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I – Liaisons dangereuses – Chapitre 22

I - Liaisons dangereuses - Chapitre 22



Après cet intermède particulièrement musclé et passionné partagé entre Jenny, Shama et moi, la vie a repris son cours, mais d’une manière bien plus sereine. Enfin, tout ce qui avait pu se passer auparavant et qui me pesait sur la conscience a fini par rentrer dans l’ordre, non sans mal, il faut bien l’avouer.

Si Typhaine n’était pas intervenue pour calmer Jenny et si Shama n’avait pas su tenir sa langue tout ce temps, les choses auraient pu tourner bien plus mal, mais au contraire, c’est comme si toutes les planètes avaient finis par s’aligner, et au final, les situations potentiellement merdiques se sont transformées en promesses particulièrement alléchantes pour l’avenir.

Pour commencer, le souhait de Typhaine de vouloir partager bien d’autres choses qu’un simple repas de famille avec Jenny et moi. J’avoue que la simple idée d’être au lit entouré de Jenny et Typhaine a des accents de paradis tant ces deux nanas semblent avoir été forgées dans un bloc de plaisir pur. Et pour finir, l’entrée de Shama dans nos jeux sexuels, ce qui inclus des possibilités presque infinies qui s’offrent à nous grâce au masochisme exacerbé de Shama associée à la perversion de Jenny et moi, cette dernière étant bien plus exubérante que moi en la matière. Si, de mon côté, je dois sans doute avoir une forme de réserve, peut-être inconsciente, qui me pousse à me brider dans ce que je pourrais faire subir à Shama, Jenny, elle, est totalement décomplexée tant elle donne l’impression de n’avoir aucune limite dans ses idées. Elle m’avait dit avoir toujours voulu essayer le SM en tant que dominatrice et force est de constater que l’essai est concluant !! Elle avait eu un avant-goût la première fois mais n’avait pas pu vraiment se lâcher au vu du contexte, mais là…

Jenny s’est clairement découvert une nouvelle passion et c’est sur Shama qu’elle compte bien faire ses gammes !

Notre petite sauterie de l’autre fois a laissé des traces, et pas seulement sur la peau de Shama. En effet, j’ai trouvé, dans ma boîte aux lettres, un petit mot qui m’a bien fait sourire :

"Monsieur,

Tout l’immeuble se réjouit que votre vie sexuelle se passe à merveille, mais merci de bien vouloir, à l’avenir, demander à vos conquêtes d’être plus mesurées dans leurs effusions, ce afin de préserver la tranquillité de chacun (surtout des enfants) et d’éviter d’avoir l’impression d’être sur le tournage d’un film pour adultes.

D’avance merci !!"

Voilà qui explique les regards biaiseux que m’ont jetés certains voisins que j’ai pu croiser ces derniers jours !! Ce mot ne m’étonne même pas, ce qui m’étonne le plus, c’est de ne l’avoir que maintenant, et surtout, que personne ne soit venu frapper chez moi durant la journée et demi pendant laquelle Shama et, de manière plus mesurée, Jenny n’ont pas cessées de brailler, même si c’est bel et bien Shama qui détient la palme. L’indienne a du coffre, c’est le moins que l’on puisse dire !!

Je glisse le papier dans ma poche et décide de le montrer à Jenny dès que je la verrais, cela devrait bien la faire rire.

— Ahahahah, trop fort !!! lance Jenny, hilare après avoir lu le mot, On t’en a parlé directement ?

— Non, juste ça, mais on me regarde un peu de traviole quand on me croise par contre ;

— Tsssss, bande d’hypocrites, je suis sûr qu’il y en a un paquet qui ont dû se branler ou baiser en nous écoutant !!

— Oh c’est sûr mais bon, t’en a toujours des plus coincés que d’autres !!

— T’as pas une voisine à ton goût que tout ça aurait pu émoustiller ?

— Et non, à mon grand désespoir !! Du moins pas pour le moment mais va y avoir un déménagement dans l’immeuble, ça sera peut-être pour cette fois ;

— Croise les doigts !! dit-elle avec un grand sourire.

Jenny regarde le mot tout en réfléchissant.

