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Quand la chair s'éveille – Chapitre 2

Quand la chair s'éveille - Chapitre 2



La suite de l’éveil

Se plaçant à cheval sur son bas ventre, Luce place son sexe en face de celui de Ramon et lentement elle se laisse descendre en se l’enfilant avec un plaisir non dissimulé. Arrivée au fonds, elle sent que cette longue tige tape contre son utérus lui procurant des vibrations qu’elle ne connaît pas avec son amante. Elle remonte quelques centimètres et se laisse à nouveau choir, son pubis tapant celui de Ramon qui la ramone consciencieusement. On sent que c’est un bon sportif, il maîtrise bien son excitation avec les muscles du bas ventre.

Tu feras un bon amant, lui susurre-t-elle essoufflée par sa cavalcade, tu tiens bien la distance.

Comment cela ?, dit-il

Tu ne prends pas ton plaisir tout de suite, mais tu laisses à la partenaire le temps pour s’éclater.

Sans autre, elle se penche en avant et elle arrive à d’une part taper son utérus et à caresser son bouton magique avec l’os du pubis de Ramon. Il ne lui en faut pas plus pour repartir dans la jouissance et lui, piéger dans cette chatte bouillante, il finit aussi par rendre les armes.

Ils s’endorment dans les bras l’un de l’autre.

Le lendemain, c’est Ramon qui s’éveille le premier et en descendant au rez, il passe devant la chambre d’ami où il voit que Line est en train de refaire son lit et après le bonjour, il lui propose de lui aider à le faire.

La jeune femme, sans s’en rendre compte, en se penchant en avant, présente une belle poitrine à la vue de Ramon, qui aux souvenirs de la soirée passée, ne peut empêcher son dard de guigner à travers son pyjama. Évidement, cela ne tombe pas dans l’il d’une aveugle, mine de rien, Line fait le tour du lit et d’un coup se saisit de la pine de Ramon qui sortait de son pantalon de pyjama.

Alors, on a bien joué cette nuit ?, dit-elle en tenant fermement l’objet convoité.

Ne faisant pas la différence entre ses deux femmes, Ramon la renverse sur le lit et ouvre la nuisette qui la protégeait, mettant en évidence une belle fourche bien garnie et juteuse à souhait, sans préliminaire, oubliant les conseils de Luce, il la plaque sur le lit, écarte ce qui le gêne, c’est-à-dire les cuisses et sans autre forme de procès, se plante au beau milieu de Line, lui labourant le vagin de sa pine insatiable.

Salaud, cochon, violeur, tu ne m’auras pas comme cela.

Se rappelant que c’est sa façon de jouir, d’avoir un langage qui dépasse la réalité, il continue à la bourrer et à labourer son sillon, comme avec Luce, il ne se laisse pas aller à se satisfaire tout de suite, mais s’applique à laisser monter les tours de Line. Il sent le petit ergot qui frappe son pubis et a un malin plaisir à le limer, tirant une symphonie de gloussement de la part de Line qui n’en revient pas qu’un homme puisse lui apporter une telle félicité. Finalement elle jouit bruyamment et violemment avant que Ramon lui octroie une rasade de jus concentré de pruneaux.

Salaud, tu m’as bien fait jouir, je ne pensais pas que cela m’était possible avec un homme.

Et encore, je n’ai pas touché tes accélérateurs, qu’est-ce que cela aurait été si j’en avais abusés.

Je dois y aller, je reviendrai peut-être ce soir si tu veux.

Vois avec Luce, c’est elle qui gère. Ciao bella.

Remontant dans sa chambre, il retrouve Luce qui émerge d’un profond sommeil et en s’étirant comme une chatte, elle lui lance un sourire chaleureux.

Alors, tu as été réveillé Line ?

Oui, j’ai voulu lui aider à faire le lit quand elle m’a pris par les sentiments et cela s’est transformé en une bataille. Bataille qu’elle a perdu du reste. Mais elle ne m’avait pas l’air trop traumatisée.

