Histoires de sexe à l'école Histoires porno Premières histoires de sexe

Famille recomposée – Chapitre 5

Famille recomposée - Chapitre 5



Après cette apothéose, ils reprennent tous des forces autour d’une table bien garnie. Stéphanie n’a pas voulu qu’ils se rhabillent et bien sûr, les jumelles se sont assises de chaque côté de Patrick et pendant tout le repas des mains baladeuses s’égarent sous la table.

Elles rencontrent de temps en temps le pied de Stéphanie qui vient contrôler si l’Objet reprend de la vigueur.

Au moment du café, elle se lance et demande aux jumelles :

— Notre étalon est de nouveau prêt à saillir ses juments, les filles ! Vous avez vu de quoi il est encore capable sur la vidéo ! Maintenant, êtes-vous prêtes à ce qu’il vous dépucèle la rondelle ?

Elles se regardent, abasourdies par les paroles de leur mère, avant de tourner la tête vers elle :

Béa n’a pas l’air d’accord :

— Jamais ! Tu as vu le morceau ? Il me casserait le cul !

Célia surenchérit :

— Ça fait un peu trop gros pour une première fois !

— Je ne suis pas idiote, reprend leur mère, il faudra avant aléser tout ça, hein les jumeaux ? Et Léo agrandira avant de passer au calibre supérieur !

Les garçons approuvent de la tête mais Patrick prend la parole :

— Je veux bien mais à une seule condition ! Je veux que les garçons y passent aussi pour qu’à l’avenir, ils sachent l’effet que ça fait d’être sodomisé et comment se comporter avec leurs futures conquêtes !

Les jumeaux se rebiffent mais comme les filles imposent cette condition s’ils veulent eux aussi réaliser leur première sodomie, ils n’ont pas trop le choix et finissent par acquiescer.

Ils s’occupent chacun d’une jumelle, leur écartelant littéralement la rondelle.

Elles sont vierges du cul n’ayant jamais subi d’assaut de ce côté-là.

Mais sans grande difficulté et avec l’aide d’un peu de gel lubrifiant, la chose se passe finalement bien et les verges entrent entièrement dans leur cul !

Les couilles battent en rythme contre les chattes et comme les filles s’étaient mises en face l’une de l’autre, elles en profitent pour s’embrasser.

Leur anus s’étant maintenant quelque peu dilaté pour accueillir une plus grosse pine, Léo prend la relève d’un des jumeaux et continue d’aléser le fion de Célia pendant que Patrick pousse l’un des jumeaux à sodomiser son frère et ma foi là aussi tout ce passe sans grandes difficultés.

C’est ensuite un jeu de chaises musicales, chacun et chacune présentant à son tour son arrière-train à Léo. Il les fait mettre à genoux, penchés en avant avec le cul bien en l’air et ramone tour à tour ces anus, rentrant et sortant presque entièrement sa queue à chaque fois.

Pendant ce temps, Stéphanie entretient l’érection de Patrick ravi du spectacle qui se déroule sous ses yeux. Il reprend enfin la parole :

— Bien ! On va passer aux choses sérieuses mais comme vu ce qui m’attend et pour tenir la distance, je vais vous laisser faire, et ça sera aussi plus cool pour vous. Je vais m’asseoir sur ce fauteuil et vous laissez-faire ! Mais je veux que les jumeaux prennent un moment la relève de Stéphanie !

Stéphanie sest mise à côté de lui et continue de le branler. Les jumeaux rechignent mais sous le regard des jumelles ils ne veulent pas se dégonfler et branlent puis sucent pour la première fois de leur vie un sexe d’homme… et pas n’importe lequel. Le dégout fait bientôt place à une agréable surprise puis au plaisir de branler et de lécher cette barre de fer si dure et si douce à la fois. Ils s’activent tellement que Patrick doit y mettre le holà :

— Eh… Du calme les garçons ! Je suis au top pour la suite… Arrêtez…

Son pic dressé à la verticale attend le ou la plus téméraire. Un nouveau petit chapeau et c’est Béa, bravant du regard Patrick qui se présente devant lui, elle passe une jambe de chaque coté de ses cuisses et se saisit du chibre. Elle commence par deux ou trois passages dans sa chatte pour bien l’oindre de sa mouille avant de le présenter à son anus encore légèrement entrouvert par les emmanchages précédents.

