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Histoires d'un mâle alpha – Chapitre 44

Histoires d'un mâle alpha - Chapitre 44



Dans la douche je lui refais l’amour, debout, l’un face à l’autre, une de ses jambes relevée sur mon bras. On jouit de nouveau ensemble. On s’embrasse. On se prépare. Le bar n’est pas loin. On y arrive à 21h, main dans la main. Comme dans l’autre bar un peu plus tôt, les gens nous regardent, nous admirent ; la seule différence est que Sophie est parfaitement à l’aise. Elle m’arrête même une fois entrés, se colle à moi et m’embrasse langoureusement.

— Mmmmm et c’est en quel honneur ?

— Je joue le jeu à fond.

— Ah, ça me va bien.

— Et pour te remercier.

— De quoi ?

— De m’avoir fait jouir… Autant. Et si fort.

— Je pense que j’ai pris largement autant de plaisir de mon côté, donc aucune raison de dire merci.

— Alors disons que c’est pour le plaisir.

— Dans ce cas…

Je lui roule une énorme pelle. Elle me sourit. On va vers le bar. Le barman nous montre une table haute, et deux chaises hautes. On s’y assoit après avoir commandé deux verres de rouge. Je balaie la salle du regard et vois une table au fond, grande, une quinzaine de personnes autour. Je devine Charlotte, qui me tourne le dos, elle regarde son téléphone sur le côté. De l’autre côté d’elle, son mari Sylvain parle avec deux autres personnes. On discute et on trinque avec Sophie, qui me demande ce que je compte faire.

Je décide d’envoyer un message à Charlotte :

— C’est un message de moi que tu attends ma belle ?

La réponse arrive dans la seconde :

— Oui ! Enfin c’est même toi que j’attends.

— Tourne-toi.

Elle regarde vers Sylvain, puis se tourne dans l’autre sens. Elle me cherche du regard. Sophie s’est collée contre moi. J’ai un bras autour d’elle. Elle m’embrasse au moment où le regard de Charlotte se pose sur moi. Elle me regarde, un peu surprise. Je lui souris. Sophie me murmure à l’oreille :

— Hey, dis donc, elle est jolie.

— Tu es jalouse ?

— Un peu…

Ma main descend sur ses fesses, je lui mets une belle main au cul.

— Il ne faut pas ma belle.

— Mmmm arrête, ça ne va pas m’aider ça !

— Ah ah OK.

Charlotte m’interroge du regard puis écrit sur son tel, je reçois le message :

— Tu n’es pas venu seul ?

— Toi non plus ! Et de là, je ne vois pas comment tu es habillée.

Elle me sourit, se lève, dit un truc à l’oreille de Sylvain et traverse le bar, pour se rendre aux toilettes : elle porte des cuissardes à talons aiguilles, une robe courte évasée en bas, décolletée en haut. Et des bas. Elle est superbe. Je la suis tout le long. Elle me jette un coup d’il avant de disparaître.

— Tu veux la rejoindre ?

— Aux toilettes ? Non, pas du tout mon style ça. Et puis je préfère la faire mariner un peu.

— Salaud ! En tout cas elle a mis le paquet sur sa tenue.

— Ah oui ?

— Oh arrête !

— Je déconne, oui pas mal du tout. Mais tu sais quoi ?

— Quoi ?

— Ce n’est pas la plus jolie fille du bar.

— Ah ?

Je la regarde, ma main la plaque contre moi. On s’embrasse très langoureusement.

— Mmmmmmm j’adore !

— Moi aussi ma belle.

Quelques minutes plus tard Charlotte revient. Elle me fusille du regard et je reçois un message :

— T’aurais pu me rejoindre, ça sert à quoi d’être venu !