Quoi tu

Oui, comme pour toi hier soir, j’ai vite mis en pratique tes leçons et elle m’avait l’air très contente, elle m’a du reste avoué qu’avant moi, elle n’avait jamais pris son pied avec un homme. J’en avais les chevilles qui gonflaient.

Tu as réussi effectivement une chose assez rare, il faut croire qu’elle avait de bonnes dispositions ce matin. Habituellement, elle hait les hommes. Je suppose qu’elle a eu un traumatisme dans sa jeunesse, mais là, puisque tu étais un innocent aux mains pleines, elle n’a pas eu le ressentiment habituel.

Mais il y a une chose que je ne connais pas, quand vous avez commencé hier, vous vous êtes mises en tête-bêche et cela semblait très bon. J’aimerai aussi bien essayer, mais je ne l’ai jamais fait.

On va commencer de manière asynchrone. Mais d’abord, je vais prendre une douche, il y a les restes de notre nuit et je ne suis pas sûr que tu aimerais, si certains en raffolent, la plupart des hommes évitent.

Alors on va les deux sous la douche.

Si tu veux, dit-elle en se découvrant et lui présentant sa nudité affriolante.

À cette vue, son jeune amant ne peut que manifester son enthousiasme en présentant une gaule qui sort de son pyjama. Le prenant par la main, elle l’attire vers la douche en se réjouissant de la suite. Mutuellement, les deux enlèvent les résidus amoureux qui polluent les parfums intimes de chacun.

Une fois propre, après essuyage mutuel, où Luce devant cette marque vibrante d’affection que Ramon lui témoigne ne peut s’empêcher de lui donner un petit bisou sur l’objet de son désir.

Bien que très fier de susciter un tel engouement, Ramon a une autre idée en tête, goûter ce parfum qui sort de l’intimité féminine.

Viens Luce, j’ai hâte de m’occuper de ton intimité.

Elle s’étend sur le dos en laissant ses jambes fines posées sur le lit.

Commence par le bas, embrasse-moi les pieds, puis remonte en léchant les mollets, puis l’intérieur des cuisses.

Sans contrariété, suivant les indications de sa maîtresse, il remonte jusqu’à l’aine en laissant traîner sa langue sur cette peau très fine. Arrivé à l’aine, à l’orée d’une charmante petite forêt de poils, agrémentée d’une clairière d’où jaillit une source divine d’un parfum étourdissant, comme l’abeille, il sort sa langue pour récolter ce nectar.

Relevant ses jambes fines, Luce présente sa corolle, surmontée d’un joli pistil à l’abeille butineuse qui s’appelle Ramon.

Voilà, tu y es, plonge ta langue au milieu de ma corolle et essaye de boire un peu de mon nectar, ensuite, rien ne s’oppose à venir butiner mon pistil qui n’attend que ta visite.

Mettant en pratique ces doctes conseils, Ramon plonge sa langue au milieu de la fleur de Luce et butine du mieux qu’il peut ce nectar sourdant des profondeurs de sa maîtresse. Il se pourlèche les babines en léchant ces lèvres qui sont si accueillantes et douces, finalement il remonte lentement vers la tête et au passage happe ce bourgeon érigé à l’entrée de la crevasse, il le suce comme un bonbon, créant chez Luce un véritable tsunami, les vannes de fond du barrage de l’amour sont grandes ouvertes, de puissantes giclées de cyprine viennent heurter le menton de Ramon, lui rappelant qu’il y a une suite à donner et que sa maîtresse attend probablement un complément à ce hors d’uvre.

Somme-toute, je le fais à l’envers, j’ai commencé par les pieds et vais aboutir vers ta poitrine qui m’attend, je suppose avec impatience.

Viens en moi, je suis impatiente de te sentir dans mon ventre. J’ai faim de toi. Mon sexe appelle le tien.