Son visage se crispe quand elle arrive à introduire le gland dans son cul. Il a la grosseur de la racine du nud de Léo donc jusque-là, tout va bien. Mais à mesure qu’elle plie les genoux, les centimètres de la verge de Patrick disparaissent les uns après les autres entre ses fesses.

On entendrait voler une mouche. En demi-cercle, toute la famille regarde l’introduction hors-norme.

Béa ne bouge plus, murmurant dans un gémissement de souffrance :

— J’ai mal, putain qu’il est gros !

Mais en petite fille courageuse, elle continue de descendre sur le formidable manche de pioche dont la circonférence à la base atteint pratiquement 17 centimètres. Comme elle hésite pour les derniers, Patrick pousse violemment des pieds ceux de Béa qui déséquilibrée s’empale jusqu’à la racine sur son défonce-cul.

— AAAAAAhhhh putain ! Nooonnn !

Elle voudrait se relever pour atténuer la douleur mais Patrick a posé les mains sur ses épaules pour l’immobiliser.

Pendant une très longue minute, ils ne bougent plus. La douleur atroce devient plus diffuse.

Il l’aide enfin à se relever avant de la relâcher, elle est tellement exsangue qu’elle n’a pas la force de se retenir et retombe comme une masse sur son axe d’airain.

Courageuse, elle reprend un peu ses esprits et commence enfin à manuvrer sur son pénis. Petit à petit, le plaisir gagne désormais sur la douleur et elle éprouve enfin le bonheur d’une sodomie extraordinaire.

Mais elle ne peut tenir que quelques minutes et s’éjecte de cette verge exceptionnelle.

— Ah ! Je n’en peux plus, c’est trop fort !

Célia reprend le flambeau, ou plutôt la flamberge, mais contrairement à sa sur, elle lui tourne le dos. En petite fille courageuse et ne voulant pas démériter, elle imite sa jumelle et éprouve les mêmes affres de douleur mêlés au plaisir.

Après un moment d’adaptation, ses mouvements deviennent plus rapides et saccadés avec l’aide des mains de Patrick qui l’aide à se relever pour retomber encore et encore sur la verge noueuse. Quand son excitation atteint son paroxysme, elle s’arrête un court instant avant de se pourfendre de nouveau, histoire de faire durer le plaisir jusqu’à atteindre un orgasme apocalyptique…

Stéphanie est hallucinée ! Comment l’anus de ses filles peuvent-ils accepter l’intrusion d’un tel monstre !

Célia a rendu elle aussi les armes et l’étalon est toujours aussi fringant. Les garçons n’ont pas l’air emballés par ce qui les attend et rechignent là où les filles ont réussi le deal.

— A quatre pattes les jumeaux et que chacune des filles s’occupe de leur oindre l’ognon !

Ils obéissent car Patrick leur en impose et attendent comme le mouton que l’on mène à l’abattoir.

Patrick se présente dernière Noé, la bite frétillante. Béa s’en saisit et s’en caresse le visage pour s’en imprégner, inspirant à plein poumon les effluves mélangés qui la recouvre puis présente le bélier.

Patrick ne prend pas de gants et d’une poussée enfonce bien dix centimètres d’un seul coup dans l’arrière-train de Noé qui serre les dents pour ne pas avoir la honte devant les filles.

En un rien de temps, l’intégralité de la colonne de chair lime le trou identique chez l’homme et la femme.

Pendant quelques minutes, Patrick le travaille avant de faire subir la même épreuve à son frère. Il se retire enfin en attirant leur attention :

— Vous avez senti ce que ça fait d’être pris à la hussarde ! J’espère que vous retiendrez la leçon et ménagerez vos partenaires. Bon ! Ce n’est pas tout ça mais je voudrais bien jouir, moi ! Si la maîtresse de maison est d’accord, ce sera avec elle que je terminerai la leçon !

Bien sûr, Stéphanie est partante pour le baroud d’honneur. Elle a encore un cul splendide et ses deux filles en profitent pour le caresser. Leurs doigts s’égarent vers l’anus et l’explorent en n’oubliant pas pour accentuer le plaisir maternel, de titiller le clitoris. Elles ne tardent pas à la faire jouir.

(À suivre)

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire