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Gros patron chanceux – Chapitre 2

Gros patron chanceux - Chapitre 2



Cest vrai que cette rencontre et surtout cette bonne partie de jambe en lair avec ma future secrétaire était un moment mémorable. Mais les mois qui ont suivi nétait pas dénués dintérêt. Déjà il y avait la fameuse période dessai de 2 mois durant laquelle, selon notre accord elle était tenue de venir me sucer chaque jour et soffrir entièrement à moi au moins une fois par semaine. Jai fantasmé sur elle tous les jours jusquau Lundi matin. Mes collègues, surtout Gilbert que je connaissais depuis lenfance, de 10 ans mon ainé, avaient bien remarqué un changement dans mon comportement mais sans en définir la cause.

Le Lundi matin, jarrivais, habillé comme dhabitude (exit le costume neuf qui me grattait) : Jean bleu, pull over en laine, veste en velours et chaussure de randonnée. Il ny avait que dans ce genre de fringue que je me sentais à laise Je voyais au loin toute mon équipe entourant une jeune femme blonde habillée comme tous les jours et à peine maquillée. Je reconnaissais bien là ma nouvelle secrétaire. Je lui avais dit de ne pas faire dexcès dans sa tenue pour mieux passer inaperçu et ainsi éviter que trop de monde ne se pose trop de question gênante. Mais ça cétait sans compter Gilbert qui la dévisageait du regard et commençait à sen poser.

— Bonjour à tous, je constate que vous avez fait connaissance avec Cindy. Elle va assurer le poste de secrétaire et hôtesse daccueil. Je compte sur vous pour lui faire bon accueil.

— Bonjour à tous.

— Donc suivez moi je vais vous montrer votre bureau et ce soir, en fin de journée vous passerez me voir pour signer votre contrat de travail.

Tout le monde partait alors vaquer à ses occupations. Tous sauf Gilbert qui me regardait méloigner avec un sourire moqueur sur son visage.

— Oui Gilbert ? tu voulais dire quelque chose ?

— Non rien dimportant.

Après avoir mené ma toute nouvelle collaboratrice dans ses fonctions, je retournais à mon bureau. Je métais arrangé pour que le dessous de son bureau, et donc ses jambes, soit visible au travers de louverture de la porte, depuis mon bureau. A la pause de midi, Gilbert vint sassoir à coté de moi et attendit quon soit seuls pour me questionner.

— François, je peux te poser une question ?

— Va z y.

— Tas lair tout joyeux depuis une semaine. Cest la petite nouvelle qui te met en joie ?

— Pourquoi tu dis ça ?

— Je ne sais pas. Elle est jeune et belle. Tes divorcé. Tas pas eu de femme depuis un moment. Tu pourrais prévoir un truc avec la petite par exemple. Tu ne serais pas le premier patron à senvoyer sa secrétaire.

— Tu me prends pour qui ? Bill Clinton ? Je nai pas lintention de lui faire du harcèlement si tu tiens à le savoir. Ok elle est charmante, un vrai ravissement pour les yeux. Et cest ce quil faut pour une hôtesse daccueil. Et puis elle débute jai eu envie de lui laisser sa chance.

— Ok mais si jamais tu prévois un truc avec elle, compte sur moi pour te couvrir au besoin.

— Tu pars dans un délire. Je ne te raconte pas.

— Pas si sur. Bon moi jy retourne, jai une commande à finir.

Il commençait à être gênant avec ses questions. Il allait falloir être prudent. Je ne lui avais pas menti sur le harcèlement après tout. Et puis ce nétait pas moi qui avais lancé les hostilités lors de lentretien. Le soir arriva et mon entrevue « spéciale » aussi. Jétais tout excité. Toutefois je ne perdais pas de vue que ça pouvait être un piège. Cest pourquoi javais prévu un dictaphone. Javais prévue de lui faire répéter tout ce quelle mavait dit et fait lors de son entretien dembauche. Comme ça jaurai une preuve. On ne sait jamais. 18h passé, je la voyais arriver dans mon bureau.

