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un jeu tres dangereux – Chapitre 8

un jeu tres dangereux - Chapitre 8



Elle regagne sa chambre et prend un somnifère, comment dormir, sinon ! Le lendemain matin, elle se réveille grâce au lever du jour, hier soir, elle n’a pas pensé à fermer les volets de sa chambre. Les mots posés sur sa table de nuit rappellent à Isabelle qu’un homme la tient entre ses doigts.

Après la douche, elle se positionne devant sa garde robe, elle cherche les porte-jarretelles qu’elle s’était achetés pour plaire à son mari, il y a quelque années. Avant, elle avait l’habitude d’en porter, mais la mode des bas dim up et surtout la facilité de les mettre l’avait faite changé d’avis.

Porte-jarretelle trouvé, elle s’étonne, elle-même, d’en avoir avec 3 couleurs différentes, un noir, un violet et un blanc, tous en dentelles. Les bas qui allaient avec, étaient tous bien là, aucun n’étaient filés. Il y en avait pour tous les goûts, noirs, chair, gris, blancs, violets et marrons. Isabelle devait en choisir un, quoiqu’il arrive. Elle opta pour l’ensemble violet. Après les avoir enfilés, elle se regarda dans la glace. Quelle merveille, Isabelle pourrait exciter n’importe qu’elle personne, habillée comme ça !

Son porte-jarretelles violet qui retient ses bas de la même couleur, lui va à ravir, de même que son soutien-gorge transparent, ainsi que sa culotte, de la même couleur que la parure. Par dessus, elle met une jupe tailleur rouge qui lui serre parfaitement le cul et une chemise sans manche, de couleur belge qui lui comprime son impressionnante poitrine. Chaussée de ses pantoufles jaunes, elle passe à la salle de bain pour se coiffer en chignon et se maquiller, mettre son collier et son bracelet en or d’une grande valeur, puis descend préparer le petit déjeuner.

« Éric…, chéri, c’est prêt ! »

« Oui, j’arrive maman ! »

La sonnette de la porte retentit, d’un seul coup. Dans sa cuisine, Isabelle fait tomber la cuillère de la confiture, « serait-ce encore lui ? », pense-t-elle. Elle ouvrit la porte et comme habituée à ce manège, elle récupère le bout de papier. « Quand c’est que ça va se terminer ? » C’est bien ce que se demande Isabelle quand elle ouvre le papier.

« Oooh, mais tu es très belle !

Bravo Isabelle, tu ne pouvais pas être mieux !

Tu t’imagines, si ton fils est au courant de ce que tu portes en dessous, gentille maman que voila, il serait fort dommage de ne pas lui en faire profiter. !

Aguiche-le…, c’est un ordre ! Je veux qu’il bande comme moi en ce moment ! »

La main devant la bouche, Isabelle lit et relit encore une fois le mot, pour être sûre d’avoir bien lu.

« Non…, non, je ne peux faire ça…, il faut que ça cesse, jusqu’où va-t-il m’emmener ? »

« Qui c’était, m’man ? », demande Éric qui descend des escaliers.

« Euh…, non, ne t’inquiète pas, c’était juste quelqu’un qui vendait des fruits, faisant du porte-à-porte ! »

« Si tôt ?!! Les gens sont malades, ma parole !! »

Éric remarque la tenue de sa mère. Jamais, il navait remarqué la couleur de ses bas, d’ailleurs, cela l’intrigue. Ils passent à table. Isabelle savait qu’elle était espionnée, en ce moment même, par son terrible pervers. Elle devait jouer le jeu, sinon, elle savait ce qu’il lui en coûterait ! Mais en même temps, elle était excitée de se retrouver dans une situation pareille. Elle fit exprès de faire tomber sa cuillère et de la pousser, avec son pied, vers ceux de son fils.

« Oups…, euh, chéri, peux-tu récupérer ma cuillère, s’il te plaît, elle doit être à tes pieds ? »

« Oui, bien-sûr ! »

Éric ne demande pas mieux pour pouvoir jeter un il, voire les deux, pour se renseigner de ses nouveaux bas. Quelle surprise lorsqu’il tombe, nez à nez, avec les jambes de sa mère, légèrement écartées pour garder une certaine pudeur. Pourtant, malgré ça, Éric a assez de champ de vision pour voir sa culotte violette, transparente, donc ses poils pubiens et ses lèvres qui se voient au travers. Éric ouvre grand les yeux et comprend tout de suite que sa mère porte, aujourd’hui, un porte-jarretelles. Grand connaisseur, il sait que les lisières des bas ne sont pas autofixantes et qu’elles ne peuvent tenir que par de jarretières. C’est fou, c’est hallucinant pour le jeune homme qui a toujours fantasmé sur ce genre de lingerie.

il récupère la cuillère et se rassied en bandant comme un âne. Isabelle est morte de honte, elle comprend tout de suite, à la tête de son fils, qu’il s’est aperçu de ce qu’elle portait sous sa jupe rouge.

« Tu…, tu y vas comment, en cours, aujourd’hui ? Tu ne mas rien dit ! »

« Mon pote, Jean-Baptiste vient me chercher ! »

ils finissent de manger, mais l’érection d’Éric ne baisse pas, il n’arrive pas à s’enlever l’image des cuisses de sa mère ! La sonnette retentit dans la maison :

« Ah, ça doit être lui ! »

Isabelle le regarde avec de grand yeux et lui dit :

« Attends, finis de manger, je vais voir si c’est lui ! »

Isabelle se rend à la porte, préférant se rendre compte si c’est bien Jean-Baptiste ou si c’est encore une nouvelle recommandation de ce pervers. C’est bien Jean-Baptiste, Isabelle lui dit de patienter, laissant le jeune homme dehors qui préfère l’attendre dans la voiture.

« Oui c’est ton copain, Éric, il t’attend dans la voiture ! »

Elle s’avance et trouve une saleté au sol. Étant maniaque, elle s’accroupit devant son fils, écartant un tant soit peu les jambes, l’une accroupie, l’autre à genou, offrant, une nouvelle fois, la vue de son entrejambe à son fils. Le doute n’est plus permis, la jupe retroussée, les lisières et même le début des jarretières voient le jour. Isabelle se rend compte de son geste lorsqu’elle aperçoit le regard de son fils. Une certaine force l’incite à rester comme ça, plus longtemps qu’il ne le faut. La gorge sèche, Éric regarde, stupéfié par le spectacle, son érection n’avait jamais été aussi forte.

« Bon…, ben, je…, j’y vais, maman ! »

Éric se lève et essaie de cacher son érection avec ses mains.

« Que caches-tu avec ta main ? Tu t’es taché ? »

Isabelle se surprend, elle-même, de sa question, Éric ne savait pas quoi dire, c’est bien la première fois qu’elle pose cette question, alors qu’elle l’a déjà vu dans cette état.

« Eeuuuuh…, non…, je, je… »

« Écoute…, si tu es taché, il faut me le dire, il ne faut pas que tu ailles comme ça en cours, que vont dirent tes profs ? »

Les dés sont lancés, comment faire machine-arrière. Elle s’avança vers lui :

« Laisse-moi voir, Éric ! »

« Euuh, je…, mais non, c’est…, c’est bon… ! »

« Laisse-moi voir si tu es taché, voyons ! »

Isabelle est au summum de son excitation et Éric, quant à lui, enlève ses mains pour laisser place à une énorme bosse.

« Oooooh, mon dieu !!! »

Isabelle joue le jeu de la mère surprise, Éric est gêné, ce n’est pas comme si elle dormait, là, c’est du vrai, il bande en face d’elle. Isabelle regarde la bosse ne sachant pas quoi dire.

« Bon…, bon, excuse-moi, maman, j’y vais, il doit m’attendre ! »

« Attends mon chéri…, tu…, tu ne peux pas y aller comme ça ! »

Éric ne sait pas quoi répondre et regarde sa mère.

« Dis-moi…, tu ne te masturbes pas, les matins ? »

Éric est scotché, voilà que sa mère lui parle de son érection.

« Euuuh…, ben, pas ce matin ! »

« Tu as mal ? »

« Ben, ça serre… , oui, un peu mal ! »

« Mon pauvre chéri…, comment peux-tu être concentré à tes cours, si tu es comme ça, attends, si tu es serré, il faut la libérer un peu ! »

Les yeux grand ouverts, ne respirant presque plus, Éric regarde sa propre mère se mettre à genoux devant lui. Rouge de honte, ne voulant pas le regarder, elle s’active à lui défaire les boutons de son jeans. De là, ressort le tissu du slip blanc, déformé par son membre. Isabelle ne s’arrête pas là et continue son déballage, en faisant sortir le sexe au grand jour. Le moment est tout simplement impensable. Le visage d’Isabelle est à quelques centimètres de cette énorme verge dont le gland est déjà sorti de son prépuce.