— Ça me donne une idée…

— Qu’est-ce que t’as en tête encore ?

Elle ouvre un tiroir de son bureau et glisse le mot sous une pile de papier.

— Tu verras, surprise !! dit-elle avec un air qui pue la perversion.

Jenny est très décontractée en ce moment, et le fait qu’elle soit comblée sexuellement n’est pas la seule raison à cela. Le fameux dossier qui a tant occupé les esprits de tout le monde, et surtout de Jenny, a porté ses fruits et le client est très satisfait, ce qui fait que ça ouvre à l’entreprise un réservoir potentiel de contrats tellement important que déjà, Jenny et Fred commencent à penser à embaucher massivement et à de nouveau déménager pour trouver plus grand. Nous n’en sommes pas encore là, mais les affaires marchent très bien, et ça contribue bien évidemment à l’épanouissement actuel de Jenny. Elle a d’ailleurs octroyée une prime exceptionnelle à tout le personnel pour les féliciter de cette étape importante qui a été franchi par la société, ce qui a participé à faire remonter sa côte auprès de ses employés !! De mon côté, je peux rajouter la satisfaction d’avoir appris que les parents de Jenny et Fred m’avaient beaucoup appréciés, surtout leur père qui voit en moi « un homme de confiance sur qui on peut s’appuyer pour l’avenir » selon ses propres dires.

Voilà qui est agréable à entendre, surtout au vu de la tension que j’ai ressenti durant tout le repas à cause de Typhaine. Ça n’a, a priori, eu aucune incidence sur le sentiment qu’on a pu avoir sur moi, hormis Jenny qui, bien entendu, n’a pas manqué de remarquer mon malaise.

Quelques jours plus tard, Jenny m’appelle dans son bureau. Elle me ressort le fameux mot que mes voisins m’ont laissés et le pose devant moi.

— Tu te souviens de ça ? Me demande-t-elle en posant son doigt dessus ;

— Bien sûr, je me souviens toujours des mots doux qu’on me laisse !!

— On est d’accord que c’est Shama qui est en grande partie responsable, n’est-ce pas ?

— Euuuuh, t’as participé aussi quand même !!

— D’accord, j’ai un peu gueulé, mais tu vas pas me dire que j’ai fait pire qu’elle quand même !! On aurait dit qu’elle était en train d’accoucher de triplés tellement elle a beuglée !!

— Mais oui, je te taquine Jenny !! Et alors, tu veux en venir où ?

— Et bien on va se servir de ça pour lui donner une petite punition ;

— Une punition ? Pourquoi ?

— Pour avoir provoqué ce mot !!

— Ouais… Admettons… Et tu penses à quoi ?

— À toi !!

— À moi ? C’est moi la punition ? C’est agréable, je te remercie !!

— Mais non neu-neu, c’est toi qui va la punir, et tu vas faire ça maintenant !!

— Maintenant ?? En pleine journée ?? T’es pas folle toi, on va se faire griller avant même qu’elle ait poussée le moindre octave !!

— C’est pour ça que ça va pas se passer dans les bureaux ;

— Bon, dis-moi ce que tu as derrière la tête, ça ira plus vite ;

— Ça va se passer au garage !!

L’immeuble où se situe la société dispose d’un parking extérieur juste devant l’entrée sur lequel tout le monde se gare, mais il y a aussi quelques places en sous-sol mais qui ne sont pas utilisés, si ce n’est pour les grosses livraisons, quand on en a, ou pour accueillir les clients quand il pleut, afin d’éviter qu’ils ne soient trempés. Dans ce sous-sol se trouve aussi un garage fermé qui sert de lieu où l’on stocke des montagnes de vieux dossiers ainsi que du gros matériel type bureaux, chaises, etc… Cela permet de ne pas encombrer une pièce inutilement, d’autant plus que tout les bureaux sont occupés.

— Je vais envoyer Shama au garage avec comme prétexte de me récupérer un dossier, et toi tu vas l’attendre pour lui faire subir le sort qu’elle mérite !

— C’est-à-dire ?

— Je te laisse carte blanche pour ça, je suis sûr que tu sauras faire ce qu’il faut, mais la seule exigence que tu devras avoir, c’est qu’elle reste totalement silencieuse !!

— Quoi, pendant que je la baise tu veux dire ?

— C’est ça !!

— Mais elle n’y arrivera jamais !!

— Je sais !! dit Jenny avec un grand sourire, Et c’est là que vient la seconde punition !

Jenny regarde derrière moi pour vérifier que personne n’est sur le point de venir, puis elle m’incite à approcher et ouvre un de ses tiroirs. Apparaît alors un plug anal assez costaud avec un bon diamètre.

— Wahou, tu veux que je lui enfourne ça ??

— Yes, mais c’est pas tout !!

Jenny m’explique son idée et je ne peux m’empêcher de plaindre la pauvre Shama, même si ça ne fait aucun doute qu’elle se pliera sans rechigner à nos exigences !!

Je récupère le plug ainsi qu’un petit tube de lubrifiant que Jenny a eu la bonté d’acheter en même temps et descends au sous-sol pour attendre Shama. Celui-ci est désert, ce qui tombe bien, et le silence règne, par contre, le moindre bruit occasionne un écho assez important. Si, ou plutôt quand Shama se mettra à gueuler, il faudra que je la fasse taire d’une manière ou d’une autre car les bruits resteront inaudibles des bureaux, mais pas de l’extérieur, et j’ai pas envie qu’on se fasse griller !

J’attends, caché derrière une pile de béton, quand j’entends une porte s’ouvrir. Je regarde discrètement et vois Shama se diriger vers la porte du garage. Elle a une tenue parfaite pour ce que je compte faire, elle porte une jupe mi-longue bordeaux et un petit pull, les jambes gainées de bas. Elle ouvre la porte du garage, y entre et se met à chercher le dossier. Je me rapproche en douce, Shama est accroupie par terre en train de fouiner dans un carton posé au sol. Je rentre dans le garage et descends brusquement la porte, celle-ci se refermant dans un claquement métallique. Shama pousse un cri d’effroi tout en se relevant d’un bond.

— Florian ?? Qu’est-ce qui se passe ? Qu’est-ce que tu fais là ?

— Shama Shama Shama, ne pose pas autant de questions !

Elle me regarde avec un air interrogateur mais reste silencieuse.

— Tu sais que tu as posé quelques menus soucis chez moi ? Lui dis-je en lui tendant le mot laissé par mes voisins.

Elle le lit.

— Oh… Je… Je suis désolé, je… je me rendais pas compte, excuse-moi ;

— Je suis pas venu ici pour entendre tes excuses, je suis venu pour te donner une petite leçon et t’apprendre à garder le silence ;

— Mais, Florian, comment je…

— Tais-toi !!

Une idée me vient en tête, une idée, certes pas vraiment originale, mais qui devrait rajouter un peu de piment !!

— À partir de maintenant, je ne veux plus que tu m’appelles Florian, ce sera Maître. Idem pour Jenny, ce sera Maîtresse, c’est compris ? Dis-je d’un ton péremptoire ;

— Euh… Oui ;

— Oui qui ?

— Oui Maître ;

— Bien gentille. Bon, pour commencer, tu vas te retourner et poser tes mains bien à plat sur le bureau derrière toi.

Shama s’exécute et s’appuie sur le bureau poussiéreux.

— Recule un peu plus ton gros cul !!

Elle recule de quelques pas pour me présenter son majestueux arrière-train. Je soulève sa robe et la rabats sur son dos. Elle porte une culotte en dentelle tout ce qu’il y a de plus simple.

— Regardez moi ce beau cul de salope, dis-je avant de venir y mettre quelques gifles.

Shama frémit mais reste, pour l’instant du moins, silencieuse.

— Hmmmm, j’ai pas envie d’utiliser ma main pour te punir aujourd’hui !!

J’attrape une petite latte en bois posée sur un fatras au coin du garage. Je me rapproche de Shama, qui n’a toujours pas bougé, et me place à côté d’elle. Je lui rentre bien la culotte entre les fesses pour dévoiler son cul et commence à la fouetter avec la latte, d’abord doucement, puis bien plus franchement, le claquement de sa peau résonnant dans le sous-sol. Shama sert les dents mais laisse échapper, de temps à autre, un petit éclat de voix quand j’ai vraiment la main lourde.