Je ne réponds rien et laisse passer encore quelques minutes. Charlotte est agitée sur sa chaise, se retourne souvent. Alors que l’on recommande un verre à une serveuse, j’entraîne Sophie avec moi, vers la table de Charlotte. Je me plante juste derrière elle. Je tiens Sophie par la taille tout contre moi. Les gens à la table, qui nous font face lèvent les yeux vers nous, du coup Sylvain se retourne aussi.

— Charlotte ?

Elle se tourne à son tour.

— Ah mais oui, c’est toi, trop drôle.

— Isaiah ?

— Eh oui !

— Mais, qu’est-ce que tu fais là ?

Elle joue bien la comédie la salope. Je vois du coin de l’il Sylvain blêmir.

— On est venu prendre un verre avec Sophie. Sophie, Charlotte, Charlotte voici Sophie une amie. À ce moment-là ma main est carrément sur les fesses de Sophie. Elle sourit et dit bonjour. Sylvain se racle la gorge.

— Ah salut, euh…

— Sylvain !

— Ah oui, décidément, je ne vais pas y arriver. Sylvain, Sophie, Sophie, Sylvain, le petit copain de Charlotte.

— Euh, mari.

Charlotte prend le relais :

— Alors je vous présente !

Elle fait le tour de la table, je ne retiens rien. Elle nous invite à nous asseoir, Sylvain proteste, prétextant que c’est quand même une soirée avec ses collègues, mais le patron et sa femme, qui ont l’air d’ailleurs très sympas, nous rassurent, nous sommes les bienvenus. Le patron dit même :

— On va se serrer pas de problème !

On se serre, effectivement, je me retrouve à côté de Charlotte, et Sophie est assise aussi tout près de moi, elle pose une main sur ma cuisse. Je lui souris. On s’embrasse. Je sens la main de Charlotte glisser sur mon autre cuisse. On est vraiment sous la table, et tous tellement serrés qu’il n’y a aucune chance que quelqu’un remarque quelque chose. La soirée est sympa, on discute surtout avec le patron de Sylvain et sa femme et un autre collègue, ils sont gentils, on rigole bien on picole. Le patron arrose tout le monde. Charlotte me présente comme un photographe rencontré à la salle de sport, et précise que je lui donne des conseils sportifs. Le patron, lui-même assez sportif, en rit :

— C’est sûr que ce n’est pas Sylvain qui peut vous aider pour ça !

Alors que Charlotte garde à peu près en permanence sa main sur ma cuisse, voire sur ma bite, je profite du tas de manteaux sur le dossier de sa chaise pour glisser ma main dans son dos. Pareil, personne ne peut se douter. Si ce nest le frémissement qui l’envahit quand elle sent ma grande main s’emparer d’elle. Elle se cambre sur sa chaise. Je la caresse délicatement, pendant de longues minutes, parfois je sens sa main se crisper sur ma cuisse. Puis je descends vers le bas de son dos, le haut de ses fesses. Elle me regarde, elle est en chaleur. Si elle pouvait elle me sauterait dessus. Alors que je suis depuis pas mal de temps en train de lui caresser les fesses et que mon doigt appuie même entre les fesses, elle dit qu’elle doit aller aux toilettes. Sophie se lève et l’accompagne. Elle m’embrasse et me murmure :

— Fais-moi confiance beau black.

Je lui souris. Je reste à discuter avec les autres, ignorant évidemment complètement Sylvain, qui tente d’accrocher mon regard, je ne sais pourquoi. Peut-être veut-il sonder le pourquoi de ma présence dans ce bar.

Conversation relatée par Sophie plus tard :

— Tu connais Isaiah depuis longtemps ?

— Quelques semaines et toi ?

— Quelques jours ! Et vous êtes ensemble donc ?

— Disons que je suis une de ses favorites.

— Ah, OK.

— Tu sais qu’il est très excité par la situation là.

— Ah oui ?

— Oui. Et si je peux te donner un conseil, fais en sorte d’aller en boîte. Tu pourras plus en profiter qu’ici.

— Oui, j’y avais pensé. Il t’a parlé de moi ?

