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Gwendoline, le loup-garou et moi – Chapitre 6

Gwendoline, le loup-garou et moi - Chapitre 6



Juste avant que minuit ne sonne, il la pénétra et la déflora.

Il y allait lentement. Elle ne dit rien mais eut juste un petit sursaut et un petit rictus au moment sans doute où il lui fit craquer la capsule et nous vîmes la bite disparaître entièrement dans le trou.

–  Je ne t’ai pas fait mal ? dit-il au moment même où sonnait le premier coup de minuit.

–  Non, c’est bon, c’est bon continuez.

Mais Maxime s’immobilisa. Déjà la métamorphose commençait. La queue plantée au fond de la fille, nous vîmes le spectacle incroyable de la mutation s’opérer sous nos yeux.

Dressés sur ses bras, Maxime ne touchait la fille que par le contact des jambes et du bassin.

Les poils commencèrent à pousser du moins là où il en a, c’est à dire au pubis, sous les bras et dans l’entre-jambes, les membres s’allongèrent, la tête se transforma. Maxime soufflait fort et grognait par à coups. Comme notre loup-garou est peu poilu elle ne devait sans doute pas  prêter attention à ce qui se passait, même si la peau de vient plus dure et plus tendue, mais cela peut être mis sur le dos de la contraction musculaire.

–  C’est curieux, dit la fille. J’ai l’impression que votre sexe gonfle.

–  Ah mais ce n’est sûrement pas une impression. C’est au moment de jouir que la bite atteint son plus gros volume, dit Gwendoline, t’inquiète.

–  Oh, je ne m’inquiète pas… C’est bon… mais quand même, ça change vachement et…mais que… c’est quoi ça ?

Maxime bavait abondamment. Et les seins de la fille était sous l’orage.

–  On a amené le chien au dessus pour l’exciter. C’est lui qui bave et qui grogne.

–  Ah… Mais, ça écarte plus là … il se passe quoi ?

Les jambes de Maxime s’allongeaient et ses cuisses gonflaient. Son bassin s’écartait, les couilles enflaient et, surtout, comme nous observions la scène de près, nous vîmes la base de sa bite augmenter. S’il poussait encore un peu, la boule finirait de s’agrandir et obstruerait le vagin mais comme il était immobile, cette espèce de grosse balle de tennis toute rouge restait à l’extérieur mais la fille devait le sentir. De plus, la métamorphose étant presque terminée et Maxime ayant quasiment atteint sa taille maximale, il faisait de plus en plus pression en elle car sa croissance l’avait projeté en avant vu que ses bras étaient restés à la même place alors que son corps s’étirait.

D’ailleurs, elle commençait à s’affoler un peu. Elle était était obligée d’écarter d’avantage les jambes.

–  Que se passe-t-il, que se passe-t-il ? C’est énorme ! Enlevez-moi mon bandeau.

–  C’est presque fini, ne t’inquiète pas.

–  Si… c’est… on dirait. enlevez-le moi !

Et comme elle portait ses mains vers sa tête, Maxime s’écrasa sur elle, l’immobilisant.

–  Mais, c’est… comment…

Elle passa ses bras sur le corps gigantesque.

–  Mais c’est pas le même.. il est plus grand …Comment… comment vous avez changé de mec sans que je m’en rende compte ? C’est quoi le truc ?

A ce moment Maxime se mit à crier et il éjacula en reprenant progressivement ses mouvements. La métamorphose était terminée et il fut agité de violents spasmes orgasmique qui lui secouèrent le bassin. Un mélange abondant de sperme et de sang s’écoulait de la fente. Il se retira. Sa bite me parut plus grosse qu’à l’ordinaire et lui même me parut plus grand; Avant que la fille ne réagissent il porta son pénis dégoulinant vers sa bouche.

–  Ouvre ta bouche, dit Gwendo.

La fille obéit tout en essayant de porter ses mains à sa tête pour écarter le bandeau mais nous l’en empêchâmes. Le loup-garou  trempa sa queue et aussitôt, il se passa pour elle ce qu’il s’était passé pour nous. La filles ’apaisa et il purent entrer en communication.

–  Amenez un bol les filles.

–  Pourquoi ?

–  Il faut recueillir le plus de jute dans le vagin.

On fit donc ce qu’il demandait et on demanda à Isabelle d’expulser tout le liquide qu’elle avait accumulé;

–  Tu vas en faire quoi ?

–  Vous vous rappelez la recette d’Ita pour nous donner voix humaine pendant la métamorphose ?

–  Oui ?

–  Du sperme de loup-garou, mélangé à du sang de vierge et à l’urine d’un femme en période d’ovulation. Boire le tout lors de notre prochaine pleine lune.

–  OK ! Reste à trouver le dernier ingrédient.

–  Si je compte bien, répondis-je, c’est tout proche pour moi.

–  Cool. En attendant on met au congélo. Allez, maintenant viens me découvrir, dit-il à la fille; Gwendo, tu veux bien me laver la bite s’il te plait pendant ce temps là ?

–  Bien sûr.

Et pendant qu’Isabelle, toujours aveuglée, promenait ses mains et sa langue sur le corps du loup-garou en s’extasiant de sa musculature, Gwendo lavait le gros cierge rouge.

–  Ombi, tu trouves pas qu’il est plus grand ?

–  Quoi ?

–  Son sexe… j’ai l’impression qu’il a grossi.

— C’est marrant je m’étais fait la même réflexion. J’ai même l’impression que c’est tout son corps qui a grandi.

–  J’en ai l’impression aussi.dit-il.

–  Allez hop, on mesure !

–  Tu peux enlever ton bandeau Isabelle.

–  Waouh ! C’est impressionnant ! C’est pas possible!

–  Ben si .

Et pendant que la fille s’extasiait en répétant des "si je m’attendais à ça, C’est incroyable ! Comment ça peut exister….etc", nous prenions les mensurations.

–  28 cm ! Ta queue a pris 1,5 cm ! Circonférence… identique…

–  Allez suce Isabelle.

Et elle se mit à sucer

–  Viens ma chérie que je te soulève.

Gwendo s’approcha et il l’enleva à force de ses bras pour pouvoir lui bouffer le minou.

Quant à moi, je me serrai contre lui pour caresser, du bout de mes seins durcis, la peau lisse comme un vieux parchemin, aussi dure qu’un cuir lustré.

–  Mets ma bite entre tes gros nichons, salope !

Elle le fit avec un plaisir évident. Elle pressait sa grosse mamelle en la regardant pour bien profiter du gros bout qui émergeait de cette masse frémissante de désir. La fille ondulait lentement en se dandinant pour mieux s’adapter au corps gigantesque auquel elle se livrait sans retenue.

–  Putain ! Ils sont énormes ! C’est trop bon. T’as vraiment de très grosses doudounes. C’est plein et doux. Ma bite est vachement bien là-dedans…. serre et monte et descends st’e plait.

Nous alternâmes un moment Isabelle et moi autour du gros membres dont s’écoulait une bonne liqueur blanche.

Toutes les deux, désormais nous nous concentrions sur le sexe, bouffant les couilles, un testicule après l’autre, léchant la hampe nos langues s’effleurant de part et d’autre du vit tendu qui suintait de plus en plus.

Toujours portée à bouts de bras, la vulve torturée par la langue rapeuse du monstre, Gwendoline hurlait de bonheur.

–  J’veux ressauter la grosse pute !

–  Je suppose que c’est de moi qu’il parle ! Dit Isabelle, d’un air d’évidence.

–  Tu as raison, c’est de toi, mais c’est un compliment. J’aime tes rondeurs et ta maladresse. C’st bon de baiser une débutante qui n’est pas fainéante sur la bite. Allonge-toi ma belle.

Elle le fit immédiatement en ouvrant spontanément ses jambes. Dune main elle se massait un sein, tet de l’autre elle écarta ses grandes lèvres comme une invitation à faire vite.

Max se coucha dessus. Même si il avait déjà dilaté le vagin, la pénétration d’un aussi gros tube n’allait pas de soi et la fille lâcha tout ce qu’elle connaissait comme jurons tout en alternant avec des cris perçants.

Mais enfin, il fut dedans et il la pulvérisa. Elle n’était qu’une poupée de chiffon sous l’ogre de sexe qui allait et venait brutalement et rapidement. Les énormes nichons flottaient en cadence.

–  Bordel, elle est étroite, c’est bon. J’vais te la fourrer de sperme et après, je lui déchire le p’tit trou.

–  Dis, tu nous en garde un peu quand même, demanda Gwendo avec ce qui me parut être une légère pointe de jalousie.

–  J’te garde tout ce que tu veux ! Elle m’a dopé la meuf là ! Je me suis jamais senti en telle forme.

Tout en le regardant piner la fille qui jouissait sans vergogne du gars dard qui la perforait, je me plus à imaginer la même transformation sur mon petit japonais préféré. S’il baisait une pucelle, prendrait-il lui aussi quelques centimètres ? Il fallait qu’il revienne vite. Mes pensées devinrent fantasmes et je me chatouillai la moule en rêvant d’une saillie magnifique avec mon Ita prolongé d’un ou deux centimètres.

Je fus tirée de cette douce rêverie par un spectacle pas moins agréable.

Max s’était retiré au moment de jouir et sa verge sculpturale tressautait à chaque tir de foutre qu’elle expulsait.

Jamais nous n’en avions vu autant et cependant c’était la deuxième fois qu’il découillait dans la soirée. Les jets étaient puissants et certains dépassèrent même la tête de la fille allant se répandre plus loin sur le matelas ou même le sol.