À nouveau, Ramon, présente son mat à l’entrée de la mer de Chine, à moins que ce soit le détroit de Gibraltar et d’un coup de rein brusque et pas sec, vu comme elle mouille, il s’enfonce dans les délices situés au milieu de ces cuisses.

Ha ! C’est bon, j’aime quand tu me mets ton sexe dans le mien, ils s’adaptent bien l’un l’autre. Et c’est encore meilleur quand tu pompes avec persévérance. Donne-moi ta bouche, j’aimerais aussi avoir ta langue et jouer avec.

Quelques orgasmes plus tard, Luce un peu vidée et lui, les couilles un peu asséchées, ils décident de faire un break pour se restaurer et jouir d’une belle journée. Comme hier, ils se baladeront dans le parc, mais avant de partir, Ramon lui demande :

Au fait, Line, elle revient ce soir ?

Je ne sais pas, elle aurait déjà dû me téléphoner.

Si elle téléphone, tu lui dis de venir ?

Tu veux ou si tu préfères être tout seul avec moi ?

Je ne sais pas, d’un côté, c’est mieux quand on est que les deux, mais à trois, c’est plus instructif. Mais pour ce soir, je préférerais que l’on soit que nous et pour demain, invite-là, si elle n’y voit pas d’inconvénient.

À ce moment précis, le téléphone de Luce sonne et comme par hasard, c’est Line qui s’informe si elle peut venir ce soir.

Bonjour ma chérie, est-ce que cela te dérangerait de venir que demain ? J’aimerais voir encore certaines choses avec Ramon.

La leçon de sciences naturelles.

Je te comprends ma chérie, ce mâtin, ce matin, il m’a fait décoller, comme un Tupolev, j’ai vraiment dû m’accrocher sérieusement pour ne pas partir et me satelliser. C’est fou ce qu’il apprend vite, cela va  être le nirvana demain si tu perfectionnes encore ses qualités.

Le soir venu, c’est le téléphone de sa mère qui veut avoir des nouvelles :

Alors mon chéri, comment cela se passe avec Luce ? Vous vous entendez bien ?

Oui maman, elle m’apprend des tas de choses que je ne connaissais pas.

Par exemple ?

Comment une cavalière peut monter un pur sang sans décoller les pieds du sol.

C’est quoi cela ?

Je ne sais pas, c’est ce qu’elle m’a dit ce matin lors du réveil.

J’ai peur de comprendre, passe-la-moi tout de suite.

Allo, c’est vous Luce, je ne comprends pas ce que me raconte Ramon, racontez-moi plus en détail.

Ce n’est pas difficile, je lui montrais quelques vidéos sur des chevaux qui ont le garrot relativement bas. Comment se passe votre séjour au Japon ? Et Jean, il va bien.

Oui, très bien, mais on reviendra séparément. J’ écourte mon séjour et lui, il veut rester encore au moins un mois au Japon pour améliorer son aïkido, si bien que je vais me trouver sans chauffeur, ni garde du corps.

Mais Maman, je viens de passer mon permis et comme garde du corps, je garderai bien le tien, juste que mon entraîneur me manquera et je suis un piètre jardinier, mais cette dernière chose n’est pas trop grave je pense.

Alors, il te faut t’attendre à ce que je rentre la semaine prochaine, je te dirai en détail quand il faudra venir me chercher à Charles De Gaule.

Là-dessus, elle coupe la communication.

Zut, cela va être court comme vacances, commente Ramon, j’aimerais encore bien profiter de mes nouvelles connaissances.

Ne t’en fais pas, je vais bien t’entraîner également, mais pas dans les arts martiaux, mais plutôt dans les arts maritaux. On va dans ta chambre pour répéter les derniers chapitres vus et on va ajouter un nouveau.

Arrivés dans la chambre, évidement les deux se retrouvent rapidement nus comme au premier jour et Ramon a toujours cet air enthousiaste en voyant cette belle rousse resplendissante. Il a déjà le goût à la bouche en pensant la dernière confrontation, lorsqu’il l’a léchée de tout son saoul.