— Un peu oui.

— Je suis folle de lui avoir dit de venir.

— Mon avis ? Oui tu es folle. Mais en même temps, lui résister ?

— Pfffff, impossible ! Je ne pense qu’à ça depuis qu’il m’a dit : « ah une soirée de boulot de ton mec, alors je viens ».

— Et si en boîte, je m’occupais de ton mari ?

— T’occuper ?

— Le draguer un peu, le faire danser avec moi…

— Il te plaît ?

— Ah ah, non, désolée, mais pas mon style, et franchement pas dans la même catégorie qu’Isaiah.

— Tu m’étonnes !

— Je dis juste que ça t’aiderait à profiter un peu;-)

— Et tu ferais ça ?

— Pour Isaiah oui.

Pffff, c’est pas croyable.

— Mais vrai !

Les deux reviennent à la table. Les deux reposent leur main sur mes cuisses. Assez vite, Charlotte propose de sortir après le bar. Sylvain proteste, mais tous les autres sont pour. Le patron en remet une couche :

— Allez Sylvain, tu ne vas pas être le rabat-joie du service ce soir aussi !

Il dit ça en plaisantant, et tout le monde rigole. J’enchaîne :

— En plus t’en fais pas, là on parle d’aller danser, mais ce n’est pas vraiment du sport, t’inquiète pas !

On reprend un verre, puis on file en boîte. On se retrouve devant. J’y suis déjà allé, le videur me connaît, on s’est marré un soir il me reconnaît et nous laisse entrer direct. Il dit dans son téléphone à une serveuse de nous accueillir et de nous mettre à une bonne table. Sophie me charrie :

— T’es là depuis hier, et tu connais déjà tout le monde.

Je lui souris. Elle m’embrasse. En voiture elle m’a raconté leur conversation avec Charlotte. Je l’ai doigtée en conduisant. Je serais bien rentré pour lui faire l’amour. Mais la tentation Charlotte est bien trop grande.

— Pfff il a fait ça parce qu’il t’a vue et qu’il sait qu’une aussi jolie fille dans cette boîte, ça ne peut qu’être bien pour eux.

— T’es con !

On entre, on s’installe, le patron de Sylvain paie ses bouteilles. Assez vite on se retrouve à plusieurs sur la piste de danse. Je danse avec Sophie évidemment. Puis elle m’embrasse très très langoureusement, me sourit et va vers Sylvain et Charlotte. Je les rejoins. Et petit à petit je ne sais pas encore comme elle réussit son coup, mais en gros je me retrouve à danser seul avec Charlotte, et elle est avec Sylvain. J’en profite pour assez vite nous faire déplacer à l’autre bout de la boîte pour que l’on soit isolés. Je lui roule une énorme pelle en la collant contre moi.

Sophie me racontera plus tard qu’elle a chauffé le pauvre Sylvain comme une folle, mais sans jamais lui permettre d’aller plus loin que le plaisir des yeux, et de sentir le cul de compétition de Sophie contre lui.

Charlotte de son côté danse très sensuellement contre moi. Mes mains parcourent son corps.

— Tu aimes ma tenue mon chéri ?

— Oui, j’avoue. Tu es à tomber !

— Merci;-) Sylvain a voulu me baiser avant de partir, j’ai refusé ; je lui ai dit qu’il était trop excité et qu’il allait venir en deux secondes.

— Salope.

— Je voulais être toute à toi mon chéri.

J’empoigne son cul d’une main et la colle à moi. Nos langues s’enroulent l’une contre l’autre. J’ai envie de la baiser là, au milieu de la boîte. Elle m’entraîne dehors, le videur me sourit en voyant sortir au bras d’une autre femme. On va dans sa voiture, une Mercedes classe e de fonction, on s’installe à l’arrière, on s’embrasse, elle me sourit :

— Mets-toi à l’aise Isaiah, et laisse-moi faire.