Les cheveux, le visage et les seins étaient recouverts de semence et l’odeur en emplit la pièce. Gwen ne put résister. Elle fin lécher tout ce qu’elle put sur les seins avant de pomper le dard d’où pendait encore une énorme larme prête à se détacher.

Isa, passait ses doigts sur ses paupières pour les débarrasser de leur blanches écailles de jus de couilles et elle portait le tout à sa bouche pour n’en pas perdre la moindre goutte.

–  Mais tu n’as jamais éjaculé autant! remarqua Gwendo avec admiration.

— Quand on est monté comme un cheval, on éjacule comme un cheval précisa Isabelle dont le côté "oie blanche" semblait s’être envolé avec son pucelage.

–  C’est vrai… Je crois que j’ai jamais éjaculé autant… et pourtant, je me sens pr^s à recommencer…. Allez, retourne-toi que je t’écarte le cul !

–  Moi d’abord, moi d’abord ! Supplia Gwen avec la voie d’une princesse qui fait un caprice.

–  Toi ma chérie, tu m’auras tous les jours, mais la belle poupée là, c’est différent. Alors faut que j’en profite toute cette nuit.

Gwen s’écarta et je vis bien qu’elle était dépitée. "Ma fille, tu ne serais pas tombée amoureuse d’un monstre à gros sexe" pensai-je.

C’était oublier que Maxime lisait dans les pensées. Il s’arrêta, me regarda puis regarda Isa, puis me regarda à nouveau. Il semblait perdu.

–  Que se passe-t-il demandai-je.

–  C’est curieux… j’arrive  faire abstraction de ce que vous pensez, mais là, c’est comme…. c’est comme si… je ne captais plus ce que pense Gwendo… enfin pas tout…. Gwendo, ma chérie, tu vas bien ?

–  Ben oui je vais bien, répondit-elle un peu sur la défensive.

–  Moi aussi je vais bien… et j’aimerais que tu t’occupes de mon cul, intervint Isa.

–  Oui…oui… et après on fait une pause. Faut qu’on cause Gwen…

–  Et que tu me baises….

–  Pour que je renonce à cela, il faudrait que je sois impuissant…

Puis il s’approcha d’Isabelle qui s’était mise à genoux et attendait la saillie.

–  T’es fou, Max, elle va jamais rentrer ta queue…

–  Ah ouais… là c’est peut-être un peu gros… mais c’est le moment d’essayer…

–  Quoi ?

–  De me transformer à volonté.

–  Et il se métamorphosa. Il ne lui fallut que quelques secondes pour reprendre sa forme humaine. Il avait vraiment l’air d’un monsieur tout le monde. Il enduisit de gel son gland et l’anus de la fille et la déflora aussi de ce côté là, non sans douleur.

–  C’est vraiment dommage que tu sois seul, dis-je. Je suis chaude comme un barbecue.

–  Ça, ça peut s’arranger. Attends que je reprenne ma gueule de loup et je t’appelle du renfort.

–  Quel renfort ?

–  Un gros chien ferait l’affaire ?

–  Tu peux ?

–  C’est qu’un loup domestiqué…. Il suffit que j’en appelle un.

–  Cool, faisons vite.

Quand il fut bien dans le cul d’Isabelle, Max reprit son aspect lupin, tellement plus avantageux; Sa bite doublant de taille pendant la transformation, la fille hurla, d’ailleurs tout ne rentrait pas, et il fallut à Max un grand self-control pour ne pas rester enfoncé dedans jusqu’à la garde, ce qui aurait été dangereux pour elle. Avec un énorme mandrin dans le cul comme celui-là, la fille était au bord de l’évanouissement. Mais une bonne stimulation digitale de son clitoris, ainsi que de savantes caresses sur les seins lui rendirent de l’énergie. Il faut dire que Max s’agitait lentement pour qu’elle s’habitue.

Et elle s’habitua. Elle était déchainée.

–  Oh les filles , vous avez vu ?

–  Non quoi ?

–  C’est vachement plus rapide et sans douleur, contrairement à mes précédentes mutations.

–  Cool… et… tu penses à moi ?

–  Oui… ouvre la fenêtre.

Après quelques instants, Max me fit savoir qu’il avait trouvé un gros chien, libre de ses mouvements, dans une ferme des environs. Puis au bout de dix minutes à peu près, Max me dit d’aller ouvrir la porte.

Un énorme dogue était là. Je n’eus qu’à le faire entrer. Max sodomisait toujours Isa qui gueulait comme une chienne tandis que Gwen suçait les pompons de Max.

Je me mis à quatre pattes à côté d’eux, et aussitôt le chien me grimpa. Il était puissamment monté. La saillie fut un régal.

A suivre

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