— Qu’est-ce que je t’ai dit tout à l’heure ? De rester silencieuse, donc boucle-la !!

Je continue ma punition, la peau de ses fesses est barrée d’une multitude de marques rouge reprenant la forme de mon arme, et à l’issue d’un énième coup, Shama pousse à nouveau un petit cri de douleur.

— C’est pas possible ça, t’as donc pas compris ce que je t’ai dit ?? Ferme la !!!

— Oui…

— Oui qui ?? dis-je avant d’abattre puissamment la latte sur son cul ;

— AÏE !!! Oui Maître !!

Shama pleurniche, bien trop fort à mon goût…

— Bon, puisque tu ne sais pas tenir ta langue, je vais mettre ma queue dans ta bouche, peut-être que là, j’obtiendrais enfin le silence !!

Je pousse Shama à s’agenouiller. Elle s’accroupit et je lui dis de me sucer. Elle déboutonne mon pantalon et descend la braguette avant d’aller chercher ma queue déjà presque formée. Elle commence à me pomper, aspirant ma bite bien comme il faut pour achever mon érection, ce qui finit bien vite par arriver. Shama me suce délicieusement et cette fois-ci, ce ne sont que de petits bruits de succions qui se font entendre.

— Voilà, comme ça, je préfère ça !! C’est pas compliqué de garder le silence, hein petite pute ?

— Oui Maître, dit-elle avant de continuer à me lécher.

Je la laisse continuer quelques instants puis je la fais se relever.

— Bon, maintenant on va voir si tu as bien retenu la leçon ! Penche-toi en avant et offre moi ton cul, et n’oublie pas, reste silencieuse !!

Shama se remet dans la même position que tout à l’heure et je relève de nouveau sa robe. Sa culotte toujours à moitié enfouit dans la raie de son cul, je passe ma main par-devant pour lui caresser la chatte. Je remarque qu’elle est déjà copieusement humide, signe que tous les coups que j’ai pu lui porter ne l’ont pas dérangés, loin de là !!!

— Mais elle est déjà trempée, t’es vraiment une grosse chienne, pas vrai ?

— Oui Maître, une très grosse chienne… Prenez moi la chatte s’il vous plaît…

— Et bien non, ta chatte restera vierge aujourd’hui, c’est ton cul qui m’intéresse !!

— Mais je…

— Mais ?? dis-je avant d’abattre ma main sur ses fesses déjà meurtries ;

— AÏE !! Bien, comme vous voudrez Maître… Dit Shama en chouinant.

Je continue à bien imbiber le tissu de sa mouille puis je lui enlève sa culotte.

— Écarte bien tes fesses salope !!

Shama tire bien ses fesses de ses mains, dévoilant son anus. Je passe mes doigts sur sa chatte et remonte vers son petit trou pour l’enduire de cyprine. J’y mets un, puis deux doigts, ce qui commence à doucement la faire gémir.

— Je vais bien t’enculer maintenant, fais en sorte de rester silencieuse, c’est compris ?

— Ou… Oui Maître, bien.

Shama sait pertinemment que pour elle, rester silencieuse en se faisant sodomiser est mission impossible, mais elle n’ose pas me le dire. Je souris en attrapant ma queue pour me branler quelques secondes, en profitant pour y mettre de la salive sur le gland. Je place ma bite au bord de son anus et commence à le dilater, petit à petit. Shama gémit en serrant bien les lèvres à mesure que je prends place en elle et elle arrive à subir silencieusement mes premiers va-et-vient, assez lent il est vrai. J’accélère alors la cadence, commençant à l’enculer plus vite et plus profondément. Ses gémissements se font un peu plus sonores mais restent encore très mesurés par rapport à ceux qu’elle a l’habitude de faire. Elle se défend bien la coquine, j’ai beau la sodomiser, elle parvient à tenir sa langue, mais je sais très bien quoi faire pour qu’elle craque !

Je viens passer ma main par-devant et pose mes doigts sur son clito pour me mettre à le caresser, et là, ses gémissements se font nettement plus sonores, et même de plus en plus à mesure que j’accélère mes caresses en parallèle de mes coups de reins. Elle a finit par tomber le masque, se mettant à présent presque à crier à cause de mes traitements. Je viens poser ma main sur sa bouche et la relève vers moi.