Quelle taille, quelle grosseur, son père est bien ridicule à côté ! Mais où a-t-il pu hériter d’un tel engin ?

« Tu…, tu te sens mieux ? »

« Euh…, oui, ça va un peu mieux ! »

Isabelle lève la tête et le regarde. Éric ne sait pas comment réagir, un peu normal, qui saurait quoi faire, dans ce moment-là, avec sa mère, à quelques centimètres de son sexe bandé ?

« Éric, tu…, tu ne peux pas rester comme ça…, il faut faire partir ton érection ! »

« Mais…, mais… !! »

« Attends…, maman va t’aider, chéri…, il faut faire vite, ton copain t’attend ! »

Et dans un moment de silence, Isabelle attrape la verge dont la dureté et la chaleur la surprennent, elle commence alors, un léger va et vient !

« Dis-moi quand tu viens, mon chéri ? »

Éric fit un oui de la tête, Isabelle le branle de nouveau, les gestes se font très réguliers. Isabelle fixe cette énorme queue, à quelques centimètres de ses yeux. Déjà, l’odeur de l’homme remplit son nez. Éric respire fort. Elle accroupit une jambe et sa jupe étroite se retrousse largement au dessus de ses fesses. Sa lingerie, entièrement dévoilée, emmène Éric un peu plus près, au 7ième ciel !

« Ça va, chéri…, maman fait ça, bien ? »

« Oooohhh…, maman… !!"

Son geste se fait de plus en plus vite et Éric sent qu’il n’est pas loin de tout lâcher.

« Oooh maman…, ça, ça…, je sens que ça vient !!! »

« Oui, laisse-toi aller, mon cur, maman n’aime pas te voir mal…, pourquoi ne t’es tu pas branlé ce matin ? »

« Oohhhhh, j’en sais rien ! »

« Tu sais bien que pour t’aider, tu peux prendre mes culottes, mon cur ! »

« Mmmmmmm…, oui tes culottes…, ooooh… ! »

Le fait d’entendre sa mère lui parler de ses culottes, lui fait un choc et il sent tout venir !

« Aaaah, je jouis…, je jouiiiiiis !!! »

« Hein ???!!! »

Isabelle, surprise, a juste le temps de regarder le visage crispé de son fils. Les premiers jets viennent s’écraser sur son visage, pourtant Isabelle n’arrête pas les va et vient et d’autres jets suivent les premiers.

« Oooooh, Éric…, maman t’avait dit de prévenir !!! »

Malgré ces mot de protestation, Isabelle ne s’enlève pas pour recevoir les dernières gouttes d’une étonnante quantité de sperme, déversé par son propre fils. Éric a la tête levée, face au plafond, il a joui comme jamais, grâce aux mains magiques de sa mère.

Le klaxon d’une voiture se fait entendre.

« Merde, Jean-Baptiste !!! »

« Vas-y vite, mon poussin ! »

Éric s’empresse de se rhabiller et file en cours, laissant sa mère prendre le soin de se nettoyer le visage à la salle de bain.

Elle sen veut terriblement, elle a fait jouir son fils avec ses mains, comment revenir en arrière après cela ? Lorsquelle sort de la maison pour prendre la voiture et aller au travail, elle tombe sur un mot plaqué contre le pare-brise et l’essuie-glace. Isabelle avait complètement oublié cet individu et bien évidement, il a dû se rincer l’il, ce qui n’allait pas arranger sa situation. Le mot, d’ailleurs, lui donna raison. !

« Bravo…, bravo !

Quelle superbe attention, venant d’une mère, tellement attaché a son propre fils !

J’avoue avoir joui en même temps que vous, quel régal… !

Si ton mari le savait, que pourrait être sa réaction ?

Je te félicite…, encore encore hahahaha ! »

Les main tremblantes, elle lit les derniers mots du message d’un homme qui la nargue et se joue de ses propres erreurs.

Isabelle est entre les mains d’un pervers qui peut lui détruire la vie à tout moment et d’un fils dont ils ont franchi un nouveau pas vers l’immoralité.

bientot la suite

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