.

En effet, au pied du chauffeur il y avait au moins dix sacs pleins de vêtements. Je pris tous les sacs, les déposai dans le hall, et dans ma grande générosité et aussi le plaisir de les retrouver, je payai la course du taxi en n’oubliant pas de lui laisser un pourboire pour sa serviabilité. Chantal arriva avec son verre à la main ce qui fit que les deux autres réclamèrent elle aussi une flûte de Champagne.

On alla au salon et à la demande de Renée, j’apportai les sacs laissés dans le hall.

L’apéritif fut long car entrecoupé de commentaires lors des déballages des sacs et des essayages impromptus des vestes d’été. En fait, elles avaient acheté quelques vêtements pour elles et voulaient les montrer à Chantal et moi.

Sur ma demande on passa ensuite à table car je refusais que les plats que j’avais préparés pour le dîner soient ratés par un retard excessif.

Heureusement, tout se passa à merveille jusqu’à la fin et nous retournèrent au salon .Après avoir encore bu quelques flûtes, Renée voulut essayer deux ou trois jupes et des ensembles qu’elle avait achetés cet après-midi. Sans aucune gêne elle enleva la jupe qu’elle portait et se retrouva en collant.

— Je pense que personne ici n’est gêné que je fasse ça, j’espère ? Je suis même sûre que Pierre ne sera pas offusqué, du moins j’ose l’espérer !

— Non Renée, tu peux en enlever un peu plus si tu le veux. Lui répondis-je

— Non pas ici Pierre, un peu de tenues voyons, que vont penser Odile et Chantal

Personne ne répondit et Renée continua ses essayages. Les vêtements qu’elle avait achetés ne nécessitaient aucune retouche ou ourlet. C’était vraiment un mannequin dans la force de l’âge

— À mon tour maintenant et moi, je ne demande rien aux autres, j’agis. Dit Odile

Elle se déshabilla, n’était plus qu’en collant et soutien gorge et enfila une robe longue de soirée moire avec un décolleté vertigineux dans le dos.

— Odile, moi j’aurais préféré que le décolleté soit devant. Lui dis-je

— Ca ne m’étonne pas de toi, cochon mais attends la suite

Chantal lui demanda pourquoi cette robe de gala

— Mais pour la future croisière que Renée et moi nous projetons de faire en mai en Méditerranée. Tu sais bien que sur les paquebots, il y a constamment des soirées et tu ne voudrais quand même pas que ta mère soit habillée comme une va-nu-pieds, non ? Tu verras Renée et moi on a aussi acheté deux ensembles veste pantalon genre smoking, ils sont ravissants.

Le feu crépitait dans la cheminée et la séance d’essayage continua jusqu à ce qu’elles nous montrent le fameux ensemble smoking

Odile l’avait naturellement choisi en noir et celui de René était couleur ivoire. Mon dieu qu’elles étaient élégantes. Si elles le souhaitent, je serais bien volontiers leur cavalier durant la fameuse croisière.

La veste d’Odile la serrait un peu au niveau de la poitrine, et oui, ses seins demandaient un peu plus d’aisance que ceux de Renée , il faudrait simplement déplacer légèrement le bouton du haut

Elles ouvrirent leur veste mirent les deux mains dans les poches de leurs pantalons, firent face à Chantal et moi en prenant des poses suggestives, projetant en avant leurs seins prisonniers des soutiens-gorge.

— Ce n’est pas pour moi qu’il faut prendre la pose, mais pour Pierre, dit Chantal

— On y songera. Répondit Odile.

J’allais chercher dans le meuble réfrigéré de ma cave une nouvelle bouteille de champagne, j’avais besoin de fraîcheur, car j’avais chaud partout, du cerveau à la pointe des orteils ! Après être remonté avec ma bouteille très fraîche, je les retrouvai toutes les trois assises , parlant chiffons. Je proposai de faire quelques parties de cartes mais Chantal ne voulut pas.

