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Histoires d'un mâle alpha – Chapitre 48

Histoires d'un mâle alpha - Chapitre 48



J’arrive dans la chambre, Jessica m’attend, elle est juste en string bas et talons. Je la baise toute la nuit, elle ne se retient absolument pas sur le bruit. A 3h du mat, alors que sa sur me suce, j’envoie un message à Greg :

— Tu veux pas nous apporter de l’eau, on a soif !

— Va chier.

— OK, lundi j’irai au lycée avec ta sur !

— Putain, fais pas ça stp.

— Apporte-moi de l’eau, et quand tu seras là, implore mon pardon pour m’avoir parlé aussi mal, et je verrais ce que je peux faire !

— Ouais, bon OK.

— Et dépêche-toi !

Quelques minutes plus tard, la porte s’ouvre et il entre en caleçon et t-shirt une bouteille d’eau à la main. Jess a ma queue dans sa bouche, je lui maintiens la tête dans cette position. J’ai allumé la lumière avant qu’il arrive. Et je filme son entrée dans la chambre et en continu sa sur qui me suce.

— Pardon d’avoir mal parlé Isaiah.

Je souris.

— Tu peux la poser sur la table de nuit.

Il le fait, n’arrive pas à ne pas regarder sa sur sur ma queue. Je relâche la tête de Jessica et elle reprend la fellation. Elle voit son frère mais ne dit rien.

— Ahhhh putain, tu sais qu’elle suce presque aussi bien que ton ex.

Il ne réagit pas, Jess éclate de rire et se glisse tout contre moi sur moi et m’embrasse. Puis elle se tourne vers son frère :

— Bon, tu peux nous laisser peut-être ? On peut avoir un minimum d’intimité ?!

Je la tiens par le cou et lui roule de grosses pelles.

— Ouais dégage Greg. Ta maman serait sans doute pas très contente de voir que tu viens mater ta sur !

— Oh arrête, le pauvre.

On s’embrasse, il part. Je coupe la vidéo.

— Tu la gardes pour toi !

— T’inquiète, c’est juste pour l’emmerder.

— T’es fou !

— Oui !

Elle m’embrasse. On baise encore. On finit par s’endormir. On se réveille assez tôt. Stéphanie est debout on l’entend dans la cuisine. Pas Greg. Jessica me suce et me fait jouir dans sa bouche. Je vais prendre une douche pendant que Jessica se rendort. Je ne mets qu’un boxer et vais réveiller Greg. J’entre dans sa chambre, il se réveille en sursaut.

— Putain, tu fais quoi ?

Je m’assieds sur son lit et à moitié sur lui. Je lui montre la vidéo :

— Que ce soit bien clair : j’en ai assez de ton attitude, donc tu ne parles plus jamais comme ça, je ne veux plus entendre de « putain » de « quest-ce quil fout » etc… Compris ?

— Oui.

— Tu es à ma botte maintenant, tu comprends ?

— Oui oui.

— On dit oui Isaiah.

— Oui Isaiah.

— Bien, et ça veut dire que quand je te dis quelque chose, tu ne bronches pas et tu le fais.

— Oui Isaiah.

— Et ben voilà, tu vois qu’on va finir par s’entendre !

— Oui Isaiah.

— Au fait, tu sais que tu ne m’as jamais remercié.

— Pardon ?

— De si bien baiser la fille que tu aimes. Et ta sur du coup aussi.

— Merci Isaiah.

— Tu peux faire mieux que ça.

Je sors mon téléphone et le filme :

— Merci Isaiah de si bien baiser Manon, mon ex, et ma sur aussi.

— Mais de rien mon petit Greg.

Je coupe la vidéo et me lève. J’ouvre la porte :

— Ah j’oubliais, reste dans ta chambre ce matin, j’ai envie d’être tranquille et pas trop envie de voir ta tête au petit-déj. Donc tu restes bien sagement au lit, jusqu’à ce que je sois parti.

— D’accord Isaiah.

Je sors de la chambre, un grand sourire aux lèvres. Je descends. Stéphanie est dans la cuisine : elle porte juste une micro nuisette, très courte, en soie et dentelle, bleue et rouge, très belle. Elle me tourne le dos, je devine le petit string assorti, sous la soie légèrement transparente. Elle est pieds nus. Elle finit de laver de la vaisselle. Je me mets juste derrière elle. Je pose mes mains sur ses hanches en lui murmurant à l’oreille :

— Bonjour Stéphanie.

Elle sursaute et frémit. Avant de murmurer à son tour :

— Mmmmm bonjour Isaiah. Je pensais que vous dormiriez plus longtemps, désolée pour la tenue.