Ce soir, je vais t’offrir la dernière virginité qui me reste.

C’est quoi ?

Mon anus ! Rien, ni personne n’y a pénétré, c’est un cadeau que je veux te faire en remerciement de m’avoir donné ton pucelage. Mais au préalable, il faut bien le préparer si j’en crois mes copines qui l’ont déjà perdu. Si c’est mal fait, c’est vraiment désagréable.

Si au commencement, Dieu créa l’homme et la femme, c’était pas pour le plaisir, dit-on, mais pour prospérer. Finissant par en avoir marre d’être en cloque chaque année, elle s’est dite qu’il y avait un autre trou et que cela devait aussi fonctionner. Mais cela ne fut pas immédiat, il lui fallut plusieurs générations pour s’en rendre compte, mais une fois la découverte faite, elle en abusa et la terre commença à se dépeupler, ce qui ne faisait pas les affaires du barbu de l’étage supérieur.

Fâché, il les punit d’abord avec un déluge , puis dans une ville où c’était la règle, l’enculage, et non l’exception, il lui envoya l’équivalent de deux ou trois fois la bombe d’Hiroshima, après, il baissa les bras et laissa tomber et du coup, il inventa l’église et lui recommandant de proscrire cette mauvaise habitude à ses yeux. Voilà pour l’histoire.

Maintenant la pratique. L’homme, bénéficiant de ce cadeau doit être très doux et attentif à celle qui se soumet à cette façon de faire. Avant toutes choses, madame a intérêt être particulièrement propre et un lavement est recommandé, car il est bien vu que l’homme fasse un baiser sur l’anus et même le lèche, comme si c’était un sexe. Ce qu’il faut faire abondamment, car contrairement à la vulve, l’anus ne produit presque pas de lubrifiant. Une fois bien léché et pourléché, on peut mettre un corps lubrifiant, de l’huile, du beurre, de la cyprine, les plus rustres, du crachat. Après seulement, on envisage de faire pénétrer le sexe dans l’anus.

Mais chérie, ce que tu me racontes là, c’est presque un cours de la Sorbonne. Mais viens, j’ai soif de ta fontaine, j’aime tellement ton goût et ton odeur de rousse.

Tu ne veux pas qu’au préalable, je passe sous la douche et me fasse un lavement pour avoir un petit cul tout propre à déguster ?

Si tu veux, mais c’est moi qui tiens la pomme et la poire.

Petit coquin, c’est d’accord.

Je vais chercher le nécessaire dans la chambre de bain de maman, si je me souviens bien, elle l’utilise souvent, maintenant, je comprends pourquoi.

Va.

Revenant de la chambre avec ce nécessaire, il ne peut s’empêcher d’y mettre son nez.

Mais cela ne pue pas la merde, mais plutôt le parfum intime.

Normal, parfois, il faut bien nettoyer aussi l’intérieur de son sexe, viens on va dans la tienne pour faire le lavement.

C’est ainsi que Luce se retrouva à quatre pattes, le cul en l’air attendant que la burette vienne faire son office. Ramon, appuie délicatement l’embout sur l’illet, fait pénétrer la canule au maximum et serre la poire de toutes ses forces, expulsant force d’eau tiède dans l’intestin de Luce.

Celle-ci, sans façon, se pose sur les toilettes et rejette toute l’eau qui avait été injectée. Ramon n’en perd pas une miette de voir tous ces détails.

Encore une fois, dit-il par excès de prudence.

Luce,  après s’être bien essuyée, lui tend son cul vers la figure :

Contrôle si c’est bon.

Si le chaton de la chanson y mit la patte, Ramon, lui y mit le bout du nez, pirouette cacahuète.

Je confirme, c’est bon, je suis impatient de la suite, dit-il en pensant : Fleurs au balcon, tison dans le fion.

Mais avant, j’aimerais bien sucer pour apprêter cette belle saucisse.

C’est ainsi qu’elle se retrouve à genou, comme une communiante, la main tenant la baguette magique pour la faire rentrer dans sa bouche.