— Donc, François, vous vouliez me voir ?

— Oui pour le contrat de travail que voici. Ainsi quun petit document stipulant notre accord.

— Merci dit-elle avant de tout signer.

— Au fait maintenant quon est seul et compte tenu de ce quil va se passer, on va pouvoir se tutoyer.

— Comme tu veux.

— Alors cette journée ?

— Bien, mais javais hâte dêtre à ce soir. Tu mas tellement fait de bien la dernière fois que javais envie de recommencer.

— Faut dire que tu nas pas lésiné sur les moyens pour me convaincre. Je me souviens que tu me disais être prête à passer sous le bureau, tu tes déshabillé, tu mas sucé. Jai fini par craquer. Ty es pas aller avec le dos de la cuillère pour ton entretien dembauche.

— Tu ne vas pas te plaindre tu y as pris autant de plaisir que moi.

— Oui cest sur. Par contre je vais me plaindre si, maintenant que tu as signé, tu ne viens pas me sucer immédiatement.

— Tout de suite mon cur.

Comme convenu, elle se mit devant moi entre les cuisses et enfourna dans sa bouche ma queue que javais déjà sortie. Elle me suçait comme une princesse. Cétait super. Elle alternait les gorges profondes avec les léchages de gland. Jétais au paradis.

— Jai encore la boite de préservatif de lautre jour, si tu veux quon aille plus loin.

— Ah mais je suis prêt à aller aussi loin que tu veux ma jolie. A toi de choisir.

A ce moment là elle arrêta de me sucer pour menfiler un capuchon de caoutchouc sur le zgeg, retira son haut, sempala sur moi et commença à se déhancher me laissant ainsi le loisir de lui titiller les mamelons avec ma langue.

— Ah, une secrétaire comme toi, je naurais jamais imaginé en avoir une un jour. Je comprends Bill Clinton. Il a bien du samuser avec sa stagiaire. Dis-moi, comment tes venu lidée de me faire ce coup là ? Tu sais, utiliser le sexe pour avoir ton boulot ?

— Et bien je me suis renseigné sur la boite et sur toi. Quand jai vu ta fiche et ta photo, je me suis dit que tu ne devais pas être insensible aux charmes dune jolie fille. Alors je tai fait du rentre dedans.

— Au sens figuré alors. Parce quau sens propre cest moi qui ten ais fait. Dailleurs je pourrais devenir un dangereux récidiviste dans ce domaine.

— Oh mais je nattends que ça.

— Je sens quon va bien samuser. Bon il est temps que tu acquières plus dexpérience pour ta petite issue de secours. Quen penses-tu ?

— Fait de moi ce que tu veux du moment que tu me fais jouir.

Après une invitation aussi alléchante, je nai pas tardé à la faire sallonger sur le bureau, sur le ventre et ayant prévu du gel cette fois je lui en badigeonnais la rondelle, puis ma tige, avant de my introduire. Après quelques instants, lors de lintroduction où elle faisait la gueule (la douleur surement), Je la sentais sabandonner complètement à mes caresses et à mon pieu. Je lentendais pousser des gémissements de plaisir ce qui mencourageait à continuer jusquà la jouissance.

Une fois les bourses vides, elle se releva pour me donner un dernier baisé, se rhabilla et pris congé. Une fois parti je pris mon dictaphone et écoutai la bande dans laquelle elle disait être à linitiative de nos rendez-vous coquins. Tout y était, il nen manquait pas un mot ni une virgule. De toute façon je doutais davoir à men servir un jour. Vu nos ébats il semblait évident quelle comptait y prendre autant de plaisir que moi.

Cest en sortant de mon bureau que je constatais que Gilbert était là, avec un sourire moqueur.

— Alors mon grand, on sorganise une petite sauterie en cachette avec sa secrétaire ?