— Tu sais vraiment pas tenir ta langue salope, hein ??

Je me mets alors à l’enculer en appuyant au maximum ma sodomie, la faisant trembler à chacun de mes assauts. Elle ferme les yeux en continuant à crier, cris étouffés en partie par ma main. Je ralentis un peu mes mouvements et lui dis :

— Je vais enlever ma main maintenant, je veux plus entendre un son sortir de ta bouche de suceuse de queue, c’est compris ??

Shama bouge la tête de haut en bas pour me signifier la bonne compréhension de mon ordre puis je retire ma main et l’allonge de nouveau sur le bureau. Je me remets à l’enculer sur un bon rythme et elle sert les dents, se forçant à retenir au maximum ses gémissements. Sentant ma jouissance arriver, je lui dis :

— Écarte tes fesses, je vais bien te remplir le cul !!!

Shama agrippe ses fesses et les écarte largement. Ma bite devient de plus en plus raide à mesure que mon éjaculation approche, et après avoir encore limé quelques coups, je sors ma queue en prenant soin de laisser mon gland au bord de son anus dilaté et je finis par jouir en étouffant mes gémissements autant que je peux. Mon sperme jaillit, coulant dans son trou bien ouvert. Je fais en sorte que toute ma semence se retrouve en elle, ramenant à l’aide de mon gland les quelques gouttes qui ont giclées sur sa peau, puis je remets un peu ma queue dans son cul pour bien finir de la remplir.

Après quelques instants, je me retire.

— Garde ton cul bien écarté salope, et je veux pas voir mon sperme ressortir !!

Shama, haletante, s’exécute et reste dans la même position, sans bouger d’un poil. Je ramasse le plug et le lubrifiant. Quand je vois la taille de l’objet en question et son anus, je me dis que ça va être difficile de lui faire garder le silence quand je vais le lui enfoncer !!

— T’as pas su tenir ta langue tout à l’heure et pour ça, ta Maîtresse t’a réservée une belle punition. Tu veux savoir ce que c’est ?

— O… Oui Maître, répond une Shama qui se demande bien ce qui va lui arriver.

J’ouvre le flacon de lubrifiant et en verse une belle dose sur son anus encore dilaté. Elle frémit en sentant le gel froid couler sur sa peau. J’enduis bien son trou à l’aide de mes doigts et commence à les lui enfourner, un par un, pour constater que ce lubrifiant est très efficace tant mes doigts coulisse parfaitement. Avec trois doigts, je la prépare tranquillement, tournant en elle pour l’assouplir. Elle reprend ses gémissements en serrant le bureau de ses mains crispées. Je finis par retirer mes doigts pour verser encore un peu de lubrifiant sur son anus à présent un peu plus amplement dilaté. C’est le moment pour elle t’accueillir le jouet personnellement choisi par Jenny. Je l’enduis lui aussi d’une dose conséquente de lubrifiant et j’en présente la pointe devant le trou qui va lui servir de logement. J’appuie doucement, Shama se crispe et se met à gémir plus franchement en sentant le plug la dilater de plus en plus.

— AH, AH, NON, C’EST TROP GROS !!!

— Ferme la et détends toi !! Plus tu vas te crisper, plus ça va faire mal !! lui dis-je en lui claquant le cul de mon autre main ;

— AÏE… Non, pitié, pitié, c’est trop gros !!

Je continue à avancer dans son cul. J’y vais doucement, allant et venant pour permettre à sa peau de bien s’étirer. Shama crie de plus en plus, à tel point que je dois venir de nouveau mettre ma main devant sa bouche. J’arrive à l’endroit le plus large du plug.

— C’est bientôt fini !!

J’appuie un dernier coup et il prend définitivement place en elle. Elle accueille cette envahissement en gémissant lourdement dans ma main. Je me penche vers elle et lui dis, tout en retirant ma main de sa bouche.

— Voilà, c’est fini, c’était pas si terrible !!