— Jouez donc tous les trois, moi, je vais regarder un peu la télé. Et puis il est déjà presque une heure du matin, je sens que je ne vais pas faire de vieux os ; demain, je dois partir vers neuf heures car j’ai des achats à faire avant de retrouver à treize heures mes deux copines à Montparnasse pour déjeuner et je dois repasser après chez moi pour déposer mes achats. Ne vous préoccupez pas pour moi, il y a de grandes chances que d’ici peu, je monte dans la chambre. On se reverra demain en début de soirée, je passerai pour dire au revoir à Renée et maman qui s’en vont dimanche, je ne resterai pas longtemps.

Je me retrouvai sans idée pour finir cette soirée quand Odile me dit à l’oreille

— Et si on allait boire la bouteille de champagne dans le jacuzzi

— Superbe idée Odile, je suis d’accord, et toi Renée

— Moi, quoi ? Je n’ai rien entendu, mais ça n’était peut-être pas pour moi ?

— Renée, tu n’as pas fini avec tes bêtises ; j’ai proposé à Pierre qu’on aille boire le champagne dans le jacuzzi, tous les trois bien sûr.

— Je suis d’accord, mais je vous préviens, je n’ai pas apporté de maillot de bain

— Comme si cela allait te gêner après la soirée d’hier .Lui répondit Odile

On passa devant Chantal, à moitié assoupie sur le canapé, je lui proposai de venir avec nous dans le jacuzzi, mais dans un long bâillement, elle refusa, éteignit la télévision et prit la direction de sa chambre.

— Je vais dormir, excusez-moi, je suis morte. Passez un bon moment; à demain peut-être . Pierre je prendrai mon café à huit heures trente

— Je serai là lui répondis-je

Arrivés dans la salle, Renée se déshabilla, alla vers le jacuzzi qu’elle commença à remplir

Odile me prit par le bras

— Pierre avant le jacuzzi peux-tu me masser vite fait le dos à gauche, j’ai un peu mal depuis ce matin, sûrement la suite d’un mauvais mouvement hier soir.

Odile enleva ses vêtements puis se dirigea vers la table de massage.

Je devais donc lui masser le coté gauche du dos, oui et plus bas ? …… C’était bien tentant

Depuis le jacuzzi, on entendit Renée dire

— Ne tardez pas tous les deux, j’ai une envie de champagne ….

Je massai Odile consciencieusement avec grande application et de temps à autre ma main gauche s’égara sur ses fesses, puis sur son entre jambe. Je ne crûs pas le moins du monde à cette douleur qui n’était qu’un bon prétexte pour se faire caresser, pas autre chose.

Odile commença à ronronner comme une chatte heureuse et cela confirma ma pensée.

Je me penchai vers son cou et y déposai un baiser ; elle tourna la tête et me sourit

— Fais-moi jouir avec ta langue, je t-en prie, j’ai trop envie

Je ne me fis pas prier pour enfoncer mes doigts dans son vagin puis me penchant entre ses cuisses, ma langue lui obéit et commença à jouer avec son sexe. Elle avait tellement envie que quelques minutes plus tard, son bassin ondula et la jouissance la submergea. Elle se mordit les lèvres pour étouffer ses gémissements de plaisir, Renée n’était pas loin

Je me levai et lui caressai le dessous des cuisses, les fesses, le dos et lui dit

— Profite de ce moment, mais il va falloir rejoindre Renée

— J’ai tellement aimé, mon corps en voudrait bien encore ….. Bon, tant pis , on y va

On retrouva Renée dans le jacuzzi à moitié rempli

— Et bien alors, j’ai failli mourir de soif et vous pendant ce temps, vous en étiez à la phase du massage crapuleux, non ? Odile, tu as les yeux bordés de reconnaissance, encore vagues, et le sourire de la femme après un orgasme, je me trompe ?

— Non, tu ne te trompes pas, mais je t’ai laissé la part du lion, Pierre m’a fait jouir, mais avec sa seule langue, une merveille d’agilité et de douceur, alors à ton tour et fait-le jouir, il est trop mignon.

Odile et moi entrâmes dans le jacuzzi et je débouchai la bouteille de Champagne qui n’était plus trop à la bonne température, mais peu nous importa.