— De quoi tu parles ? on finissait juste un dossier.

— Oui, bien sur, celui dun client japonais monsieur « imatoumi danlku ». Tu me prends pour un abruti ? Javais oublié mes clés et Je vous ai entendu derrière la porte.

— Ah ? . Et tu as entendu quoi ?

— Bah déjà les cris de jouissance de mademoiselle. Et puis la fin dune phrase qui disait que cest elle qui tas chauffé et que tas pas résisté.

— Ok donc tas tout entendu alors. Oui bon daccord cest vrai. On a prévu de passer de bons moments à deux. Mais je nai pas envie quon le sache.

— Ok bah commence par demander à madame de baisser le son. Ça raisonne dans latelier. Ten fais pas je dirais rien. ça me fait plaisir de te voir heureux. Au moins vous pouvez compter sur un complice dans la place maintenant.

— Tu sais ça commence juste. Cest plus un échange de bons procédés, rien de bien sérieux.

— Je ne sais pas dans quoi tu tes embarqué mais si ça doit marcher avec la petite jespère pour toi que ça continuera. Bon, moi je rentre.

Jétais à la fois gêné de lui avoir un peu menti mais aussi rassuré quil sache tout. Je le connaissais depuis lenfance on est soudé, et je ne voulais pas quil le prenne mal. Visiblement ce nétait pas le cas.

Durant les semaines qui suivirent, Cindy et moi on se voyait presque tous les jours. Même si on avait un accord quotidien, il nous arrivait parfois de sauter une journée pour mieux se rattraper le lendemain. On nétait pas formalisé la dessus. Parfois on pouvait compter sur la complicité de Gilbert pour être couvert et éviter de se faire pincer. Il nous a sorti daffaire plusieurs fois. Ça me donnait limpression dêtre un lycéen qui faisait sa petite affaire à sa copine du moment pendant que son pote fait le guet. Cétait amusant. Mais plus les semaines passaient plus je voyais la fin de la période dessai sapprocher. Et donc, peut-être fini les coucheries crapuleuses. On avait un accord et jallais le respecter. Sil y a un truc sur lequel je porte un point dhonneur cest la parole donnée.

Le dernier jour de la période dessai, un vendredi avant le long weekend du lundi de pentecôte, Elle me laissa faire tout ce que je voulais sans restriction. Gilbert sétait arrangé pour que tout le monde parte en avance et ainsi nous laisser le champ libre. Jai eu droit à tout. Elle avait prévu un strip tease torride pour bien mallumer et une pilule bleue pour que ça dure plus longtemps. Cétait magique, pour moi comme pour elle. Avant de me connaitre elle navait jamais essayé lanal. Ce soir elle en redemandait encore. Etait-ce pour me faire plaisir ou était-elle sincère ? Sur le moment je nai pas pu le savoir. Mais au moins elle est allé jusquau bout du jeu.

Une fois leffet de la pilule dissipé, on était touts les 2 allongé sur la moquette de mon bureau à se regarder dans les yeux.

— Bon bah ta période dessai est terminée.

— Oui. On sest quand même bien amusé durant ces 2 mois.

— Oui. Grâce à toi jai retrouvé lenvie davoir une femme dans ma vie. A force de bosser comme un dingue, avant de te connaitre je ny pensais plus.

— Ten fait pas tes mignon et bourré de qualité. Tu ne tarderas pas à trouvé quelquun.

— Bon il reste une dernière chose à faire : bruler le papier de notre accord qui na plus lieu dêtre.

Je sorti un briquet, elle tenait le papier qui fini en tas de cendre dans la poubelle. Après sêtre rhabillé, on reparti chacun de notre coté après un ultime baisé. A ce moment là je nimaginais pas que sa phrase où elle disait que je ne tarderais pas à trouvé quelquun allait se vérifier très vite. Je lignorais mais elle avait fermement lintention de tenter sa chance, sachant quelle avait tout ce quil faut pour réussir.

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