C’est très bon. Mais ce que je veux, c’est ton fion, maintenant que tu me l’as promis.

Le voilà, dit-elle en présentant son fessier à la concupiscence de Ramon.

Tirant la langue, Ramon passe une fois à l’entrée principale, car c’est là que l’apport gustatif est le plus grand, la crevasse étant déjà bien humide, avant de se diriger vers l’entrée de service pour la ripoliner.

C’est bon, je le fais bien.

Oui, très bien, c’est très agréable, tu peux me mettre un, puis deux, puis trois, puis quatre doigts pour l’assouplir avant d’enfiler ta queue. Mais avant va chercher un peu de vaseline, il doit bien y en avoir dans la chambre de bain de ta mère.

Il cherche un bon moment et revient avec une boite assez grosse :

Il est écrit dessus graisse à traire, tu penses que cela va faire l’affaire ?

Mais oui, c’est exactement ce qu’il faut. Je vois que Madame la Baronne, de temps en temps, permet l’utilisation de l’entrée de service à Jean, je suppose pour se soulager.

Mets en bien sur la corolle avant de mettre les doigts pour bien graisser et que cela glisse bien.

Il faut aussi m’embardoufler le sexe ?

Ce serait aussi pas mal.

Après tous ces préparatifs, Hector présente les armes à l’entrée de la grotte, Luce fait semblant de pousser un gros caca et dit :

Vas-y, je crois qu’on ne peut pas plus préparer, mais va lentement pour m’habituer et profite pour me caresser le bouton d’amour ou les seins.

Poussant avec conviction sa queue à l’orée du puits de Sodome, il y fait pénétrer le gland et s’arrête :

ça va ?

Oui, continue, maintenant que le gros des troupes est passé, cela ne devrait pas poser de problème.

Mais ça serre terriblement, j’ai l’impression de forcer le détroit de Gibraltar.

Va bien au fond et commence à ramoner ma cheminée.

Se tenant à la poitrine de Luce, Hector commence la journée avec les pompes, et un et deux et trois. Arrivé à un nombre impressionnant, quand même pas Gogol, Luce qui a déjà grimpé tous les rideaux de la chambre et est en train de s’essayer sur les stores et les volets, puis finalement épuisée, elle abandonne la course, elle a largement gagné, vu qu’Hector, maîtrisant bien la situation n’a pas encore fait dégorger son poireau.

Tu ne veux vraiment pas craché ton miellat, j’en peux plus.

J’attendais que tu rendes les armes pour inonder tes boyaux. C’est intéressant comme sensation de sentir mon saucisson racler les parois de ton colon. Je viens ! et d’un grand coup de balancier, il lui envoie le lisier. Ah ! c’est bon, dit-il en se retirant de l’antre de Sodome, mais je préfère l’autre côté, on a moins tendance à s’emmerder.

Ne me dis pas que tu t’es emmerdé, avec les 2 lavements que l’on a faits !

Non, mais je pense aux fois qu’on oublierait de nettoyer le passage.

Je pense que maintenant on peut dormir un peu, je suis épuisée.

Les deux s’endorment à l’hôtel du cul tourné, quant au milieu de la nuit, Hector se retourne et voit Luce dans toute sa splendeur, avec sa chevelure rousse étalée, éclairée par une lune insolente. Il se sent à nouveau prêt pour un autre combat amoureux, ses armes sont bien affûtées. Délicatement, il met la main sur les seins de Luce, ce qui entraîne un grognement qui se transforme en ronronnement au fur et à mesure du réveil de la belle. Sa poitrine généreuse se tend et ses tétons s’érigent, durcissent jusqu’à obtenir une dureté Brinel convenable.

Hmm ! Voilà un réveil de rêve, je vois que tu as encore envie, dit-elle en mettant la main sur la preuve de son intérêt qui est tendu comme un arc mongol.