Renée prit une gorgée de champagne dans sa bouche, elle m’embrassa, le champagne et nos langues se mêlèrent dans nos bouches. Ensuite, elle versa de l’eau très chaude dans sa flûte vide, en prit en bouche. Elle se pencha aussitôt vers mon sexe et tout doucement en évitant au maximum d’ouvrir trop les lèvres afin que l’eau chaude reste dans sa bouche, elle commença à me sucer. La chaleur de l’eau, combinée à la douceur de l’écrin qui enrobait ma verge lui donnèrent subitement une rigidité étonnante. Elle poursuivit ainsi une minute puis ouvrit les lèvres pour que sa langue puisse jouer sur mon gland. J’avais envie de la pénétrer et pendant ce temps-là, Odile se caressa clairement le clitoris sous l’eau.

Renée me dit,

— Prends-moi maintenant, mais avec l’eau dans le jacuzzi, il faut que tu me lubrifies d’abord.

J’allais vite chercher de l’huile de massage et demandais à Renée de se lever.J’enduisis ma verge et l’entrée de son vagin avec un peu l’huile je m’assis dans la baignoire tout en m’appuyant sur le rebord pour laisser ma verge au dessus du niveau de l’eau et elle vint s’accroupir sur moi en me faisant face et on se laissa tomber au fond de la baignoire.

Je la pris par les hanches et commençai à la faire monter et descendre légèrement sur ma hampe. Dans l’eau, le mouvement était plus aisé. Je remerciai en pensée Monsieur Archimède pour sa poussée qui m’aidait si bien, je serrai Renée contre moi, ses seins s’écrasèrent sur mon torse, j’allai éjaculer sous peu ……quand, de l’autre bord du jacuzzi, Odile poussa un feulement puis un cri, elle venait de prendre du plaisir pour la seconde fois ce soir

Il ne m’en fallut pas plus pour jouir dans le vagin de Renée qui continua ses mouvements. Elle se releva mis son sexe dégoulinant sur ma bouche et je lui léchai le clitoris ; pas très longtemps …. Elle appuya très fort ma tête sur sa vulve et poussa peu après une série de cris aigus.

On se regroupa tous les trois et nous bûmes le reste du Champagne.

À aucun moment, elles échangèrent des baisers ou se caressèrent l’une l’autre. Pour la seconde fois en deux jours, je savais ainsi qu’elles aimaient les hommes , rien que les hommes et qu’elles ne voulaient qu’un mâle pour satisfaire leurs envies , ce mâle qui pouvait bien s’appeler Pierre , ma foi.

Je profitai de cette accalmie dans nos ébats pour dire que j’aimerais bien me joindre à elles pour la croisière en mai ; il ne fallait pas tarder pour prendre les réservations et je voulais connaître tout de suite leurs sentiments à ce sujet.

Renée applaudit spontanément à cette idée et me claqua une grosse bise sonore sur la joue ; Odile ne dit rien, je me tournai vers elle, interrogatif et inquiet , mais s’approchant de ma tête susurra

— Qui ne dit mot consent, et plutôt deux fois qu’une

J’étais aux anges, ce sera la première croisière de ma vie, en galante compagnie avec les plaisirs érotiques en supplément.

Sur ces paroles, on décida qu’il était l’heure de se coucher. Comme demain, elles n’avaient rien à faire, elles décidèrent de faire la grasse matinée, jusqu’à dix heures à moins qu’un galant visiteur ne vienne un peu plus tôt, les réveiller avec douceur.

— Ha là , mesdames, ne comptez pas sur moi, il me faut recharger les batteries et de plus, rappelez-vous que Chantal s’en va demain à neuf heures, donc il faut que je sois en bas avant qu’elle ne parte.

Faites de beaux rêves, vous êtes toutes les deux des amours, ne changez surtout pas, je vous aime telles que vous m’êtes apparues cette semaine et je n’ai aucune envie de vous abandonner.

Je déposai sur leurs lèvres un léger baiser, J’allai dans ma chambre et elles en firent de même après les traditionnels échanges de souhaits de bonne nuit.

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