— Mmmmm à tes ordres ma belle.

Elle sort ma queue et se jette dessus, me suce comme une reine, elle gémit de plaisir en avalant ma queue. Elle masse mes couilles tout en aspirant mon gland. Je passe mon bras autour d’elle, et lui caresse les fesses, passe sans difficulté sous le bas de sa robe, et je la caresse à travers son microstring trempé. Elle gémit de plus belle.

— Tu mouilles bien dis donc !

— Sans arrêt depuis hier.

— Mmmmm il va falloir trouver une solution.

— Ouiiiiiiiii.

De l’autre main je guide sa tête sur ma queue. Je finis par jouir dans sa bouche. Elle s’applique vraiment à tout bien avaler, et que cela ne gicle pas ailleurs. Elle y arrive. Je pousse de gros râles, qui ne sont que le reflet du plaisir pris. Puis elle nettoie ma queue consciencieusement.

— Merci ma chérie. Me faire sucer dans la voiture de ton mari, j’adore.

Elle me sourit

— De rien beau black.

On retourne à la boîte, on danse puis on finit par retrouver les autres à la table ; Sylvain fait la discute à Sophie qui est à moitié couchée sur lui. Il voit Charlotte arriver, il se redresse tente de faire bonne figure. Charlotte renverse la situation :

— Ca va je ne te gêne pas ?

S’ensuit une petite discussion, dont je me fiche, Sophie se jette à mon cou et me roule de grosses pelles. À mon oreille :

— C’était bien ?

— Très ; merci ma belle.

— Mais de rien !

On picole encore un peu puis le patron nous invite à finir la soirée chez lui, il habite à cinq minutes à pieds. Et c’est la tradition de finir les soirées chez eux. On sort. Sophie me dit qu’elle va rentrer. Je tente de la convaincre de rester.

— Je préfère arrêter là Isaiah, m’en veux pas, OK ?

— Aucune raison de t’en vouloir, tu plaisantes. Tu me crois si je te dis que j’ai encore très envie que l’on rentre toi et moi et que l’on fasse l’amour toute la nuit.

— Oh oui, je te crois, mais ça n’arrange rien ah ah.

On s’embrasse, j’arrête un taxi. Elle rentre.

On arrive chez le patron de Sylvain. Celui-ci me parle, alors qu’on est seuls dans la cuisine :

— Vous savez Isaiah, je sais bien que vous et moi on n’a pas grand-chose en commun avec quelqu’un comme Sylvain, et je ne dis pas que je ne le respecte pas, mais disons qu’en tout cas c’est un collaborateur qui a de la valeur à mes yeux.

— OK… ?

— Vous faites ce que vous voulez avec sa femme, ça ne me regarde pas, et franchement, de vous à moi, je vous comprends.

— Ce que je fais avec sa femme ?

— Pour tout vous dire, je n’ai rien vu, mais c’est mon épouse qui me l’a fait remarquer, elle a l’il pour ce genre de choses. Elle m’a dit que vous feriez un très beau couple Charlotte et vous. Et que d’ailleurs vous étiez du genre à faire un très beau couple avec n’importe quelle femme. Bref, tout ça pour dire, soyez discrets.

Il me sourit. Il me sert un de ses très bons whiskys. Il me dit qu’il ne le sert qu’aux gens de valeur. On trinque. Il me plaît ce con. On va au salon, Sylvain est dans le canapé, à moitié endormi déjà. Charlotte à ses côtés, discute avec l’épouse du patron. Et deux autres couples assis dans les fauteuils. Il y a de la musique. L’épouse du patron, Christelle, se lève et rejoint son mari, Jean. Elle l’embrasse. Et me regarde :

— Asseyez-vous Isaiah, je vous en prie, faites comme chez vous.

Elle me montre la place qu’elle a laissée libre dans le canapé, à côté de Charlotte, qui me sourit. Je m’y installe.

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