— Jessica dort encore. Et effectivement, tu fais bien d’être désolée, je préférerais que tu portes des talons !

Je suis tout contre elle, elle respire de plus en plus fort, elle se cambre si bien que ses fesses viennent se coller contre moi. Pieds nus elle fait vraiment petite à mes côtés.

— Dois-je aller en mettre ?

— Si tu poses la question c’est que tu connais la réponse !

Elle se glisse entre moi et le plan de travail et sort de la cuisine, je ne bouge pas, elle revient, avec des sandales à talons aiguilles de 12 centimètres aux pieds. Je vois que ses énormes loches ballottent à mort dans la nuisette qui est bien décolletée. Elle reprend sa place entre moi et l’évier. Elle se cambre et à présent ses fesses viennent se coller sur mon boxer.

— Tu vois, c’est beaucoup mieux non ?

Elle ondule très légèrement.

— Mmmmmm oui Isaiah, tu as raison.

— J’ai toujours raison Stéphanie.

— Je tâcherais de m’en souvenir… Greg dort ?

— Oui, ne t’en fais pas pour lui, il n’a sans doute pas beaucoup dormi cette nuit… à cause du bruit !

— Grâce au bruit je dirais plutôt.

— Ah, tu as apprécié ?

— Difficile de ne pas apprécier, oui… ça m’a impressionné aussi.

— Mmmmm… tu me fais un café ?

— Oui Isaiah, bien sûr.

Je lui mets une petite fessée et vais au salon. Je m’assieds dans le canapé, en boxer. J’allume la télé. Elle me l’apporte et s’assied à mes côtés.

— Tu le prends noir n’est-ce pas ?

— Évidemment ! Bien, comment vois-tu les choses Stéphanie ?

— Comment ça ?

Je souris, froidement :

— Tu es dans ton salon, en lingerie, avec un jeune étalon à tes côtés en boxer, qui a passé la nuit à baiser ta fille, et qui est le pire cauchemar de ton fils.

Elle se tortille sur le canapé, se mordille la lèvre et se rapproche de moi.

— D’autre part, je suppose que depuis une semaine tu mouilles en pensant à moi, tu te caresses sans doute quotidiennement en te demandant quand tu pourras enfin sentir ce vrai mâle en toi.

Elle me sourit :

— Je vois que tu as encore raison Isaiah.

— Je t’avais prévenue.

Ma main se pose sur sa cuisse.

— Embrasse-moi ma belle.

Elle se penche vers moi, pose une main sur mon torse et m’embrasse, on se roule de bonnes pelles. Je caresse sa cuisse.

— On devrait peut-être aller dans ma chambre, non ?

— Non. T’en fais pas pour Greg, il a pour ordre de rester dans la sienne tant que je suis là.

— Ah ? OK;-) et Jess ?

— Elle dort, mais tu crois qu’elle dirait quoi ?

— Je ne sais pas, je crois qu’elle comprendrait. Et puis de toute façon…

— Oui ?

— Je ne peux pas résister;-)

— A quoi ?

— A toi idiot. Anne-Sophie m’avait prévenue pourtant.

— Mmmmm alors si elle t’a prévenue, tu sais ce qu’il te reste à faire.

Elle me sourit :

— Oui mon prince.

Elle se met à genoux sur le canapé à mes côtés et sort ma queue du boxer.

— Oh mon Dieu !

— Tu aimes ?

— J’adore.

— Si tu pensais ne pas pouvoir me résister jusque-là, sache que tu viens de franchir l’ultime étape. Dorénavant tu es mienne et tu ne peux plus rien y faire.

— Je n’ai pas envie d’y faire quoi que ce soit Isaiah.

— Parfait ! Allez montre-moi si les talents de suceuse sont de famille.

Elle prend ma queue en bouche sans les mains, une main posée sur ma cuisse, l’autre sur mon torse. Moi je glisse ma main sur ses obus qui pendent sous elle. Elle bave sur ma queue, crache dessus, l’enfonce tout au fond de sa gorge. Puis me masturbe lentement et lèche mes couilles, en gobe une, puis l’autre, puis les deux. Elle les aspire. Puis elle lèche ma queue de bas en haut, l’embrasse tout du long.

J’étends le bras et commence à la caresser à travers son string déjà bien humide. Elle gémit et se cambre tout en me pompant. Je ne me gêne absolument pas pour râler de plaisir.

— Ca te plaît Isaiah ?

— Oui j’adore ma belle.

Elle se redresse, me branle toujours lentement :

— Et donc, tu préfères la fille ou la mère ?

— Je dois avouer que tu as une longueur d’avance pour l’instant.