— C’est trop gros, enlevez-le moi, pitié !! dit Shama en pleurnichant ;

— Non non non, tu vas le garder en toi bien sagement, c’est clair ?

— Non, ça me remplit de trop, pitié !!

— Arrête de te plaindre salope !! dis-je en lui claquant de nouveau le cul, les vibrations ne manquant pas de se répercuter dans le plug, ce qui lui fait pousser un cri de plainte, Tu vas garder ça en toi, c’est compris ?

Shama continue à pleurnicher et ne répond pas.

— Ne m’oblige pas à te remettre une fessée, avec ce qu’il y a dans ton cul, ça va pas être agréable du tout !! Alors, tu as compris ?

— Ou… Oui Maître…

— Gentille petite salope que voilà ! Allez, relève-toi.

Je me rhabille alors que Shama se redresse péniblement tout en geignant.

— Je garde ta culotte avec moi, lui dis-je en ramassant l’étoffe encore humide de son excitation.

Shama est enfin debout, les larmes aux yeux, elle est crispée, n’osant pas bouger.

— Maintenant, tu vas remonter dans ton bureau et attendre sagement la visite de ta Maîtresse, c’est bien clair ?

— Mais… Mais je vais pas arriver à marcher…

— Il faudra bien, à moins que tu ne veuilles passer le reste de ta vie ici !!

J’ouvre la porte du garage.

— Tu refermeras bien le garage à clé. Et, à propos, inutile de chercher le dossier !! lui dis-je en lui lançant un clin d’il avant de disparaître.

Je remonte dans les locaux et me rend directement dans le bureau de Jenny qui m’accueille avec un grand sourire.

— Ah, quand même, je me demandais où tu en étais !! Alors ? Raconte !!

— Eh bien… Disons que le colis a été livré !!

— Elle a gueulé ?

— Oulah oui, avant et après d’ailleurs !!

— Elle est où là ?

— Je l’ai laissé en bas, je lui ai dit de remonter dans son bureau et d’attendre ta visite. On va lui laisser un peu de temps, à mon avis, elle va avoir un peu de mal à marcher !!

— Super !! Tu lui as dit pour le reste ?

— Non, j’ai préféré te réserver la primeur de le lui annoncer. Tiens, petit cadeau pour toi !

Je sors la culotte de Shama de ma poche et la lui donne. Jenny la prend et la tâte.

— Mais, elle est mouillée, c’est elle qui…

J’acquiesce en hochant la tête. Jenny sourit et porte le tissu humide à son nez, puis à sa bouche, léchant avec concupiscence le bout de tissu.

— Hmmmmm, j’adore l’odeur et le goût de la chatte de cette salope, elle est délicieuse !!

— Je savais que ça te plairait, dis-je à Jenny tout en la regardant s’exciter sur la lingerie de Shama.

Après encore un petit moment pendant lequel elle ne semble pas se lasser de profiter de l’odeur de la culotte entre ses doigts, elle finit par se lever.

— Bon, allez, elle doit être arrivée là, allons-y !!

— Attends !! Avant d’y aller, je lui ai imposé une nouvelle règle ;

— Laquelle ?

— À partir de maintenant, elle m’appellera Maître, et toi, Maîtresse ;

— Ahahahah, oui, bonne idée tiens !!

Nous nous rendons au bureau de Shama. Arrivés à la porte, Jenny frappe à celle-ci.

« En… Entrez » entendons-nous difficilement tant cela a été dit faiblement.

Jenny et moi pénétrons dans le bureau et trouvons Shama debout à côté de sa chaise. Elle est haletante, les yeux brillants et son visage est rougeoyant, comme si elle était remontée en courant.

— Quelque chose ne va pas ? Lui demande Jenny ;

— C’est… C’est trop gros, c’est trop dur de le garder en moi, enlevez-le, s’il vous plaît !! supplie Shama à une Jenny souriante et amusée par la situation ;

— Te l’enlever ? Sûrement pas !!

Jenny s’approche de Shama, se place à côté d’elle et soulève sa robe pour regarder en dessous.