Elle se retourne vers lui et le couche sur le dos, l’enjambe et présente sa tirelire à ce dard, affamé sitôt le matin. Lentement elle se laisse descendre sur cette colonne Vendôme, jusqu’à ce que sa toison se mêle avec celle d’Hector et là, elle reste immobile, appréciant ce moment de plénitude matinale avant d’entamer un mouvement chaloupé qui se transforme bientôt en la charge héroïque de la X brigade lors de la prise de Sébastopol. Massant consciencieusement la tige qui occupe son vagin, elle réussit pour une fois à le faire sortir de ses gongs avant elle, il n’arrive à contenir l’invasion de ses spermatozoïdes qui viennent tapisser violemment les parois de sa grotte, ce qui irrémédiablement l’amène à un orgasme libératoire.

La journée a bien commencé, mais j’aimerai encore un peu dormir, c’est trop tôt pour se lever.

Excuse-moi, mais ta beauté, auréolée par une lune indiscrète a créé un besoin de câlin très fort. Tu ne m’en veux pas ?

Non, mais on va s’endormir encore une fois dans les bras l’un de l’autre.

C’est ainsi que mettant sa tête sur le torse d’Hector, elle jouit des parfums de l’Andalousie qui malgré son état de fatigue remuent à nouveau sa libido. Elle promène sa main sur son thorax et griffant légèrement la peau.

Si c’est ainsi que tu conçois le repos, j’ai l’impression qu’il sera de courte durée, tes caresses ne vont pas tarder à réveiller le colle os, l’avertit Hector en caressant son abondante chevelure.

Ce qui doit arriver, arrivera. Je ne me plains pas. Tu me baises si admirablement.

Le soir, qui voit-on arriver ? C’est Line sans Renaud qui a envie à nouveau d’un petit coup de pioche ou d’une grande léchée avec Luce. Elle les trouve les deux à table, avec des escargots et des coupes de champagne. Jeanine qui avait bien compris le manège de Luce s’était appliquée et avait sorti toutes ses recettes de cordon bleu. Le beurre à l’ail était tout simplement fabuleux. Aux Charbonnières, il faut dire qu’ils savent les apprêter les gastropodes et encore les délicieux Mont-d’or.

Je peux m’inviter ? J’ai grand faim et ce que je vois ne résout en rien ma fringale.

Mais bien sûr, Janine, tu peux rajouter un service et une ration.

Pour le service et le champagne, tout de suite, mais pour les escargots, il faudra un peu de patience.

Tant qu’à faire, mets toi aussi un service pour toi et partage avec nous ce repas.

Je ne sais si j’ose ?

Mais bien sûr si c’est moi qui te le demande ! Par la même occasion, à la suite, tu nous feras des pêches flambées au cognac.

Une fois les impératifs du service réglé, elle vient s’asseoir à côté de Line qui d’une manière polissonne, entreprend de la draguer.

À table, allégez votre tenue Janine, je vais vous aider à enlever votre tablier et ce qui n’est pas nécessaire, lui dit-elle

En détachant les cordons qui tenaient les tabliers, elle ne peut s’empêcher pour le prendre, de mettre ses deux mains sur les seins de Janine qui devient toute rouge de confusion que son petit maître voie qu’elle se fasse tripoter les nichons par une femme.

Tu as une jolie poitrine, lui affirme Line, est-ce que Ramon y a déjà touché ?

Line, tu vas trop loin, l’admoneste Luce qui a l’esprit des convenances ; on ne mélange pas les torchons avec les serviettes.  

Quand on ajoute un sommet à un triangle, cela fait un quadrilatère. Enfin je sais que toi et les math,

Dites-moi Jeanine, êtes-vous fâchée ?

Non, mais juste un peu troublée, je n’ai pas l’habitude d’avoir une jolie femme me tripoter les nichons, mais je ne me plains pas !

Plus directement, voulez-vous jouer avec nous cette nuit ?

Volontiers, surtout que depuis que Monsieur a décédé, la vie est bien morne.

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