Elle me sourit et m’embrasse puis glisse à genoux entre mes cuisses. Elle sort ses seins de la nuisette, bave entre et enfile ma queue qu’elle enserre entre ses mamelles. Elle commence à me branler dans ses seins, avec mon gland dans la bouche.

— Mmmmmm, tu accentues ton avance avec ce genre de choses.

Je me mets à baiser sa poitrine et sa bouche comme un fou. Elle bave de plus belle.

— Ohhhh putain que c’est bon.

Elle me sourit.

— Allez viens là, j’ai envie de toi ma belle.

Je lui ôte son string et sa nuisette et la fais venir s’empaler sur ma queue. Elle vient face à moi, prend ma queue à la main et la guide en elle. Une fois le gland entre ses lèvres, elle reste en suspens et tourne doucement sur moi. Je masse et embrasse ses seins. Puis elle descend lentement, s’enfonçant mon pieu tout au fond d’elle. Elle remonte et redescend plusieurs fois, gémissant à chaque fois plus fort, se cambrant à chaque fois un peu plus, son visage transformé par le plaisir qui l’envahit un peu plus à chaque mouvement. Je pose ensuite mes mains sur son cul et rythme le mouvement. On s’embrasse.

— Ahhhhh Isaiah, on m’a jamais remplie aussi bien.

— Ah bon ? Ton mari te remplit pas autant ?

— Ah ah, non pas vraiment non !

— Manon a dit la même chose à propos de Greg, ça doit être de famille ça aussi.

— Salaud !

Elle me roule une grosse pelle. Je la plaque contre moi et accélère le mouvement, ma queue la pilonne à fond. Je la fais jouir après quelques minutes de ce traitement. Elle ne retient pas ses cris de jouissance.

— Ahhhhhhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Ahhhhhhhhhhhhhh, Isaiah.

Je reste tout au fond d’elle quelques secondes, on s’embrasse. Puis je me lève, elle passe ses jambes autour de moi. Elle m’interroge du regard :

— On va dans ta chambre.

— Ils vont nous entendre.

— Et ?

Elle me sourit et m’embrasse.

— Ne t’arrête surtout pas de me baiser mon chéri.

J’obéis : en chemin je la fais sauter sur ma queue. Dans l’escalier, je m’arrête et la baise debout, elle toujours ses jambes et ses bras autour de moi. Arrivés à l’étage je me fais un petit plaisir perso. Je la plaque contre la porte de chambre de Greg et la pilonne. Elle gémit fort et surtout mes coups de reins font battre la porte. Il doit apprécier. Il doit se dire qu’il s’agit de Jessica. J’ai très envie d’ouvrir la porte et de prendre Stéphanie sur le lit de son fils. Mais je me retiens. On va dans sa chambre. Je la soulève et pose ses jambes sur mes épaules, je la lèche. Je m’applique à bien faire durcir son clito, puis je la fouille, joue aussi avec ses lèvres. Elle dégouline de mouille sur mon visage. Elle m’appuie le visage contre elle, je ne m’arrête pas de tourner ma langue en elle. Je la repose sur le lit.

Après avoir goûté sa mouille sur ma bite, elle se met à quatre pattes sur le lit.

— Viens me prendre l’étalon.

Je me mets derrière elle et m’enfonce au plus profond d’elle. Je la tiens par les cheveux, et lui mets quelques fessées qui la font tressaillir. Je la baise de plus en plus vite et fort, je finis par monter sur le lit et la plaquer de tout son long à plat ventre, je continue la saillie, moi tout au-dessus d’elle. Je fais des pompes sur elle, ma queue en elle. Elle jouit encore plus fort, et là, hurle véritablement.

— Ahhhhhhhhh putain !!!!! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Je reste tout au fond d’elle et tourne en elle, puis reprends les va-et-vient. Elle jouit de nouveau. Et je me déverse en elle. Je sens son corps qui tremble, et secoué par les jets qui viennent la heurter tout au fond. Ses mains se crispent sur les draps. Elle se cambre sous moi. Je reste en elle et tourne encore et lui arrache un ultime orgasme. Mon foutre la remplit comme jamais. Je baigne dedans. Je finis par sortir ma queue. Elle se tourne, et allongée sur le dos, je viens au-dessus d’elle et enfonce ma queue gluante dans sa bouche. Je lui baise la bouche à présent. Ma queue ne faiblit pas et elle finit même par me faire rebander.

— Mais c’est pas possible !

— Bienvenue au royaume du plaisir ma belle.

— Anne-Sophie n’avait pas menti.

— Tu vas enfin savoir ce que c’est qu’être une femme dans les bras d’un homme !

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