— En plus, il te va à merveille !! Tu n’es pas contente ? Lui demande Jenny tout en allant remuer le plug ;

— Aaaaah !!! Oui, oui, je suis contente !! dit Shama en s’appuyant sur le bureau et en tortillant son cul ;

— Comment est-ce que je t’ai dit qu’il fallait que tu l’appelles à partir de maintenant ? Dis-je à Shama en la regardant d’un air stricte ;

— Je… Je suis contente Maîtresse !

— C’est parfait alors !! Allez, assieds-toi maintenant.

Avec une extrême précaution, Shama se baisse et finit par s’asseoir en grimaçant. Jenny pose ses coudes sur le bureau et s’accroupit à côté de Shama.

— Maintenant, tu vas m’écouter très attentivement. Je veux que toute la semaine, quand tu seras au travail, tu aies ce plug bien calé dans ton cul, tu as compris ?

Shama ouvre de grands yeux, effrayée par la perspective de devoir se promener en permanence avec son cul remplit.

— Tou… Toute la semaine ? Mais… Je… Je ne peux pas !! bégaye Shama ;

— Si, tu peux, et tu n’as pas le choix, je ne suis pas en train de te demander ton avis !! Je veux que ton anus puisse accueillir ma main rapidement, et pour ça, il faut l’habituer, donc tu vas faire ce que je te dis et venir ici toute la semaine avec, c’est pigé salope ?

— O… Oui Maîtresse…

— Tu vas me faire le plaisir de venir en jupe et sans sous-vêtements tous les jours afin que soit Florian, soit moi, puissions vérifier plus facilement et n’importe quand que le plug est bien en place, compris ?

— Bien Maîtresse ;

— Et ne t’avise pas de te faire porter pâle ou de venir sans car si tu trouves que celui que tu as est trop gros, dis toi qu’il existe bien pire et que je me ferais un plaisir de t’en caler un bien profond dans ton cul si tu respectes pas mes consignes, OK ?

— Oui Maîtresse.

À ce moment-là, quelqu’un frappe à la porte du bureau. Jenny se redresse mais reste debout à côté de Shama.

— Entrez !!

Bastien, un collègue, entre et s’adresse à Jenny.

— Excusez-moi de vous déranger mais vous m’aviez demandé un dossier et en le prenant, je me suis rendu compte qu’il manquait des photocopies, voulez-vous que je les fasse ?

— Non non Bastien, je vais m’en occuper moi-même, c’est très gentil, merci !! répond Jenny en tendant la main.

Bastien donne le dossier à Jenny et ressort en fermant la porte. Jenny jette le dossier devant Shama.

— Tiens, tu vas aller me faire les photocopies qui manquent et tu m’amènes le tout dans mon bureau, ça t’entraînera de marcher, tu verras !!

— Bien Maîtresse.

Nous sortons du bureau de Shama pour nous rendre dans celui de Jenny. Quelques minutes après, nous voyons Shama arriver avec le dossier entre les mains en marchant lentement et difficilement, les lèvres pincées par l’effort extraordinaire qu’elle semble produire pour se déplacer.

— C’eeeest bien, tu vois quand tu veux ? Tu verras, après quelques jours comme ça, tu vas bien vite t’habituer !! Tu es contente petite catin ? Demande Jenny à Shama ;

— Oui Maîtresse, merci pour votre cadeau, répond Shama, à présent résignée.

Jenny sourit avant de rajouter :

— Oh, à propos, il va sans dire que lorsqu’il y a quelqu’un d’autre avec nous, tu nous appelles par nos prénoms, d’accord ?

— Oui Maîtresse, j’ai bien compris ;

— Bien sage ! Allez, file maintenant !!

Nous regardons Shama sortir du bureau tout aussi péniblement qu’elle est entrée. Je tourne ensuite mon regard vers Jenny qui, un grand sourire aux lèvres, suit toujours Shama des yeux.

— Ça t’éclate hein ? Lui dis-je ;

— T’as même pas idée !! me répond-elle sans lâcher Shama du regard.

Une fois celle-ci hors de vue, elle se tourne vers moi pour me sourire, puis elle descend son regard vers ma braguette.

— T’as encore de la réserve ou l’autre pute t’as trop épuisée ?

— Pour toi, toujours !

— Parfait, ce soir, tu viens chez moi !! me lance-t-elle avant de se mordiller les lèvres.

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